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La pensée chinoise contemporaine : entre modernité et invention d'une tradition
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Dans quels termes et dans quelles circonstances s'est fait entendre la revendication de modernité au sein de la nouvelle intelligentsia chinoise au début du XXe siècle ? A partir des toutes premières années du siècle s'est imposée en Chine l'idée que la modernité devait obligatoirement passer par l'invention d'une tradition intellectuelle autochtone, prioritairement en termes de "philosophie", laquelle a pris la forme d'une série d'"histoires de la philosophie chinoise" dont la plus connue du public occidental reste sans doute celle de Feng Youlan (1895-1990). Cependant, plutôt que de fournir un descriptif des différents courants intellectuels du XXe siècle chinois, il s'agira pour nous de reconstituer une généalogie de cette revendication de modernité qui semble devoir remonter pour le moins à la deuxième moitié du XIXe siècle, au moment où se fait sentir l'influence des thèses évolutionnistes sur certains lettrés qui, autour de la figure-phare de Kang Youwei (1858-1927), lancent en 1898 la toute première tentative de réforme des institutions impériales sur le modèle de la monarchie constitutionnelle de l'ère Meiji au Japon. L'échec de cette tentative, restée unique dans l'histoire impériale qui prend fin quelques années plus tard, en 1911, met un terme définitif au projet utopique d'un Kang Youwei de mobiliser les ressources canoniques traditionnelles dans le but de réformer les institutions ainsi qu'à la préconisation fictive, entretenue pour répondre au défi de l'Occident, de faire usage de la suprématie matérielle de ce dernier tout en préservant l'essence culturelle de la Chine. Au moment même où la prétention chinoise à l'universalité se trouve contrainte de se réfugier dans le culturalisme et la dynamique réformiste de se décentrer sur le Japon, s'opère la mutation du lettré traditionnel en intellectuel moderne qui trouve son apogée dans le mouvement du 4 mai 1919, sorte de plaque tournante effectuant une polarisation entre les tenants radicaux d'une modernité du "tout occidental" et les conservateurs ralliés à la bannière d'un "nouveau confucianisme" - polarisation accentuée dans la génération suivante par le clivage entre les adeptes de la nouvelle idéologie marxiste et leurs opposants, et encore sensible dans ses effets aujourd'hui. Mot(s) clés libre(s) : Chine, intellectuels, modernité, philosophie, révolution
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Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques
/ Mission 2000 en France
/ 30-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Même si elle apparaît à bien des égards comme accessoire dans les tourmentes révolutionnaires qui ont secoué la Chine tout au long du XXe siècle, la question de la survie du confucianisme dans une société qui se veut moderne, voire post-moderne, ne manque pas de provoquer une certaine perplexité. Comme chacun sait, le confucianisme a fourni pendant deux mille ans un soubassement idéologique et institutionnel à un régime impérial qui n'a définitivement disparu qu'en 1912. À ce titre, l'héritage confucéen, rendu responsable de l'arriération de la Chine et perçu comme la source de tous ses maux, a été la cible privilégiée du mouvement iconoclaste du 4 mai 1919, avant de faire l'objet, entre 1966 et 1976, de destructions systématiques au cours de la Révolution Culturelle. Comment expliquer alors que ce même confucianisme, à partir de la fin des années 1970, soit apparu au contraire comme le moteur de l'essor économique du Japon et des " quatre petits dragons ", jusqu'à devenir, dans la bouche de certains dirigeants connus pour leur autoritarisme, un atout central du discours sur les " valeurs asiatiques " ? Parallèlement à cette instrumentation de toute évidence idéologique s'est développée depuis le début du siècle une réflexion sur la réappropriation de la tradition et des valeurs confucéennes émanant d'intellectuels en Chine d'abord, puis, après la prise du pouvoir par les Communistes en 1949, à Hong Kong et Taiwan, avec un retour actuel en Chine Populaire accompagné d'une diffusion dans la diaspora de culture chinoise, notamment aux États-Unis. En fin de compte, le confucianisme a-t-il perdu définitivement toute assise dans les sociétés chinoises ou sinisées, et a-t-il encore une chance de compter dans les débats de notre " monde global et éclaté " ?. Mot(s) clés libre(s) : Asie, Chine, confucianisme, confucianisme contemporain, religion
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Destruction du patrimoine humain et historique en Chine
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUDERLOT Charles
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Artiste voyageur, Charles Chauderlot est tombé sous le charme de la Chine où il vit désormais depuis plusieurs années. Amoureux de Pékin, il n'a de cesse de peindre les beautés de cette ville. Mais depuis 2002, le paysage qui s'offre à son oeil d'artiste disparaît sous les coups des bulldozers. Témoin privilégié de ces changements, Charles Chauderlot dépeint dans ces dessins cette disparition du patrimoine humain et historique de la Chine. Mot(s) clés libre(s) : arts graphiques, charles chauderlot (1952-....), dessin, patrimoine culturel, pékin (chine), politique culturelle
