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Les programmes informatiques : applications techniques et exploitations commerciales
/ Mission 2000 en France
/ 11-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LOPEZ Mauricio
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L'objectif de l'exposé est d'illustrer le cheminement qui mène à l'exploitation commerciale d'une technologie "agent" à partir des résultats obtenus par un projet de recherche. La première partie est une introduction à la technologie agent et ses applications : caractéristiques des agents, agents mobiles, agents intelligents, applications dans l'industrie et dans la vie courante. La deuxième partie décrit en détails les fonctions, la structure et l'utilisation des agents dans le cas de Kelkoo.com, un guide d'achat sur Internet. Ici, les agents servent à chercher des informations relatives aux produits vendus par des sites marchands sur Internet. A partir de ces informations il devient possible de guider l'internaute dans sa recherche d'un produit et de comparer les offres des différents marchands. La dernière partie explique comment a été choisi le domaine d'application de la technologie initialement développée et comment celle-ci a été adaptée et optimisée pour ce domaine. Mot(s) clés libre(s) : commerce électronique, informatique distribuée, intelligence artificielle, logiciel, programmation objet, recherche sur Internet, représentation des connaissances, service guide d'achat, technologie agent
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOEVE Sacha
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques. L'inscription d'une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010. Plutôt qu’un paradigme scientifique ou une nouvelle révolution industrielle, les nanotechnologies ne seraient-elles pas avant tout un phénomène esthétique ? Si cette hypothèse mérite d’être prise au sérieux, il convient toutefois de préciser ce que l’on entend par "esthétique". Afin d’éviter tout esthétisme, ou "esthétisation" dépolitisante des productions scientifiques et techniques, ce terme est pris dans son acception étymologique de théorie de la connaissance sensible (du grec, sensation).Ainsi la question du « nano-art » est-elle considérée comme symptôme d’une transformation plus profonde des relations de l’humain et de la matérialité : la montée d’un nouveau sensible induite par les nano-dispositifs à partir d’un fond a-sensible. Ce processus est caractérisé comme : 1) régime d’imagination distinct de la représentation ; 2) promotion d’un ensemble transmodal en soi ; 3) manière de sentir travaillée par une tension entre deux modalités affectives de valuation (Dewey) : « banalisation » et « étrangement » de notre rapport à la matérialité. Abordées comme question esthétique, les nanotechnologies se révèlent être une imagotechnologie où l’image participe d’un schématisme débordant la seule vision. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels (20e siècle), connaissance (philosophie), esthétique (philosophie), imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation)
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L'erreur philosophique : quête de la connaissance et métaphysique du moi / Joan Lluis Llinas
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
LLINÀS BEGON Joan Lluís
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L'erreur philosophique : quête de la connaissance et métaphysique du moi / Joan Lluis Llinas, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 5 : Fécondité de l'erreur.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592), connaissance (philosophie), vérité (épistémologie)
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Les limites de la connaissance physique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 26-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY-LEBLOND Jean-Marc
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Il n'est pas indifférent que dans ce cycle de conférences sur "tous les savoirs", la question des limites de la connaissance n'ait été posée qu'à la physique. C'est sans doute son statut implicite de science modèle qui lui vaut cet honneur. C'est aussi que, depuis le début du vingtième siècle, la physique s'est à elle-même posé la question. " L'homme devrait garder son humilité devant la nature puisque la précision avec laquelle il peut l'observer rencontre des limitations intrinsèques. " Ainsi l'Encyclopædia Britannica conclut-elle son article sur le "principe d'incertitude" de Heisenberg. De fait, la révolution quantique a donné lieu à d'abondantes exégèses sur ce thème : l'impossibilité de mesurer à la fois la position et la vitesse des corpuscules signalerait une limite absolue de nos connaissances. La Nature elle-même refuserait de se laisser dévoiler, et notre science la plus avancée buterait ainsi sur des frontières infranchissables. L'impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière, mise en évidence par Einstein, a été interprétée dans la même veine : nous ne pouvons savoir ce qui s'est passé sur le Soleil durant les huit dernières minutes, faute qu'aucun signal ne puisse nous en prévenir. Mais avec un recul de quelques décennies, cette conception résignée, traduite par des vocables qui paraissent aujourd'hui pour le moins inadaptés (relativité, incertitudes), a perdu sa pertinence. Loin d'imposer des bornes à notre savoir, ces découvertes ont au contraire permis à notre compréhension de considérables progrès, en réorientant nos conceptualisations et nos interrogations. Elles ont montré l'inadéquation au réel de nos formulations antérieures. Si certaines questions (" Que se passait-il sur le Soleil il y a deux minutes ? ", " Où est l'électron et à quelle vitesse va-t-il ? ") n'admettent pas de réponses, c'est qu'elles sont dépourvues de pertinence. De même, la question " Qu'y a-t-il sur la Terre à 30.000 kilomètres au Sud de Paris ? " est-elle rendue caduque par la rotondité de la Terre et la connaissance de sa circonférence (40.000 kilomètres) ; dira-t-on pour autant que cette découverte impose une limitation à la géographie ?Les mutations théoriques de la physique du vingtième siècle n'ont nullement découvert des limites intrinsèques à notre connaissance scientifique, mais, bien au contraire, lui ont ouvert de nouveaux espaces. En témoigne l'approfondissement considérable de notre maîtrise, intellectuelle mais aussi matérielle, du monde quantique. Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, épistémologie, philosophie des sciences, physique, théorie quantique
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Petit retour aux sources de la connaissance
/ 05-02-2016
/ Canal-u.fr
LÉCUYER Roger
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On a longtemps cru que la représentation des connaissances supposait le langage et ne commençait donc que vers la fin de la seconde année. On a ensuite cru que la représentation commençait à partir du moment où un objet disparu était recherché, vers la fin de la première année. On sait maintenant que des propriétés physiques d’un objet disparu peuvent être prises en compte avant trois mois.
