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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / J.-P. Armand, J.-M. Olivier, P. Cohen
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ARMAND Jean-Pierre, OLIVIER Jean-Marc, COHEN Pierre
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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / Jean-Pierre Armand, Jean-Marc Olivier, Pierre Cohen. Colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011.Alors que la lutte contre le cancer demeure un combat de santé publique de premier plan, on constate un regain d'intérêt pour les problématiques relatives à cette maladie, notamment parmi les acteurs des sciences humaines. Certains ont fait le pari d'ériger le cancer en objet d'histoire. On observe ainsi, en France comme à l'étranger, que de plus en plus d'universitaires et de chercheurs se penchent sur l'histoire des prises en charge, des préventions et de la lutte contre cette maladie. C’est à une confrontation de ces réflexions qu’invite ce colloque qui s'est tenu à Toulouse, ville qui s’affirme comme un des centres internationaux les plus dynamiques en matière de lutte contre le cancer. L’édification, sur le site de Langlade, d’un complexe hospitalier, scientifique et industriel, centré sur le cancer, en est l’illustration la plus visible. Les laboratoires de recherche œuvrant dans le cadre du « Cancéropôle Grand Sud-Ouest » et du pôle de compétitivité « Cancer-bio-santé », les entreprises pharmaceutiques et les équipes soignantes s’y trouvent étroitement associés pour développer, dans une synergie féconde, recherche fondamentale, applications industrielles et traitements de pointe.En favorisant une approche historique de la question du cancer depuis le milieu du XVIIIe siècle aux années 1950, cette rencontre apporte une contribution originale à cet effort collectif. La période choisie a pour objectif de dégager les continuités et les mutations dans les représentations de la maladie dans la prise en charge des patients, comme dans les politiques de lutte contre le cancer depuis la médecine des Lumières jusqu’aux balbutiements de la chimiothérapie. Ce colloque invite à rendre compte de la diversité des approches, à présenter des études régionales comme nationales, et à proposer des perspectives comparatistes internationales. Les communications sont organisées autour de quatre axes. Le premier est consacré aux interrogations et aux incertitudes, entre le milieu du XVIe et la fin du XIXe siècle, période marquée par un intérêt croissant de la médecine pour la maladie qui se traduit par des tâtonnements dans la thérapeutique en cancérogenèse. Le deuxième axe abordera l'évolution des traitements entre 1890 et 1914 où la chirurgie devient alors plus audacieuse et de nouveaux espoirs apparaissent avec la découverte des propriétés curatives des rayons X et du radium. Le troisième portera sur l'institutionnalisation de la lutte contre le cancer, avec la mise en place de centres anticancéreux et de programmes de prévention, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à l'immédiate après-Seconde Guerre. La dernière séance de travail portera sur l'image de la maladie, selon les différentes perceptions et représentations du cancer depuis le XVIIe siècle.Interventions inaugurales de : - Jean-Pierre Armand, docteur, directeur général de l'Institut Claudius Regaud, - Jean-Marc Olivier, directeur du laboratoire FRAMESPA de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Pierre Cohen, député-maire de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : cancer (aspects sociologiques), cancer (prévention), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (France), histoire de la médecine, lutte contre le cancer (Canada), lutte contre le cancer (Espagne), National cancer in
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Le 22 juin 1960 — L’élection de Jean Lesage : « un changement de la vie » ?
