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009 - L'Algérie coloniale : la constante militaire dans le pouvoir français
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Jacques Frémeaux (Université Paris 4Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En Algérie, l’armée française a d’abord fait la guerre selon des méthodes inconnues dans les conflits classiques. Mais en même temps, elle s’est voulue constructrice d’une certaine Algérie, très différente de celle des civils. Le temps de la conquête et celui du combat pour l’indépendance, qu’il importe de rapprocher mais non de confondre, sont les deux moments de cette action, qui engendra des représentations contraignantes. Il faut souligner aussi un point trop mésestimé : l’armée a fourni à la France le renfort de nombreux soldats algériens, dont la présence a pesé dans les conflits où la « métropole » a été engagée, et dont le souvenir contribue à accroître les conflits de mémoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), armée française, colonisation, guerre d'indépendance, histoire, histoire militaire, politique et gouvernement, relations france-algérie
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015 - Le système fiscal colonial et la dynamique d’identification communautariste en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Le système fiscal colonial et la dynamique d’identification communautariste en Algérie (1830-1918) par Ahmed Henni (Université d’Artois)L’analyse de la fiscalité et de la politique budgétaire coloniale en matière de dépenses fait ressortir qu’entre 1830 et 1918 un principe de communautarisation a été mis en place en Algérie, installant pour une longue période une pratique d’administration séparée sur des bases officielles d’identification ethnique.La « communauté indigène », composée essentiellement d’agro-pasteurs, si elle a été la première à contribuer aux finances publiques, a été la dernière servie. L’autorité publique a institutionnalisé un système utilisant la médiation du politique pour transférer collectivement des ressources d’une communauté à l’autre. Si un tel système a permis de maintenir en place les notabilités de commandement locales en leur attribuant des fonctions de collecte de l’impôt, reproduisant en cela certains traits historiques antérieurs à la colonisation, il a, en même temps, faute de retour sous forme de service public de leurs recettes aux payeurs, fait apparaître ces notabilités - et l’administration - comme des éléments purement répressifs au profit d’un colonat identifié ethniquement comme communauté d’Européens.Dès lors, on peut y voir l’une des raisons du détournement des populations algériennes de leurs propres notabilités historiques ainsi démonétisées. Elles chercheront, de ce fait, le chemin de leur émancipation sous la conduite d’autres médiateurs, principalement issus du sous-prolétariat qui sauront combiner l’opposition ethnique aux colons, l’opposition politique à l’administration et l’opposition sociale aux notabilités musulmanes. À ce résultat s’en ajoute un autre : après une si longue tradition, l’administration algérienne ne pourra pas avant longtemps apparaître comme une instance de médiation ou de service public. Elle donnera toujours l’image, jusqu’à nos jours, d’un fondé de pouvoir gérant privativement l’État au bénéfice de « rentiers » et au détriment des véritables « payeurs ». Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), colonies (administration), communautarisation, finances publiques, impôt
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017 - Restitution des sessions - Formes et processus de colonisation
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonies (administration), colonisation, constantinois (1567-1837 - beylik), histoire militaire, politique économique, politique et gouvernement, relations france-algérie
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018 - Noirs en Algérie, XIXème- XXème siècles
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Raëd Bader (Maison méditerranéenne des Sciences de l’homme)Sociétés : scènes et acteurs : session thématique (prés. Jean-Pierre Frey)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Le recensement des populations noires en Algérie, libres ou esclaves, pour les deux derniers siècles, varie beaucoup d’une source à l’autre : 8 000 esclaves noirs sur l’ensemble du territoire algérien, selon un rapport officiel en 1845 ; 18 329 renchérit, dès 1848, un nouveau rapport à l’occasion de l’abolition de l’esclavage. Le même document estime que plus de 3 000 individus sont acheminés annuellement en Algérie. Or, l’abolition ne met pas fin à la traite dans la principale colonie française. Vers 1880, l’administration militaire recense encore 2 000 esclaves africains qui transitent chaque année au Mzab.L’Algérie reste le pays d’Afrique du Nord qui a accueilli le plus petit nombre d’esclaves noirs, si l’on se réfère aux estimations de la traite transsaharienne : 65 000 entrées en Algérie de 1700 à 1880 contre 100 000 en Tunisie, 400 000 en Libye, 515 000 au Maroc et 800 000 en Égypte. Aujourd’hui, la population d’Algérie compterait environ 5 % de Noirs - un million selon l’estimation de Tingé Coulibaly en 1979 -, soit la plus faible proportion des pays du Maghreb. La plupart vivent au Sahara, et leur nombre diminue progressivement en direction du nord. Mais le nombre des esclaves et de