Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Le béton
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 01-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ACKER Paul
Voir le résumé
Voir le résumé
Le béton est aujourd'hui le matériau le plus utilisé dans le monde, plus que tous les autres matériaux réunis. Sans le béton, on ne pourrait pas réaliser ce qu'on construit aujourd'hui en matière de logement, d'écoles, d'hôpitaux, d'infrastructures de transport. A la fois robuste et universel - on peut le faire partout, dans tous les pays, dans son jardin - le béton est aussi au début d'une profonde mutation : l'ampleur et l'étendue de ses performances mécaniques et physiques augmentent sans cesse, et sa formulation, jusqu'ici très empirique, est en passe de devenir une démarche rationnelle, avec des outils d'ingénieurs construits sur des bases scientifiques qui font appel à toutes les disciplines qui entrent dans ce qu'on appelle aujourd'hui la Science des matériaux. Ceci est le résultat de profonds progrès dans notre compréhension scientifique des mécanismes de prise, de durcissement, de vieillissement, progrès qui ont accompagné l'émergence de la Science des matériaux - ou science des couplages - dont le béton est aujourd'hui l'archétype, puisqu'il est sans doute le seul à avoir mobilisé toutes les disciplines qui la constituent. Quelques exemples de ces progrès de compréhension seront présentés, et illustrés par leurs conséquences concrètes, parfois spectaculaires, sur les chantiers et les ouvrages d'aujourd'hui. Ces progrès devront aussi se traduire dans la qualité de notre environnement quotidien. Mot(s) clés libre(s) : béton, béton armé, béton précontraint, chimie physique, ciment, comportement mécanique, construction, déformation, fissure, science des matériaux
|
Accéder à la ressource
|
|
RMJCA 2007-I- Intoxication au gaz moutarde
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 08-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BOTTER Daan
Voir le résumé
Voir le résumé
Le gaz moutarde n'est pas un gaz . cette matière est utilisée aussi comme lubrifiant. Saddam Husseim a utilisé le gaz moutarde dans sa guerre contre les kurdes. Dans la guerre le but est l'immobilisation des individus. La peau et les muqueuses respiratoires sont généralement touchées. les caractéristiques sont des vésicules secondaires . Des effets chroniques peuvent s'installer, bronchiolites, signes oculaires, dyspnées, signes dermatologiques. Le grand problème est l'absence de documents médicaux datant de l'époque des attentats. le prévenu a été condamné à une peine de 17 ans d'emprisonnement.
SCD médecine nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : arme chimique, complications, diagnostic, effets dermatologiques, effets indésirables, gaz moutarde, Reims, RMJCA
|
Accéder à la ressource
|
|
RMJCA 2007-I- Intoxication au gaz moutarde
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 08-06-2007
/ Canal-u.fr
BOTTER Daan
Voir le résumé
Voir le résumé
Le gaz moutarde n'est pas un gaz . cette matière est utilisée aussi comme lubrifiant. Saddam Husseim a utilisé le gaz moutarde dans sa guerre contre les kurdes. Dans la guerre le but est l'immobilisation des individus. La peau et les muqueuses respiratoires sont généralement touchées. les caractéristiques sont des vésicules secondaires . Des effets chroniques peuvent s'installer, bronchiolites, signes oculaires, dyspnées, signes dermatologiques. Le grand problème est l'absence de documents médicaux datant de l'époque des attentats. le prévenu a été condamné à une peine de 17 ans d'emprisonnement.
SCD médecine nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : diagnostic, complications, effets indésirables, Reims, RMJCA, arme chimique, effets dermatologiques, gaz moutarde
|
Accéder à la ressource
|
|
L'armée, la torture et la République
/ UTLS - la suite
/ 07-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
BRANCHE Raphaëlle
Voir le résumé
Voir le résumé
L'existence de la torture pendant la guerre d'Algérie ne peut être niée. Cette pratique de l'armée française sur le territoire algérien est une chose avérée. Dès l'époque de la guerre des témoignages existent sur le sujet, des rapports sont communiqués régulièrement aux responsables politiques pour les en informer. On s'attachera donc moins à la pratique, mais plus à la manière dont cette violence interdite par la loi, interdite par le droit a été prise en compte par les hommes politiques français pendant toute la période. Comment les hommes politiques français étaient informés de la torture et que savaient-ils exactement? Quelles ont été leurs attitudes et peut-on repérer une évolution au court de la guerre ? Il faut se demander si l'armée, instrument dans les mains des politiques, a été incitée à mettre un terme aux violences illégales développées en son sein ou si elle a, au contraire, été encouragé à les continuer. Et dans ce cas, qu'elles en ont été les conditions. L'analyse de cette attitude ne peut pas se focaliser exclusivement sur la torture. Pour être bien comprises, ces violences doivent être replacées dans le contexte plus général des violences caractéristiques de cette guerre, coté français comme coté algérien. Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française (algérie), crimes de guerre, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, politique et guerre, torture, violences
|
Accéder à la ressource
|
|
Histoire de l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux : Apports à la Communauté Médicale
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 11-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAMILLERI Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
