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Des styles littéraires aux formes de vie / Marielle Macé
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail / Formation continue
/ 21-06-2013
/ Canal-u.fr
MACÉ Marielle
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Des styles littéraires aux formes de vie / Marielle Macé, in Le lecteur et ses autres, journée d'études organisée par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts, Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 21 juin 2013. Les formes du dire proposées par la littérature engagent aussi des « formes de vie » : autant de figures littéraires, de dispositifs temporels ou d’inventions grammaticales, autant de phrasés de l’existence, de pistes d'être, de modalités de la vie humaine. La lecture participe alors, en tant que telle, d’une chance plus vaste, celle qui consiste pour les lecteurs à se rendre attentifs au ‟comment” de leur vie, à reprendre en charge ce que l’on peut appeler les « formalités » de leur pratique, autrement dit à viser une véritable ‟stylistique de l'existence”. C'est cette conception pragmatique de la lecture que dans le sillage d’un précédent ouvrage, Façons de lire, manières d’être, Marielle Macé s’efforcera d’explorer et d’exemplifier.[Illustration : photo de Juan Lauriente (Flickr.fr)] Mot(s) clés libre(s) : lecture, livres et lecture, littérature (appréciation), lecture (influence)
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Les malles du lecteur ou les écritures de la réception / François Le Goff
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LE GOFF François
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Les malles du lecteur ou les écritures de la réception / François Le Goff. Dans la perspective d’une reconnaissance du « texte du lecteur » en situation scolaire, il convient de réfléchir aux statuts envisageables d’une écriture de la réception qui soit à la fois le témoignage d’une lecture singulière et le seuil d’une entreprise collective de lecture des œuvres littéraires.Par « écritures de la réception », nous entendons l’ensemble des productions graphiques ou iconiques d’un lecteur, souvent représenté par « le carnet de lecture ». Mais, dans le temps spécifique de la lecture du texte littéraire dans la classe de français, nous interrogerons plutôt la possibilité de productions écrites brèves, susceptibles d’engager l’élève dans une première lecture découverte d’un texte et qui ont ensuite vocation à devenir le germe d’une lecture collective. En gardant à l’esprit la double finalité de cette pratique d’écriture, peut-on déterminer des lieux du texte plus favorables que d’autres à la coopération scripturale du sujet lecteur ? De quelle nature peuvent être les greffes du lecteur sur un texte littéraire ? Ceci nous conduira enfin à poser que l’écriture comme propédeutique à la lecture introduit nécessairement des réaménagements significatifs dans la conduite d’une lecture qui n’est plus exclusivement centrée sur les marques prétendues objectives d’une autorité textuelle mais qui s’élabore aussi dans la relation d’une expérience sensible d’un lecteur empirique.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : écrits de jeunes, écriture (milieu scolaire), lecture (pédagogie), littérature (appréciation), livres et lecture, réception des oeuvres
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Thucydide en France, XVIe-XVIIIe siècles / Chantal Grell
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 25-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GRELL Chantal
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Thucydide en France, XVIe-XVIIIe siècles, Chantal GRELL (Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines). Colloque international "La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008.Axe thématique du colloque : "Thucydide politique : l'histoire au service de la philosophie", 25 octobre 2008. Mot(s) clés libre(s) : 16e siècle), Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), Thucydide (appréciation
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Peut-on aimer un genre ?
/ Mission 2000 en France
/ 26-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GENETTE Gérard
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Selon une opinion largement partagée, la relation esthétique ne peut investir qu'un objet singulier, tel qu'une oeuvre d'art, à l'écart de toute considération conceptuelle. Il est pourtant non moins commun de dire (et de penser) : j'aime (ou non) Mozart, l'art baroque, le western, c'est-à-dire autant d'objets collectifs constitués par l'ensemble des oeuvres d'un même artiste, d'une même époque ou relevant d'une même catégorie générique. On tentera d'explorer et de définir le type d'appréciation esthétique qui porte sur des entités aussi abstraites, et qui incité à questionner davantage la distinction reçue entre les oeuvres singulières, les groupes empiriques d'oeuvres, et - quel qu'en soit le principe fédérateur - ces classes d'oeuvres qu'on appelle des genres. Mot(s) clés libre(s) : appréciation, esthétique, genre, jugement
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Du texte du lecteur élève, de celui du maître... /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUMORTIER Jean-Louis, DISPY Micheline
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Du texte du lecteur élève, de celui du lecteur maître et de quelques problèmes qu’ils posent au didacticien /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy. Soit une œuvre littéraire, un maître et des élèves. Le « texte du lecteur maître », c’est le modèle mental que le professeur a élaboré, à partir du texte de cette œuvre, en vue d’enseigner quelque chose, ou, plus fréquemment, c’est le modèle mental qu’il a élaboré à partir du texte en question et de divers discours (du commentaire savant au questionnaire pédagogique) s’y rapportant. Le « texte du lecteur élève » est un modèle mental moins lourd de sédiment métatexuel que le « texte du lecteur maître ». S’ouvre alors, pour l’enseignant, une alternative. Soit il prend des initiatives visant à réduire l’écart entre l’œuvre telle qu’il la comprend et l’œuvre telle qu’il pense que peuvent la comprendre la plupart de ses élèves : dans ce cas, il s’expose au danger de