Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La table du Tsar [19ème s.]
/ Serge STEYER, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), Les Films de l'Observatoire
/ 30-06-1999
/ Canal-U - OAI Archive
STEYER Serge
Voir le résumé
Voir le résumé
Ce film présente “Flore de Lorraine”, table énigmatique à la marqueterie représentant un paysage allégorique de la Lorraine, commandée en automne 1893 à Emile Gallé et offerte au Tsar Alexandre III à l’occasion de la signature de l’alliance franco-russe.La table du Tsar raconte, en compagnie de conservateurs et restaurateurs du musée de l’Ermitage, d’historiens lorrains, de botanistes et biographes de Gallé, l’histoire de cet exceptionnel objet d’art conçu et fabriqué dans l’urgence par le célèbre artiste de l’Art Nouveau, ses collaborateurs et artisans, en seulement trois semaines. Mot(s) clés libre(s) : 1891, 1893, Alexandre III, Allemagne, alliance franco-russe, alliance germano-austro-italienne, annexion allemande, Art Nouveau, botanique, ébénisterie d’art, Ecole de Nancy, Emile Gallé, esthétique, flore, France, Guillaume II, histoire de l’art, image d
|
Accéder à la ressource
|
|
Les flux d'images à l'ère du numérique : mort ou Renaissance de l'image ?
/ 25-03-2013
/ Canal-u.fr
SOULAGES François
Voir le résumé
Voir le résumé
La conférence s’intéressera à la fois aux images relevant du « sans-art », telles les images de la télévision et d’internet, et aux images revendiquées par l’art. Dans le domaine du « sans-art », la réception en flux et en zapping des photos numériques via internet et, pour l’art, la pratique de la photographie numérique remplacent souvent l’image elle-même. Ce constat amène à se poser plusieurs questions : l’image serait-elle menacée de disparition ? Un flux d’images est-il encore une image et à quelles conditions ? Quels sont les paradigmes qui conviennent le mieux pour parler des « flux d’images » contemporains ? Quelle est la place de la révolution numérique dans ce renouvellement des questionnements, dans la mesure où elle transforme les usages et les devenirs de l’image, et l’être même de l’image ? L’art contemporain critique parfois l’image au point de la manipuler, de la détruire, voire de la censurer. Cette attitude scelle-t-elle la fin des arts de l’image ou au contraire leur Renaissance ? Une Renaissance qui parierait sur le flux et le devenir, en obligeant à penser autrement l’image et l’art.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : images, art (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
New discoveries in the Buddhist art of South India...
/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 12-12-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Skilling Peter
Voir le résumé
Voir le résumé
New discoveries in the Buddhist art of South India, The life of the Buddha from Phanigiri, Andhra PradeshRecent discoveries and excavations have significantly transformed the map of ancient Buddhist India. One of the most impressive of the new sites is Phanigiri in Andhra Pradesh – a hill-top monastic complex with a large stupa and numerous other structures. The phase presented in this lecture dates from the first to the third centuries CE. Two architraves from a gateway of the stupa were unearthed in 2005. One is carved with scenes from the life of the Buddha. The second architrave is devoted to post-Nirvana scenes, as yet unidentified, featuring monks, relics, and snakes. Other fragments and artefacts include jataka medallions and stone footprints of the Buddha.The lecture is based on a visit made to the site in March, 2005. Mot(s) clés libre(s) : art bouddhique, iconographie, Inde du sud, Phanigiri
|
Accéder à la ressource
|
|
1/2 Master class de Claire Simon, réalisatrice.
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 10-11-2012
/ Canal-u.fr
SIMON Claire, PIAULT Marc Henri
Voir le résumé
Voir le résumé
Rencontre avec la réalisatrice Claire Simon, animée par Marc Henri Piault, directeur de recherche honoraire au CNRS, anthropologue et cinéaste.
« Pour moi faire un film, c’est avant tout peindre, montrer dans ce que je vois, ce qui crie, ce que je ne veux pas voir, ce que je ne sais pas deviner et qui finalement se révèle peu à peu dès que le tournage commence » (Claire Simon)
Claire Simon a appris le cinéma par le biais du montage ainsi qu’en tournant parallèlement des courts-métrage de manière indépendante. Parmi ses films les plus remarqués on trouve La police en 1988 ou Scènes de ménage avec Miou Miou, en 1991. Elle découvre le cinéma direct aux Ateliers Varan et réalise plusieurs documentaires : Les Patients (1989), Coûte que coûte (1996), Récréations (1998), films souvent primés.
