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Le "travail du rire" : la figure de Franco dans le cinéma post-franquiste
/ Marie Dessaillen
/ 05-06-2016
/ Canal-u.fr
Berthier Nancy
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À travers l’examen d’une série de films sortis en Espagne après la mort de Franco, cette conférence s’attache à analyser la manière dont le cinéma espagnol a très tôt ressenti la nécessité de porter un regard critique sur la figure de Francisco Franco par un traitement subversif de son image, telle qu’elle s’était cristallisée durant la dictature (1939-1975). Nancy Berthier, professeur à l'Université Paris-Sorbonne (chaire Arts visuels du monde hispanique) étudie ici les mécanismes de ce qui, moyennant un véritable « travail du rire », s’apparente à une salutaire forme de déboulonnage de statue. Mot(s) clés libre(s) : cinéma espagnol, Franco, satire politique, comédie, morbida
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Projet Jean Rouch ? J1.5 : Débat (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BALANDIER Georges, BLOOM Peter J., HENLEY Paul, OMORI Yasuhiro, DOZON Jean-Pierre
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Lundi 16 novembre : Épreuve coloniale et ethnologie du contemporain Débat (17h-19h) Modérateur/discutant : Jean-Pierre Dozon (France), directeur d'études, EHESS, directeur de recherche, IRD, anthropologue Intervenants :Georges Balandier (France), professeur émérite à la Sorbonne (Université René-Descartes, Paris-V), directeur d'études, EHESS, anthropologue, sociologuePeter J. Bloom (USA), professeur associé, University of California Santa Barbara Paul Henley (Royaume-Uni), professeur, directeur du Granada Centre for Visual Anthropology, Université de Manchester, anthropologue, cinéaste Yasuhiro Omori (Japon) - professeur à l'université de Ritsumeikan, Kyoto, anthropologue, cinéaste Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, cinéma colonial, colonialisme, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch, Marcel Griaule
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Sur le terrain de la recherche - Les recherches dans le domaine de la création et nouveaux médias
/ Marika Jacob, Anne Marie Nadeau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Cablevision
/ Canal-u.fr
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Sous la loupe des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (Québec)
ÉMISSION 7 – Les recherches dans le domaine de la création et nouveaux médias
Deux professeurs du Département de création et nouveaux médias présenteront différentes recherches en lien avec le cinéma, les multiples possibilités d’utilisation de la 3D ainsi que la réalité virtuelle et augmentée.
Participants :
David Paquin, professeur à l’Unité d’enseignement et de recherche en création et nouveaux médias
Louis-Paul Willis, professeur responsable de l’Unité d’enseignement et de recherche en création et nouveaux médias Mot(s) clés libre(s) : réalité virtuelle, animation 3D, cinéma, motion design
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Shah Abdul Latif in Sindhi cinema: (Re-)Imagining Sassui Punhoo through its screenplay
/ Serge BLERALD
/ Canal-u.fr
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Bhavna Rajpal, University of Westminster Mot(s) clés libre(s) : poésie, écriture de scénario (cinéma), cinéma, hindou
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Entretien avec Anup Singh à propos de son film Qissa
/ jennifer Bocquillon
/ Canal-u.fr
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Entretien
en anglais réalisé par Jennifer Bocquillon étudiante en CFI / HINDI à l’INALCO,
avec Anup Singh à propos de son film QISSA THE TALE OF A LONELY GHOST, drame fantastique indo germano franco néerlandais,
tourné en langue punjabi.En 1947 lors de la Partition de
l’Inde et la création du Pakistan, Umber Singh, un père de famille sikh, est contraint de fuir son village et de tout
abandonner derrière lui. Son dernier espoir est d'avoir un fils comme héritier.
Mais sa femme donne naissance à une quatrième fille. Umber décide alors de
changer la destinée de cet enfant en l'élevant comme un garçon et en
« le » mariant à une jeune fille.
À
l’occasion de la projection de son film à l’Inalco et avant sa sortie en Inde, nous
avons rencontré le réalisateur du film dans son appartement parisien, où il
développe pour nous les thèmes centraux qui sous-tendent son film. Mot(s) clés libre(s) : communautarisme, genre, Inde, cinéma, patriarcat, partition indienne
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Bobines et Parchemins
3ème édition du festival du film médiéval
/ Franck Guillemain, Maryline Leducq
/ Canal-u.fr
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"Nous voulons faire sortir l’histoire des universités grâce au cinéma".
Cette année, le festival du film médiéval Bobines et Parchemins était consacré aux « femmes du Moyen âge au cinéma » et s'est déroulé du 14 au 29 mars 2015, aucinéma Desperado, à la Cantada, au cinéma Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois, et à la librairie Aaapoum Bapoum.
