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Les incunables du cinéma scientifique
/ Jean-Michel ARNOLD, Institut de Cinématographie Scientifique, C.N.R.S Images
/ 03-01-1984
/ Canal-U - OAI Archive
MUYBRIDGE Eadweard, MAREY Etienne Jules, LUMIERE Louis, CLEMENT Maurice, BULL Lucien, OMEGNA Roberto
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Ce montage d'extraits des premiers films du cinéma scientifique, tournés entre 1872 et 1911, présente différentes inventions et techniques cinématographiques avec des images mises en mouvement par : - Eadweard Muybridge, inventeur du zoopraxiscope : personnes, enfants, cavaliers, chevaux et mules (1872-1890). - Etienne Jules Marey, inventeur du chronophotographe : animaux et personnes (1882-1890). - Louis Lumière, inventeur du cinématographe : démolition d'un mur et arrivée des congressistes de la Société Photographique (1895). - Clément Maurice : séparation des soeurs siamoises Rodika et Dodika par le Docteur Doyen (1898). - Lucien Bull, premières expériences de cinématographie ultra-rapide : insectes (1904-1911). - Roberto Omegna : présentation d'une névropathe (1908), et images en accéléré de la croissance de plantes, de l'épanouissement d'une rose et d'une expérience sur les bulles de savon (1911).GénériqueAuteurs : MUYBRIDGE Eadweard, MAREY Etienne Jules, LUMIERE Louis, MAURICE Clément, BULL Lucien et OMEGNA Roberto Production : CNRS AV, ICS Diffuseur : CNRS Images http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : chronophotographe, cinéma scientifique, cinématographe, Clément Maurice, Docteur Doyen, Eadweard Muybridge, Etienne Jules Marey, histoire des techniques, Léon Bull, Louis Lumière, Roberto Omegna, technique cinématographique, zoopraxiscope
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Economie du cinéma
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
NICOLAS Marc
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Le cinéma n'est pas né seulement en France. Edison avant les Lumière lui a apporté des inventions majeures, même si ce sont eux qui ont parfait le dispositif en lui ajoutant notamment la part que l'on sait décisive de la projection. Mais la France est le pays de la cinéphilie. Intellectuels de renom, revues spécialisées, ciné-clubs, Cinémathèque, salles d'art et essai parisiennes ont forgé cette tradition, ici répandue plus que partout ailleurs au monde, en profondeur réflexive comme en surface sociale. Elle est aussi depuis de nombreuse années le pays qui défend une certaine idée du cinéma, art autant que loisir, celui qui accueille et soutient des cinéastes de tous les pays qui n'ont pas de cinématographie forte, celui où l'on chante l' « exception culturelle », celui où l'Etat organise et apporte un soutien financier important et constant. En résulte une économie atypique, en partie hors marché, faite de dispositifs de soutien très sophistiqués organisés par l'Etat en étroite liaison avec la profession elle même. Ce système s'est forgé tout au long des soixante dernières années, pas à pas, franchissant des étapes décisives sans parfois que celles ci soient repérées comme telles au moment où elles étaient produites. Peu à peu, le modèle a sédimenté l'adhésion de l'ensemble des professionnels du cinéma et des forces politiques nationales jusqu'à faire croire à son quasi « état de nature ». On voudrait ici au contraire, par un récit à base chronologique, restituer les moments forts de l'invention du modèle, ses tournants faits de nouveaux paradigmes parfois audacieux et en rappeler la naissance souvent conflictuelle, loin du consensus admis aujourd'hui. Ce faisant, le récit traitera autant d'action publique et collective que d'économie du cinéma au sens strict et débouchera sur quelques interrogations très contemporaines. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et état, économie de la culture, exception culturelle, financements, france, industrie cinématographique, politique culturelle, production et réalisation, subventions
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Débat sur la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 2/2)
/ Pascal CESARO
/ 05-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
