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Cafés des Sciences Nancy 2010 - Chimie alimentaire de quoi sont faites nos assiettes ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 19-10-2010
/ Canal-u.fr
KANNY Gisèle, PIFFAUT Bernadette, Rovel Bernard, MUNIGLIA Lionel
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRARésumé : E122, E416, E930…selon une directive européenne, les étiquettes de nos aliments affichent sans complexe les codes des additifs qu’ils contiennent. Mais quel consommateur est aujourd’hui capable de les déchiffrer ?Les additifs sont des substances incorporées aux denrées alimentaires afin d’en modifier les qualités organoleptiques telles que le goût, l’odeur, la couleur, la consistance…ou d’en améliorer la conservation.D’origine naturelle ou de synthèse, les additifs déchainent régulièrement la chronique en tant que responsables désignés de certaines allergies ou maladies. Qu’en est-il vraiment ? Quels sont les garde-fous imposés par la France et l’Union Européenne pour garantir notre sécurité alimentaire ?Intervenants :Bernadette PIFFAUT (Maître de Conférence à l’ENSAIA – INPL Nancy)Bernard ROVEL (Maître de Conférence à l’INSAIA – INPL Nancy)Gisèle KANNY – (PU-PH Chef de service d’allergologie au CHU de Nancy)Lionel MUNIGLIA (Maitre de Conférences à l’INPL)SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : toxicologie, Cafés des Sciences Nancy Université, allergies, additifs alimentaires, AFSAL, chimie alimentaire
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Cafés des Sciences Nancy 2010 - Chimie alimentaire de quoi sont faites nos assiettes ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 19-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
KANNY Gisèle, PIFFAUT Bernadette, Rovel Bernard, MUNIGLIA Lionel
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRARésumé : E122, E416, E930…selon une directive européenne, les étiquettes de nos aliments affichent sans complexe les codes des additifs qu’ils contiennent. Mais quel consommateur est aujourd’hui capable de les déchiffrer ?Les additifs sont des substances incorporées aux denrées alimentaires afin d’en modifier les qualités organoleptiques telles que le goût, l’odeur, la couleur, la consistance…ou d’en améliorer la conservation.D’origine naturelle ou de synthèse, les additifs déchainent régulièrement la chronique en tant que responsables désignés de certaines allergies ou maladies. Qu’en est-il vraiment ? Quels sont les garde-fous imposés par la France et l’Union Européenne pour garantir notre sécurité alimentaire ?Intervenants :Bernadette PIFFAUT (Maître de Conférence à l’ENSAIA – INPL Nancy)Bernard ROVEL (Maître de Conférence à l’INSAIA – INPL Nancy)Gisèle KANNY – (PU-PH Chef de service d’allergologie au CHU de Nancy)Lionel MUNIGLIA (Maitre de Conférences à l’INPL)SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : additifs alimentaires, AFSAL, allergies, Cafés des Sciences Nancy Université, chimie alimentaire, toxicologie
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Chimie et création. Du moléculaire au supramoléculaire.
