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La génomique, nouvel observatoire des microbes de l'environnement
/ UTLS - la suite
/ 15-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WEISSENBACH Jean
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?Par Jean Weissenbach, Directeur du centre national de séquençage, Génoscope d’Evry Mot(s) clés libre(s) : ADN, bactérie, génétique moléculaire, génome, génomique, microbe, microbiologie, séquençage du génome
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Vin et demande en oxygène : peut-on déterminer la demande en oxygène d'un vin ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
VIVAS Nicolas
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Oxygène et vin
Nicolas Vivas, Vin et demande en oxygène : peut-on déterminer la demande en oxygène d’un vin ?
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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Rôles et impacts de l'oxygène de la vinification à la fin de l'élevage
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
VIDAL Stéphane
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Oxygène et vin
Stéphane Vidal, Rôles et impacts de l’oxygène de la vinification à la fin de l’élevage
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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L'augmentation du pH des moûts et des vins, une facteur important de développement de Brettanomyces
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
VAN LEEUWEN Cornelis (Kees)
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
Le pH du vin joue un rôle clé dans la dynamique des populations de Brettanomyces : plus le pH du vin est élevé, plus le risque d’un développement de Brettanomyces est important. On observe depuis une quarantaine d’années une augmentation régulière des pH des moûts et des vins, ce qui augmente mécaniquement le risque de déviations aromatiques liées à la présence de levures de contamination. Sur une importante série d’analyses de moûts au moment de la récolte dans la région de Languedoc, l’augmentation de pH est de 0,2 unité en 30 ans. Une autre série d’analyses, provenant d’une parcelle de Cabernet-Sauvignon du réseau de l’ISVV dans le Bordelais, montre une augmentation de 0,35 unité en 30 ans. On peut s’interroger sur le ou les causes de cette modification très importante de la composition du moût au moment de la récolte. Parmi les facteurs qui ont un impact sur le niveau du pH du moût, il est possible de hiérarchiser l’effet du sol, du cépage et du millésime. Des analyses de variance à trois facteurs de données provenant de Bordeaux et de Chablis montrent des résultats reproductibles d’une région à une autre. Ces trois facteurs ont un effet significatif sur le pH du moût, mais le pourcentage de variance expliqué par l’effet millésime (qui représente la variabilité climatique interannuelle) est très supérieur au pourcentage de variance expliqué par le cépage et le type de sol. Le pH du moût est plus élevé dans les millésimes chauds. Par conséquent, il est légitime de penser que le réchauffement climatique participe, au moins en partie, à l’augmentation du pH des moûts. Concernant l’effet du sol, le pH peut être influencé par plusieurs mécanismes: soit par la nutrition minérale, soit par un effet du régime hydrique sur la maturité. Il n’est pas facile de mettre en évidence un lien direct entre la composition minérale du sol d’une part et la composition minérale du moût et son pH d’autre part. On peut en revanche observer que des conditions d’alimentation en eau non limitantes peuvent contribuer à un retard de maturité, associé à des teneurs plus élevées en acide malique du moût et des pH plus bas. Il est possible de modifier le pH du moût et du vin par une fertilisation potassique excessive, mais il n’y a pas d’effet notable de la nutrition potassique de la vigne sur le pH du moût si l’on reste à des niveaux de fertilisation potassique raisonnables (<60 u / ha /an).Au cours des dernières décennies, les raisins ont été récoltés progressivement à des stades de maturité de plus en plus avancés. Il était courant de vendanger le raisin 35 jours après la mi-véraison dans les années 1960 et 1970. On est passé progressivement à 45 jours, puis 55 jours. Il n’est aujourd’hui pas rare de vendanger à plus de 60 jours après la mi-véraison des raisins destinés à l’élaboration de vins rouges de garde. Il est très probable que cette évolution ait un impact majeur sur le pH des moûts et des vins. Dans un premier temps, il était parfaitement légitime de rechercher une meilleure maturité du fruit pour limiter les flaveurs herbacées et pour augmenter la maturité des polyphénols. On peut néanmoins s’interroger si l’on n’est pas allé trop loin dans la recherche d’une maturité poussée du raisin au moment de la récolte, surtout dans un contexte de réchauffement climatique, déjà favorable à une augmentation des pH des moûts. Parmi les autres facteurs qui peuvent influencer le pH du vin, on peut également citer la pratique de la saignée. Puisque les pellicules du raisin sont plus riches en potassium que la pulpe, la pratique de la saignée, qui consiste à augmenter le rapport marc / jus, contribue à une augmentation de la teneur en potassium du vin et de son pH. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
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OGM et alimentation - Marianne Mazier
/ UTLS au lycée
/ 09-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, Mazier Marianne
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Une conférence de l'UTLS au LycéeOGM et alimentation par Marianne MazierLycée Don Bosco (06 Nice) Mot(s) clés libre(s) : alimentation, génétique, OGM
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Les cellules souche et le clonage thérapeutique - Emmanuelle Rial-Sebbag
/ UTLS au lycée
/ 04-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLes cellules souche et le clonage thérapeutique par Emmanuelle Rial-Sebbag, juristeLycée Stendhal (Aiguillon 47) Mot(s) clés libre(s) : clonage, ethique, génétique