Si des savoirs peuvent ainsi exister à un âge aussi précoce, il faut trouver une explication à leur origine : quelques connaissances de base, sur lesquelles les autres peuvent se fonder, font-elle parties du patrimoine génétique, ou bien les bébés peuvent- ils appendre aussi tôt et aussi vite ? Si oui, comment ?
La conférence de Roger Lécuyer opposera ces deux hypothèses contradictoires. Mot(s) clés libre(s) : développement de l'enfant, patrimoine génétique, développement de la connaissance
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Compétences linguistiques des classicistes / Pierre Judet de la Combe
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JUDET DE LA COMBE Pierre
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Compétences linguistiques des classicistes. Pierre JUDET DE LA COMBE. Dans "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème II : Compétences littéraires et transfert de compétences : compétences littéraires, 28 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : enseignement classique, humanités, langues anciennes (enseignement), transmission des connaissances
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Existe-t-il une intelligence documentaire ?
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 23-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
HUMBERT Jean-Claude, VIGNERON Laurent, ANTHOINE Daniel, KOHLER François
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L’intelligence documentaire (ID) est constituée par l’ensemble des concepts, des outils, des méthodologies et des pratiques permettant de mettre en relation, de façon pertinente, différentes connaissances et informations dans la perspective de la maîtrise et du développement de la dynamique documentaire. Cette mise en relation implique en particulier :- Une mobilisation des hommes- Un traitement et une analyse de l’information et de la connaissance orientés vers une finalité opérationnelle- Une circulation efficace des informations et des connaissances au sein des organisations concernées.Les auteurs décrivent des procédures permettant d’expertiser, de personnaliser et de simplifier l’accès à la documentation dans le domaine médical, tout en soulignent les différentes possibilités d’évolution. Mot(s) clés libre(s) : évolutivité, expertise, hierarchisation de la connaissance, Intelligence documentaire, interconnexion, interopérabilité, Jean-Claude HUMBERT
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La vérité : conclusion / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 04-04-2013
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La vérité : conclusion / Olivier Guerrier. In "La vérité", Journées Scientifiques annuelles de l'Institut Universitaire de France, organisées par le Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de Toulouse, l'Université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Universitaire de France. Toulouse : Hôtel-Dieu, 2-4 avril 2013.
Miracle au SertãoSite dédié au film APAEB ValenteAssociation des Petits Agriculteurs de l'Etat de Bahia Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, objectivité, vérité (épistémologie), relation pouvoir-vérité, preuve (épistémologie)
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Comment la science représente-t-elle le réel ?
/ UTLS - la suite
/ 11-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
GRANGER Gilles-Gaston
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Le mot de représentation évoque tout d'abord la présence d'une image, une image qui est directement accessible au sens. Le contenu de cette image propose un double de l'objet ou de l'événement saisi dans une expérience effective. La représentation scientifique peut utiliser des images comme support et auxiliaire de pensée de ces objets, mais ce n'est pas en tant qu'image qu'elle en construit des représentations. Un concept scientifique représente une réalité dans la mesure ou il comporte l'idée non seulement d'un état actuel mais aussi un état non actualisé qui cependant participe de la réalité à représenter. On peut appeler virtualité ces états. Une représentation scientifique ne représente donc pas seulement ce qui est mais imagine ce qui pourrait être et la connaissance scientifique consiste alors en la capacité à déduire un état réel d'un objet de pensée. Cette reconstruction peut être nommée déduction. Dans cet exposé on examinera le cas de la représentation des réalités mathématiques, puis dans le prolongement de cet examen, on étudiera en quel sens l'usage des mathématiques est devenu fondamental dans la représentation de toute réalité par la science. Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, philosophie des sciences, réalité mathématique, réel, représentation, science
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Héritages et survivances de Jacques Derrida.
Séance de l'après-midi - Partie 1 - 6 novembre 2014
/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 06-11-2014
/ Canal-u.fr
GASCHE Rodolphe, DE VRIES Hent, RIGAL Elisabeth
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales.
En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir.
En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue.
En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie.
Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.
Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir. Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ?
Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici
>> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”.
>> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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