En 1997, elle présente à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes son premier long métrage de fiction, Sinon oui, histoire d’une femme qui prétend être enceinte et vole un enfant. Pour Arte et dans l’espace du Parlement Européen, elle réalise un film avec des étudiants, Ça c’est vraiment toi (2000). Mi fiction, mi documentaire, ce film recevra les grands prix du documentaire et de la fiction au festival de Belfort. Elle tente alors une expérience théâtrale puis retrouve le documentaire avec 800 km de différence – Romance (2002) et Mimi (2003) : ce dernier a été présenté au Festival de Berlin en 2003. Son deuxième long métrage de fiction, Ça brûle (2006), est présenté à la Quinzaine des réalisateurs en 2006.
En 2008 elle réalise un film de fiction, Les Bureaux de Dieu, avec des acteurs et des actrices connus, Anne Alvaro, Nathalie Baye, Michel Boujenah, Rachida Brackni, Isabelle Carré, Béatrice Dalle et Nicole Garcia personnalisant les spécialistes et les consultants d’un bureau de planning familial dont l’expérience réelle avait été auparavant étudiée.
Ce sont de « vraies » conversations, entre les conseillères, actrices connues et les visiteuses interprétées par des actrices non professionnelles inconnues des spectateurs afin d’échapper à un voyeurisme éventuel. Sans doute est-ce également une façon de donner aux expériences individuelles évoquées une dimension plus large.
Les entretiens sont filmés en plans-séquences, intensifiant la relation entre « conseillères » et « consultantes » mais également l’attention du spectateur entraîné dans une narration ponctuée par les moments de respiration offerts aux conseillères entre les différentes consultations.
En 2012, Claire Simon, poursuivant son entreprise concrète de saisie de la réalité par et dans le cinéma de fiction, se plonge longuement dans l’espace de la gare du Nord à Paris. Des dialogues, des fragments de vie, des rencontres. Six mois à observer, noter, enregistrer des passages, des rencontres. Sept semaines de tournage sur place. Claire Simon déclare : « Heure par heure, la gare du Nord peut donner une image de la France dans sa totalité. C’est une vraie place publique » (Télérama).
Le film Gare du Nord (2012), en cours d’achèvement, avec les acteurs Nicole Garcia, François Damien et Reda Kateb ainsi que Richard Copans comme chef opérateur : « La gare, dit Claire Simon, c’est Internet en dur. La multiplicité des flux et des réseaux se matérialise sous nos yeux, et il suffit de cliquer quelque part pour voir naître une histoire. » (Télérama).
Elle dit également : « Ce qui m’intéresse n’est pas la maîtrise, mais plutôt l’idée d’être au front, là où tout est incertain, où le monde est mouvant » (Télérama).
Il nous reste désormais à partager cette mouvance, à entendre ces interrogations et ces inquiétudes, à réfléchir ces observations et peut-être à les interroger à notre tour en questionnant sans cesse nos propres certitudes, nos propres attentes.
MARC H. PIAULT ; Septembre 2012
♦ Filmographie ♦
Tandis que j’agonise 1980 | court métrage.
La police 1988 | court métrage.
Les patients 1989 | documentaire.
Scènes de ménage 1991 | 10 courts métrages de fiction.
Récréations 1992 | documentaire.
Artiste peinture 1992 | documentaire.
Histoire de Marie 1993 | court métrage.
Comment acheter une arme 1993 | court métrage.
Scènes de ménage 1991 | fiction de 10 courts métrages.
Coûte que Coûte 1995 | documentaire | Prix Louis Marcorelles 1995.
Sinon, oui 1997 | fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Ça c’est vraiment toi, 1999 | fiction et documentaire Téléfilm | Grand Prix Fiction et Grand Prix Documentaire au Festival De Belfort.
800 km de différence / Romance 2001 | documentaire.
Mimi 2002 | documentaire.
Est-ce qu’on a gagné ou est-ce qu’on a encore perdu 2004 | Court métrage.
Ça brûle 2006 | Fiction | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Les bureaux de Dieu (coproduction franco belge) 2008 | Sélection Quinzaine des Réalisateurs.
