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Flaubert
/ Canal-u.fr
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Bernard FAUCONNIER (écrivain et critique littéraire), auteur de l'ouvrage Flaubert ouvre la réflexion sur la démarche créatrice de cet écrivain du XIXe siècle. Auteur de deux autres biographies Cézanne (qui a obtenu un prix de la biographie) et Beethoven, Bernard FAUCONNIER expose sa démarche concertée dans ses essais biographiques dans le but d'interroger la démarche créatrice, la démarche artistique, la quête de la forme chez l'artiste. Ces trois artistes sont des inventeurs de la modernité, une modernité où l'artiste devient de plus en plus autonome dans sa création. Dans cette recherche de forme idéale, d'une forme autonome, Cézanne montre un monde nouveau, préfigurant le cubisme ; quand à Beethoven, après s'être glissé dans le sillage de ses aînés, chemins faisant, la surdité aidant, il conçoit des ?uvres musicales novatrices, hardies, bouleversant le langage musical. Cette troisième biographie consacrée à Flaubert s'appuie sur son oeuvre romanesque relativement brève et sur sa correspondance phénoménale (plus de 5000 lettres). Flaubert a accompli une démarche romanesque unique en son genre qui pose de nouveaux défis, avec son obsession de la forme, de la recherche formelle, tout en laissant une part au lyrisme et à l'émotion. Il insiste sur l'exigence stylistique indépassable avec l'élaboration d'une forme singulière, classique et nouvelle, qui défie le réalisme. Mot(s) clés libre(s) : roman, artiste, Gustave Flaubert, Démarche créatrice, Démarche artistique
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Identité & tatouages ? - Anne et Julien
/ Canal-u.fr
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La pratique du tatouage vit un temps crucial de son horloge interne. Longtemps, tatoueurs et tatoués occidentaux n'affichèrent pas une préoccupation du « beau » tel qu'entendu par l’art savant. Relié aux dites “basses couches populaires”, l'acte était brut, sa vertu se lisait dans l'audace du fait. Au XIXème et XXème siècles, en France, tandis que le sujet est déjà depuis 3 siècles exploré par les anthropologues et les ethnologues, c’est le milieu judiciaire qui constitue son plus grand « rapporteur ». De la grande école française du tatouage à l’affirmation de son évolution artistique dans la marge, le tatouage reste constitué en une communauté codée face à son actuelle médiatisation.Anne & Julien, commissaires de l’exposition Tatoueurs, Tatoués, journalistes, rédacteurs en chef de la revue HEY !, créateurs de la compagnie de théâtre HEY ! Mot(s) clés libre(s) : identité, criminel, graphisme, fiche d'identité, fatalitas, tatoué, voyou, dimension artistique, art du tatouage, Biribi, Sutherland, dessin, Arts, tatouages, Jean Baptiste Cabri, exhibition, piqueur public, identité relligieuse, Alexandre Lacassagne, Jacques Delarue
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L’artiste et l’antiquaire. L’étude savante de l’antique et son imaginaire à l’époque moderne (XVIe-
XVIIIe siècles) - partie 4
/ Canal-u.fr
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Enregistrement du colloque "L'artiste et l'antiquaire. L'étude
savante de l'antique et son imaginaire à l'époque moderne (XVIe-XVIIIe
siècles)" qui s'est déroulé à l'INHA, les 6 et 7 mars 2014.
Emmanuel Lurin : "L'antiquaire, l'artiste et le graveur (Rome, XVIe siècle) : autour des relevés "archéologiques" du Codex Orsini et des gravures d'antiquités de Jacob Bos"
Carmelo Occhipinti (Università di Roma Tor Vergata) : "Mariette e Bouchardon. Ricerca antiquaria e storia artistica"
Adriano Aymonino (University of Birmingham) : "Giovanni Pietro Bellori and Pietro Santi Bartoli's publications: their reception during the eighteenth century.
Colloque organisé en partenariat par l'INHA et le Centre André Chastel (UMR 8150)
Pour plus d'information, cliquez ici Mot(s) clés libre(s) : architecture, antique, Adriano Aymonino, Carmelo Occhipinti, Emmanuel Lurin, INHA, antiquaire, Antiquité, colloque, artiste, architecte
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Interpréter l'art : entre voir et savoirs
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ARASSE Daniel
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Pour deux raisons au moins, la présence de l'histoire de l'art dans un cycle consacré aux renouvellements de l'observation dans les sciences a de quoi surprendre. La première tient au statut scientifique de l'histoire de l'art : même si elle veut souvent se donner l'aspect d'une discipline scientifique en reprenant les protocoles d'énoncé des sciences dites exactes, l'histoire de l'art n'est pas la science de l'art (traduction imparfaite de l'allemand Kunstwissenschaft) et, si on doit la compter au nombre des sciences humaines (ce que ne fait pas Lévi-Strauss), elle est la science des comportements artistiques humains , une science des pratiques artistiques dont les critères de scientificité sont loin d'être établis. Par ailleurs, le terme d'observation n'est jamais employé par les historiens de l'art pour qualifier leur relation avec les oeuvres : ils parlent d'étude, d'analyse, ils regardent les oeuvres plus qu'ils ne les observent, et la relation du regardant à l'oeuvre est traditionnellement considérée comme une relation de contemplation - et non d'observation. Parler d'observation de l'oeuvre d'art par son historien revient donc à opérer un glissement sémantique significatif. Malgré les réserves qu'il ne manquerait pas de susciter chez les spécialises attachés à préserver l'aura de l'oeuvre d'art, ce glissement est légitime : il enregistre et met en lumière une transformation effective de notre relation de regard avec les oeuvres d'art. L'historien se doit d'en être conscient et le spectateur non professionnel la subit à son insu. Cette transformation est liée au renouvellement des conditions de perception des oeuvres d'art : mise au point de techniques et de dispositifs spécifiques pour l'étude scientifique des oeuvres comme objets matériels ; conditions dans lesquelles les oeuvres sont présentées au regard - exposition muséale et reproduction technique sous forme, entre autres, photographique, radiographie, photographie à l'infrarouge ou l'ultraviolet, microprélèvement de pigments, etc., ces dispositifs et instruments