leurs descendants en Algérie importe moins que ce qu’ils révèlent du fonctionnement de l’État et de la société en situation coloniale et postcoloniale. Les autorités françaises - impériales et républicaines - ont plus que toléré la continuité de la traite arabe après 1848. L’importation de main-d’œuvre africaine en Algérie est même débattue à la Chambre des Pairs en 1856. Le projet consistait à faire travailler 100 000 Noirs dans les colonies agricoles. Il est finalement rejeté mais les caravanes continuent à faire entrer clandestinement des esclaves depuis le sud jusqu’aux villes littorales. Ils sont surtout domestiques chez les notables algériens mais certains travaillent aussi dans les fermes des colons.Il s’agit donc de dévoiler l’existence ou pas d’une communauté noire en Algérie. Que signifie être « Noir » dans l’Algérie des XIXe et XXe siècles ? Quelle place occupent-ils dans la société occupante et occupée, ou à l’écart de celles-ci ? Sont-ils parvenus à former un nouveau groupe malgré leurs origines diverses en Afrique subsaharienne ? Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), colonies (administration), colonisation, esclavage, noirs (algérie), traite des esclaves
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021 - Le judaisme d’Algérie 1830-1962 au-delà des pressions officielles et des lobbies de mémoire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
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par Richard Ayoun (Institut national des langues et civilisations orientales)Religions et statuts personnels: session thématique (prés. Souad Soufi) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En histoire juive générale, la communauté d’Algérie est considérée comme marginale malgré son passé deux fois millénaire, si elle est comparée aux groupes juifs d’Irak, de France, d’Allemagne, du Maroc et de Pologne. Avant l’établissement de la régence turque d’Alger, en 1516, le Maghreb central a subi le même sort que les autres contrées maghrébines avec les occupations romaine, byzantine, arabe, supportant des populations, des régimes, des religions différents.Sous la domination turque nous possédons plusieurs sources concernant plus particulièrement l’Algérois : les récits des voyageurs chrétiens dans les états de Barbarie, la correspondance des consuls des cours européennes, celle des deys d’Alger avec les États de la Chrétienté, les Archives des Missions de rédemption des esclaves et de la Chambre de Commerce de Marseille, et des poésies hébraïques relatant les événements qui tournent en faveur des Juifs.De 1830 à 1962, le judaïsme d’Algérie, mis en œuvre en milieu colonial et extra-européen, tout en se recommandant de l’expérience française, ne peut être compris comme une simple excroissance du modèle métropolitain d’émancipation des Juifs de ce pays, et nécessite une autre perspective que celle proposée dans les deux pays voisins. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (civilisation), juifs (algérie)
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022 - Quand les missionnaires rencontrent l'islam berbère
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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(1873-1930) : cécité coloniale et malentendus dans l’Algérie de la fin du XIXe siècle par Karima Direche-Slimani (Maison méditerranéenne des Sciences de l’homme)Religions et statuts personnels: session thématique (prés. Souad Soufi) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La Kabylie a été, dès la pacification, un terrain d’expérimentations générant une spécificité du paysage politico-administratif et contribuant à des régimes d’exception : type d’organisation militaire, tentatives d’évangélisation, régime civil instauré en 1880, précocité de la politique scolaire, système juridique basé sur le droit coutumier, etc. L’installation des missionnaires, en Kabylie, en 1873, participe d’un vaste projet d’évangélisation de la population lié à une politique d’assimilation propre aux seuls Kabyles. L’exploitation de ce qu’on a appelé par la suite mythe berbère et/ou mythe kabyle - ensemble de représentations quasiment uniques dans les représentations idéologisées que les sociétés coloniales ont eu à produire sur les peuples colonisés - a imposé une vision spécifique de l’islam maghrébin et plus particulièrement de l’islam berbère. Convaincus d’être dans un espace islamisé superficiellement, les missionnaires catholiques ont déployé dans le dernier tiers du XIXe siècle, un activisme apostolique destiné à faire resurgir le christianisme antique, substrat religieux oublié des populations locales. L’analyse du discours et des pratiques missionnaires concernant l’islam kabyle permet de saisir une véritable déformation des réalités sociologiques de la Kabylie de cette fin de siècle.Quand ce ne sont pas les poncifs les plus caricaturaux - liés à la représentation chrétienne de l’islam du XIXe siècle et à une méconnaissance flagrante de cette religion -, c’est le silence qui domine. Silence qui oblitère les réalités musulmanes des sociétés berbères, et qui n’accorde aucune importance ou du moins une importance très limitée aux pratiques religieuses locales - considérées pour la plupart du temps comme des mimétismes mécaniques. Si l’islam ne bénéficie, jusqu’aux débuts des années 1920, d’aucun traitement particulier et d’aucun intérêt curieux, la place réservée au christianisme ancien de l’Afrique du Nord, considérée comme la religion ancienne et oubliée des Berbères, est considérable. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), évangélisation, islam (kabylie), missionnaires (kabylie)