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Un débat organisé à partir de l'ouvrage de François Niney : "Le documentaire et ses faux-semblants" qui interroge la nature des images à la télévision et au cinéma. A quoi reconnaît-on un documentaire ? Qu'est-ce qui distingue, à l'écran, le monde réel d'un monde fictionnel ? Entre ceux qui croient aveuglément à l'objectivité des prises de vue (actualités ou archives) et ceux qui leur dénient toute vérité, n'y voyant que "mise en scène", le chemin est étroit et parfois sinueux (du fait que s'y croisent réel et imaginaire) mais c'est celui que ce livre cherche à tracer. Aucune prise de vue ne saurait à elle seule prouver un quelconque événement, mais elle montre bien quelque chose du monde à un certain moment (c'est toute la magie du cinématographe). Il convient donc de l'interroger sur son sens, sur ce qu'elle a capté, voulu montrer, sur les circonstances qui la commandent et qu'elle relatent plus ou moins, et comment elle se donne à croire au spectateur (on ne croit pas de la même façon à ce que raconte "La mort aux trousses" ou "Le chagrin et la pitié" ; le « comme si » de la fiction qu’on accepte diffère du « comme ça » du documentaire qu’on peut mettre en doute). Il s'agit donc de clarifier la distinction (et parfois le mélange, amusant ou douteux) entre documentaire et fiction, en s'appuyant sur des exemples, pour élargir la palette des traits discriminants (ou communs). Ce n'est pas seulement la nature — supposément réelle ou imaginaire en soi — de ce qui est filmé qui va déterminer le caractère documentaire ou fictionnel du film, c'est tout autant la relation du filmeur au filmé, le patage des points de vue à travers l’objectif, la tournure de la mise en scène et du montage, la façon qu'a le film de s'adresser au spectateur, de l'entraîner à voir à l'écran notre monde commun ou un monde ajouté ("inventé"), de se faire comprendre comme une énonciation sérieuse (documentaire) ou feinte (fictive)... Sans compter qu'il y a bien des usages documentaires de la fiction (commenté par le réalisateur ou le chef décorateur, à la façon de certains bonus de DVD, un film devient ipso facto un document sur son propre tournage), tout comme il y a certaines fictions qui feignent de n'en être pas et, pour des raisons propagandistes ou commerciales, voudraient bien nous faire croire que "ça s'est vraiment passé comme ça" ! Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, cinema, documentaire, fiction, imaginaire, mise en scène, réalité, réel, représentation, télévision, théorie du cinéma
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La mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 1/2)
/ Pascal CESARO
/ 01-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
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Le cinéma est à la fois fiction (un plan de chien enragé ne mord pas) et documentaire (tout film documente au moins ses acteurs en train de jouer). Mais bien évidemment la visée documentaire diffère considérablement de celle de la fiction. La vérité historique n'est pas du même ordre (de production, de croyance) que la vérité dramatique ; elles ne réfèrent pas au monde de la même façon (même si elles peuvent se mêler) et ne relèvent pas du même geste, de la même intention (ni donc de la même réception).La nature documentaire du cinéma, de la prise de vue comme prise de vie, engage deux ordres de questionnement :
1) la question de la réalité et de la vérité à l'écran vis à vis du spectateur ;
2) la question de la relation filmeur/filmé, des conditions et directives de tournage, qui vont elles-mêmes guider (tromper ou détromper) la croyance du spectateur. Car filmer, plus spécialement en documentaire, ce n'est pas seulement représenter, c'est aussi agir directement sur le monde et ses protagonistes ; en documentaire bien plus qu'en fiction, la relation entre l'action du filmeur et les actions des filmés (au tournage comme au montage) est non seulement le moteur du film, mais partie intégrante de son motif et de son sens. Si en fiction, selon l'adage godardien, "un travelling c'est une question de morale" (comme on dirait "le style c'est l'homme"), en documentaire "la morale est bien une question de travelling" (citation moins connue mais antérieure de Luc Moulet), dans la mesure où on ne filme pas les personnages d'une histoire (une représentation au sens théâtral et une vision d'auteur) mais l'histoire des gens, qui valent et répondent d'eux-mêmes devant la caméra, et le documentariste doit répondre de leur présentation. C'est pourquoi nous parlerons ici d'analyse "esth-éthique", au sens où la compréhension du documentaire exige une critique pragmatique en plus d’une analyse sémiologique (ou iconique). Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, analyse sémiologique, cinema, documentaire, fiction, image, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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/ CERIMES
