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Passer pour un Blanc (Passing) : paradoxe de la construction identitaire noire dans la littérature nord-américaine / Aurélie Guillain
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GUILLAIN Aurélie
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Passer pour un Blanc (Passing) : paradoxe de la construction identitaire noire dans la littérature nord-américaine / Aurélie Guillain, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations", organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.Cette communication envisage trois moments de l'histoire des États-Unis (la période précédent la Guerre Civile, le début du XXe siècle, le tournant du XXe et du XXIe siècle) où les individus d'ascendance africaine à la peau extrêmement claire semblent revêtir une importance particulière dans le production littéraire nord-américaine et révéler de fortes tensions idéologiques entre différentes constructions possibles de l'identité noire. Avant la Guerre Civile, la figure de l'individu à la peau blanche qui est réduit en esclavage dans le sud des États-Unis ou qui souffre de discrimination dans le nord, permet à certains écrivains (Lydia Maria Childs, Franck J. Webb) de donner un relief hyperbolique à l'arbitraire des catégorisations raciales et de rendre plus choquante encore, aux yeux d'un public blanc, la discrimination sociale radicale qu'elles entraînent. Par ailleurs, la figure de l'esclave à la peau blanche a revêtu d'emblée une vertu analytique qui garde toute sa force aux siècles suivants : dans la figure de l'individu qui est définissable comme noir mais se fait passer pour un Blanc, se révèle la tension entre une définition visuelle de l'identité raciale et la logique de l'hypodescendance où l'identité raciale n'a pas besoin d'être visible dans la mesure où elle peut être produite par un faisceau de discours performatifs. Dans l'étude de la fortune littéraire de la figure du transfuge passeur de frontières raciales au début du XXe siècle (Charles Waddell Chestnutt, James Weldon Johnson, Nella Larsen, Langston Hughes), Aurélie Guillain se concentre sur les paradoxes d'une identité raciale représentée comme l'objet d'un choix : dans les multiples choix et actes d'autodésignation du transfuge s'exprime la contradiction entre des valeurs individualistes et un code d'honneur qui impose la loyauté vis-à-vis d'un groupe socialement dominé. Enfin, cette communication montre comment cette figure du transfuge passeur de barrières raciales est susceptible de conserver une étonnante actualité à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle, du fait de la vivacité et de la permanence de cette contradiction (Philip Roth et le transfuge racial comme héros tragique). Mot(s) clés libre(s) : Langston Hughes (1902-1967), littérature américaine (20e-21e siècles), Noirs (dans la littérature), métis (dans la littérature), Philip Roth (1933-....)
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Colloque "Identités américaines, relations et interactions" : ouverture
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FILÂTRE Daniel, LANONE Catherine, HARDING Wendy, DESSENS Nathalie
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Identités américaines, relations et interactions - American Identities in relation and interaction / ouverture du colloque international organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.L’objet de ce colloque est d’explorer la construction de l’identité états-unienne en termes de relations plutôt que de ruptures. La problématique de cette réflexion portera sur les expressions du destin exceptionnel et de la spécificité des Etats-Unis mais aussi sur les événements, images et discours qui font intervenir des principes d’interaction, de continuité ou de mise en relation. Les schémas identitaires fondés sur l’opposition sont bien connus et ont été largement étudiés. Les colons européens ont jadis justifié leur appropriation des terres américaines en insistant sur les différences qui les opposaient aux peuples qui habitaient ces terres. Par la suite, les États-Unis d’Amérique ont construit leur identité nationale en mettant en avant le caractère distinctif de leurs institutions, de leurs coutumes et de leurs productions culturelles.La construction identitaire par la différentiation suppose le remplacement d’anciennes traditions et d’anciens récits par de nouveaux qu’il est nécessaire d’inventer. Pourtant, le besoin même de définir de nouvelles catégories distinctives implique le recours à des modèles existants. Il sera intéressant de s’interroger sur l’origine de ces modèles, ainsi que sur leur singularité.Souligner les différences est une façon de masquer les continuités, les emprunts ou les hybridations qui ont joué un rôle non négligeable dans le développement