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023 - Religions et statuts personnels : débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Religions et statuts personnels: session thématique (prés. Souad Soufi) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (civilisation), histoire, religions
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024 - Sportsmen musulmans et nouvelles figures sociales de l’émancipation
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
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par Djamel Boulebier (Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle, Université Mentouri, Constantine)Société et culture : session thématique (prés. Benjamin Stora)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Soumis au code de l’indigénat, pensés comme « sujets » et « non-citoyens », les Algériens ont eu beaucoup de mal à s’approprier les pratiques gymniques et sportives. Les premiers pas, dans ce nouveau monde de la domestication corporelle et des plaisirs sportifs, furent nécessairement difficiles. Dans le rapport colonial le regard de « l’autre » déterminait toutes les relations sociales et disait toute la difficulté du « vivre ensemble ». Pour les Algériens, si les associations gymniques et sportives servirent à la reconstruction du sentiment d’appartenance à une communauté, elles le firent selon des modalités d’émergence et d’évolution telles que définies par les nouveaux espaces de sociabilité produits par la logique coloniale. Le sport, comme fait culturel moderne, se proposait à la fois comme nouveau rapport au corps et nouvelle forme de rassemblement des individus au service d’une nouvelle « liturgie ». Par l’appropriation de cette nouvelle culture, la minorité musulmane citadine allait entamer un double processus d’émancipation. Par rapport à la communauté d’origine, la logique d’accomplissement individuelle, induite par les pratiques sportives modernes, « bousculait » quelque peu la question du statut de l’individu dans le groupe de base. Par rapport au modèle de domination coloniale, les « logiques affiliatives » qu’autorisait ce nouveau mode de rassemblement des Algériens, pouvaient se traduire en fonction des situations et des parcours sociopolitiques propres à chaque animateur associatif, par la conquête d’espaces de liberté même si cette dernière restait in fine sous surveillance. D’où la nécessité de procéder à la reconstruction du processus de pénétration et de diffusion des activités physiques modernes au sein de la communauté musulmane de Constantine. Pour cela deux moments essentiels ont été retenus.Le premier, qui va de 1886 à 1908, sera marqué par ce que nous nommerons le temps de l’adhésion timide de quelques figures musulmanes aux premières sociétés gymniques ou sportives européennes. Quand au second, qui se situerait dans la période 1908-1918, il serait celui des premières expériences d’un associationnisme sportif musulman qui peuvent être lues comme autant de signes d’une société musulmane qui tente de s’organiser, en s’appropriant les nouvelles institutions de socialisation, dans un contexte colonial nécessairement hostile à toute forme d’émancipation de la communauté dominée.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (civilisation), clubs sportifs, colonisation, émancipation, intégration sociale, musulmans (sports), sportifs, sports
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026 - Les Algériens et leur(s) langue(s) de la période coloniale à nos jours
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
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par Khaoula Taleb-Ibrahimi (Université d'Alger)Société et culture : session thématique (prés. Benjamin Stora)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Les Algériens ont, par leur histoire et leur géographie, toujours été en contact avec l’Autre et ses langues. Le paysage langagier du pays témoigne, par sa diversité et son plurilinguisme, de ces contacts. Nous voudrions dans notre intervention, non pas démontrer l’évidence, c’est-à-dire l’existence de cette diversité, mais observer et décrire les différentes attitudes, représentations et stratégies que les locuteurs algériens vont développer vis-à-vis des langues qui ont marqué/marquent toujours leur espace culturel et surtout tenter d’expliquer en quoi ces représentations ont souvent pris un caractère problématique tant elles sont liées à la question fondamentale de la définition de l’identité algérienne dans ses rapports à l’Autre proche et lointain. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), colonisation, identité, langues (algérie), multilinguisme
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027 - Présentation de la session thématique : Enseignement et enseignants dans l’Algérie coloniale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Frédéric Abécassis (Ecole Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines)Enseignement et enseignants dans l'Algérie coloniale : session thématique (prés. Frédéric Abécassis) Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), colonisation, enseignants, enseignement (algérie)
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