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Cicatrisation dirigée des sténoses récidivantes de l'urèthre bulbomembraneux
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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L'intubation temporaire (de 2 à 6 mois) par prothèse spiralée en inox avait montré, avec un recul moyen sans prothèse de 20 mois, que 57 % des patients (n=28) était amélioré (débit maximum augmenté de 5 à 15 ml/s en moyenne). Ces résultats sont confirmés avec un recul moyen de 40 mois. Parmis les échecs (6 récidives, 5 perdus de vue et 1 décès), l'apparition d'une nouvelle sténose semble principalement expliquée par des migrations itératives antégrade de la prothèse dans le premier mois suivant son implantation (57 %). Afin de diminuer ce risque de migration, pendant la période initiale de cicatrisation, une nouvelle endoprothèse (Uréthrospiral 2) a été mise au point avec un introducteur spécial pour mise en place sous contrôle endoscopique. Le film présenté décrit avec précision cette nouvelle prothèse et les modalités de mise en place réalisables, dans tout centre d'Urologie avec un simple optique à 30°, dans les suites d'une urèthrotomie endoscopique itérative pour sténose de l'urèthre bulbomembraneux. Une étude multicentrique européenne (10 centres) a débuté ; 25 prothèses ont été implantées du 01/11/94 au 15/04/95 selonle même protocole. Seules, 16 % de migrations dans le premier mois sont décrites. L'amélioration potentielle des résultats doit permettre d'élargir les indications d'utilisation de cette prothèse dans la traitement des sténoses récidivantes de l'urèthre bulbomembraneux sans compromettre, en cas d'échec, l'indication et la réalisation d'une autre alternative thérapeutique.
Origine
FILMED 1995 - 95 5204 054
Générique
FILMED : 95 5204 054 Mot(s) clés libre(s) : cicatrisation, sténose, urèthre
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Endo-prothèse uréthrale type Fabian. Implantations. Résultats
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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La survenue d'une rétention aiguë ou chronique en rapport avec un obstacle cervico-prostatique, chez les malades "intouchables" sur le plan anesthésique ou chirurgical, conduit le plus souvent à la mise en place d'une sonde à demeure. La cryothérapie reste une méthode peu diffusée en raison de son coût d'investissement. En 1978, le Docteur K. FABIAN a mis au point "une sonde partielle", intraprostatique, diffusée depuis sous le nom de "spirale urologique", qui représente une solution élégante pour ces malades. Suite à la publication de J.L. GARBIT, nous avons mis en place 35 endo-prothèses uréthrales, à titre définitif ou temporaire.
Origine
FILMED 1989 - 90 5204 285
Générique
FILMED : 90 5204 285 Mot(s) clés libre(s) : endo-prothèse, urologie
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La lombotomie verticale postérieure: une voie d'abord du rein mal connue
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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La lombotomie vésicale supèrieure (L.V.P.) décrite pour la première fois en 1869 par Simon, permet un abord simple et direct du rein ainsi que de l'uretère lombaire. Les modifications techniques apportées par Gil Vernet facilitent l'accés au rein et limitent la morbidité. Les différents temps opératoires sont détaillés dans le film que nous présentons, en insistant en particulier sur l'installation du patient, les repères anatomiques, l'incision de l'aponévrose des muscles grand dorsal et transverse de l'abdomen en ayant soin de respecter le 12ème nerf inter-costal et le nerf grand abdomino-génital (ilio-hypogastrique). Du 1er janvier 1984 au 31 décembre 1990, nous avons pratiqué 1378 L.V.P. Après la lithiase pyélo-calicielle (61%) et urétérale lombaire (23%). nous avons élargi les indications de cette voie pour la plupart des plasties de la jonction pyélo-urétérale (63 cas) et pour l'extraction de certains calculs coralliformes (136 cas). La L.V.P. a l'avantage d'être moins délabrante au plan neuro- musculaire (2,5% d'hypo-esthésie transitoire) et les suites opératoires sont très simples. En effet 95% des patients quittent l'hôpital au 4ème ou 5ème jour post-opératoire, chiffre qui doit être retenu au plan de l'économie de la santé.