de la vie politique et culturelle aux États-Unis. Cette nouvelle approche entraîne de nombreux questionnements. Le concept unificateur d’identité nationale s’applique t-il toujours au peuple américain ou pouvons-nous parler d’une nouvelle construction culturelle en cours d’élaboration qui nécessite l’agrégation d’identités multiples parfois conflictuelles ?Ce colloque envisagera l’identité états-unienne comme un processus d’accumulation plutôt que de disjonction. Par exemple, à l’intérieur de la nation même, quelles nouvelles définitions, parfois opposées, de l’américanité se sont forgées en relation avec la terre, pour remplacer l’Adam américain, maître de ce que ses yeux embrassaient ? En quoi les productions culturelles et les formations politiques réagissent-elles à la complexité raciale et ethnique de la nation? Si l’on considère les voisins immédiats des États-Unis, en quoi les interactions avec les pays voisins et les éventuels empiètements sur ces pays nécessitent-ils une nouvelle définition, beaucoup plus large, de l’américanité, prenant en compte la diversité de l’ensemble du continent et les interconnections entre les différentes nations? Comment les nouveaux schémas migratoires (tant culturels que géographiques) à l’intérieur du continent américain contribuent-ils à de nouvelles constructions identitaires ? Le concept même d’identité nécessite t-il une redéfinition face à la diffusion croissante des modèles américains à travers le monde ? En somme, l’Amérique est-elle en train de devenir plus globale ou le « village global » est-il en train de devenir plus américain ? Au XXIème siècle, quels sont les nouveaux processus permettant la création de nouveaux liens transnationaux à l’œuvre aux États-Unis ?Intervenants :- Inauguration du colloque / Daniel Filâtre, président de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Ouverture du colloque / Catherine Lanone, directrice du laboratoire "Cultures Anglo-Saxonnes.- Présentation du colloque / Wendy Harding, directrice adjointe du CAS.- Points d'organisation du colloque / Nathalie Dessens, enseignante-chercheure, département Études du Monde Anglophone. Mot(s) clés libre(s) : créolité, ethnicité (Chicanos), identité américaine, identité collective (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis), littérature mexicaine-américaine, mémoire collective (Amérique du Nord), multiculturalisme (Etats-Unis)
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Colloque "Identités américaines, relations et interactions" : ouverture
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 10-06-2010
/ Canal-u.fr
FILÂTRE Daniel, LANONE Catherine, HARDING Wendy, DESSENS Nathalie
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Identités américaines, relations et interactions - American Identities in relation and interaction / ouverture du colloque international organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.L’objet de ce colloque est d’explorer la construction de l’identité états-unienne en termes de relations plutôt que de ruptures. La problématique de cette réflexion portera sur les expressions du destin exceptionnel et de la spécificité des Etats-Unis mais aussi sur les événements, images et discours qui font intervenir des principes d’interaction, de continuité ou de mise en relation. Les schémas identitaires fondés sur l’opposition sont bien connus et ont été largement étudiés. Les colons européens ont jadis justifié leur appropriation des terres américaines en insistant sur les différences qui les opposaient aux peuples qui habitaient ces terres. Par la suite, les États-Unis d’Amérique ont construit leur identité nationale en mettant en avant le caractère distinctif de leurs institutions, de leurs coutumes et de leurs productions culturelles.La construction identitaire par la différentiation suppose le remplacement d’anciennes traditions et d’anciens récits par de nouveaux qu’il est nécessaire d’inventer. Pourtant, le besoin même de définir de nouvelles catégories distinctives implique le recours à des modèles existants. Il sera intéressant de s’interroger sur l’origine de ces modèles, ainsi que sur leur singularité.Souligner les différences est une façon de masquer les continuités, les emprunts ou les hybridations qui ont joué un rôle non négligeable dans le développement de la vie politique et culturelle aux États-Unis. Cette nouvelle approche entraîne de nombreux questionnements. Le concept unificateur d’identité nationale s’applique t-il toujours au peuple américain ou pouvons-nous parler d’une nouvelle construction culturelle en cours d’élaboration qui nécessite l’agrégation d’identités multiples parfois conflictuelles ?Ce colloque envisagera l’identité états-unienne comme un processus d’accumulation plutôt que de disjonction. Par exemple, à l’intérieur de la nation