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEHN Jean-Marie
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Structure, propriétés et transformation de la matière inanimée et animée sont les résultats d'interactions entre particules élémentaires formant les atomes, entre atomes édifiant les molécules, entre molécules enfin, conduisant à des architectures supramoléculaires. La chimie moléculaire a pour objet la découverte et la maîtrise des règles qui gouvernent les structures, les propriétés et les transformations des molécules. La chimie supramoléculaire peut être définie comme la chimie " par-delà la molécule ", portant sur les entités organisées, d'une complexité supérieure, qui résultent de l'association de deux ou plusieurs espèces chimiques maintenues ensembles par des forces intermoléculaires. Elles présentent en particulier des phénomènes de reconnaissance moléculaire et sont à la base du traitement de l'information au niveau supramoléculaire. En effet, la formation dirigée d'architectures organisées requiert la mise en oeuvre d'information, en une sorte de programmation moléculaire, établissant ainsi un lien entre la chimie et la science de l'information. Par sa capacité de sans cesse recréer le réel, de s'inventer et se réinventer au fur et à mesure qu'elle se développe, par son pouvoir sur la nature des espèces matérielles et sur les transformations qui permettent de les produire et de les mettre en réaction, la chimie exprime sa faculté créatrice. Le champ de la chimie est l'univers de toutes les espèces moléculaires et supramoléculaires possibles, et celles effectivement présentes dans la nature forment juste un monde parmi tous les mondes possibles en attente d'être créés. Mot(s) clés libre(s) : big bang, catalyse, chimie de synthèse, chimie moléculaire, matière, molécule, nanochimie, semiochimie, transporteur chimique
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèse (11)
/ groupe ouest audiovisuel, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 05-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LEHN Jean-Marie
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèseFrom Synthetic Chemistry to Synthetic BiologyConférence internationalemardi 5 mai 2009amphithéâtre Maurice HalbwachsCollège de France11 place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris16h10 Jean-Marie LEHN (Collège de France)Par-delà la synthèse : l’auto-organisation Mot(s) clés libre(s) : auto-organisation, Big-Bang, biologie synthétique, chimie de synthèse, chimie moléculaire, évolution vivante, matière vivante, nanotechnologies, reconnaissance moléculaire
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La chimie du solide à l'école de la nature
/ UTLS - la suite
/ 26-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LIVAGE Jacques
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Les verres et céramiques modernes sont fabriqués par chauffage à très haute température de précurseurs solides comme l'argile ou le sable. Pourtant, l'observation des processus naturels nous montre que depuis des centaines de millions d'années, les micro-organismes ont su créer de tels matériaux dans des conditions beaucoup plus douces. Ces processus de biominéralisation posent un véritable défi au chimiste du solide qui tente d'y répondre en développant des méthodes dites de "chimie douce". Suivant l'exemple des diatomées qui élaborent de fines architecture de verre à partir de la silice dissoute dans les océans, nous avons développé une chimie "sol-gel" qui permet de construire un réseau de silice à partir de précurseurs moléculaires en solution. Cette chimie de polymérisation inorganique débouche aujourd'hui sur de véritables applications industrielles. Compatible avec la chimie organique, elle permet l'élaboration d'hybrides organo-minéraux, véritables matériaux nanocomposites à l'échelle moléculaire. Les conditions de synthèse des verres de silice sont même suffisamment douces pour être compatible avec la vie. Elles permettent d'immobiliser des protéines, des anticorps et même des cellules vivantes au sein de matrices de silice. Cet exposé fera le point des résultats les plus récents en mettant plus particulièrement l'accent sur les applications biologiques des procédés sol-gel. Mot(s) clés libre(s) : biominéralisation, chimie douce, chimie du solide, diatomée, matériau composite, microporeux, morphogenèse chimique, polymérisation, synthèse, transformation de la matière, verre
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L’odyssée de la matière (par Jacques Livage)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 04-03-2014
/ Canal-u.fr
LIVAGE Jacques
