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La vérité : ouverture et introduction / Marie-France Barthet, Marie-Claude Maurel, Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 02-04-2013
/ Canal-u.fr
BARTHET Marie-France, MAUREL Marie-Claude, GUERRIER Olivier
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La vérité : ouverture et introduction / Marie-France Barthet, Marie-Claude Maurel, Olivier Guerrier. In "La Vérité", Journées Scientifiques annuelles de l'Institut Universitaire de France, organisées par le Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) de Toulouse, l'Université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Universitaire de France. Toulouse : Hôtel-Dieu, 2-4 avril 2013.
Définir la vérité est chose ardue et engage des notions elles-mêmes complexes, comme celles de réalité, preuve, perception, représentation, expérience, fiabilité, objectivité, et encore erreur, mensonge, leurre, fiction... La vérité n’est en tout cas pas toujours saisie comme un absolu. Les échanges pluridisciplinaires que le colloque a pour vocation de susciter reposent sur un double postulat : la vérité a une étoffe historique et elle constitue un objet pluriel et changeant que chaque discipline appréhende selon des modalités et des pratiques différentes. Philosophie, théologie, droit, éthique, histoire, littérature, mathématiques, physique, biologie, sciences de l’homme, du social, du vivant, sciences fondamentales ou appliquées ont toutes un horizon de vérité. Celui-ci constitue un point d’observation intéressant pour analyser les évolutions (ou révolutions) scientifiques dans la mesure où la conception même que l’on se fait de la vérité, ou que l’on vise, est un agent important de mutation des pratiques scientifiques, des concepts et de leurs champs d’application. Si aux yeux de la société, la vérité est une sorte de marque de fabrique de la science en général, on s’attachera à diffracter cette image d’Epinal en explorant la perception et la représentation de la vérité, sa transmission et sa réfutation dans tous les secteurs de la vie intellectuelle et créative, par le biais d’un ample dialogue transdisciplinaire.
Miracle au SertãoSite dédié au film APAEB ValenteAssociation des Petits Agriculteurs de l'Etat de Bahia Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, objectivité, vérité (épistémologie), relation pouvoir-vérité, preuve (épistémologie)
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IPM 2005 : BIkini (BIomedical Knowledge Network)
/ 01-12-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BERTAUD Valérie
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L'objet du projet Biomedical Knowledge Network est de gérer des connaissances biomédicales, en permettant de les recueillir à partir d'expertises, de la littérature ou des guides de bonnes pratiques, de les modéliser de manière unifiée sous forme de réseaux de connaissance, de les représenter sous forme de graphes. Toutes ces connaissances sont indexées en langage naturel et en Mesh semi automatique. Ce système est utile au raisonnement médical, à la mise à jour des connaissances et à la pédagogie.
Origine
IPM 2005. Internet et Pédagogie Médicale. Rennes : décembre 2005
Générique
SCD médecine Nancy Mot(s) clés libre(s) : base de connaissances, Bikini, douleur épaule, expertise, la, langage naturel, questionnaire
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« Vitieusement et laschement » : faute morale et condition humaine / Telma de Souza Birchal
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
BIRCHAL DE SOUZA Telma
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« Vitieusement et laschement » : faute morale et condition humaine / Telma de Souza Birchal, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014.Thématique 4 : Erreurs et notions connexes.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : épistémologie de la connaissance, Michel de Montaigne (1533-1592), vérité (épistémologie)
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Les humanités globales : mode d'emploi / Howard Bloch
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BLOCH Howard
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Les humanités globales : mode d'emploi. Howard BLOCH. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème III : L'utilité de la littérature, passé modélisé et fonctions des modèles, 27 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : économie de la connaissance, enseignement supérieur (politique publique), études en sciences humaines, université (aspect économique), université (États-Unis)
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Comment gérer les connaissances par les communautés de pratique ?
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
Bootz Jean-Philippe
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L'EM Strasbourg organise sa 48e conférence phare jeudi 2 avril 2015 à partir de 18 h sur le thème "Comment gérer les connaissances par les communautés de pratique ?". Dans une économie globalisée caractérisée par une demande extrêmement volatile, l’innovation et la créativité sont devenues des facteurs clés de succès. Les communautés de pratique favorisant la création et le partage de connaissances se développent massivement. Comment piloter ces communautés et concilier auto-organisation et contrôle ? Quels types de missions peuvent-elles remplir ? Quels impacts ont ces structures sur l’innovation ? Regards croisés de chercheurs et de praticiens experts Mot(s) clés libre(s) : connaissance, gestion, management, communauté de pratique
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L’ordinateur dans les sciences d’aujourd’hui, mais où sont les sciences d’antan ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 18-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BOPP Philippe Anthony
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L’apparition dans les années 50 de l’ordinateur a sensiblement bouleversé le fonctionnement et les habitudes d’usage de nombreux secteurs économiques, du monde éditorial aux domaines technologiques. Mais plus que tout autre, c’est le monde scientifique qui bénéficie de façon étendue des largesses de l’ordinateur. Objet d’innovation, garant de progrès, il est devenu de par ses facultés (accroissement des capacités de calcul, rapidité du traitement de l’information…) un outil indispensable à la science, tant en médecine qu’en physique, chimie…Mais cette machine programmable ne nous ôte-t-elle pas la capacité de comprendre la science ? La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2008-2009 sur le thème "Actualités". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, histoire de l'informatique, ordinateur, paradigme scientifique, programme informatique, puissance de calcul, simulation, traitement de l'information
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Interrogations autour de la transmission des connaissances
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 08-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BRUNEL Stéphane
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Enseigner est un métier qui s’apprend et qui recouvre une quantité d’interactions que nous sommes capables de décrire et de mettre en relation, grâce à des modèles qui donnent une vision assez claire des étapes par lesquelles nous devons obligatoirement passer et qui reposent la question de l’adéquation continuelle des connaissances transmises par rapport au milieu auxquelles elles sont destinées. Transmettre des connaissances se fait aujourd’hui dans un monde numérique qui transporte les points d’intérêts, les modèles et les méthodes d’enseignement dans des contrées encore peu explorées et que nous qualifions parfois d’expérimentations hasardeuses. Mot(s) clés libre(s) : connaissances, enseignement, enseigner, numérique, transmission
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Héritages et survivances de Jacques Derrida.