coucher la compréhension des élèves sur le lit de Procuste de sa propre production de sens. Soit, conscient de ce danger-là, doutant que, dans l’entreprise d’imposer d’entrée de jeu une démarche de lecteur expert, les chances de gain soient supérieures aux risques de perte, il s’accommode du fait que les élèves et lui-même n’ont pas lu (tout à fait) la même œuvre. Dans ce cas, il prête attention au « texte du lecteur élève » -de chaque lecteur élève- et il s’expose au danger du babélisme ou à celui de l’enfermement dans un discours « premier » qui limite les occasions de progrès et laisse sceptique quant aux bénéfices de la scolarisation. L’alternative est donc un dilemme : ce que l’on peut gagner d’un côté est indissociable de ce que l’on s’expose à perdre de l’autre. Envisageons cette branche du dilemme où le maître met sous le boisseau son « texte » personnel pour prêter attention au « texte du lecteur élève ». Surgit un double problème. Comment faire pour rendre communicable le modèle mental élaboré par chaque individu à partir de la chaîne des mots forgée par l’auteur. Comment faire pour organiser des échanges fructueux autour des « textes des lecteurs élèves » ? Nous émettons l’hypothèse que toutes les procédures ne se valent pas. Nous en expérimenterons donc plusieurs et feront part des résultats. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.>> Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque.> Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), lecture (méthode pédagogique), lecture littéraire, littérature (appréciation), littérature et enseignement, livres et lecture, réception des oeuvres
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La lecture des adolescents : comment avoir "bon genre" ? / Christine Detrez
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DETREZ Christine
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La lecture des adolescents : comment avoir « bon genre » ? / Christine Detrez Les études statistiques permettent de classer les lectures par genres, au double sens du terme, et de déterminer les « lectures de filles et lectures de garçons ». Néanmoins, la répétition de ces mêmes catégories entraîne parfois un risque d’essentialisation. La mise en perspective historique des statistiques recueillies permet déjà de montrer la construction sociale de ces « lectures genrées ». Par ailleurs, le détour par les entretiens, et l’intérêt porté aux réceptions de ces lectures complètent les recueils statistiques : les entretiens montrent ainsi qu’un relevé de titres ne dit rien de la façon dont ces livres sont lus, et interprétés par les lecteurs. Si l’influence du genre, au moment de l’adolescence, est primordiale dans la construction de son identité, elle n’en est pas moins forte comme stratégie de distinction, et se combine alors avec l’origine sociale. Nous verrons ainsi, à la fois par des recueils de titres préférés et par des entretiens menés avec des adolescent-es, comment le genre façonne de façon complexe les lectures.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : adolescents (livres et lecture), choix de lecture, étude sur le genre (identité), lecture (appréciation), littérature pour la jeunesse, réception des oeuvres
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
COIGNARD Anne
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Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le
laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. Dans le prolongement des travaux sur la lecture subjective menés autour du "Texte du lecteur" et du séminaire "Réception des oeuvres et créativité des lecteurs-auditeurs-spectateurs", les différents intervenants de la seconde saison ont interrogé, sans souci d'inventaire, les autres du
lecteur. Par ce vocable, dont l'emploi peut sembler énigmatique, nous
entendons, entre autres, les souvenirs enfouis issus de l'histoire
personnelle du lecteur, les scénarios fantasmatiques tissés par son
inconscient et activés par les oeuvres de fiction, le bruissement des
diverses communautés interprétatives auxquelles il participe, le frayage
des langages et des langages qui médiatisent son apport aux autres et
au monde. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), réception des oeuvres, lecture (appréciation), esthétique de la réception, philosophie et littérature, Marcel Proust (1871-1922), herméneutique littéraire
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L'imparfait du subjectif ou le lecteur ravi / Karl Canvat
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CANVAT Karl
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De toutes les instances de lecture dégagées par Michel Picard et Vincent Jouve, celle du « lu » est paradoxalement la moins bien connue, alors qu’elle joue un rôle fondamental dans l’activité de lecture. Dans cet exposé à orientation heuristique, Karl Canvat tente de répondre aux questions suivantes : - comment savoir ce qui se passe et se parle d’inconscient dans la lecture ? - comment écouter ce qui ne se lit pas d’abord ? - quels sont les éclairages de la psychanalyse, dans ses formes anciennes (de Freud à Lacan) et plus récentes (Leclaire, Green, Anzieu, Assoun, Bayard, Glaudes …), et de la textanalyse (Bellemin-Noël …) ? - comment conduire l’apprenti lecteur à appréhender ce qui se passe en lui pendant sa propre lecture (pourquoi ce texte me (dé)plaît-il ?), en évitant soigneusement de l’« encombrer » ou de lui faire passer simplement un bon moment (ce qui est parfois pire qu’un mauvais) ? - comment conjuguer (alterner/confondre) réaction affective (« subjective ») et construction interprétative (« objective ») ?- comment construire un bagage minimal de connaissances sur la psychanalyse mobilisables par le lecteur (« l’analisant ») ? - comment amener à (d)écrire sans gêne, inquiétude ou inhibition les raisons d’un retentissement intérieur dans un texte destiné (peut-être) à une lecture collective ?...Intervention de Karl Canvat, lue par son épouse, dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'Equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : goût de la lecture, lecture (appréciation), lecture (subjectivité), livres et lecture, psychanalyse et lecture, réception des oeuvres
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