/ 18-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PAGGI Silvia, RAKOTOMALALA Andriamanivohasina, CHETINA Elena, ROGOTNEV Ilya, AHOUNOU Brice
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie du vivant, anthropologie hors-texte, anthropologie nouvelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Projet Jean Rouch ? J3.3 : Communication 1 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 18-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PAGGI Silvia, RAKOTOMALALA Andriamanivohasina, CHETINA Elena, ROGOTNEV Ilya, AHOUNOU Brice
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifiMercredi 18 novembre : Une anthropologie nouvelle, une anthropologie du vivantCommunications (11h45-13h) - Modératrice/discutante :Silvia Paggi (Italie - France), professeur, Université de Nice-Sophia Antipolis, anthropologue, cinéaste. - - Intervenants : Andriamanivohasina Rakotomalala (Madagascar), doctorant, Université de Paris 7 – Denis Diderot, ethnologue et vidéaste, membre de l’équipe Phanie, Centre de l’ethnologie et de l’image (Paris). - Le culte des ancêtres au quotidien. Elena Chetina (Russie), professeur, directrice du laboratoire de culture et anthropologie visuelle, Université d’État de Perm (Russie) et Ilya Rogotnev (Russie), post-doctorant, Perm, (Russie). - The Dialogue with a Spirit : Visual Studies in Altered States of Consciousness. Brice Ahounou (Bénin), anthropologue, journaliste. - Jean Rouch au miroir du souvenir et de la transe. « Maitre fou » ou « chef sorko » ? Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie du vivant, anthropologie hors-texte, anthropologie nouvelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Projet Jean Rouch ? J5.1 : Introduction (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 20-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PAUWELS Eric
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Vendredi 20 novembre : L'imaginaire est réel, la fiction dit le monde- Introduction (10h-10h15) :Éric Pauwels (Belgique), professeur, écrivain, cinéaste. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, imaginaire, Jean Rouch, réel
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 18-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PENRAD Jean-Claude, VAILATI Alex, LALLIER Christian, BONINO Fabienne
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie du vivant, anthropologie hors-texte, anthropologie nouvelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Projet Jean Rouch ? J3.4 : Communication 2 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 18-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PENRAD Jean-Claude, VAILATI Alex, LALLIER Christian, BONINO Fabienne
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Mercredi 18 novembre : Une anthropologie nouvelle, une anthropologie du vivantCommunications (14h30-17h) - Modérateur/discutant : Jean-Claude Penrad (France), maître de conférences, EHESS, anthropologue, cinéaste. - Intervenants : Alex Vailati (Italie), doctorant en anthropologie, Université de Turin. - Field Change. The Active Role of the Ethnologist. Judith Aston (Royaume-Uni), Senior Lecturer, Multimedia Design, University of the West of England. - Direct Cinema and a Making of the « Real » : Polyphonic Narrative, Spatial Montage and Cinema-sincerity. Christian Lallier (France), laboratoire d’anthropologie urbaine/CNRS, anthropologue, cinéaste. - Pour une anthropologie filmée des interactions sociales. Mark R. Westmoreland (USA), maître de conférences en anthropologie, département de sociologie, anthropologie, psychologie, égyptologie, Université américaine du Caire. - Doon school Quintet : the Politics of Social Aesthetics. Fabienne Bonino (France), doctorante, ATER, équipe de recherche sur la CRise de la REprésentation, Université de Grenoble 3. - Claudio Pazienza : l’anthropologie des mésalliances. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie du vivant, anthropologie hors-texte, anthropologie nouvelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 16-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PIAULT Marc Henri
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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