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Eléments de tradition picturale de l’église maronite de Behdidât au XIIIe siècle
/ Université Le Mans, Université Ouverte des Humanités, Université de Genève, Université Saint-Esprit De Kaslik, Université Ibn Zohr
/ 2016
/ Université Ouverte des Humanités
ZGHEIB Paul
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Bien que les peintures murales des églises du Liban du XIIIe siècle constituent un ensemble réduit de décors fragmentaires, elles restent le témoignage concret d’une activité qui a prospéré à l’époque des Croisés, précisément à partir de la fondation du Comté de Tripoli de 1104 jusqu’à 1289, date de sa chute. Ces peintures jouèrent un grand rôle dans l’art des Croisés et des autochtones. La présence des premiers suggère que les murs de ces édifices religieux ont été embellis avec l’aide des mécènes francs. Cette idée ne pouvait être concrétisée que dans le cadre des bonnes relations entre les autorités religieuses et civiles latines et les chrétiens indigènes. Mot(s) clés libre(s) : Peinture et décoration murales, Église maronite, Treizième siècle
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Crise(s) : Regards croisés
/ Ecole normale supérieure de Lyon, Université Ouverte des Humanités
/ 2011
/ Université Ouverte des Humanités
ZANCARINI-FOURNEL Michelle, DOCKÈS Pierre, SENELLART Michel
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Accédez aux cinq essentiels de la série "Crise(s) : Regards croisés" grâce aux hyperliens du bloc "Voir aussi" de cette page.
Regards synthétiques de philosophes, de politistes, d'historien/nes, d'économistes sur ce qu'est une « crise », ces vidéos d'études s'interrogent, au-delà des évidences parfois aveuglantes, sur les différentes facettes de ce qu'est, a été ou sera une crise.
Diverses approches sont dès lors mises en jeu : celle de la philosophie qui interroge le concept même de crise et son passage du domaine de la médecine à celui de l'histoire ;l'approche langagière qui s'interroge sur les emplois du mot « crise » et leurs enjeux ;l'approche historienne et politiste qui analyse les crises récentes (1971-2008) et leurs effets politiques et sociaux ;l'approche économiste enfin, qui relate les crises économiques passées et s'interroge sur le sens de la crise actuelle : s'agit-il d'une crise financière ou de la crise du système de croissance ?
Les 5 essentiels de la série "Crise(s) : Regards croisés" :
De la crise Fragmentée à la crise célébrée, par Michelle Zancarini-Fournel;
L’analyse de la crise du XXIème siècle, par Pierre Dockès;
Marx, les crises et notre crise;
Le concept de crise, par Michel Senellart;
Sortie de crise, stagnation ou rechute par Pierre Dockès. Mot(s) clés libre(s) : Crise (philosophie), Crises économiques -- Histoire, Histoire économique, Histoire sociale
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Initiation à la lecture de Machiavel
/ Ecole normale supérieure de Lyon, Université Ouverte des Humanités
/ 2008
/ Université Ouverte des Humanités
ZANCARINI Jean-Claude, SENELLART Michel, DESCENDRE Romain, FOURNEL Jean-Louis
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Il s’agit ici, après les avoir resitués dans leur conjoncture historique (Florence au temps des guerres d’Italie), de présenter les principaux textes de Machiavel et certains enjeux de leur lecture : le Prince, les Discours, les Histoires de Florence, l’Art de la guerre.
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De nouveaux enjeux épistémologiques en milieu confessant aux XIXe et XXe siècles
/ Université Le Mans, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
ZAHND Ueli, BENABBOU Elhassane, GRANDJEAN Michel, MADOUN Abdelkrim
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Afin d'étudier les nouveaux enjeux épistémologiques en milieu confessant, les auteurs de ce module présentent les lectures contemporaines de l'affaire Galilée, puis la perception des résultats scientifiques modernes par deux groupes d'intellectuels musulmans, le créationnisme dans les milieux évangéliques états-uniens et enfin l'islam au regard de chercheurs musulmans en sciences sociales.
De nombreuses références bibliographiques, des références biographiques et un glossaire sont proposés en complément du cours.
Mot(s) clés libre(s) : Galilée (Israël), Religion et sciences, Créationnisme, Islam
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L'impact de la traduction de la Bible sur l'éveil scientifique de la Nahda au début du XIXe siècle - Grace Younes
/ Université Le Mans, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
YOUNES Grace
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Dans cette partie sont abordés trois points :
- La traduction arabe de la Bible : une coopération américano-arabe ;
- Un projet linguistique en même temps qu'un projet missionnaire ;
- La rivalité entre protestants et catholiques attisée par la traduction arabe de la Bible.