Créée en 1890 afin d’assurer la formation de médecins militaires de haut niveau, l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux (E.S.S.A.) se développe au gré des guerres et des conflits et joue très vite un rôle prépondérant dans le développement sanitaire outre-mer. Fidèles à leur devise « Sur mer et au-delà des mers toujours au service des hommes », les « Navalais », assurent, hier comme aujourd’hui, le soutien médical et sanitaire et luttent contre les endémies en Afrique, en Asie…
Commandant de l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux (E.S.S.A.) et médecin général inspecteur, Gérard Camilleri retrace les grands événements qui ont marqués cette institution.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 à l'occasion du 58ème Congrès de la Société Nationale Française de Médécine Interne (S.N.F.M.I.) le 11 décembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : armée française (service de santé), armées (services médicaux et sanitaires), école du service de santé des armées (bordeaux), école du service de santé des armées (lyon), médecine (étude et enseignement), médecine militaire (histoire), médecine navale, s
|
Accéder à la ressource
|
|
Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DENAX Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 2 : Pour une meilleure prise en charge thérapeutique (1890-1914), 21 janvier 2011. A la veille du premier conflit mondial, les chirurgiens pensent encore venir à bout du cancer par le seul exercice de leur art. La chirurgie, libérée de ses limites, grâce à l’anesthésie et à l’asepsie, exprime des ambitions légitimes. La radiothérapie dont on mesure les effets antitumoraux intéresse alors pourtant peu les chirurgiens. Les nécessités de la guerre vont obliger les chirurgiens à travailler en équipe, avec des radiologues, des bactériologistes, des histologistes, des physiciens, des rééducateurs et même des radiothérapeutes (on croit alors au pouvoir cicatrisant des rayons). Des centres, parfois à vocation universitaire, vont s’organiser autour d’une prise en charge pluridisciplinaire du blessé. En même temps, les premiers services de soins pour soldats cancéreux apparaissent. Cette organisation, motivée par une lutte patriotique, préfigure ce que seront plus tard, les centres de lutte contre le cancer.>> [Avertissement : certaines diapositives ou images du diaporama de M. Alain Denax issues du fonds de l'Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense (ECPAD) ont été volontairement "noircies" afin de respecter les droits de propriété littéraire et artistique]. Mot(s) clés libre(s) : armées (services médicaux et sanitaires), cancer (chirurgie), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer, France (1914-1918), médecine militaire
|
Accéder à la ressource
|
|
053 - L’Armée nationale de libération face à l’armée française
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Dalila Aït El Djoudi (Université de Montpellier 3)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Il s’agit d’une étude sur la culture de guerre et son héritage vu du côté algérien, sans négliger aucun des aspects des « mémoires plurielles ». Ce sujet permet de décloisonner et de confronter les mémoires algériennes et françaises de la guerre d’Algérie.Il est question d’aborder l’univers mental des combattants en l’inscrivant dans un cycle long qui commence avec la conquête, car l’image du combattant français, tout en se nourrissant de l’action quotidienne, résulte d’une accumulation. Les troupes françaises envoyées en Algérie pour faire du maintien de l’ordre puis assurer la « pacification » constituent avant tout pour l’Armée nationale de libération (ALN) une armée chargée d’imposer l’ordre colonial. L’ALN s’inspire et reproduit dans sa représentation de l’adversaire, l’image du rapport de domination coloniale. À travers la perception de l’autre, c’est bien d’une histoire des combattants face à face et de leurs stéréotypes dont il est question.Parce qu’elle s’introduit dans les mentalités des combattants d’Algérie, cette étude ouvre des perspectives. D’évidence, elle atteste de la fécondité d’une anthropologie historique appliquée à la vie des soldats en Algérie et surtout à leur quotidien. On ne peut concevoir la guerre à travers le seul raisonnement stratégique et son application tactique sans prendre en compte les composantes sociales et culturelles des unités engagées. Il en est de même pour l’adversaire et les populations vivant sur les territoires concernés.Le champ symbolique de cette étude est celui de la culture militaire. Le combattant français est analysé à travers l’adhésion à des valeurs, des traditions, des modèles de représentation de soi, mais aussi des modes de vie et de pensée.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), ALN, armée de libération nationale (algérie), armée française, forces armées (france), guerre (aspect social), sociologie militaire
|
Accéder à la ressource
|
|
008 - Le FLN à l'été 1962 : le pourquoi d'une crise