Ce festival a lieu en partenariat avec Le LAMOP, laboratoire de médiévistique occidentale de Paris. Le service audiovisuel de l'UPS2259 rend compte de cette 3ème édition. Mot(s) clés libre(s) : Moyen Age, UPS2259, LAMOP, Bobines et Parchemins, Festival du film médiéval, Cinéma Desperado
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Présentation du numéro spécial de la revue Critique : « Hong Kong prend le large »
/ Boris SVARTZMAN
/ Canal-u.fr
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Numéro 8/ 2014 (n° 807 – 808) conçu et dirigé par Sebastian Veg.Page personnelle de l'éditeur http://cecmc.ehess.fr/index.php?2687
Judith Pernin et Chloé Froissart ont collaboré ce numéro.
Sommaire de la revue
Depuis
sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong connaît une configuration
politique et culturelle inouïe d’îlot protodémocratique, de langue
cantonaise et cosmopolite, dans une Chine autoritaire, unitaire du point
de vue culturel et linguistique, et de plus en plus nationaliste. Cette
situation a abouti, depuis deux ou trois ans, à la revendication d’une
véritable identité culturelle hongkongaise, postnationale et distincte
de la Chine, que rien ne laissait présager au moment de la rétrocession,
fondée sur l’existence d’une culture cantonaise distincte, sur la
spécificité de l’expérience historique du colonialisme qui a sanctuarisé
les libertés fondamentales et sur la vitalité de la société civile.Quand
la question de l’avenir de Hong Kong est redevenue d’actualité, dans
les années 1980, à la suite de la politique de réformes et d’ouverture
menée en Chine, un certain consensus prévalait dans la société
hongkongaise pour mettre fin à l’ère coloniale et à ses injustices. Si
les réformes sociales des années 1970 (menées sous le gouvernorat de
Murray MacLehose) avaient enfin donné le statut de langue officielle au
chinois écrit et amélioré le système scolaire public et les filets
sociaux, les structures profondes du colonialisme – une société
fortement hiérarchique dominée par une élite anglophone, aux inégalités
socioéconomiques criantes, et l’exclusion d’une partie de la population
de la vie civique – ne prêtaient guère à la nostalgie. La signature de
la déclaration conjointe sino-britannique de 1984 marqua l’accord sur le
retour de Hong Kong à la Chine à la date de l’expiration du bail
emphytéotique sur les Nouveaux Territoires signé en 1898. (L’île de Hong
Kong et la péninsule de Kowloon au sud de Boundary Street avaient été
cédées à perpétuité à la couronne britannique en 1842, mais il fut jugé
matériellement difficile et politiquement intenable de les séparer du
reste du territoire.) Cependant, et malgré les garanties contenues dans
la formule « un pays, deux systèmes », l’idée d’un contrôle politique
direct par Pékin, a fortiori après la répression du mouvement
démocratique de 1989, provoqua l’angoisse des Hongkongais et une
émigration massive au cours des années 1990
Lire l’article en texte intégral en libre accès sur CAIRN.INFO Mot(s) clés libre(s) : cinéma, patrimoine culturel, HONG-KONG
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La vie de métissage: Franco-Indonésienne
/ Asta PRAMUDITYA, Suji SHON
/ Canal-u.fr
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Indonésien:
Alexandra adalah seorang gadis campuran Prancis dan Indonesia. Di dalam wawancara, ia menceritakan tentang pengalamannya ketika pertama kali datang ke Prancis pada saat umur 3 tahun, di mana ia tidak dapat berbicara bahasa Prancis sama sekali. Oleh karena harus belajar bahasa Prancis, ia menjadi lupa dengan bahasa Indonesia. Pada saat memasuki sekolah dasar, ia sulit beradaptasi karena teman-temannya hanya melihatnya sebagai gadis Asia, karenanya, ia pun « menyingkirkan » sisi Indonesianya untuk lebih memperlihatkan sisi Prancisnya. Tetapi, masa SMAnya adalah sebuah perubahan, ibunya yang adalah orang Indonesia mengikutsertakannya dalam kelompok tari Indonesia. Di situlah ia mulai « mengembalikan » lagi ke-Indonesia-annya. Ini adalah cerita kehidupan dengan dua budaya, di mana ia merasa berbeda dan terasingkan, dimana ia harus menyangkal salah satu budaya agar diterima di budanya lainnya, dan di mana ia akhirnya mengembalikan lagi budaya yang telah ia ingkari dan memilih untuk belajar untuk hidup dengan keduanya secara adil.