Le projet Gare du Nord 2009/13 | comprenant : un long métrage documentaire Géographie Humaine, un long métrage de fiction Gare du Nord remix et une pièce de théâtre Gare du Nord / les voix et un objet web garedunord.net Mot(s) clés libre(s) : art cinématographique, analyse cinématographique
|
Accéder à la ressource
|
|
Adieu à l'esthétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 27-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SCHAEFFER Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
La relation à l'esthétique se présente dans le cadre de ce que l'on considère généralement comme la philosophie de l'esprit. Il faut préciser que c'est une philosophie de « l'esprit naturalisé » qui considère que l'esprit humain, avec toute ses caractéristiques, la conscience, les articulations cognitives et les normes de conduites, s'inscrit dans la continuité de l'Histoire. Histoire qui est celle de l'évolution du vivant sur la planète Terre. C'est une philosophie pour laquelle l'esprit lui-même est une caractéristique biologique de l'être humain. C'est ce qu'on désigne par le terme « naturalisation ». Il faut préciser que cette conception est loin d'être acceptée par tous les philosophes. Beaucoup considèrent qu'elle a été totalement réfutée par la phénoménologie. Toutefois, c'est ce cadre qui est ici utilisé pour l'analyse de la relation à l'esthétique en ce qu'elle se réalise comme une conduite humaine. Et pour étudier une conduite humaine, il faut utiliser tout autant les outils de la psychologie cognitive, de l'éthologie, de l'histoire comparée des cultures, de l'ethnologie, que des travaux strictement philosophiques. Il s'agira donc d'une approche parcourant des horizons divers. Mot(s) clés libre(s) : art, esthétique, philosophie, philosophie analytique, psychologie de l'art
|
Accéder à la ressource
|
|
Expériences artistiques innovantes et programmes sociaux (théâtre) / David Savran
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
SAVRAN David
Voir le résumé
Voir le résumé
Expériences artistiques innovantes et programmes sociaux (théâtre) / David Savran, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à
Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut
d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison
Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également
reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations
économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à
expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et
stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain
peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source
et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au
dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de
l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques
d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et
historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des
éléments de compréhension des contraintes, des convoitises, des
spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences
inédites, etc. Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par
un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales,
invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles /
culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales,
expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques /
géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs
appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite,
développement durable vs développement économique, valorisation vs
(co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : théâtre contemporain, arts du spectacle (Etats-Unis)
|
Accéder à la ressource
|
|
Images et mirages, nanosciences : ouverture du colloque / Anne Sauvageot, Xavier Marie, Xavier Bouju
/ Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SAUVAGEOT Anne, MARIE Xavier, BOUJU Xavier
Voir le résumé
Voir le résumé
Images & mirages @ nanosciences : ouverture du colloque / Marie-Christine Jaillet, Anne Sauvageot, Xavier Marie, Xavier Bouju. Colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010.Présentation générale du colloqueCe colloque invite artistes, scientifiques, philosophes et sociologues, à croiser leurs regards, leurs connaissances et leurs savoir-faire sur les images produites par et pour les nanosciences et les nanotechnologies. En permettant en effet de concevoir, d’observer et de fabriquer des objets à l’échelle nanométrique, de nouveaux outils scientifiques offrent désormais au regard les images d’un « visible invisible » relevant en particulier de la physique quantique. Ces images qui donnent accès au nanomètre (un milliardième de mètre) et dont la présence dans le domaine de la vulgarisation scientifique se fait de plus en plus intense, ne peuvent que renouveler le questionnement sur le régime du voir comme sur les relations que celui-ci entretient avec le savoir et les imaginaires. Le colloque analyse les impacts de ces outils, la dynamique de la représentation et de la simulation, les rapports entre le perçu et le réel, les modalités de la réception et de l’interprétation de ce nouveau monde des formes mais aussi les dérives cognitives voire commerciales. En s’appropriant ou en détournant les images et les artefacts scientifiques, quel est l’ordre des significations que leur apportent les artistes, que conservent-ils du contenu d’origine, quelles dimensions originales leur confèrent-ils et de quels messages les chargent-ils ? Mot(s) clés libre(s) : art contemporain et esthétique, art et sciences (21e siècle), art et technologie, arts visuels, création artistique (21e siècle), imagerie scientifique (influence), imagerie scientifique (représentation), nanotechnologies (réception), perception spatiale
