|
|<
<< Page précédente
1
2
3
4
5
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Chassés-croisés et aveuglement : un dialogue amoureux entravé. Conférence de Charlotte Garson
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Chassés-croisés et aveuglement sont au coeur du récit mélodramatique classique, caractérisé par une quête féminine que le philosophe Stanley Cavell a opposée aux « comédies du remariage », avec leur happy end codifié. Inconnue, oubliée, voire bafouée, la femme amoureuse de George Cukor ou de Max Ophuls n'en est pas moins une héroïne, enfin placée au centre de films marqués par leur sophistication narrative et visuelle (tournoiement des travellings et flashbacks soulignent chacun à leur manière la circularité fatidique de l'amour). Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
Hopper par Hopper : une leçon de cinéma
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Le 18 octobre 2008, Dennis Hopper donnait à la Cinémathèque française une leçon de cinéma à l'occasion de l'exposition Dennis Hopper et le Nouvel Hollywood et de la rétrospective qui lui était consacrée. Mot(s) clés libre(s) : réalisateurs de cinéma, acteurs de cinéma, cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
L'Œil des monstres : traversée de John Huston. Conférence de Pierre Berthomieu
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Scénariste privilégiant les adaptations impossibles, aventurier excentrique, John Huston fut d'abord un « cinéaste classique ». Son indépendance farouche révéla ensuite un grand narrateur mais anti classique – sans doute le véritable Huston, naturaliste, moderne, mais porté par l'obsession du mythique. On pourra ainsi traverser les périodes créatrices d'un cinéaste irréductible aux grilles thématiques, à l'aise avec l'échec de l'immense. Mot(s) clés libre(s) : réalisateur de cinéma, cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
La Prisonnière du désert : les Comanches dans nos têtes. Conférence de Jean-François Rauger
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Il s'agit de faire un retour sur les origines de cette production, le fait historique qui a donné naissance au roman d'Alan Le May que Ford adapte, de revenir en détail sur le tournage d'un film qui n'acquit pas immédiatement le statut d'œuvre ultime et séminale à la fois qu'il incarne aujourd'hui. La Prisonnière du désert, un film qui ne pouvait sans doute pas être totalement compris en son temps. Mot(s) clés libre(s) : réalisateurs de cinéma, cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
Le Soleil brille pour tout le monde : rapports de classe. Conférence de Bernard Eisenschitz
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Le Soleil brille pour tout le monde (1952) était le film préféré de son auteur. Est-ce une idylle du Sud fordien ou un film qui pourrait s'appeler Intolérance ? Doit-on y voir une harmonie féodale ou une ville déchirée par les vieilles rancœurs, les hiérarchies et le racisme ? Il s'agit en tout cas d'une œuvre charnière, tournée dans un moment charnière des États-Unis, entre la fin de la guerre et la crise de Little Rock. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
Les couleurs de l'excès. Conférence de Charlotte Garson
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Au tournant des années 1950, la généralisation de la couleur, au lieu de mener vers plus de réalisme, traduit plastiquement l'excès des passions dans le cas de grands coloristes comme Vincente Minnelli (Comme un torrent) ou Douglas Sirk (Tout ce que le ciel permet). Ce dernier fait même de la couleur de la peau un enjeu dramatique dans Mirage de la vie, apothéose du mélodrame de l'amour filial. Mirage de la vie ou Imitation of Life en version originale : un titre qui pourrait à lui seul définir le mélodrame. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
Les grandes souffrances sont muettes : le mélodrame hollywoodien avant le cinéma parlant. Conférence de Charlotte Garson
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Comment le cinéma s'empare-t-il d'un genre théâtral et musical daté pour en faire l'expression plastique et morale de la relation amoureuse ? À l'époque muette, Chaplin mais aussi Lubitsch, deux maîtres dont les films « sérieux » sont moins connus que les comédies, font un usage sidérant de l'ellipse et de l'insert (le très gros plan de visage ou d'objet) : ainsi les ratages amoureux, parfois dus à une trop grande hiérarchisation des classes sociales, ouvrent à un lyrisme inédit un médium vanté d'ordinaire pour sa précision réaliste. Mot(s) clés libre(s) : cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
Martin Scorsese, vitesse trompeuse. Conférence de Jean-Baptiste Thoret
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
De La Valse des pantins au Loup de Wall Street, les personnages passent beaucoup de temps et de séquences à changer de place, à vouloir échanger, à envier la position de l'autre jusqu'à le remplacer parfois, à organiser des flux, mais de quel genre d'échange les héros scorsesiens sont-ils porteurs ? De quelle vision du monde contemporain ? Enfin, quel est le sens de cette vitesse, si caractéristique du style de son auteur ? Mot(s) clés libre(s) : réalisateurs de cinéma, cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
River Phoenix : un ange engourdi. Conférence de Jean-Marc Lalanne
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Tapin narcoleptique entre assomption et évanouissement, River Phoenix incarne dans My Own Private Idaho la quintessence du nouage van-santien entre angélisme et autodestruction, jeunesse suave et trépas imminent. Cette figure, l'acteur l'a aussi prolongée dans la vie, jusqu'à disparaître à l'âge de vingt-trois ans d'une overdose. De sa brève mais intense filmo d'acteur aux œuvres qui le réfléchissent comme icône (My Own Private River, le film de James Franco à partir des rushes de celui de Gus Van Sant), pérégrination sur les traces du plus vibrant des anges foudroyés. Mot(s) clés libre(s) : réalisateur de cinéma, cinéma américain, cinéma
|
Accéder à la ressource
|
|
Scorsese, l'homme par qui le rock a envahi le cinéma. Conférence de Michka Assayas
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
De The Band (The Last Waltz) aux Rolling Stones (Shine a Light), de George Harrison (Living in the Material World) à Bob Dylan (No Direction Home), Martin Scorsese n'a cessé de consacrer des documentaires à la musique, au live et à des performers de la scène. Autant de films, peu souvent commentés, d'un cinéaste qui, pourtant, a toujours considéré la musique populaire comme la bande originale de son existence. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et musique, rock (musique) et cinéma, cinéma américain
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
2
3
4
5
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|