même, quelles nouvelles définitions, parfois opposées, de l’américanité se sont forgées en relation avec la terre, pour remplacer l’Adam américain, maître de ce que ses yeux embrassaient ? En quoi les productions culturelles et les formations politiques réagissent-elles à la complexité raciale et ethnique de la nation? Si l’on considère les voisins immédiats des États-Unis, en quoi les interactions avec les pays voisins et les éventuels empiètements sur ces pays nécessitent-ils une nouvelle définition, beaucoup plus large, de l’américanité, prenant en compte la diversité de l’ensemble du continent et les interconnections entre les différentes nations? Comment les nouveaux schémas migratoires (tant culturels que géographiques) à l’intérieur du continent américain contribuent-ils à de nouvelles constructions identitaires ? Le concept même d’identité nécessite t-il une redéfinition face à la diffusion croissante des modèles américains à travers le monde ? En somme, l’Amérique est-elle en train de devenir plus globale ou le « village global » est-il en train de devenir plus américain ? Au XXIème siècle, quels sont les nouveaux processus permettant la création de nouveaux liens transnationaux à l’œuvre aux États-Unis ?Intervenants :- Inauguration du colloque / Daniel Filâtre, président de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Ouverture du colloque / Catherine Lanone, directrice du laboratoire "Cultures Anglo-Saxonnes.- Présentation du colloque / Wendy Harding, directrice adjointe du CAS.- Points d'organisation du colloque / Nathalie Dessens, enseignante-chercheure, département Études du Monde Anglophone. Mot(s) clés libre(s) : identité collective (Etats-Unis), ethnicité (Chicanos), identité nationale (Etats-Unis), créolité, identité américaine, littérature mexicaine-américaine, mémoire collective (Amérique du Nord), multiculturalisme (Etats-Unis)
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DOLISANE-EBOSSE Cécile
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Les mémoires oubliées de la création artistique des femmes de la Harlem Renaissance méritent d'être exhumées, vivifiées et édifiées comme appartenant au patrimoine culturel mondial. Carrefour cuturel du monde noir, ce mouvement a fait connaître Langston Hugues, Claude Mac Kay et Alain Lockes et bien d'autres encore. Mais le talent féminin des personnalités telles la sculpteuses Augusta Savage, qui vouait un culte à Léopold sedar Senghor, et Faith Ringgold, qui a dédié un buste à W.E.B Dubois, sont très peu connues dans l'aire francophone. Pourtant leurs productions artistiques étaient essentiellement consacrées à la cause et à la libération des peuples opprimés. Il s'agit, à n'en pas douter, dans une approche socio-historique et genre, de la responsabilité culturelle et politique de la femme créatrice dans l'avancement de l'humanité en arborant la vitalité de l'art nègre. Mais qui se souvient encore de celles qui ont contribué à cet humanisme de la différence ? Quelles sont les raisons de cette amnésie collective ? Mot(s) clés libre(s) : Renaissance de Harlem, femmes artistes noires américaines, Augusta Savage ( 1892-1962), Faith Ringgold (1930-….)
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Entretien avec Richard Powers
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 10-10-2013
/ Canal-u.fr
COCHOY Nathalie, POWERS Richard
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Entretien avec Richard Powers réalisé par Nathalie
Cochoy (axe « Poéthiques », laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes) et Jean-Yves Pellegrin (Université Paris-Sorbonne) suite à La Novela 2013
(« Passions Gaïa »), Toulouse, 10 octobre 2013.
Le romancier américain Richard Powers explore depuis son enfance les relations entre la science et la technologie et leurs impacts à travers les destins individuels et collectifs. Dans le cadre du projet « Passion Gaïa » organisée et animée par le philosophe des sciences Bruno Latour, le festival toulousain La Novela 2013 a mis à l’honneur cet écrivain récompensé en 2006 par le National Book Award pour "La chambre aux échos".
« C’est en lisant des gens comme le sociologue Bruno Latour que j’ai compris que les humains sont des corps, plus toutes leurs actions, et toute la technologie qu’ils emmènent dans leur sillage. C’est ce qui leur donne le luxe d’être ce qu’ils sont. Quand on lit la scène du fiacre de Mme Bovary, celui-ci fait vraiment partie de l’histoire. Ce n’est pas seulement une scène de sexe, mais la description d’une nouvelle forme de vie privée qui devient disponible, d’un nouveau mode de déplacement excitant à travers le temps et l’espace ». [Richard Powers, extrait de "Richard Powers : la science est une matière dramatique brûlante", propos recueillis par Paul Benkimoun et
Hervé Morin, Le Monde, 10 juin 2013].