|
Accéder à la ressource
|
|
8 - ARTS ET CONNAISSANCE - Art et cognition
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 20-06-2015
/ Canal-u.fr
SAPIRO Gisèle, LABORDE Denis, CALAME Claude, DOKIC Jérôme
Voir le résumé
Voir le résumé
Arts, littérature et sciences socialesColloque organisé à l’occasion du 40e anniversaire de l’EHESS8- ARTS ET CONNAISSANCE - Arts et savoirs
Modération : Gisèle Sapiro
avec :
Jérôme Dokic Narrations linguistiques et mentales : perspectives croiséesDenis Laborde La Musique au pluriel : enquête sur l'institution des catégoriesClaude Calame Création poétique et savoir partagé : pragmatique des formes poétiques
grecques
Si les sciences humaines et sociales se sont constituées en s'arrachant à la littérature, celle-ci est devenue, tout comme l'art, la musique, le théâtre et le cinéma, à la fois une source et un objet à part entière de l'histoire, de la sociologie, de l'anthropologie, de la philosophie, du droit, voire de l'économie, qui dialoguent plus ou moins avec les disciplines spécialisées dans ces domaines, à savoir les études littéraires, l'histoire de l'art, la musicologie, les études théâtrales et cinématographiques. Mais l'apport des arts et de la littérature aux sciences humaines et sociales ne se limite pas à leur usage comme source ou leur constitution comme objet. Ils contribuent à structurer notre perception, nos catégorisations cognitives et nos valeurs, donc notre connaissance du monde et nos formes de vie. A l'inverse, les arts et la littérature n'ont cessé de se nourrir des sciences humaines et sociales. L'EHESS a joué et joue encore aujourd'hui un rôle pivot dans ce dialogue interdisciplinaire. Son anniversaire est l'occasion de dresser un état des lieux des acquis de ce dialogue.
OrganisateursEsteban Buch (musicologie, EHESS-CRAL)Dinah Ribard (histoire, EHESS-GRIHL)Karine Le Bail (histoire, EHESS-Centre Georg Simmel)Gisèle Sapiro (sociologie, EHESS-CESSP)Jean-Marie Schaeffer (études littéraires, esthétique, EHESS-CRAL)
Colloque co-organisé par le CESSP, le CRAL, le GRIHL et le Centre Georg Simmel Mot(s) clés libre(s) : musique, art et littérature, savoir, poésie
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
RUHLAND Grit
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (XXIe siècle), arts visuels et sciences, création artistique et sciences, imagerie scientifique (influence), nanosciences
|
Accéder à la ressource
|
|
Pour l'histoire des femmes et du Genre / Florence Rochefort
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 05-04-2012
/ Canal-u.fr
ROCHEFORT Florence
Voir le résumé
Voir le résumé
Pour l'histoire du des femmes et du Genre / Florence Rochefort. In journée d'études "Le genre en images. Approches historiques et lectures critiques des sources iconographiques" organisée par les laboratoires FRAMESPA et PLH-ERASME, Université Toulouse II-Le Mirail, 5 avril 2012.Dans cette communication Florence Rochefort présente le fonds photographique de la bibliothèque Marguerite Durand, constitué à la fin du XIXe siècle pour la mémoire des femmes et du féminisme, départ d'une réflexion sur la photographie considérée, depuis environ une vingtaine d'années, comme une source pour l'étude de l’histoire des femmes et du genre. Elle présente des photographies exposées ayant fait l’objet d’un catalogue [Photo, femmes, féminisme : 1860-2010, 2010] selon trois corpus :- portraits de Communardes photographiées en prison par Eugène Appert, des femmes dont l'image légendée indique le métier, parmi lesquelles Louise Michel.- portraits de femmes artistes : la Castiglione (par Pierson), l'écrivaine Colette, l'actrice Sarah Bernard, George Sand (par Nadar), la danseuse Cléo de Mérode, de femmes en habillées en homme comme Jane Dieulafoy, la peintre Rosa Bonheur ou l'écrivaine Marc de Montifaud (d'autres images ici), Sylvia Beach et Adrienne Monnier (photographiées par Gisèle Freund), etc. - portraits de militantes féministes : la fondatrice de la franc-maçonnerie mixte Maria Deraismes, Hubertine Hauclert (une des premières féministes), la première française psychiatre Madeleine Pelletier (voir un autre image ici), Nelly Roussel (avec sa fille).«L’étude de ces photographies permet d’aborder la construction de la féminité, avec ses codes, en terme de visualité : il faut analyser le visible, comprendre comment celui-ci est construit, reçu et perçu.» (Extrait de Compte-rendu de la journée d'étude par Agathe Roby, Les Cahiers de Framespa, 10, 2012). Mot(s) clés libre(s) : mouvement féministe, image de la femme (dans l'art), photographie et histoire, étude sur le genre (dans l'art)
|
Accéder à la ressource
|
|