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Innovation and entrepreneurship in China’s pre-modern economy
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 07-07-2015
/ Canal-u.fr
BOURDELAIS Patrice, GIPOULOUX François, BRAY Francesca
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Greetings to participants
Patrice BOURDELAIS (CNRS-INSHS Director)
Plenary Lecture
Chair: Francesca BRAY
François GIPOULOUX, Innovation and entrepreneurship in China’s pre-modern economy: Huizhou and Shanxi merchant networks revisited Mot(s) clés libre(s) : Chine, développement économique, financement, capitalisme (chine), Développement régional
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Singapour : tête de pont chinoise ? État des lieux des relations diplomatiques et culturelles / Louis Borer
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 30-03-2015
/ Canal-u.fr
BORER Louis-Arthur
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Dans le cadre du Festival Made in Asia (Toulouse, 27 mars-12 avril 2015), Louis Borer, chercheur à Asia Centre, traite des relations entre la Chine et Singapour. Les relations entre la Chine et Singapour sont marquées par un certain
nombre de dissymétries d’ordre démographique, géographique, ou
économique. Si les relations diplomatiques sont assez récentes
(1990), les interactions économiques et culturelles entre la cité-État
et l’Empire du milieu n’ont cessé de croître, au point de devenir des
partenaires privilégiés, malgré quelques divergences de fond. Mot(s) clés libre(s) : Chine, relations internationales, Asie du Sud-est, Singapour (politique et gouvernement), Singapour (20e-21e siècles)
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Comment définir le régime politique chinois aujourd'hui ?
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BONNIN Michel
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Depuis le lancement des réformes, il y a plus de 20 ans, la Chine a connu de profonds changements économiques et sociaux. Elle s'est modernisée, son économie a connu des taux de croissance très rapides et fonctionne partiellement sur un mode « capitaliste ». Pourtant, de façon surprenante, son régime politique est resté fondamentalement le même. Le Parti communiste dirige toujours la Chine, selon des méthodes héritées de Lénine, Staline et Mao Zedong, mais adaptées par Deng Xiaoping, à la fin des années 1970. Pour des raisons d'efficacité économique, le pouvoir a alors laissé plus d'initiative aux acteurs sociaux et, n'ayant plus la prétention utopique de former « l'homme nouveau », il s'est en partie retiré de la vie privée des citoyens. Il a également accordé un peu plus de liberté aux intellectuels, aux écrivains et aux artistes. Il a cependant conservé l'essentiel des institutions existantes de contrôle des idées, des personnes et des groupes : propagande, censure, certificat de résidence, dossier personnel, prise en charge complète de chacun par son unité de travail, etc. Si le pouvoir ne cherche plus à surveiller ce que chacun pense ou dit en privé, s'il laisse une assez grande marge de manoeuvre aux entrepreneurs privés, il continue à vouloir contrôler totalement l'espace public. Se concentrant sur l'essentiel, il continue à régner sur l'information, la communication et, surtout, l'organisation politique et sociale. Son refus d'accepter l'existence de toute organisation sociale autonome (association, syndicat, église, parti politique ou autre) le distingue nettement d'un banal autoritarisme. On pourrait définir ce type de pouvoir comme un totalitarisme « replié ». En effet, s'il laisse subsister des zones d'indifférence dans lesquelles sa présence ne se fait pas directement sentir, c'est qu'il s'est replié sur un noyau dur du totalitarisme (symbolisé par les Quatre principes fondamentaux de Deng Xiaoping). À partir de ce noyau, l'État-Parti peut à tout moment, si besoin est, se déplier et frapper toute personne ou toute force sociale considérée comme dangereuse. C'est ce qu'a montré, par exemple, la répression de la « secte » Falungong. La croissance économique de type capitaliste va-t-elle nécessairement entraîner la Chine vers la démocratie ? Certes, il existe une aspiration à plus de démocratie dans la population, mais, dans la mesure où le Parti communiste interdit l'existence de la moindre organisation autonome, il est difficile d'imaginer quelle force sociale pourrait être à même de contraindre le pouvoir à prendre cette direction. La question est donc plutôt de savoir si le Parti lui-même (ou une fraction importante en son sein) voudra faire évoluer le système politique pour le rendre mieux adapté à l'évolution économique et sociale ou, simplement, à ses propres intérêts. Des transformations sont évidemment possibles, mais, il n'est pas du tout certain qu'elles aillent dans le sens de la démocratie. La classe dirigeante s'est énormément enrichie et n'a certainement aucun désir de partager ses privilèges avec les laissés-pour-compte de la réforme, ni de se soumettre à la surveillance de contre-pouvoirs. Elle a su, par une habile utilisation de la carotte et du bâton, neutraliser la classe intellectuelle des villes. Un éventuel abandon du dogme communiste, ou une profonde modification, ne déboucherait donc pas nécessairement sur une démocratisation. La priorité donnée au nationalisme comme moyen de légitimation, les liens intimes entre le Parti et une couche de grands capitalistes issus du sérail, ainsi que la répression des intellectuels libéraux et des activistes syndicalistes sont des traits que l'on a connus dans d'autres systèmes totalitaires, de type fasciste. Une nouvelle métamorphose du totalitarisme n'est donc pas exclue. Mot(s) clés libre(s) : Chine, culture, secte
