Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Le passage de g2 en m, c'est à dire le déclenchement de la mitose
/ BioMedia-UPMC
/ 20-05-2010
/ Unisciel
Lebart Marie-claude, Mariani jean
Voir le résumé
Voir le résumé
L'entrée en mitose, ou transition G2-M, est sous le contrôle du complexe Cycline B-Cdk1, et se réalise de manière brutale. Or, on peut constater que la Cycline B est synthétisée pendant une longue période du cycle, et que le complexe Cycline B / Cdk1 se forme progressivement au cours des phases S et G2. Mot(s) clés libre(s) : cycle cellulaire, mitose, Biologie cellulaire
|
Accéder à la ressource
|
|
Le passage de g1 à la suite du cycle
/ BioMedia-UPMC
/ 20-05-2010
/ Unisciel
Lebart Marie-claude, Mariani jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Au début de G1, la cellule contient le complexe Cycline D-Cdk 4 qui, une fois activé initie la phosphorylation de la pRb. Phosphorylée, la pRb libère E2F qui sert alors de facteur de transcription du gène de la cycline E. La fonction essentielle de la Cycline D / Cdk4 est donc dactiver, au début de la phase G1, la transcription du gène de la cycline E intervenant dans la phase suivante du cycle. Mot(s) clés libre(s) : cycle cellulaire, mitose, Biologie cellulaire
|
Accéder à la ressource
|
|
La régulation de la succession des quatre phases du cycle par les complexes cyclines - cdk
/ BioMedia-UPMC
/ 20-05-2010
/ Unisciel
Lebart Marie-claude, Mariani jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Entre 1987 et 1990, le régulateur universel de l'entrée en mitose (le MPF) est caractérisé : c'est une kinase cycline-dépendante associée à une cycline. Entre 1990 et 2000, une douzaine de Cycline-Cdk sont décrites chez l'homme. Six d'entre elles interviennent dans le contrôle direct du déroulement du cycle cellulaire. Les Cdk forment des complexes hétérodimériques avec les cyclines, leurs sous unités régulatrices. Mot(s) clés libre(s) : cycle cellulaire, kinase, cycline, Biologie cellulaire
|
Accéder à la ressource
|
|
La notion d'évolution
/ UTLS - la suite
/ 07-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE GUYADER Hervé
Voir le résumé
Voir le résumé
« Rien n'a de sens en biologie si ce n'est à la lumière de l'évolution ». Cet adage célèbre de Th Dobzhansky prend encore plus de valeur quand on se rend compte à quel point la notion d'évolution a été difficile à faire émerger. En effet, au 18ème siècle, de nombreuses idées fausses, comme le créationnisme, l'échelle des êtres, les métamorphoses, la génération spontanée, empêchaient la constitution d'une biologie cohérente. Pas à pas, principalement par la réfutation de ces dernières, un environnement propice à l'apparition du transformisme s'est constitué. Avec Charles Darwin, au milieu du 19ème siècle, un cadre théorique cohérent se met en place à partir des deux concepts-clés que sont la descendance avec modification et la sélection naturelle. Mais il faudra attendre presque un demi-siècle pour que la génétique puisse asseoir une théorie que l'on baptisera du terme de « théorie synthétique » à l'aube de la Seconde Guerre Mondiale. Ce cadre conceptuel va connaître diverses révolutions qui vont susciter de vastes discussions, parfois houleuses. Avec la cladistique, la classification se trouve bouleversée ; le gradualisme est remis en cause par le concept d'équilibre ponctué et le renouveau du catastrophisme en paléontologie ; l'accès au génome permet de mieux comprendre ce qu'est la nouveauté génétique, en particulier au niveau des gènes de développement ; on se rend compte que la sélection ne joue pas sur tous les caractères
C'est donc une notion de l'évolution, complexe mais cohérente, qui émerge à la fin du 20ème siècle. Les implications philosophiques sont importantes. Mais peut-être que l'une des idées les plus fortes consiste à comprendre que l'originalité géologique de la planète Terre est continuellement sous la dépendance du vivant. Hervé Le Guyader, Professeur à l'Université P. & M. Curie Mot(s) clés libre(s) : biologie animale, cladistique, Darwin, darwinisme, évolution, génétique des populations, Lamarck, phylogénétique, sélection naturelle, systématique, théorie synthétique de l'évolution, transformisme
|
Accéder à la ressource
|
|
La modélisation des molécules de la vie
/ UTLS - la suite
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LAVERY Richard
Voir le résumé
Voir le résumé
