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Black Matters. From W.E.B. DuBois to Elijah Anderson and Marcus A. Hunter, Key Concepts on Race Relations (1) Celia Bense Ferreira Alves
/ 03-07-2015
/ Canal-u.fr
BENSE FERREIRA ALVES Celia, JONES Martha S., HUNTER Marcus Anthony, ANDERSON Elijah
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Conférence de Marcus A. Hunter, Associate Professor à UCLA et Professeur invité au département de sociologie de Paris 8 et d’Elijah Anderson, Professeur à Yale. Les interventions seront discutées par Martha S. Jones, Associate Professor à l’Université du Michigan, Ann Arbor. Organisation et contact : Celia Bense Ferreira AlvesLa conférence s’intitule Black Matters que l’on peut traduire par « Affaires noires » car les questions que W.E.B. DuBois et les chercheurs en sociologie urbaine après lui ont tenté de décrire et appréhender sont celles auxquelles la population noire de Philadelphie est quotidiennement confrontée. Une autre façon de traduire Black Matters est « Les noirs comptent » car les ethnographies approfondies et analyses théoriques qui traitent de la situation de la population noire ont élargi la compréhension générale que l’on a de la vie dans les grandes villes et mis en lumière non seulement les problèmes, mais également les actions prises par la population noire pour tenter de les résoudre. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, racisme
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ARON Stephen
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Mot(s) clés libre(s) : conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité collective (Etats-Unis), identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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The West and the construction of American Identity / Stephen Aron
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 10-06-2010
/ Canal-u.fr
ARON Stephen
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Stephen Aron explore les évolutions que l'on observe dans les études historiques et diverses formes d'expressions culturelles, y compris les arts visuels, les Wild West Shows, le cinéma et les expositions des musées. Il explique ainsi comment les Américains ont trouvé dans l'expansion vers l'ouest une clé pour comprendre le développement de la nation et une base sur laquelle ils ont construit et reconstruit leur identité nationale. Il suggère que ces expressions qui servaient à conforter les Américains dans leur vision positive de l'histoire et d'eux mêmes ont été remplacées par une version de l'histoire de l'ouest destinée à induire en eux un sentiment de culpabilité. Tout récemment, il voit émerger une version révisée du mythe de la frontière et de l'ouest qui a pour but de réconforter les Américains et qui repose sur une version alternative de l'histoire qu'il nomme le "colonialisme Kumbaya" ( référence à un chant scout qui célèbre l'unité entre les hommes) dont l'émergence révèle l'état de l'opinion culturelle au moment de l'élection du président Obama.The West and the construction of American Identity. Stephen ARON. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : identité collective (Etats-Unis), conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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Verhoeven par Verhoeven : une leçon de cinéma
/ Canal-u.fr
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« Beaucoup des idées que vous voyez dans mes films sont très intuitives. Les choses s'expriment d'elles-mêmes par le simple fait que vous montrez dans un film, sans même le vouloir, la personne que vous êtes. Si on était entièrement conscient de toutes les décisions qu'on prend quand on fait un film, ça ne serait plus tout à fait de l'art. Ce serait un pur jeu intellectuel. Je n'essaie pas de prouver quoi que ce soit. La manière donc je procède est beaucoup plus organique. » (« L'Ironie est un art perdu », entretien avec Paul Verhoeven, Cahiers du cinéma n° 715, octobre 2015) Mot(s) clés libre(s) : réalisateur de cinéma, cinéma américain, Pays-Bas
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Scorsese, l'homme par qui le rock a envahi le cinéma. Conférence de Michka Assayas
/ Canal-u.fr
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De The Band (The Last Waltz) aux Rolling Stones (Shine a Light), de George Harrison (Living in the Material World) à Bob Dylan (No Direction Home), Martin Scorsese n'a cessé de consacrer des documentaires à la musique, au live et à des performers de la scène. Autant de films, peu souvent commentés, d'un cinéaste qui, pourtant, a toujours considéré la musique populaire comme la bande originale de son existence. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, rock (musique) et cinéma, cinéma américain
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River Phoenix : un ange engourdi. Conférence de Jean-Marc Lalanne
/ Canal-u.fr
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Tapin narcoleptique entre assomption et évanouissement, River Phoenix incarne dans My Own Private Idaho la quintessence du nouage van-santien entre angélisme et autodestruction, jeunesse suave et trépas imminent. Cette figure, l'acteur l'a aussi prolongée dans la vie, jusqu'à disparaître à l'âge de vingt-trois ans d'une overdose. De sa brève mais intense filmo d'acteur aux œuvres qui le réfléchissent comme icône (My Own Private River, le film de James Franco à partir des rushes de celui de Gus Van Sant), pérégrination sur les traces du plus vibrant des anges foudroyés. Mot(s) clés libre(s) : réalisateur de cinéma, cinéma américain, cinéma
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Martin Scorsese, vitesse trompeuse. Conférence de Jean-Baptiste Thoret
/ Canal-u.fr
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De La Valse des pantins au Loup de Wall Street, les personnages passent beaucoup de temps et de séquences à changer de place, à vouloir échanger, à envier la position de l'autre jusqu'à le remplacer parfois, à organiser des flux, mais de quel genre d'échange les héros scorsesiens sont-ils porteurs ? De quelle vision du monde contemporain ? Enfin, quel est le sens de cette vitesse, si caractéristique du style de son auteur ? Mot(s) clés libre(s) : réalisateurs de cinéma, cinéma américain
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Les grandes souffrances sont muettes : le mélodrame hollywoodien avant le cinéma parlant. Conférence de Charlotte Garson
/ Canal-u.fr
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Comment le cinéma s'empare-t-il d'un genre théâtral et musical daté pour en faire l'expression plastique et morale de la relation amoureuse ? À l'époque muette, Chaplin mais aussi Lubitsch, deux maîtres dont les films « sérieux » sont moins connus que les comédies, font un usage sidérant de l'ellipse et de l'insert (le très gros plan de visage ou d'objet) : ainsi les ratages amoureux, parfois dus à une trop grande hiérarchisation des classes sociales, ouvrent à un lyrisme inédit un médium vanté d'ordinaire pour sa précision réaliste. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
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Les couleurs de l'excès. Conférence de Charlotte Garson
/ Canal-u.fr
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Au tournant des années 1950, la généralisation de la couleur, au lieu de mener vers plus de réalisme, traduit plastiquement l'excès des passions dans le cas de grands coloristes comme Vincente Minnelli (Comme un torrent) ou Douglas Sirk (Tout ce que le ciel permet). Ce dernier fait même de la couleur de la peau un enjeu dramatique dans Mirage de la vie, apothéose du mélodrame de l'amour filial. Mirage de la vie ou Imitation of Life en version originale : un titre qui pourrait à lui seul définir le mélodrame. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
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Le Soleil brille pour tout le monde : rapports de classe. Conférence de Bernard Eisenschitz
/ Canal-u.fr
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Le Soleil brille pour tout le monde (1952) était le film préféré de son auteur. Est-ce une idylle du Sud fordien ou un film qui pourrait s'appeler Intolérance ? Doit-on y voir une harmonie féodale ou une ville déchirée par les vieilles rancœurs, les hiérarchies et le racisme ? Il s'agit en tout cas d'une œuvre charnière, tournée dans un moment charnière des États-Unis, entre la fin de la guerre et la crise de Little Rock. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
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