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Amar Mohand Amer (Université Paris 7)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La crise de l’été 1962 n’est pas un épiphénomène historique, c’est l’aboutissement logique et objectif des différents soubresauts qu’a connus le Front de libération nationale - FLN - depuis sa naissance. Chronologiquement, cette crise recouvre les événements qui s’étaient déroulés entre la nuit du 6 au 7 juin 1962 - interruption des travaux de la quatrième session du CNRA à Tripoli - au 5 septembre 1962 - cessez-le-feu conclu entre les forces de l’Armée des frontières appuyées par les wilâyât 1, 5, 6 et un groupe dissident de la 2, et les maquisards de la wilâya 4 soutenus par ceux de la wilâya 3. Mais avant d’aborder cette période, il est primordial de revenir sur les différentes étapes par lesquelles est passé le FLN, et plus particulièrement, par celles où il eut à affronter des crises majeures qui faillirent l’ébranler, bien avant la fatidique session du CNRA de Tripoli au printemps 1962.1. Le conflit de direction entre Abane et Ben Bella en 1955-19562. L’assassinat de Abane Ramdane en 19573. Le clivage militaires/politiques4. La mainmise des 3 B sur le FLN et les limites de cette alliance5. Le conflit GPRA/EMG6. Le retour des Historiques emprisonnésLa guerre d’indépendance prit fin dans des conditions conflictuelles et tragiques où le feu de la discorde avait fait couler le sang des combattants devenus ennemis dans une Algérie au seuil d’un destin qui lui échappait. La crise de l’été 1962 fut inévitable car d’importantes dissensions couvaient dans cette Algérie en lutte. Les derniers mois du conflit firent voler en éclat l’unité, tant sanctifiée, du FLN-ALN. L’implosion du FLN historique à l’été 1962 avait radicalement modifié les structures du pouvoir dans l’Algérie indépendante. De nouvelles forces s’imposèrent au détriment de la direction du FLN, celle qui avait négocié la libération du pays. Les institutions qui avaient fonctionné depuis le 20 août 1956 furent remises en cause et disparurent. La crise de l’été 1962, c’était aussi l’affrontement armé et sanglant entre les maquisards de l’ALN sur fond de guerre de wilâyât et de vieux antagonismes qui étaient restés vifs. L’indépendance de l’Algérie eut un goût amer, le FLN en 1962 paya le prix de ses contradictions et hypothéqua l’avenir du pays.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1962), armée (algérie), armée de libération nationale (algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, FLN, front de libération nationale, guerre d’indépendance, histoire, politique et gouvernement
|
Accéder à la ressource
|
|
009 - L'Algérie coloniale : la constante militaire dans le pouvoir français
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Jacques Frémeaux (Université Paris 4Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En Algérie, l’armée française a d’abord fait la guerre selon des méthodes inconnues dans les conflits classiques. Mais en même temps, elle s’est voulue constructrice d’une certaine Algérie, très différente de celle des civils. Le temps de la conquête et celui du combat pour l’indépendance, qu’il importe de rapprocher mais non de confondre, sont les deux moments de cette action, qui engendra des représentations contraignantes. Il faut souligner aussi un point trop mésestimé : l’armée a fourni à la France le renfort de nombreux soldats algériens, dont la présence a pesé dans les conflits où la « métropole » a été engagée, et dont le souvenir contribue à accroître les conflits de mémoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), armée française, colonisation, guerre d'indépendance, histoire, histoire militaire, politique et gouvernement, relations france-algérie
|
Accéder à la ressource
|
|
010 - Les militaires nord-africains dans l'armée française pendant la seconde guerre mondiale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Belkacem Recham (Université de Strasbourg 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La participation de soldats venus de l’empire colonial français à la Seconde Guerre mondiale est aujourd’hui un véritable enjeu de mémoire. Divers mouvements et associations initiés par les petits-enfants des anciens tirailleurs demandent à la France plus de reconnaissance.Troupes destinées initialement aux conquêtes coloniales et à leur protection, la France les utilisa, non sans hésitation, pour la défense de la métropole, d’abord lors de la guerre franco-allemande de 1870 puis lors de la Grande Guerre et enfin lors de la Seconde Guerre mondiale. Pour cette dernière, présentée aux populations du Maghreb comme le combat de la justice contre la barbarie, la France mobilisa plus 350 000 Nord-Africains en 1939-1940 dont plus de deux tiers de musulmans qui se retrouvèrent en partie prisonniers dans les Fronstalags de France.La défaite de la France eut pour conséquence la démobilisation et la remise à la vie civile de la majorité des militaires nord-africains dans un contexte social très difficile. Ceux de confession juive furent chassés de l’armée et déchus de la nationalité française après l’abrogation du décret Crémieux qui la leur avait accordée en 1870. Après le débarquement allié en Afrique du Nord en novembre 1942, les trois colonies du Maghreb furent de nouveau mises fortement à contribution pour reconstituer l’armée française et participer aux combats pour la libération de la métropole. Les Européens fortement mobilisés fournirent la majorité des cadres et les musulmans la majorité des fantassins des 500 000 hommes et femmes que comptait cette armée régulière reconstituée.Écrasés et méprisés par le régime colonial, les musulmans se retrouvèrent dans cette armée, à l’occasion de cette guerre, choyés et entourés de toutes les sollicitations. Encadrés en permanence par des Français une véritable fraternité d’arme s’établit entre soldats de toute confession. Cependant, l’encadrement paternaliste, poussé parfois au ridicule, masquait mal les discriminations dont les musulmans souffraient au sein de l’armée, et la méfiance du commandement à l’égard des cadres d’entre eux est à l’origine d’un malaise grandissant parmi les officiers et sous officiers musulmans.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, armée française, forces armées coloniales, france, guerre mondiale (1939-1945), histoire, militaires nord-africains, participation coloniale
|
Accéder à la ressource
|
|