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L’ODYSSÉE DE LA MATIÈREpar Jacques LIVAGEComment la matière divisée, puis condensée et organiséeest devenue vivante puis pensante ? L’aventure de la matière a commencé il y a près de 14 milliards d’années lorsque, quelques minutes après le big-bang, les premières particules élémentaires, les quarks, sont apparues. Au sein d’un univers en expansion, elle a conduit à la formation des atomes, des molécules, de la poussière interstellaire, puis des astres et des galaxies. Au cours de ce périple, la matière divisée des origines s’est progressivement condensée et complexifiée pour conduire à l’univers tel que nous le connaissons aujourd’hui. Certains processus ont été particulièrement rapides, les noyaux atomiques par exemple, se sont formés au cours des premières minutes, tandis que d’autres sont issus d’une longue maturation. Il a fallu attendre plus de 300.000 ans pour que se forment les premiers atomes et neuf milliards d’années pour que naisse la Terre. La longue histoire de la matière a conduit à la formation des roches minérales et des molécules organiques. Sur notre planète, elle a donné naissance à la matière vivante et même à la matière pensante. Comment la chimie, science de la matière, permet de décrire cette aventure ? C’est ce que nous allons tenter de montrer au cours de cet exposé. Pendant des siècles, on a pensé que la matière était constituée des quatre éléments d’Aristote, la terre, l’eau, l’air et le feu. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’on a montré que, comme le prédisait Démocrite, elle était formée d’atomes. Pendant plus d’un siècle, les chimistes se sont attachés à découvrir de nouveaux éléments. C’est ainsi qu’au cours de ses travaux sur la combustion, Lavoisier mit en évidence l’existence de l’oxygène mettant ainsi fin à la théorie du ‘phlogistique’ [1]. À la fin du XIXe siècle, avec l’établissement du tableau périodique des éléments, le chimiste disposait enfin des briques nécessaires pour transformer la matière. Deux éléments, le silicium et le carbone, vont nous permettre de comprendre comment s’est formée la matière. Le premier, le silicium, a conduit à la formation des roches. La silice et les silicates représentent 90% des minéraux de la croûte terrestre. Le second, le carbone a conduit aux molécules organiques qui ont donné naissance au vivant. Le secret de cette évolution réside dans l’auto-organisation. Les atomes ne sont pas indépendants les uns des autres. Ils s’attirent mutuellement via la liaison chimique et se lient dans l’espace selon des règles bien définies. Ainsi, selon Niels Bohr, les électrons gravitent autour du noyau en se répartissant sur des couches successives. Les électrons qui occupent la dernière couche, dite ‘couche de valence’, jouent un rôle privilégié car ils sont susceptibles d’interagir avec les atomes voisins pour former une liaison chimique. Le silicium, comme le carbone possèdent quatre électrons de valence ce qui les conduit à former quatre liaisons chimiques, d’où la tétravalence caractéristique de ces deux éléments. C’est ainsi que, dans les silicates, l’atome de silicium se lie à quatre atomes d’oxygène. Selon l’enchainement des tétraèdres [SiO4] on obtient des fibres d’amiante, des feuillets d’argile ou des cristaux de quartz. Dans tous les cas, l’enchainement peut se poursuivre à l’infini donnant des solides qui constituent l’essentiel des matériaux que nous utilisons pour élaborer des verres ou des céramiques. Le carbone a un comportement légèrement différent. Il est capable de former des doubles liaisons carbone-carbone. Cela limite le nombre de voisins auxquels il se lie. On passe ainsi du cristal de diamant dans lequel chaque atome de carbone est lié à quatre voisins aux feuillets de graphite dans lesquels il n’en a plus que trois. De nouvelles formes du carbone ont été mises en évidence au cours des dernières décennies ; graphène, nanotubes, fullerène... Toute la richesse de la chimie organique est liée à l’aptitude du carbone à former des doubles ou triples liaisons conduisant ainsi à la formation de molécules plutôt que de solides. C’est toute la richesse de la synthèse organique initiée par Marcelin Berthelot dans son ouvrage La chimie organique fondée sur la synthèse paru en 1860. L’homme enfin avait vaincu la ‘force vitale’ et devenait capable de transformer la matière et même d’en créer de nouvelles formes. Sera-t-il capable de recréer la vie ? C’est là le pari de la ‘biologie de synthèse’ qui a pour objet de synthétiser les molécules du vivant et de les associer pour former une protocellule, première forme de vie sur terre ![1] Terme savant forgé sur le grec phlogiston « inflammable » et phlox « flamme », pour désigner une hypothétique substance fluide qu’on croyait être constitutive de la chaleur et qui aurait expliqué le phénomène de la combustion. Terme savant forgé sur le grec phlogiston « inflammable » et phlox « flamme », pour désigner une hypothétique substance fluide qu’on croyait être constitutive de la chaleur et qui aurait expliqué le phénomène de la combustion. Mot(s) clés libre(s) : fullerène, tableau périodique des éléments, Mendeleïev, Marcelin Berthelot, carbone, oxygène, hydrogène, chimie douce, silicium, histoire de la matière
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Verres et céramiques, de l'art du feu à la chimie douce
/ Mission 2000 en France
/ 09-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LIVAGE Jacques