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 28-03-2013
/ Canal-u.fr
Bédard Éric
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Le soir de sa victoire du 22 juin 1960, le chef libéral Jean Lesage
s’écrie : « C’est plus qu’un changement de gouvernement, c’est un
changement de la vie ! ». Ce jour-là, une « équipe du tonnerre » prend
le pouvoir dont font partie des personnages marquants comme René
Lévesque, Paul Gérin-Lajoie ou Georges-Émile Lapalme. Notre mémoire
collective présente cet événement comme un point tournant qui marquerait
l’entrée du Québec dans la modernité. Qu’en est-il vraiment ? À quoi
ressemblait la société québécoise en 1960 ? Quelles idées Jean Lesage et
Antonio Barrette se faisaient-ils du Québec et quels programmes
proposaient-ils ? Quels sont les thèmes qui vont dominer la campagne
électorale ? L’élection des Libéraux était-elle acquise et l’Union
nationale dans les câbles ? Après les 100 premiers jours du gouvernement
Lesage, la vie avait-elle vraiment changé ? Voilà quelques-unes des
questions auxquelles nous tenterons de répondre.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-22-juin-1960-L-election-de-Jean.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Révolution tranquille
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Le 30 octobre 1995 — Le référendum sur la souveraineté : il était une fois l’indépendance
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 16-04-2013
/ Canal-u.fr
Bock-Côté Mathieu
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Le 30 octobre 1995, les Québécois étaient convoqués pour la deuxième fois en quinze ans à une grande consultation populaire portant sur la souveraineté. Le camp du Oui passe alors tout près de la victoire, mais le Québec en ressort profondément divisé. Cet événement n’arrive pas de nulle part. Il représente, en quelque sorte, le point culminant d’une longue transformation de la question nationale qui se déclenche à partir des années 1920 et qui deviendra de plus en plus importante à partir de la Révolution tranquille. Le nationalisme québécois se transformait au même moment où il transformait le Québec en profondeur. Dans cette dixième et dernière conférence de la série Dix journées qui ont fait le Québec, il s’agira de comprendre à la fois le référendum du 30 octobre 1995, le contexte qui l’a rendu possible et l’histoire qui nous y a collectivement conduits. Nous partirons à la recherche des personnages, des idées et des mouvements politiques qui sont à l’origine de cette importante journée québécoise.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-30-octobre-1995-Le-referendum.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Indépendance du Québec
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Transformation des services sociaux et pratiques des intervenants sociaux au Québec / Denis Bourque
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 02-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BOURQUE Denis
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Intervention de Denis Bourque (professeur, chaire de recherche du Canada en organisation communautaire, Université du Québec en Outaouais) dans le cadre du colloque "Le travail social à l'épreuve du management et des impératifs gestionnaires" organisé par l’Université Toulouse II-Le Mirail (Formation Continue, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités-Sociétés-Territoires, Centre de Promotion de la Recherche Scientifique). Université de Toulouse II-Le Mirail, 1-3 juillet 2009.Deuxième séance pléniaire : Analyse des transformations provoquées dans les structures et les pratiques : l'engagement des acteurs. Mot(s) clés libre(s) : Outaouais (Canada), politique sociale (Canada), services sociaux, travail social, travailleurs sociaux (Québec)
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Le 1er juillet 1867 — L’Acte de l’Amérique du Nord britannique : la fondation d’un pays en devenir
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 01-07-2012
/ Canal-u.fr
Brouillet Eugénie
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La fédération canadienne est née de la confrontation de diverses
idéologies, de différentes visions quant au nouveau pays projeté. De
cette confrontation émergeait un compromis, fruit d’une série de
concessions mutuelles qui permirent l’adhésion de trois colonies
britanniques d’Amérique du Nord au projet fédératif et, conséquemment,
la naissance d’un nouvel État. La fédération de 1867 apparaît ainsi
comme la résultante d’une négociation politique poursuivie de bonne foi
par les représentants coloniaux, comme une entente ou un pacte auquel
ont adhéré toutes les parties coloniales. La principale considération
des Québécois et de leurs leaders politiques était l’adoption du
principe fédératif comme fondement du nouveau système de gouvernement :
c’était la condition sine qua non de leur adhésion à la nouvelle
Constitution et la garantie constitutionnelle de leur survie et de leur
épanouissement comme peuple distinct au sein d’une structure qui
donnerait naissance à une nationalité politique commune.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-1er-juillet-1867-L-Acte-de-l.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Ontario, Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick, Acte de l'Amérique du Nord britannique, Fédéralisme canadien
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Les prises en charge alternatives du cancer au Canada (1914-1950) / Barbara Clow
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CLOW Barbara