Ouverture et séance du matin - 6 novembre 2014
/ Elisabeth de PABLO, Dimitri GALITZINE, Archives Audiovisuelles de la Recherche
/ 06-11-2014
/ Canal-u.fr
CARAÇAO João, NUSELOVICI (NOUSS) Alexis, GUINDANI Sara, GOLDSCHMIT Marc, WIEVIORKA Michel, BECK Philippe
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Héritages et survivances de Jacques Derrida, pour dire ce qui arrive à sa pensée et à son oeuvre, tout autant que ce qui en provient, et qui revient et reviendra. Dix ans après la mort du philosophe, les héritages de Jacques Derrida portent en eux plus d’un secret et plus d’un esprit. Leur réserve d’inconnu, au delà de tout héritage comptable, doit être aujourd’hui réaffirmée, réinterprétée, maintenue en vie. Le désir testamentaire, inscrit dans le titre de notre colloque, au-delà d’un certain deuil mortifère, signifie qu’il n’y aura nul héritage sans l’invention d’un à-venir, et nul avenir ou survivance sans héritage incalculable et illégitime.Quelques dates choisies parmi tant d’autres possibles (« La date, la cendre et le nom : c'était ou ce sera le même, qui ne se tient jamais au présent”, écrivait-il dans Schibboleth. Pour Paul Celan) : En 1967, Jacques Derrida marque la scène philosophique avec trois livres : La voix et le phénomène, De la grammatologie et L’écriture et la différence. Il élabore le concept d’une écriture générale, libérée de l’opposition de l’écriture restreinte à l’oralité, engageant ainsi un travail de clôture et de décentrement du structuralisme qui va permettre d’interroger l’épistémologie et le langage des sciences humaines et sociales.
En 1972, dans Marges de la philosophie, « la différance » consacre et condense l’écart avec la tradition métaphysique. Elle opère en-deçà de la différence ontologique de l’être et de l’étant et au-delà de la représentation. Ni donnée ni constructible, ni même positive ou objectivable, elle s’inscrit, comme l’inconscient, en s’effaçant, n’apparaît que par ses traces qui renvoient à d’autres traces, ouvrant la multiplicité de l’écriture par-delà le sens, la signification et le savoir.
En 1990, à l'occasion d'une exposition au Louvre, Jacques Derrida écrit Mémoires d’aveugle. L’autoportrait et autres ruines où il analyse l’autorité du regard, de la vue et de la lumière dans l’histoire de la philosophie. Dès lors que le trait ne se voit pas, le dessin dessine toujours la mémoire. Sont choisis pour cette exposition des autoportraits dans lesquels l’oeil des dessinateurs est exposé à l’aveuglement comme expérience même de la vue.
En 1991, dans Circonfessions, Derrida livre des bribes de son enfance à Alger, cherchant le secret inaccessible de sa circoncision. Il raconte son enfance, le plus intime de son corps, la mort de sa mère, portant à la limite l’idée de Nietzsche que les philosophies sont des biographies involontaires de leurs auteurs. Penser ainsi la vie, transformée en écriture, déstabilise la conception pour laquelle la vie n’existe qu’en dehors de l’oeuvre, et l’oeuvre en dehors de la vie.
Après les attentats du 11 septembre 2001 à New York, Derrida entreprend de repenser les fondements de la démocratie et de la souveraineté en se demandant comment les événements doivent contraindre la philosophie et le langage de la politique à se transformer. Correspondant à l’exigence la plus haute de justice, la démocratie n’est pas un régime politique parmi d’autres mais ce qui manque à la politique, son avenir impossible et nécessaire.
Dix ans après la mort de Jacques Derrida en octobre 2004, ce colloque s’efforce d’éclairer, par une pluralité de perspectives, la manière dont la donne philosophique a été transformée par cette pensée plus que jamais féconde, singulière, et porteuse d’avenir. Quels sont, aujourd’hui et au-delà, les héritages et les survivances de la pensée de Jacques Derrida? Comment penser et recevoir ces héritages, être hanté par ses survivances, au-delà de tout dévoilement et de toute création, comme des événements qui restent à traduire et à réinventer ?
Responsables scientifiques : Marc Goldschmit, Sara Guindani-Riquier et Alexis Nuselovici
>> “Non-lieux de l’exil” est partie prenante du colloque “Héritages et survivances de Jacques Derrida”.
>> Colloque porté par la Fondation Maison des sciences de l'homme Mot(s) clés libre(s) : connaissance (philosophie), Jacques Derrida
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« Erreur et estonnement » (Essais II, 30) : de Montaigne à Spinoza / Raffaele Carbone
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
CARBONE Raffaele
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« Erreur et estonnement » (Essais II, 30) : de Montaigne à Spinoza / Raffaele Carbone, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 6 : Enjeux et perspectives philosophiques.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592), connaissance (philosophie), vérité (épistémologie), entendement (philosophie), Baruch Spinoza (1632-1677)
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/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 28-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
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Mot(s) clés libre(s) : empirisme, expérience, théorie de la connaissance, Wilfrid Sellars
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