Origine
FILMED 1991 - 91 5204 269
Générique
FILMED : 91 5204 269 Mot(s) clés libre(s) : lombotomie, urologie
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Néphrectomie élargie. Voie d'abord sous costale
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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La voie d'abord sous costale trans-péritonéale pour effectuer une néphrectomie élargie est une tactique d'approche des tumeurs du rein permettant un contrôle premier électif du pédicule rénal, geste nécessaire notamment lorsqu'il s'agit de tumeur volumineuse hypervascularisée avec un éventuel thrombus veineux pouvant atteindre la veine cave inférieure. Une étude anatomique concise démontre l'intérêt de cette voie d'abord notamment sur le plan vasculaire et nerveux pouvant expliquer sa très bonne tolérance postopératoire même chez des patients insuffisants respiratoires. Cette voie d'abord peut être utilisée facilement à droite comme à gauche et complétée éventuellement par une incision de type bi-sous-costale. Des exemples de chacune des possibilités de cette chirurgie sont exposés, parfois même dans des situations opératoires exceptionnelles. Cette voie d'abord doit donc pouvoir être proposée assez facilement dans la chirurgie du cancer du rein mais également de la surrénale.
Origine
FILMED 1985 - 88 5204 208
Générique
FILMED : 88 5204 208 Mot(s) clés libre(s) : Néphrectomie, urologie
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Nouvelle endoprothèse uréthrale prostatique définitive en nitinol
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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L'indication d'une endoprothèse prostatique est encore un sujet débattu. Cependant, chez certains patients définitivement inopérables, pour des raisons anesthésiques et qui bénéficent encore d'une certaine autonomie, l'obstacle prostatique peut être levé de façon simple, sous anesthésie locale pure grâce à la mise en place de prothèse définitive. Ce concept est déjà connu depuis 5 ans et les évaluations récentes montrent une certaine difficulté pour bien positionner la prothèse et des complications liées à cette éventuelle mauvaise position : incrustation, infection et défaut d'épithélialisation. Une nouvelle endoprothèse métallique, en Nitinol, (Elastalloy*) a été mise au point. Le fil métallique unique est tricoté avec un maillage serré. Le cylindre prothétique en expansion (42 CH) est parfaitement adapté à la morphologie de l'urèthre prostatique. Le film présente la prothèse et son introducteur, et les 4 étapes principales de son implantation. Sous anesthésie locale, après avoir mesuré la longueur de l'urèthre prostatique du veru montanum jusqu'au col vésical (prothèse existant de 20 à 40 mm), le modèle idéal est choisi. Sous contrôle endoscopique l'introducteur est positionné à 2 mm en dessous du col vésical. Lors du largage, l'extrémité supérieure de la prothèse ne bouge absolument pas ce qui permet de la positionner idéalement. La position peut être corrigée par une traction sur un fil.
Origine
FILMED 1995 - 95 5204 053
Générique
FILMED : 95 5204 053 Mot(s) clés libre(s) : endoprothèse, nitinol, urologie
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Pyélectomie partielle par voie percutanée: nouvelle approche chirurgicale par section et coagulation avec laser contact SLT
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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Le traitement des tumeurs superficielles de la voie excrétrice supérieure est sujet à controverse. En respectant rigoureusement les critères permettant a priori une chirurgie conservatrice (tumeur unique, pTa et de bas grade, chez un patient acceptant un suivi régulier), il est techniquement possible, par voie percutanée, de réaliser une chirurgie d'exérèse précise et carcinologique. En effet la fibre du laser SLT (source Nd:YAG) munie d'un petit saphir (chisel 2,5) avec une puissance faible (12 à 15 watts) permet d'inciser tout en coagulant les parois de la voie excrétrice. Ainsi par voie percutanée, il est aisé de libérer et d'extraire une tumeur superficielle bien limitée, plus ou moins pédiculée. Le temps de l'exérèse est d'environ 15 minutes. L'hémostase est parfaite au niveau du lit tumoral. Le drainage est assuré par une néphrostomie 18 CH, 24 heures et par une sonde urétérale 7 CH multiperforée, 48 à 72 heures. Parmi les 6 patients traités ainsi, 5 ont plus de 12 mois de recul avec un contrôle à 1 an (cytologie, cystoscopie, urographie +/- urétéroscopie) ne montrant aucune récidive.