Il y a plus de cent ans, les chimistes ont commencé à exploiter des modèles pour visualiser les molécules qu'ils manipulaient dans leurs tubes à essais. Les modèles physiques permettent de mieux comprendre la forme et la flexibilité des molécules, mais ils sont longs à construire, souvent chers, et ils ne donnent qu'une vue très approximative des molécules. De surcroît, ils sont peu adaptés à la représentation des grandes molécules qui caractérisent la vie et qui contiennent des milliers, voire des centaines de milliers, d'atomes. Depuis environ quarante ans, les ordinateurs offrent une alternative aux modèles physiques. Ils permettent de décrire les molécules (et les macromolécules) d'une façon beaucoup plus réaliste en tenant compte de l'ensemble des interactions qui peuvent avoir lieu entre ces espèces. Ils permettent non seulement de visualiser les molécules, mais aussi d'étudier leur dynamique et leurs interactions. La modélisation ne remplace pas l'expérimentation, mais elle aide à analyser des résultats et surtout à formuler de nouvelles hypothèses. J'illustrerai ces développements avec des exemples portant sur les acides nucléiques, et, en particulier, la double hélice d'ADN, sur les protéines et sur les complexes formés entre ces macromolécules. Je montrerai comment on peut approcher les molécules avec l'oeil de l'ingénieur civil, et comment les molécules sondent leurs propres propriétés mécaniques pour se reconnaître. Je parlerai aussi de la modélisation au service des physiciens qui ont appris à manipuler les molécules une à une, ou au service du biologiste "seigneur des anneaux". Je terminerai en parlant de l'avenir de la modélisation: est-ce que nous pouvons commencer déjà à simuler non seulement une ou deux molécules, mais plutôt les systèmes moléculaires organisés qui animent nos cellules ? Mot(s) clés libre(s) : ADN, enzyme, macromolécule biologique, modèle moléculaire, modélisation, protéine, simulation informatique, structure chimique, système vivant
|
Accéder à la ressource
|
|
Amiens 2007 - Impact de la publicité sur l'économie de la santé
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 07-09-2007
/ Canal-U - OAI Archive
LASPOUGEAS Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
La pharmacie fait l'objet de surveillance stricte. pour les médicaments grand public, la publicité est limitée. Le médicament n'est pas un objet de consommation ordinaire. Les laboratoires peuvent faire de la publicité par support écrit et par l'intermédiaire des visiteurs médicaux. Ils sont très impliqués dans la formation continue. La diversité ne reflète pas toujours les besoins de l'humanité. les limites budgétaires sont importantes ; le labo doit rester innovant et garder un équilibre financier. Les nouvelles thérapies actuelles représentent un défi pour l'industrie pharmaceutique. 40 % des molécules actuelles sont d'origine biologique. D'autre part il y a une différence entre les différents pays de la communauté européenne. Une harmonisation internationale même serait nécessaire. La première loi sur la bioéthique date de 1994. Enfin le pharmacien est le garant de la bonne utilisation des médicaments. Mot(s) clés libre(s) : Amiens 2007, biologie, budget, laboratoires, médicaments, molécules, pharmacie, publicité, thérapie génique
|
Accéder à la ressource
|
|
Actualité de l'animal-machine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LARRERE Catherine, LARRERE Raphael
Voir le résumé
Voir le résumé
Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Pensée et identité / sous la présidence d'Olivier FaureOn a pu croire que la théorie cartésienne de l’animal-machine avait perdu toute vertu heuristique, et que l’animal était, depuis lors, considéré comme un être sensible doté d’états mentaux. Or, on assiste avec le développement des techno-sciences, à une nouvelle réification de l’animal.Déjà la zootechnie moderne considère l'animal comme une «machine vivante à aptitude multiple». Certes, il ne s'agit plus de l'automate cartésien : l'animal de la zootechnie est une machine thermodynamique dotée de mécanismes d'autorégulation, un engin cybernétique. On tente d'en améliorer le rendement énergétique, on tend à maximiser l'efficacité de toutes ses fonctions (nutrition, croissance, reproduction).En décomposant ses besoins (glucides, lipides, protides) en éléments simples, appelant des rations alimentaires elles aussi décomposées en éléments simples, on a obtenu une augmentation considérable de productivité … et l’on a recyclé des prions. Si les vaches peuvent devenir «folles» c’est peut-être que ce ne sont pas que des machines thermodynamiques.La génétique contemporaine travaille sur une autre analogie : l’animal n’est plus une machine thermodynamique, mais un programme d’ordinateur, que l’on peut à loisir enrichir d’informations nouvelles. Les biotechnologies prétendent