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Depuis des millénaires, la fabrication des verres et des céramiques fait appel à des températures élevées, souvent supérieures à 1 000°C. Depuis quelques années, les chercheurs ont développé des méthodes de chimie douce qui mettent en jeu des réactions de polymérisation minérale et qui permettent d'élaborer ces matériaux à température ambiante. Ces procédés, connus sou le nom de " procédé sol-gel " permettent de synthétiser des matériaux hybrides " organo-minéraux " au sein desquels des espèces organiques et minérales sont liées à l'échelle moléculaire. Plus récemment, on a montré que des enzymes et même des cellules conservaient leur activité biologique après au sein de silices sol-gel.. Mot(s) clés libre(s) : biominéralisation, céramique, chimie douce, chimie du solide, diatomée, matériau hybride, polymérisation, procédé sol-gel, science des materiaux, synthèse chimique, verre
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Chimie douce et matériaux bio-inspirés - Jacques Livage
/ UTLS - la suite
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LIVAGE Jacques, UTLS - la suite
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Chimie douce et matériaux bio-inspirés Jacques Livage, Professeur, Membre de l'Académie des Sciences, Collège de France et Université Pierre et Marie Curie, Chimie de la matière Condensée, UMR CNRS 7574, Paris Une conférence UTLS du cycle : « La Chimie partout » du 21 au 29 mai 2011 à 18h30 Mot(s) clés libre(s) : biochimie, chimie
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La chimie quantique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 20-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MALRIEU Jean-Paul
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En évoquant d'abord les différentes périodes qui ont marqué le développement de cette discipline théorique, située à la charnière de la Physique et de la Chimie, on essayera de faire comprendre quels sont ses objets, et la spécificité de sa pratique. De fait, la Chimie Quantique a fourni à la fois des concepts cruciaux pour l'intelligibilité de phénomènes à l'échelle moléculaire, aidant même parfois les chimistes dans leur invention d'édifices nouveaux, et des outils de prédiction quantitative fiables des énergies et des structures de ces édifices. On essayera de montrer les défis qu'elle affronte aujourd'hui dans sa recherche de puissance (l'efficience simulatrice tuera-t-elle la théorie ?), sa synergie possible avec la Physique dans l'étude des matériaux, sa participation au design d'architectures moléculaires à propriétés électroniques remarquables, le développement des aspects temporels. On ne se privera pas de formuler quelques remarques d'ordres épistémologique, esthétique et sociologique. Mot(s) clés libre(s) : chimie quantique, électron, énergie cinétique, liaison chimique, liaison covalente, matière, orbitale moléculaire, physique atomique, simulation numérique, structure moléculaire, supraconductivité
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La chimie du et pour le vivant : la Recherche face aux enjeux du début du 21ème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MANSUY Daniel
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La compréhension des mécanismes associés à la vie, au niveau moléculaire et cellulaire aussi bien qu'au niveau des organismes, des populations et des écosystèmes, et la mise au point de composés ou de méthodes pour les réguler, sont des enjeux de recherche majeurs pour le début du 21ème siècle. Les retombées attendues concernent aussi bien la santé humaine et animale (médicaments, vaccins, matériaux biocompatibles pour prothèse, diagnostic) que l'agroalimentaire, les biotechnologies ou l'environnement. Le développement spectaculaire des sciences du vivant au cours de ces 20 dernières années, avec, en particulier, le décryptage des séquences de très nombreux génomes, a ouvert la voie. Les chimistes ont un rôle très important à jouer dans ce contexte du post-génome. Ils ont tout d'abord à faire progresser de façon considérable notre connaissance de la chimie du vivant, en découvrant les nouveaux schémas de biosynthèse et les nouveaux médiateurs qui dépendent des gènes "orphelins" (dont on ne connaît pas la fonction à l'heure actuelle). Ils se doivent aussi d'élaborer de nouvelles méthodes et de construire de nouveaux objets (molécules, matériaux
) pour permettre ou faciliter la compréhension du vivant et pour intervenir sur certains dysfonctionnements du vivant (chimie pour le vivant). Ces recherches devraient aussi conduire à des retombées en chimie au sens large, avec des applications en dehors du vivant, l'observation de la biodiversité devenant alors une source d'inspiration pour la création d'une chimiodiversité beaucoup plus large (nouvelles molécules, nouveaux catalyseurs, nouveaux matériaux
) (chimie d'après le vivant). Ces différents rôles des chimistes seront illustrés dans chaque cas à l'aide de résultats récents. Mot(s) clés libre(s) : ARN, biosynthèse, catalyse, chimie du vivant, médicament, molécule, pharmacogénétique, Recherche, séquençage du génome
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