Origine
FILMED 1997 - 97 5204 094
Générique
FILMED : 97 5204 094 Mot(s) clés libre(s) : pyélectomie
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Reperméabilisation uréthrale endoprothétique par vaporisation au laser-contact
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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Introduction : les endoprothèses uréthrales définitives, grillagées ou tricotées, sont implantées au niveau de l'urèthre bulbaire pour le traitement des sténoses récidivantes. Ces prothèses se compliquent dans 20% des cas environ d'une réaction fibreuse endoprothétique imposant des résections parfois itéractives du tissu fibreux. Cependant avec le bistouri électrique la résection ne peut être réalisée au contact de la prothèse car, le fil métallique fondant, elle se déstructure.Nous avons évolué le laser-contact dans cette indication. Matériel et méthode : nous avons utilisé une fibre laser, source Nd:Yag, avec différents saphirs (Chisel 2,5 à 15 watts puis MTRL6 à 40 watts) dans un endoscope 24 CH double courant. Quatre patients, présentant des sténoses fibreuses récidivantes intra-prothétiques, ont été ainsi traités après uréthrocystographie rétrograde et mictionnelle. Résultats : la manipulation du laser, éventuellement le long d'un fil guide téflonné, est très facile. L'opérateur progresse dans un entonnoir qui s'élargit pas à pas, sans aucun saignement, sans risque de fausse route car la prothèse définitive bloque le saphir. Dés le premier contact avec les mailles les plus distales de la prothèse, une demie-heure de vaporisation a été nécessaire (40000 Joules en moyenne) pour mettre à nu tous les fils prothétiques jusqu'à l'extrémité proximale. Le métal n'est pas altéré (prothèse et fil guide). A ce stade il serait aisé de retirer la prothèse. Chez deux des 4 patients, après vaporisation du tissu fibreux, une endoprothèse temporaire a été mise en place pour diminuer le risque de sténose fibreuse.
Origine
FILMED 1998 - 98 5204 346
Générique
FILMED : 98 5204 346 Mot(s) clés libre(s) : laser-contact, urologie
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Thermo-destruction de l'adénome prostatique à l'aide de la fibre urolase
/ FILMED
/ 01-01-1993
/ Canal-U - OAI Archive
GELET Albert, CONORT P.
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Le traitement de l'adénome prostatique par thermo-destruction à l'aide d'un laser Yag est actuellement possible grâce à la fibre UROLASE, qui est une fibre de quartz terminée par un miroir doré qui réfléchit le faisceau lumineux à 90° en direction des lobes prostatiques. Le traitement est effectué sous anesthésie loco-régionale ou générale. Le geste commence par la mesure de la distance veru/col à l'aide d'un fibroscope, puis un cathéter sus-pubien est mis en place. Le traitement est effectué à l'aide d'un cystoscope 21 Ch. 4 tirs (60 sec. x 60 Watts) sont effectués au niveau des lobes prostatiques à égale distance du veru montanum et du col vésical, si la distance col/veru est inférieure ou égale à 4 cm (les tirs sont réalisés en "anneau" à 2h, 10h, 5h et 7h). 8 tirs ("2 anneaux") sont réalisés si la distance col/veru est supérieur à 4 cm. (les 2 séries de tirs sont alors effectués avec un écart d'au moins 1 cm). Le traitement n'induisant aucune hémorragie, l'hospitalisation peut être très courte (1 à 2 jours, voire ambulatoire). Le cathéter sus-pubien est enlevé dès que le patient peut reprendre des mictions par les voies naturelles (la plupart du temps J + 2).
Les résultats préliminaires du traitement sont présentés à la fin du film qui montre comment se déroule le traitement par voie endoscopique.
FILMED_93-5204-111
1993 Mot(s) clés libre(s) : adénome prostatique, fibre urolase, FILMED, thermo-destruction
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Traitement in situ des calculs uretéraux par lithotripsie extracorporelle
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CONORT P.
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Les principales caractéristiques du lithotripteur à ondes de choc électromagnétiques (Lithostar), l'installation des patients en décubitus dorsal ou ventral (pour les calculs de l'uretère iliaque) la fragmentation suivie en scopie pulsée ou par radiographie, sont présentées dans un film vidéo ainsi que les résultats de cette technique thérapeutique. En 1 an, 230 patients consécutifs ont été traités par ondes de choc extracorporelles à pleine puissance (19 KV) : 90 calculs lombaires (3 000 impacts en moyenne), 7 iliaques (4 000 impacts) et 133 pelviens (2 800 impacts). 17 fois (7,4 %) 2 sessions thérapeutiques ont été nécessaires, 2 fois (0,8 %) 3 sessions. 7 échecs (3 %) sont à retenir, dont 1 partiel. Aucune complication sévère ou grave n'est apparue.
Origine
FILMED 1989 - 90 5204 215
Générique
FILMED : 90 5204 215 Mot(s) clés libre(s) : calcul, lithotripsie, urologie
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