Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
7. Changement climatique et qualité de l'air : à la recherche de stratégies de gestion communes
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 29-05-2015
/ Canal-u.fr
COLETTE Augustin
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Augustin Colette met en évidence les relations entre la qualité de l'air, très préoccupante en termes de santé publique, et le changement climatique. Il discute des trajectoires sociétales qui permettraient d'une part d'améliorer la qualité de l'air, et d'autre part de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Mot(s) clés libre(s) : changement climatique, santé, pollution de l'air
|
Accéder à la ressource
|
|
Cafés des Sciences Nancy 2007 - Environnement : nos poubelles vont-elles nous envahir ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DILETTOSO Angélique, MARCHAL Fabrice, JOLY Caroline
Voir le résumé
Voir le résumé
Résumé : Les Français produisent chaque année de plus en plus de déchets. Quelles sont les solutions afin de ne pas se laisser envahir ? Quels sont les procédés actuellement en place pour le traitement de nos ordures, depuis la poubelle jusqu’à l’usine d’incinération ? Les intervenants nous présenteront les gestes simples qui permettent de gérer intelligemment nos déchets tout en préservant au maximum l’environnement. Intervenants : DILETTOSO Angélique, MARCHAL Fabrice, JOLY Caroline, VALENTIN Jean-Pierre.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy-Université, compost, déchet, emballage, pétrole, plastique, poubelle, recyclage, tri
|
Accéder à la ressource
|
|
Coagulants et floculants
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MOTTOT Yves
Voir le résumé
Voir le résumé
Coagulants et floculants sont des réactifs chimiques utilisés dans de multiples procédés industriels, mais leur principale application est le traitement des eaux. Les domaines spécifiques d'usage de ces produits - traitement de l'eau destinées à la consommation humaine, assainissement des eaux usées domestiques, conditionnement des boues - demandent des niveaux de performance, des degrés de toxicité ou écotoxicité, et des coûts de traitement différents. Divers produits sont utilisés, mais deux familles principales dominent le marché : les coagulants minéraux - sels de fer et d'aluminium - et les polymères synthétiques hydrosolubles. Après quelques rappels théoriques sur les mécanismes physico-chimiques qui expliquent les performances de ces produits, l' exposé présente les principales familles de coagulants et floculants ainsi que les procédés industriels de mise en oeuvre. Les axes actuels de recherche et développement de nouveaux coagulants et floculants sont également indiqués. Mot(s) clés libre(s) : chimie industrielle, coagulation, floculation, polymère, produit chimique, réactif chimique, traitement des eaux
|
Accéder à la ressource
|
|
Croissance économique et recyclage des matières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
GROSSE François
Voir le résumé
Voir le résumé
François Grosse analyse l'impact du recyclage sur la consommation de matières premières dans le cadre d'une économie en croissance. Il montre qu'un fort taux de recyclage, indispensable, ne pourra permettre de retarder l'épuisement des ressources que si le taux de croissance des consommations reste inférieur à 1% par an. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, consommation, recyclage, métaux, ressources non renouvelables
|
Accéder à la ressource
|
|
Effets de l'accumulation des matières
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
GROSSE François
Voir le résumé
Voir le résumé
François Grosse analyse le lien entre épuisement des ressources non renouvelables, recyclage, et accumulation de matières non renouvelables dans l'économie. Il montre que pour que le recyclage ait un effet sur la réduction des prélèvements de matières premières, il est nécessaire que les sociétés n'accumulent qu'un minimum de ces matières, moins de 20%. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, recyclage, accumulation, ressources non renouvelables, stocks
|
Accéder à la ressource
|
|
Introduction à l'économie circulaire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
GROSSE François
Voir le résumé
Voir le résumé
François Grosse propose un cadrage de l'économie circulaire en s'appuyant sur les flux de matières qui entrent, se stockent, et sortent du système industriel. Il pose la problématique de la relation entre recyclage et mise en place d'un système plus circulaire. Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, recyclage, accumulation, économie circulaire, ressources non renouvelables, économie linéaire