techniques apportent à l'historien, depuis de nombreuses décennies, des informations parfois décisives sur l'histoire matérielle des oeuvres, sur leur authenticité ou leur genèse, dissimulée dans l'oeuvre finale. On abordera rapidement cet aspect du renouvellement de l'observation de l'art pour s'attarder davantage sur les transformations que connaît la perception normale des oeuvres du fait des conditions de présentation qui sont désormais les leurs. Après avoir évoqué le caractère anachronique de ces conditions de présentation par rapport aux modes initiaux, historiques, de réception des oeuvres, après avoir aussi rappelé comment l'historien se doit de percevoir cet anachronisme pour éviter les effets pervers, on insistera, à l'aide de plusieurs exemples, sur les nouvelles problématiques proprement historiques, que ce même anachronisme suscite en confrontant le voir renouvelé de l'historien à ses savoirs établis. Conditions muséales d'exposition et reproduction photographique permettent en particulier d'observer les oeuvres de la distance à laquelle elles ont été réalisées et de percevoir des éléments qui n'ont pas été peints pour être vus, peints pour ne pas être vus. Parmi les enjeux scientifiques de ce renouvellement de l'observation, on insistera en particulier sur la mise au point de nouveaux modèles théoriques permettant de constituer une microhistoire de l'art - dont un des principes pourrait être, précisément, la confrontation dialectique du voir et des savoirs. Tout en suggérant l'existence de modes de diffusion et de connaissance des images dont on ne peut trouver trace ailleurs, cette microhistoire ouvrirait, entre autres, la possibilité d'une histoire de la relation intime de l'artiste à son travail et de ses modes d'expression dans l'oeuvre, relation au travers de laquelle se préfigure et se configure le sujet classique. Mot(s) clés libre(s) : art, art et sciences, art et technologie, critique d'art, expositions artistiques, histoire de l'art
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Art, reflet de la société - Jean Arrouye
/ UTLS au lycée
/ 15-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ARROUYE Jean
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Une conférence de l'UTLS au LycéeArt, reflet de la société par Jean ArrouyeProfesseur des universités, sociétaire de l'Association Internationale des Critiques d'ArtLycée militaire d'Aix en Provence (13) Mot(s) clés libre(s) : artiste, peintre, peinture
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Les établissements scolaires à l'heure de l'évaluation : des contradictions organisationnelles à l'expérience des acteurs
/ 04-02-2016
/ Canal-u.fr
BARRÈRE Anne
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Anne Barrère est sociologue, professeure en sciences de l’éducation à l’université Paris Descartes, et membre du laboratoire CERLIS-CNRS (Sorbonne-Paris-Cités). Ses travaux de recherche ont porté pendant une quinzaine d’années sur le travail à l’école étudié du point de vue de différents acteurs (élèves, enseignants, chefs d’établissement). Ses enquêtes actuelles portent sur les évolutions de la culture scolaire en relation avec les cultures juvéniles et sur l’éducation artistique et culturelle.
Ouvrage en lien avec l’intervention : Sociologie des chefs d’établissement, Paris, PUF, 2013 (première édition 2006). Mot(s) clés libre(s) : sociologie de l'éducation, cultures juvéniles, culture scolaire, éducation artistique, éducation culturelle
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Geste et voix : le rituel sacré de l'événement de poésie / Joséane Beaulieu-April
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-03-2015
/ Canal-u.fr
BEAULIEU-APRIL Joséane
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Geste et voix : le rituel sacré de l'événement de poésie / Joséane Beaulieu-April, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique 1 : Théorie, dispositif, poétique.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, performance artistique (poésie)
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La poésie sonore italienne des années soixante à nos jours / Gabriele Belletti
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
BELLETTI Gabriele
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La poésie sonore italienne des années soixante à nos jours / Gabriele Belletti, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Corps à corps : poésie sonore, action, performance.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie sonore (histoire et critique), poésie italienne (20e-21e siècles)
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Poésie scénique ou poésie-performance ? / Jean-Pierre Bobillot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-03-2015
/ Canal-u.fr
BOBILLOT Jean-Pierre
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Poésie scénique ou poésie-performance ? / Jean-Pierre Bobillot, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015.
Thématique 1 : Théorie, dispositif, poétique.
Pour définir la diversité de la diffusion orale de textes poétiques et embrasser leur profération comme dispositif dans toute sa complexité, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la scénographie qu'à la réception, l'universitaire et poète Jean-Pierre Bobillot s'appuie sur différents artistes, Bernard Heidsieck, Cosima Weiner, Julien Blaine... et se déplace, ce faisant, entre performance poétique et poésie action. Il illustre sa conférence par une poésie action de Bernard Heidsieck "jouée" par Laurent Colomb, Jérôme Cabot et Joséane Beaulieu-April.
> Voir aussi la performance poétique de Jean-Pierre Bobillot. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie sonore (histoire et critique)
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Proposition artistique / Jean-Pierre Bobillot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-03-2015
/ Canal-u.fr
BOBILLOT Jean-Pierre
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Proposition artistique / Jean-Pierre Bobillot, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique 2 : Slam, etc. / Proposition artistiqueLecture-performance "La prose des rats" de et par Jean-Pierre
Bobillot.> Voir la conférence de Jean-Pierre Bobillot. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie sonore
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