> Voir aussi "Entretien avec Bruno Latour. L'oeuvre de Richard Powers" (mai 2014). Mot(s) clés libre(s) : littérature et sciences, littérature américaine (20e-21e siècles), Richard Powers (1957-….), sciences dans la littérature
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHARLERY Hélène
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 5 : Entendre et voir les Amériques noires. "É Minha Cara" (That's My face, 2001) est un documentaire que son réalisateur, le metteur en scène noir américain Thomas Allen Harris, qualifie de « mythobiographie » associant les images d'archives de sa famille, tournées par son grand-père, à celles du voyage initiatique du réalisateur. Dès la scène d'ouverture, Harris questionne la manière dont ses grands-parents et sa mère, chacun à leur façon et à leur époque respective, ont imaginé l'Afrique pour construire leur propre afro-américanité. La lecture intergénérationnelle que le documentaire propose offre aux spectateurs trois constructions différentes de l'Afrique-source, la "mère-patrie", imaginée, recherchée, fantasmée et vécue par les protagonistes. Lorsque le réalisateur, narrateur et personnage, entame à son tour cette quête vers sa « propre Afrique », comme il le dit lui-même, il se retrouve à Salvador de Bahia au Brésil, déplaçantainsi ce que Patricia de Santana Pinho appelle la « carte de l'africanité » (Maps of Africanness). Cette communication a pour but d'analyser le dialogue triangulaire et intergénérationnel, individu et collectif, entre les États-Unis, l'Afrique et le Brésil que le metteur en scène élabore dans son documentaire, et la place centrale que la voix féminine occupe dans cette afro-africanité dont le réalisateur redessine les contours autant qu'il les interroge. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, identité culturelle (Etats-Unis), film documentaire, Brésil (20e-21e siècle), Noirs (identité collective)
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EEMIS 2011: Utilisation significative du dossier médical informatisé
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BOUHADDOU Omar
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Titre: Utilisation significative du dossier médical informatisé - normes américaines Conférence enregistrée lors de la "Sixième Ecole d' Eté Méditérranéenne d'Information En Santé" sur le thème "Systèmes d'Information : de l'hôpital au territoire, bilan et perspectives"du 18 au 22 juillet 2011à Corte (Corse). Conférences organisés par Associations AIM et AMIS, en partenariat avec l'Université de Corse - Institut universitaire de Santé et Service de Formation Continue et l'Agence Régionale de Santé (ARS Corse) Intervenant: Pr.Jean-Paul Moatti, directeur UMR 912, Université de la Méditerranée, Marseille. Mot(s) clés libre(s) : américaines, DMP, EEMIS 2011, informatisé, normes, utilisation
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 11-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BIGSBY Christopher
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Mot(s) clés libre(s) : caractère national américain, culture américaine, Etats-Unis (21e siècle), identité collective (Etats-Unis)
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What's American about America ? / Christopher Bigsby
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-06-2010
/ Canal-u.fr
BIGSBY Christopher
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What's American about America ? Christopher BIGSBY. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010.Christopher Bigsby, écrivain britannique et spécialiste de la littérature et de la culture américaines, explore les images et les réalités de l'identité américaine au vingt-et-unième siècle au moment où l'économie globale et la circulation des hommes et des biens mettent en question les concepts d'origine, d'authenticité et de nation. L'américanité est devenue un produit destiné à l'exportation et ses liens avec le pays d'origine sont de plus en plus distendus. A travers de nombreux exemples précis, Christopher Bigsby nous donne l'image d'un monde qui devient de plus en plus homogène.[La communication de Christopher Bigsby est précédée d'une présentation par Matthew Roudane (Georgia State University) et suivie d'un débat avec le public.] Mot(s) clés libre(s) : caractère national américain, culture américaine, Etats-Unis (21e siècle), identité collective (Etats-Unis)
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Black Matters. From W.E.B. DuBois to Elijah Anderson and Marcus A. Hunter, Key Concepts on Race Relations (2) Marcus A. Hunter
/ 03-07-2015
/ Canal-u.fr
BENSE FERREIRA ALVES Celia, JONES Martha S., HUNTER Marcus Anthony, ANDERSON Elijah
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Conférence de Marcus A. Hunter, Associate Professor à UCLA et Professeur invité au département de sociologie de Paris 8 et d’Elijah Anderson, Professeur à Yale. Les interventions seront discutées par Martha S. Jones, Associate Professor à l’Université du Michigan, Ann Arbor. Organisation et contact : Celia Bense Ferreira AlvesLa conférence s’intitule Black Matters que l’on peut traduire par « Affaires noires » car les questions que W.E.B. DuBois et les chercheurs en sociologie urbaine après lui ont tenté de décrire et appréhender sont celles auxquelles la population noire de Philadelphie est quotidiennement confrontée. Une autre façon de traduire Black Matters est « Les noirs comptent » car les ethnographies approfondies et analyses théoriques qui traitent de la situation de la population noire ont élargi la compréhension générale que l’on a de la vie dans les grandes villes et mis en lumière non seulement les problèmes, mais également les actions prises par la population noire pour tenter de les résoudre. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, racisme
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