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/ Canal-u.fr
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Il ne faut pas croire; un tournage n'est pas toujours aussi simple... Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel
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Cafés des Sciences Nancy 2010 - Peut-on échapper à la publicité?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SALTIEL François, BOULANGER Hélène, MARIE Romain
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRAElle fait rire, elle fait réagir, elle choque, elle fait consommer, elle fait prendre conscience, elle informe, la publicité remplit bien des fonctions, jusqu'à envahir notre quotidien. Entre bonne publicité et mauvaise publicité, le débat reste entier. Certains n’ont pourtant pas attendu pour réagir à cette omniprésence publicitaire qui entache parfois notre libre arbitre. Détournement et mouvement anti-pub redoublent de créativité pour surpasser leurs modèles. Un monde sans publicité est-il utopique ? Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la bibliographie sur http://www.uhp-nancy.fr/cst/les_cafes_des_sciences/archives(Source : http://www.uhp-nancy.fr/cst)Intervenants : BOULANGER Hélène, MARIE Romain, SALTIEL François, SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, communication, Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, CSA, Culture Pub, loi Evin, médias, publicité subliminale, télévision
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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Dakar 2010 – UN3S : Le e-Learning à la Faculté de Médecine de Dakar
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 29-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
TOURE Cheik Tidiane, TOURE Meissa, NDIAYE NIANG Mbayang, DIALLO Baay Karim
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Thème : Les plateformes numériques au service des projets universitaires au Sénégal Session : Les plateformes numériques au service des projets universitaires au Sénégal. Titre : Dakar 2010 – UN3S : Le e-Learning à la Faculté de Médecine de Dakar: Apport du Service de Pédagogie, Audiovisuel et Multimédia (SE.P.A.M.)Intervenants : Pr. Meïssa TOURE; Pr. Mbayang NDIAYE NIANG, Pr. Ag. Baay Karim DIALLO : Faculté de Médecine, Pharmacie et Odontostomatologie, Université C.A. Diop de Dakar (Sénégal)Résumé : SE.P.A.M : Service de Pédagogie, Audiovisuel et Multimédia. ACTIVITES : * Mission administrative* Tutelle de la bibliothèque facultaire* Salle multimédia polyvalente* Médiathèque* Approvisionnement documentaire* Gestion du matériel audiovisuel et multimédia* Gestion de la Salle de microscopie* Maintenance du parc informatique* Formation pédagogique des enseignants* Planification d’un apprentissage et méthodes d’enseignement* Objectifs éducationnels* Evaluation et Docimologie* Préparation au concours d’agrégation* Formation à la communication scientifique* Rédaction médicale* Communication orale* Formation à l’audiovisuel et au e - learning* Confection et utilisation de supports AV* Utilisation d’un logiciel de présentation: PP* Utilisation d’un Logiciel de production et de mise en ligne de contenus: Médiamatic-CIDMEF* Appui et formation à la production de contenus* Navigation WEB* Téléenseignement* Téléconsultation, Télé expertise : RAFTSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Audiovisuel, Dakar 2010, e-learning, FSP, Multimédia, Pédagogie, SEPAM, téléenseignement
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Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
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Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Jean Valérien
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques
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Né en 1931, Jean VALÉRIEN entre en 1953 à l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud, agrégé de sciences naturelles en 1957, puis lycée de Meaux, et service militaire au Service Cinématographique des Armées. Il est assistant, puis maître-assistant au Centre audiovisuel de l'E. N. S. de 1960 à 1968. Son objectif est d'intégrer les moyens audiovisuels dans l'enseignement particulièrement dans sa disciplinaire d'origine les sciences naturelles. Il réalise à partir de 1963, 60 films en 16 et 35 mm comme : « le fonctionnement cardiaque », « la structure de la cellule », ou, « du Pelvoux au Viso », puis à partir de 1965, en 8 mm.De 1965 à 1967, il réalise des émissions de télévision scolaire et participe à la réflexion sur les établissements expérimentaux comme l'École Alsacienne et surtout le CES de Marly-le-Roi, aménagé avec un circuit fermé de télévision.En 1968 à 1970, Jean VALÉRIEN est Inspecteur d'Académie à Moulins, soucieux avant la mode, de communiquer, il obtient de la presse locale la publication régulière d'une page sur l'école.De 1969 à 1973, il dirige la Radio Télévision scolaire (RTS, RTS Promotion) à l'Institut Pédagogique National puis à l'Office Français des Techniques Modernes d'Éducation (OFRATEME). La télévision scolaire est alors à son apogée. Durant cette période, la première opération multi-médias (en deux mots à l'époque) est initiée : « la France face à son Avenir »Dans ses fonctions, Jean VALÉRIEN est confronté à des expériences étrangères. Conseil de l'Europe et surtout TV Niger, TV Maroc et TV Côte d'Ivoire avec le complexe audio-visuel de Bouaké.De 1973 à 1980, il quitte le monde de l'École pour celui de la formation des adultes. Il est directeur d'une filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations : le Centre d'Études et de Réalisations pour l'Éducation Permanente (CEREP). Il informatise son entreprise.Il rejoint l'administration centrale du ministère de l'Éducation de 1980 à 1983, élaborant des plans audiovisuels et informatiques. Ces réflexions précèdent ce qui deviendra un peu plus tard : le plan Informatique Pour Tous.De 1983 à 1985, chargé de mission auprès du Recteur de l'Académie de Rennes, il impulse des expérimentations de télédistribution et des créations de centre ressource en technologie. De retour à Paris en 1985, il est chargé de mission au Secrétariat d'État à la Communication pour préparer une chaîne éducative de télévision. De 1985 à 1989, Inspecteur de l'Académie de Paris, son secteur de responsabilité englobe l'AIS et les sections internationales.Ayant pris sa retraite, Jean VALÉRIEN est consultant pour le Ministère des Affaires Étrangères, le secrétariat d'État à la Coopération ou pour des organismes internationaux. Il joue un rôle actuellement dans l'appui à la constitution d'associations de parents d'élèves africains, dans l'élaboration de manuels et dans l'utilisation des autoroutes de l'information pour l'enseignement à distance. Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Formation des enseignants
/ Josette Poinssac, ENS Fontenay/St Cloud
/ 01-01-1971
/ Canal-U - OAI Archive
Brunswic Etienne
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Ce film d'Etienne Brunswic a été tourné au CES expérimental Louis Lumière de Marly le Roi, qui était dans les années 70 le lieu d’expérimentation sur l’intégration des technologies éducatives et en particulier le circuit fermé de télévision, au niveau du collège.Il rend compte du travail pédagogique mis en œuvre. Il montre étape par étape, le déroulement d’une leçon d’histoire ancienne sur les jeux d’Olympie, dans une classe de sixième. Il tente de démontrer l’apport pédagogique de ces techniques, qui consiste entre autres à obliger l’enseignant à une rationalisation de l’acte pédagogique.>> à voir aussi:Entretien avec Etienne Brunswic Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, pédagogie, technologies de l'information et de la communication pour l'éducation, TICE
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