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ? Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : capitalisme (chine), économie politique (chine), mondialisation
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Les tribulations du capitalisme en Chine au 20e siècle
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2003
/ Canal-u.fr
BERGERE marie-claire
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En Chine, le développement du capitalisme a pris plusieurs faux départs. L'essor du capitalisme commercial sous la dynastie des Ming (1368-1644) n'a pas débouché sur une révolution industrielle. Le capitalisme bureaucratique qui apparaît dans la seconde moitié du XIX ème siècle, après l'ouverture de la Chine aux étrangers, aboutit rapidement à l'échec. L'entreprise privée qui prend alors le relais s'épanouit pendant « l'âge d'or » des premières décennies du XX ème siècle. Mais le retour d'un pouvoir central fort (Guomindang) à partir de 1927, communiste après la révolution de 1949), qui entend gérer lui-même la modernisation de l'économie nationale selon des méthodes autoritaires, planifiées et centralisées provoque l'affaiblissement puis la disparition du jeune capitalisme chinois. Depuis la mort de Mao-Zedong et l'adoption d'une politique de réforme par Deng Xiaoping en 1978, le capitalisme a pris en Chine un nouvel et puissant élan. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ?
Les avortements antérieurs appellent à une certaine prudence dans la prospective. Ils appellent à s'interroger sur les causes de ces échecs successifs et à examiner attentivement les diverses formes-étatique, bureaucratique, privé qu'à revêtues le capitalisme en Chine ; à étudier le rôle que les étrangers ont joué dans son développement ; à analyser les modes de fonctionnement des entreprises chinoises soumises (ou destinées à se soumettre) à la « rationalité économique » wéberienne ? Freinées ou renforcées par leur enracinement dans les réseaux de solidarités familiales et régionales ? Au moment où le XVI ° congrès du parti communiste chinois invite les capitalistes à jouer un rôle accru dans la vie politique nationale, on peut aussi se pencher sur cette nouvelle classe sociale : sur sa généalogie, sur cette foule d'ancêtres : marchands, changeurs, compradores, entrepreneurs de « l'âge d'or » dont les relations avec le pouvoir furent plus souvent marquées par les compromis que par la confrontation. On peut aussi s'interroger sur son avenir. Dans la perspective- non encore assurée d'une Chine devenue enfin moderne et partie prenante de la mondialisation, cette nouvelle classe trouvera-t-elle son identité et affirmera t-elle sa puissance ? Le triomphe éventuel du capitalisme conduira-t-il comme on le postule un peu rapidement, à celui de la démocratie ou bien à l'apparition de formes particulières de participation politique et de citoyenneté. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme (chine), économie politique (chine)
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Comparaison des politiques internationales d'économie circulaire
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez présente les spécificités des politiques d'économie circulaire mises en oeuvre dans quatre pays pionniers en la matière : l'Allemagne, les Pays-Bas, la Chine et le Japon. Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Allemagne, Pays-Bas, économie circulaire
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Découper l’histoire. Qu’est-ce qu’une période historique ?
/ Serge BLERALD, Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 19-03-2014
/ Canal-u.fr
ANHEIM Étienne, SEBASTIANI Silvia, BOUCHERON Patrick, LAMOUROUX Christian, LE GOFF Jacques
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"Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut
être lu comme l’aboutissement d’une longue recherche. Et d’une réflexion
sur l’histoire, sur les périodes de l’histoire occidentale, au centre
de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s’agit donc
d’un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me
tiennent à cœur.
Écrit en 2013, à
l’heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en
plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses
manières de concevoir les périodisations dans l’histoire : les
continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de
l’histoire.
Traitant du problème
général du passage d’une période à l’autre, j’examine un cas particulier
: la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen
Âge auquel j’ai consacré avec passion ma vie de chercheur.
Reste
le problème de savoir si l’histoire est une et continue ou sectionnée
en compartiments ? ou encore : s’il faut vraiment découper l’histoire en
tranches?"
Jacques Le Goff
Intervenants :
Étienne Anheim, Université Saint-Quentin-en-Yvelines ;
Patrick Boucheron, Université Paris I ;
Christian Lamouroux,EHESS ;
Silvia Sebastiani, EHESS. Mot(s) clés libre(s) : Chine, historiographie, continuité, Renaissance, Moyen-Âge, Jacques Le Goff, Lumières
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