Anglais:
Alexandra is a half French and half Indonesian girl. In the interview, she tells about her experience when she first came to France when she was 3 years old, where she couldn’t speak French at all. Because she had to learn French, she then forgot about Indonesian. When she started primary school, she had difficulties to adapt because her friends only saw her as an asian girl, which made her deny her Indonesian side. But then there was a changement in her high school period, her mother putted her in an Indonesian dance group where she got to obtain her Indonesian identity one more time. This is a story of living with two cultures, when there are time where she feels different and rejected, when she has to deny her other culture in order to be accepted in the other one, and when she finally re-obtain the rejected culture and try to learn to live with both equally.
Français:
Alexandra, est une métisse franco-indonésienne. Au cours de l’entretien, elle raconte son expérience, quand elle est venue en France pour la première fois à l’âge de 3 ans, alors qu’elle ne parlait pas du tout français. A force d'avoir appris le français, elle en a oublié l’indonésien. Plus tard, à l’école primaire, elle a eu des difficultés d’adaptation parce que ses amis ne voyaient que son côté asiatique, ce qui l’a conduite à renier ses origines indonésiennes pour mettre en avant son côté français. Mais, au lycée elle a eu une révélation, quand sa mère l’a intégrée à un groupe de danse indonésienne. C’est alors qu’elle a retrouvé son indonésianité. C'est une histoire de la vie de métissage, celle d’Alexandra qui s’est sentie différente et rejetée, et a dû renoncer à une culture pour être acceptée dans l’autre, retrouve sa culture abandonnée et décide enfin d’apprendre à vivre avec ses deux cultures à égalité.Coréen :인도네시아 계 프랑스인 알렉산드라. 그녀는 인터뷰를 통해 프랑스어를 할 줄 모르던 세 살 무렵 처음으로 프랑스에 온 이후의 경험을 이야기합니다. 그녀는 프랑스어를 배우게 된 이후 인도네시아 어를 까맣게 잊어버렸습니다. 초등학교 시절, 그녀의 아시아인으로서의 면모만 보았던 친구들 때문에 그녀는 어려움을 겪습니다. 이로 인해 점차 인도네시아인으로서의 정체성을 부인하게 되고, 프랑스인으로서의 정체성만을 부각시키려 하게 됩니다. 하지만 고등학교 시절이 될 무렵, 그녀의 어머니를 따라 인도네시아 전통 춤 모임에 참석하게 되면서 그녀에게는 큰 변화의 계기가 찾아옵니다. 이를 통해 그녀는 점차 자신의 인도네시아인으로서의 정체성을 찾아가게 됩니다. 이 이야기는 '혼혈'에 대한 이야기이자, 다른 이들로부터 다르고 거절 당한다고 느낀 나머지 한 문화 속에 통합되기 위해 다른 한 문화적 정체성을 포기해야 했던, 마침내 뒤로 유기해두었던 자신의 문화를 되찾고 두 문화를 모두 동시에 살아가는 법을 배우게 된 알렉산드라의 이야기입니다. Mot(s) clés libre(s) : métissage, Indonésie, cinéma, kecak
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« BIRTH OF TECHNICOLOR » By Céline Ruivo and Jean-Pierre Verscheure
/ Canal-u.fr
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« BIRTH OF TECHNICOLOR » By Céline Ruivo and Jean-Pierre Verscheure In the framework of the Conservatoire des Techniques Cinématographiques, an afternoon of studies will be led by Céline Ruivo and Jean- Pierre Verscheure to celebrate the anniversary of the first Technicolor trials (1915). Céline Ruivo has been director of the film collections of La Cinémathèque française since 2011 and worked in the restoration department of the Éclair laboratories. She is working on a thesis devoted to three-colour Technicolor at the University of Paris. Jean-Pierre Verscheure is a professor at the Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS) in Brussels, and a member of the scientific council of the Conservatoire des Techniques Mot(s) clés libre(s) : cinéma
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Verhoeven par Verhoeven : une leçon de cinéma
/ Canal-u.fr
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« Beaucoup des idées que vous voyez dans mes films sont très intuitives. Les choses s'expriment d'elles-mêmes par le simple fait que vous montrez dans un film, sans même le vouloir, la personne que vous êtes. Si on était entièrement conscient de toutes les décisions qu'on prend quand on fait un film, ça ne serait plus tout à fait de l'art. Ce serait un pur jeu intellectuel. Je n'essaie pas de prouver quoi que ce soit. La manière donc je procède est beaucoup plus organique. » (« L'Ironie est un art perdu », entretien avec Paul Verhoeven, Cahiers du cinéma n° 715, octobre 2015) Mot(s) clés libre(s) : réalisateur de cinéma, cinéma américain, Pays-Bas
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