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La chimie de l'amour - Marcel Hibert
/ UTLS - la suite
/ 22-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite, HIBERT Marcel
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La chimie de l'amour par Marcel Hibert, Professeur, Médaille d'argent du CNRS, Pharmacochimie de la Communication Cellulaire, UMR CNRS 7175, Université de StrasbourgUne conférence UTLS du cycle : « La Chimie partout » du 21 au 29 mai 2011 à 18h30 Mot(s) clés libre(s) : hormone, molécule, neurologie, pharmacologie, sexe
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Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? - partie 2
/ UTLS - la suite
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire, que savoir ?Conférence-débat co-organisée par la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse9 décembre 2010, hôtel de région Midi-PyrénéesAprès la relation entre l’alimentation et le cancer, puis les cosmétiques bio, cette troisième collaboration entre la Mission Agrobiosciences et l’Ecole supérieure de commerce de Toulouse porte sur les compléments alimentaires, ces fameux suppléments dont les consommateurs attendent tant, trop ? Trop beaux pour être vrais ? Des élèves du Mastère Management des Industries de Santé ont réalisé, en amont, un important travail de recherche bibliographique, de repères chiffrés, de définitions et des entretiens auprès d’experts et de consommateurs, regroupés dans un dossier.Pour aller plus loin, la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse, en partenariat avec l'Université de tous les savoirs (Canal-U) et radio FMR, organisaient le jeudi 9 décembre 2010, à l'hôtel de Région Midi-Pyrénées une conférence-débat : "Les compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire ? Que savoir ?". Laissant une large place au débat avec le public, ces trois heures de rencontres avaient pour objectif de permettre d’approfondir les tendances de consommation, de mieux décrypter les différents enjeux sociétaux et économiques, mais aussi de faire le point sur le front des connaissances scientifiques et la nouvelle réglementation. Mot(s) clés libre(s) : alimentation, nutrition
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TIC et Liberté
/ FMSH Production
/ 19-01-2016
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma, RAINHORN Jean-Daniel
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Les technologies de
l'information et de la communication (TIC) sont-elles des outils pour un
meilleur "empowerment" individuel et collectif? Annoncent-elles de
nouvelles formes de partage, de contre-pouvoir ou au contraire un
contrôle social plus efficace qui pourrait être utilisé contre la
liberté individuelle? Aussi bien les TIC que les biotechnologies offrent
des possibilités de réaliser ce qui paraissait un rêve il y a peu :
communiquer avec le reste du monde, bénéficier de connaissances
jusqu'alors difficilement accessibles ou encore être informé en temps
réel, mais également traiter des maladies, modifier son corps voire en
augmenter les capacités en y introduisant des substances, des produits
ou de l'électronique. Mais jusqu'où peut-on laisser la technologie nous
envahir alors qu'au-delà de ses bienfaits, elle permet par ailleurs un
contrôle ubiquitaire de notre vie au quotidien?
Séminaire organisé en partenariat avec :
Equipe
Alexandra Ivanovitch, Centre de Recherches Interdisciplinaires (CRI)
Jean-Daniel Rainhorn, Collège d'études mondiales
Imma Tubella, Collège d'études mondiales
Mots-clés associés :
liberté individuelle, biotechnologie Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, nouvelles technologies, liberté individuelle, dystopie
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On joue à Dieu
/ FMSH Production
/ 16-02-2016
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma
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Les progrès de la biomédecine
ont connu une importante accélération au cours des trente dernières
années. De nouvelles technologies sont apparues et ont apporté des
réponses bénéfiques à de nombreux problèmes de santé qui jusqu'alors
restaient sans solution.
Dans des domaines comme la génétique, le clonage thérapeutique,
l'utilisation des cellules souches, la procréation médicalement
assistée, les greffes d’organe et de tissus ou la stimulation du
cerveau, la médecine connaît une véritable révolution. De nouvelles
approches modifient radicalement la manière d’envisager la reproduction
humaine, le traitement de certaines maladies chroniques, le remplacement
d'organes et de membres défaillants ou encore le traitement de maladies
mentales.
Des changements considérables qui posent des questions vertigineuses
sur la définition et les limites de la vie, le rôle futur des prothèses
permettant de prolonger l'existence, les nouvelles possibilités de
contrôle chimique, électronique ou subconsciente du cerveau ou encore
l'utilisation du corps des autres pour l'amélioration de sa santé. Les
majors de l'économie numérique l'ont bien compris en investissant des
sommes considérables dans la robotique et le "transhumanisme".
Mais alors que devient l'être humain si sa vie, ses capacités de
reproduction, le fonctionnement de ses membres, ses émotions, sa mémoire
sont remplacés par des robots ? Ne sommes-nous pas en train d'entrer
dans le Meilleur des Mondes ? L'homme maîtrise-t-il encore la
technologie ou comme le disait Albert Einstein : « la technologie a
maintenant dépassé notre humanité »?
Invité : Pr. René Frydman, producteur de l'émission "Révolutions médicales", France Culture.
Séminaire organisé en partenariat avec :
Equipe
Alexandra Ivanovitch, Centre de Recherches Interdisciplinaires (CRI)
Jean-Daniel Rainhorn, Collège d'études mondiales
Imma Tubella, Collège d'études mondiales
Mots-clés associés :
technologies biomédicales, reproduction humaine, biotechnologies Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, nouvelles technologies, liberté individuelle, dystopie
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