ainsi «fabriquer» des animaux «programmés» pour développer des caractéristiques intéressantes, soit pour la recherche médicale, soit pour la production. L’espoir est même de parvenir à cloner ces animaux transgéniques, et donc de pouvoir les dupliquer à volonté. Pourtant, jusqu’à maintenant, ces «constructions génétiques» sont des bricolages mal maîtrisés, dont on ignore encore largement les effets sur la physiologie et le comportement de l’animal. Combien d’échecs et d’embryons non viables pour un résultat spectaculaire ? S’il y a tant de casse, c’est peut-être que les animaux (comme les végétaux d’ailleurs) ne sont pas réductibles à leur «programme génétique».Enfin, l’animal est en première ligne du programme de naturalisation de l’esprit. L’analogie du cerveau et de l’ordinateur invite à analyser le comportement des animaux comme le traitement, plus ou moins complexe, des informations stockées dans certains lobes de leur cerveau, et de celles qui leur parviennent du contexte dans lequel ils se trouvent. D’une part, ces recherches tendent à établir une continuité entre le fonctionnement du cerveau des mammifères et des hommes – et en ce sens brouillent les frontières entre humain et non-humain. D’autre part, elles ont aidé la robotique à «fabriquer» des automates se comportant comme des animaux domestiques, et brouillent les frontières entre l’animal et la machine.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Amélioration génétique, Animal-machine, Animalité (philosophie), Biologie -- Philosophie, Biotechnologies, Génétique animale, Homme -- Animalité, Identité humaine, Théories du vivant, Zootechnie
|
Accéder à la ressource
|
|
Les bases génétiques de l'évolution humaine
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LANGANEY André
Voir le résumé
Voir le résumé
Aucun élément du patrimoine génétique humain n'est spécifiquement propre à notre espèce. Nos gènes, nos chromosomes, nos cellules et nos ADN sont les mêmes que ceux des autres êtres vivants, d'autant plus partagés que ces derniers sont nos plus proches parents. Ces comparaisons nous obligent à une grande modestie quant a la spécificité humaine, qui réside ailleurs. Si elles ont des conséquences en matière d'éthique, notre société ne semble pas en être consciente. A un autre niveau, la variation des gènes entre individus et leurs diverses fréquences entre populations nous permet de reconstituer, de plus en plus précisément, l'histoire de nos ancêtres et la façon dont ils ont réparti leurs gênes à la surface de la planète au cours des mille derniers siècles. Des résultats fondamentaux, tant pour notre curiosité que pour des problèmes touchant à la santé publique, en sont attendus. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie biologique, chromosome, diversité humaine, évolution, génétique, génétique des populations, grand singe, groupe sanguin, origine des espèces, primate
|
Accéder à la ressource
|
|
10ème colloque de biologie prospective-les actions de prévention envisageables
/ CERIMES
/ 16-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LAIR Marie-Lise
Voir le résumé
Voir le résumé
Les facteurs de risque sont pour certains non modifiables, d'orde comportemental et environnemental. Il y a 4 piliers de prévention : la surveillance, les thérapies, l'éducation de la santé et la recherche. On s'interroge sur le rôle du pôle transfrontalier pour la prévention.
Origine
10ème colloque de biologie prospective InterReg III A. Canal-U Médecine - 2006
Générique
Réalisation : CERIMES - SPI-EAO SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : biologie prospective, observatoire transfrontalier de la santé, prévention
|
Accéder à la ressource
|
|
10ème CBP determinants of arterial stiffness-extracellular matrix and adhesion molecules
/ SPI-EAO
/ 17-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LACOLLEY Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Le Docteur Patrick Lacolley intervient sur le thème suivant : la rigidité artérielle, un facteur de risque cardiovasculaire. Il y a différentes façons de mesurer la rigidité artérielle et deux facteurs déterminants : l'âge, et la pression artérielle. Le premier paramètre à analyser est le rapport élastine collagène. L'intégrine est primordiale dans le remodelage de la paroi artérielle.
Origine
10ème colloque de biologie prospective InterReg III A. Canal-U Médecine - 2006
Générique
Réalisation : CERIMES - SPI-EAO SCD medecine Mot(s) clés libre(s) : arterial stiffness-extracellular, biologie prospective, enzyme, intégrines, paroi artérielle, rigidité artérielle, risque cardiovasculaire
|
Accéder à la ressource
|
|