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Points de vue populaires, politiques et professionnels sur les prises en charge alternatives du cancer au Canada (1914-1950) - Popular, political and professional perspectives on alternative cancer care in Canada, 1914-50 / Barbara Clow. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011. In many parts of the world, the medical profession spear-headed the fight against cancer during the twentieth century: undertaking research, leading campaigns to build hospitals, advisinggovernments on public policy, and supporting organizations dedicated to public education. In the process, the medical profession consolidated its leadership of the cancer establishment.While doctors have undoubtedly been integral to the institutionalization of cancer care, their authority has not been uncontested. In early-twentieth-century Canada, the perspectives of patients, politicians and alternative practitioners also influenced the institutionalization of cancer care, constraining the power of the medical profession to dictate policy, practice standards,and therapeutic choices.> [La communication en anglais de M. Charles Hayter est traduite en simultané en français par Madame Solange Hibbs, directrice du Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'Université Toulouse II-Le Mirail]. Mot(s) clés libre(s) : Canada (20e siècle), cancer (thérapeutiques alternatives), Hendry Connell, histoire de la médecine (Canada), John Hett, lutte contre le cancer (médecines parallèles), Rene Caisse (1888-1978)
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Le 4 août 1701 — La Grande Paix de Montréal : les Français et les Amérindiens concluent une alliance décisive
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 11-01-2012
/ Canal-u.fr
Delâge Denys
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Après plus un siècle de guerres, Montréal fut en 1701 le haut lieu de la
conclusion d’un traité de paix regroupant 1 300 ambassadeurs
représentant 40 nations amérindiennes habitant un immense territoire
depuis l’Acadie jusqu’aux Prairies et depuis le bassin de la Baie James
jusqu’au Missouri. Les signataires étaient d’un côté, les Français et
l’ensemble des nations du grand réseau d’alliance huron-outaouais et de
l’autre, la Ligue iroquoise des Cinq Nations. La cérémonie protocolaire
du 4 août 1701 fut empreinte de solennité tout en empruntant largement
aux traditions diplomatiques amérindiennes : la hache de guerre fut
jetée au plus profond de la terre et l’Arbre de Paix érigé sur une grande montagne, ses racines s’étendant sur ce vaste continent.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-4-aout-1701-La-Grande-Paix-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Grande-Bretagne, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, États-Unis, France, Grande Paix de Montréal
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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La formation médicale en région, les facteurs de succès de l'expérience de Chicoutimi
/ François KOHLER, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 07-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GAUDREAULT Mauril, OTIS Jean-Claude, GRAND'MAISON Paul
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Depuis quelques années, les efforts consentis afin de mieux préparer les futurs médecins à des conditions de pratique variées nécessitent l'expansion des réseaux de stages et de développement d'une mission universitaire dans des établissements traditionnellement centrés sur la clinique. L'expérience de l'Hôpital de Chicoutimi en cette matière nous permet de réfléchir sur les conditions gagnantes d'un partenariat avec les facultés de médecine pour le mieux-être des populations en région.
A la fin des années 1980, l'Hôpital de Chicoutimi est un établissement de soins généraux et spécialisés avec une responsabilité régionale. Malgré son grand potentiel, il n'est pas actif en enseignement et rien ne laisse présager de ce qu'il deviendra au cours des vingt années suivantes.
En début de l'année 2008, avec le partenariat des facultés de médecine de l'Université de Montréal et de l'Université de Sherbrooke, l'Hôpital de Chicoutimi est devenu un établissement officiellement désigné centre affilié universitaire régional par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec. Il est au coeur de la délocalisation des études médicales prédoctorales, les stages dans les professions paramédicales dépassent les 20.000 jours par années, la recherche y est solidement implantée.
Que peut-on apprendre de l'expérience de l'Hôpital de Chicoutimi et de son partenariat avec les facultés de médecine? Peut-on identifier certains facteurs de succès qui favoriseraient l'implication des établissements en région dans la préparation des futurs médecins? Mot(s) clés libre(s) : 2008, canada, cidmef, lille, médecine, sifem, stages
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Le 17 mai 1642 — La fondation de Montréal : une histoire de femmes et de coureurs des bois
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 10-11-2011
/ Canal-u.fr
Germain Jean-Claude
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La fondation de Ville-Marie est née de la lecture enthousiaste d’un best-seller de l’époque, Les Relations des Jésuites.
Le choix de l’emplacement a été établi à partir d’un point sur une
carte. La mise sur pied du projet est le fruit d’un mariage blanc entre
une fièvre dévote et une société secrète. Le maître d’œuvre de
l’établissement est une femme, Jeanne Mance, une leveuse de fonds née,
qui peut compter sur une talle fortunée de veuves influentes. Bref, une
chimère utopique dont un brave homme, Paul de Maisonneuve, prend le
commandement.La rencontre du rêve avec la réalité géopolitique de la
Nouvelle-France est un choc brutal. Les Montréalistes se trouvent
rapidement plongés dans une guerre amérindienne, dont ils ne sont pas
l’enjeu principal, mais les victimes collatérales. Par la force des
choses, Montréal devient la première ville nord-américaine, ouverte sur
l’intérieur du continent, commerçante, libertine et internationale.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-17-mai-1642-La-fondation-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Montréal, Canada, Ville de Montréal, Jeanne Mance, Paul Chomedey de Maisonneuve
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