Mot(s) clés libre(s) : Et la Bible, Christianisme, Nahda (mouvement littéraire), Traduction en arabe
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« Le terrain ? » clamait Sir James Frazer « Que Dieu m’en préserve ! » (Ce que nous apprend l'anthropologie, 26/28)
/ Université Strasbourg, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
WILLEMONT Jacques, BIANQUIS Isabelle
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Il est vrai que pour rendre compte des classifications opérées par une culture sur l'ensemble des êtres humains, des animaux, des plantes et des objets qui peuplent et entourent leur société, il est possible – comme l'a démontré Claude Lévi-Strauss - de ce comporter comme Frazer et de ne travailler qu’« en chambre », sur des données, collectées autrefois par des voyageurs, des missionnaires et des ambassadeurs, aujourd'hui, par des ethnologues.Mais la majorité des ethnologues sont convaincus qu’on ne peut étudier les hommes qu’en communiquant avec eux : il faut donc aller sur le terrain pour les rencontrer. Mot(s) clés libre(s) : Observation participante
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What we learn from anthropology
/ Université Strasbourg, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
WILLEMONT Jacques
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The phrase What we learn from anthropology was borrowed from Maurice Godelier (see the bibliography), an anthropologist and an expert of the Baruya, a society in Papua New Guinea.
Godelier ironically claims that it is not enough for an ethnologist to be accepted by a small group of people who become his or her ‘informants’ and have casual conversations around a fire for a few months.
He said that no one is born an ethnologist: you become one, and may choose to be or to remain one even when the area of research is not in distant lands. Mot(s) clés libre(s) : Anthropologie, Musicologie, Ethnologie, Ethnomédecine
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Un autre exemple de savoir peu partagé : Celui des 7 catégories (Ce que nous apprend l'anthropologie, 25/28)
/ Université Strasbourg, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
WILLEMONT Jacques, GODELIER Maurice
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Dans de nombreuses sociétés de tradition orale méditerranéennes et africaines le chiffre "7" possède une valeur symbolique que l'on retrouve dans les sociétés du Livre. Allah, par exemple, a créé sept cieux, sept terres, sept mers, sept enfers, sept portes, sept membres pour l'homme, …
Les Gnawa complètent avec sept rois des génies, commandant aux sept planètes et aux sept jours de la semaine.
Qu’en est-il dans le monde européen ? Vous connaissez certainement l’opposition qui est faite entre Mars et Vénus – l'homme et la femme selon les gazettes astrologiques – ainsi que les jours de la semaine et les couleurs qui sont associées à ces deux planètes ? Mot(s) clés libre(s) : Symbolisme des nombres, Anthropologie
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Se faire initier (Ce que nous apprend l'anthropologie, 28/28)
/ Université Strasbourg, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
WILLEMONT Jacques, DIANTEILL Erwan
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Le long cheminement d’un anthropologue ressemble à celui d’un « savant », d’un « prêtre » de la société qu’il étudie. Être initié, c’est savoir (être un « savant »). C’est maîtriser tout le système. Précisons que « être savant » n’est pas « être vieux ». Les vieux, souvent, ne connaissent seulement qu’une partie de l'enseignement et le reste de la population ne sait rien du tout. Comme partout dans le monde. Afin de mieux comprendre la société qu’ils étudient certains ethnologues ont choisi de se faire initier. Mot(s) clés libre(s) : Anthropologie, Anthropologues, Rites d'initiation
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Quand les symboles se lisent au premier degré (Ce que nous apprend l'anthropologie, 19/28)
/ Université Strasbourg, Université Ouverte des Humanités
/ 2014
/ Université Ouverte des Humanités
WILLEMONT Jacques
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C’est volontairement que nous vous avons donné la version originale. Si vous entendez l'arabe ou si vous avez pu vous faire traduire les propos d’Al Ayachi, vous avez compris ce qu’il racontait. Ce n’est pas banal. Et vous comprenez pourquoi Al Ayachi parle avec un sourire aux lèvres. On voit qu'il est content de lui.
Cette séquence a été montée dans le film Les 7 couleurs de l'Univers, sorti en 2005. Le DVD a beaucoup circulé au Maroc dans les milieux gnawi. Il y a quelques mois, en tournage à Marrakech, Jacques Willemont a rencontré des musiciens qui ont vu le film. L'un d'eux, joueur de qarqabou, l’a pris à partie : « Al Ayachi disait n'importe quoi. Son histoire, là, des six femmes autour du goumbri, … je ne suis pas une femme, quand même ! ». Pour ceux qui n’ont pas encore compris ce que disait Al Ayachi qui pourrait expliquer la réaction du musicien, écoutez la même séquence, sous-titrée cette fois-ci. Mot(s) clés libre(s) : Signes et symboles -- Dans la musique, Anthropologie
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