|
Accéder à la ressource
|
|
L'eau de Goalmari
/ Amirul Arham, Night Lights Production
/ 20-09-2009
/ Canal-u.fr
Arham Amirul
Voir le résumé
Voir le résumé
Au Bangladesh, une grande partie de la population souffre terriblement du manque d'eau potable, car l'eau naturellement disponible est empoisonnée par l'arsenic ou polluée. Gramee s'est associée à Véolia Eau qui a décidé d'amener son expertise pour construire une petite usine de traitement pour distribuer l'eau potable aux villageois de Goalmari. Mot(s) clés libre(s) : traitement, Bangladesh, eau, Goalmari, Gramee, Véolia Eau
|
Accéder à la ressource
|
|
L'éthique du développement durable dans l'industrie - Patrick Baussand
/ UTLS au lycée
/ 25-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeMise en application de l'éthique du développement durable dans l'industrie par Patrick BaussandCentre de formation d'apprentis de l'industrie (84 Avignon) Mot(s) clés libre(s) : déchet, écologie
|
Accéder à la ressource
|
|
La pollution des sols et le recyclage des déchets - Antoine Richard
/ UTLS au lycée
/ 12-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
RICHARD Antooine
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeLa pollution des sols et le recyclage des déchets par Antoine Richard (Directeur de l'INRA, Nord Pas de Calais)Lycée François Rabelais (59 Douais) Mot(s) clés libre(s) : écologie, environnement
|
Accéder à la ressource
|
|
Les égouts et l'évacuation des déchets
/ UTLS - la suite
/ 01-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Après de nombreux siècles où l'alimentation en eau de Paris, et par voie de conséquence, son réseau d'égout sont restés fort limités, un essor considérable a été donné au réseau au milieu du 19e siècle, et il s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui. Parmi les projets initiaux, certains prévoyaient la création d'une ville souterraine, où seraient réalisées nombreuses des basses besognes nécessaires au fonctionnement et au prestige de la partie visible (et "hygiénisée") de la ville. Les réseaux souterrains devaient ainsi assurer le transport de l'eau mais aussi de nombreuses marchandises ou déchets. Dans le même temps, l'alimentation en eau potable généralisée, et l'élimination des eaux souillées hors de la ville, devenait un objectif prioritaire pour des raisons sanitaires. Les épidémies de choléra du milieu du siècle furent un des facteurs déclenchant le développement des projets de Belgrand à l'époque ou Haussmann rénovait la partie visible de Paris. Une particularité des égouts de Paris est la taille des canalisations, qui les rend en tout point visitables, ce qui leur confère un cachet tout particulier. Ils ont d'ailleurs toujours été visités, par les égoutiers chargés de leur entretien en premier lieu, mais aussi par de nombreux visiteurs qui accèdent aujourd'hui au musée des égouts situé dans le réseau. Dans la dernière partie du 19e siècle fut instauré le principe du tout-à-l'égout, mais sa mise en oeuvre complète, visant à l'élimination de toutes les fosses chez les particuliers, dura plusieurs décennies et se poursuivit au début du 20ième siècle. Le réseau devint unitaire, évacuant à la fois les eaux usées et les eaux de chaussées (eaux du lavage de rues, eaux de ruissellement pluvial etc.). Pour des raisons techniques, et pour éviter des déversements en Seine à l'intérieur de Paris, Belgrand a basé l'architecture du réseau sur un collecteur central qui rejoignait directement la Seine à Clichy. Le développement de la ville, et la mise en oeuvre du tout-à-l'égout ont considérablement augmenté la quantité de pollution déversée. A la fin du 19ième siècle, une solution basée sur l'épuration par le sol fut développée pour traiter les eaux avant leur arrivée en Seine. Des champs d'épandage furent installés dans la presqu'île de Gennevilliers puis plus à l'aval (Achères, Triel
), la ville de Paris devint propriétaire fermier et favorisait une intense activité de maraîchage. Au moment de l'exposition universelle à la toute fin du siècle, presque toutes les eaux collectées étaient envoyées vers les champs d'épandage. Cependant, la course en avant devait continuer, de plus en plus d'eau étant utilisée et devant être évacuée puis traitée dans une ville en constante expansion, alors que la pression foncière réduisait la superficie des champs d'épandage. Dès le début du 20ième, les rejets d'eaux usées en Seine reprirent de plus belle. Après de nombreux essais menés sur les pilotes par la ville de Paris, la première station d'épuration moderne à boues activées fut construite à Achères en 1938 (aujourd'hui "Seine-Aval"), et ne fut réellement alimentée que plusieurs années après la guerre. Dans les filières de traitement d'une telle station, comme dans le sol, des micro-organismes se développent en digérant les matières organiques et les transforment en gaz carbonique et en sels. Les matières solides transportées dans l'eau des égouts et les micro-organismes produits au cours du traitement sont rassemblés pour constituer les boues d'épuration. D'autres filières sont chargées du traitement des boues qui sont épaissies, pressées, éventuellement digérées avant d'être épandues sur des terres agricoles, mises en décharge ou encore incinérées. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le processus de construction de nouveaux réseaux et de nouvelles stations de traitement des eaux n'a cessé de se développer. A partir des années 70, on cessa de créer des réseaux unitaires pour passer au système séparatif. Dans un réseau séparatif, les eaux pluviales sont collectées dans un réseau séparé des eaux usées domestiques ou industrielles. Les eaux pluviales sont évacuées directement vers le milieu récepteur, alors que les eaux usées sont envoyées vers les stations d'épuration. Un avantage très significatif de ce type de collecte est que les flots reçus par les stations de traitement sont beaucoup plus réguliers, et qu'il n'y a pas de risques de surcharge du système en temps de pluie. Par contre, ce système nécessite une surveillance accrue des "mauvais branchements" d'eaux usées sur le réseau pluvial, et ne permet pas de traiter les eaux de ruissellement qui peuvent être fortement contaminées. Les stations de traitement sont devenues plus efficaces et plus flexibles dans leur gestion, ce qui permet notamment de traiter une fraction toujours croissante des eaux de temps de pluie dans les réseaux anciens unitaires, et de résoudre en grande partie graves problèmes dues aux déversements de temps de pluie dans le réseau unitaire. De nouvelles stations ont été construites en différents points de l'agglomération parisienne pour des raisons techniques, parce qu'il devenait techniquement difficile d'acheminer les eaux sur de très longues distances vers un point de traitement unique à l'aval, mais aussi pour des raisons éthiques et politiques pour que soit mieux partagées les nuisances dues au traitement. Le devenir des boues est toujours un problème aujourd'hui car elles peuvent contenir des contaminants persistants en quantité excessive. Alors que les matières organiques contenues dans les boues constituent des amendements utiles aux cultures, les contaminations doivent être évitées. Des efforts très importants ont été faits dans l'agglomération parisienne pour limiter le rejets de contaminants dans le réseau. Cette politique de réduction à la source a porté ses fruits puisque les teneurs en certains métaux dans les boues de la station "Seine-Aval" ont diminué de plus qu'un facteur 10 en 20 ans. L'évolution actuelle va vers des réseaux et des méthodes de traitement plus diversifiées. Le développement de stations de traitement va se poursuivre en différents points de l'agglomération parisienne, alors que l'interconnexion du réseau unitaire devient une réalité, qui permet une meilleure gestion des eaux en temps de pluie. Dans le même temps les eaux pluviales sont de plus en plus souvent retenues ou traitées à l'amont des bassins versants pour limiter le ruissellement excessif. Il aura donc fallu plus d'un siècle pour que la grande ligne directrice "tout vers l'aval" qui avait été instaurée par Belgrand soit remise en cause. Il aura fallu un siècle également pour que l'objectif "zéro rejets par temps", atteint au début du siècle lors de l'exposition universelle, soit de nouveau atteint. Le réseau d'assainissement fait donc bien partie de ces patrimoines techniques urbains fondamentaux qu'il faut gérer aujourd'hui en pensant aux générations futures.Références utilisées dans cette conférence : "Atlas du Paris Souterrain", par Gilles Thomas et Alain Clément, Ed. Parigramme, 2001. "Paris Sewers and Sewermen, realities and representations", par D. Reid, Harvard University Press, 1991. "Les égouts de Paris, une ville sous la ville", plaquette de présentation des égouts, Mairie de Paris "Rendre l'eau à la vie, 1970/1995, 25ième anniversaire du SIAAP", par M.F. Pointeau, Ed. CEP Euro Editions. "La Seine en son Bassin", M. Maybeck, G. de Marsily et E. Fustec (editeurs), publié par Elsevier en 1998. Mot(s) clés libre(s) : boues d'épuration, collecteur, déchet, eaux usées, égoutiers, égouts de Paris, génie urbain, réseau d'assainissement, station d'épuration, système séparatif, tout-à-l'égout, traitement des eaux
|
Accéder à la ressource
|
|