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Présentation du numéro d'Extrême Orient, Extrême Occident sur la Mobilité humaine et circulation des savoirs techniques (XVIIe – XIXe siècles)
/ Boris SVARTZMAN
/ Canal-u.fr
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Sous la direction de Catherine Jami, Extrême-Orient, Extrême-Occident, n° 36, 2013. 225 p. ISBN 978-2-84292-404-1. ISSN : 0754-5010. Page personnelle de Catherine Jami http://cecmc.ehess.fr/index.php?3005Le système d’examens et
d’attribution des postes de la fonction publique impériale chinoise
impliquait une grande mobilité géographique des élites lettrées. Comment
cette mobilité et plus généralement la mobilité humaine, ont-elles
contribué à la dynamique spatiale des savoirs scientifiques et
techniques en Asie orientale ?
Les études
rassemblées ici analysent le rôle de la mobilité humaine dans la
dynamique spatiale des savoirs en Asie orientale entre le XVIIe et le
XIXe siècle. Tout d’abord, deux études sont consacrées à des personnages
dont la carrière savante s’est déroulée sur le territoire impérial
chinois. Sont ensuite analysés les itinéraires de savoirs astronomiques
et médicaux à travers les frontières entre les pays d’Asie orientale.
Enfin la trajectoire d’un chimiste et ingénieur japonais illustre la
mobilité intercontinentale qui se développe à la fin de la période
couverte.Sommaire, résumés des articles, introduction par Catherine Jami (fichier PDF) : http://www.puv-editions.fr/collections/extreme-orient-extreme-occident/mobilite-humaine-et-circulation-des-savoirs-techniques-xvii-xixe-siecles–9782842924041-24-591.html
Table of contents, abstracts (in English), introduction by Catherine Jami (PDF) : http://www.puv-editions.fr/collections/extreme-orient-extreme-occident/mobilite-humaine-et-circulation-des-savoirs-techniques-xvii-xixe-siecles–9782842924041-24-591.html Mot(s) clés libre(s) : diffusion, échanges, mobilité, circulation, savoirs
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La cosmologie moderne : les nouveaux outils d'observation de l'univers
/ Mission 2000 en France
/ 02-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VIGROUX Laurent
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La nuit semble être noire. Il n'en est rien. L'univers baigne dans un rayonnement aux multiples origines. Dès le 17e siècle, le physicien Olberg montre tout le parti pouvant être tiré de la brillance du ciel. Si l'univers était uniforme et infini, la brillance du ciel due à la superposition de l'émission de toutes les sources qui le composent, devrait être infinie. Le fait qu'elle ne le soit pas, montre que l'univers n'est ni uniforme, ni infini. Il faut attendre le début du XXe siècle pour comprendre les implications profondes du paradoxe de Olberg. Grâce aux observatoires spatiaux, les astrophysiciens modernes élargissent leur champ d'investigation à tout le domaine du rayonnement électromagnétique. Les satellites américains permettent d'achever la mesure complète du spectre du rayonnement présent dans l'univers. Ces observatoires permettent également d'identifier les origines de ce rayonnement. Le recensement de l'univers est en passe d'être achevé. C'est en soi un résultat spectaculaire, qui marque la fin d'une recherche qui a commencé il y a plus de deux mille ans. Les résultats obtenus montrent que comme l'a supposé Olberg, l'univers n'est ni uniforme, ni infini, mais qu'en plus lui et ses constituants ont évolué très fortement depuis leur origine. La prochaine génération de télescopes, au sol, et dans l'espace va s'attaquer à la compréhension de cette évolution. Mais l'univers n'est pas fait que de rayonnement. Il contient aussi des particules. Depuis les années 1930 on sait que plus de 90% de cette matière échappe à la détection. Des recherches sont activement poursuivies par les astrophysiciens et les physiciens des particules pour élucider ce problème. Par contre des progrès spectaculaires ont été très récemment obtenus sur la répartition de cette matière dans l'univers, en utilisant la propriété de déflexion de la lumière par une masse gravitationnelle prédite par la relativité générale d'Einstein. L'univers lointain nous apparaît déformé car la lumière émise par les galaxies lointaines ne se propage pas en ligne droite. Son parcours s'infléchit en passant à proximité de masses importantes. Les astrophysiciens ont mis au point des techniques permettant de calculer ces déformations, et donc de calculer la distribution de la matière noire responsable de ces déformations. C'est un domaine en plein développement. Mot(s) clés libre(s) : astronomie extragalactique, astrophysique, Big Bang, cosmologie, fond diffus cosmologique, galaxie, infrarouge, observation du ciel, radioastronomie, rayon cosmique, rayonnement électromagnétique, rayonnement fossile, télescope, univers
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Diffusion des particules
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Van de Wiele Nathalie
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Cette série d'exercices, avec réponses, aborde la diffusion des particules : diffusion dans un cylindre, relation qualitative entre échelles spatiale et temporelle, libre parcours moyen, coefficient de diffusion, équilibre d'une atmosphère isotherme. Mot(s) clés libre(s) : diffusion de particules, libre parcours moyen, coefficient de diffusion
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Présence italienne au théâtre Garonne de Toulouse : une programmation d’avant-garde / Jean-Claude Thiriet
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
THIRIET Jean-Claude
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Présence italienne au théâtre Garonne de Toulouse : une programmation d’avant-garde / Jean-Claude Thiriet, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre les frontières : transgressions, échanges, rencontres.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : diffusion de la culture, théâtre italien (20e-21e siècles)
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Les couleurs du ciel
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 03-04-2007
/ Unisciel
Simand Catherine, Artru Marie-Christine
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Pourquoi le ciel est-il bleu ? et d'autres questions sur les
couleurs du ciel... Mot(s) clés libre(s) : ciel, ciel bleu, diffusion Rayleigh, nuage, nuage blanc, nuage gris, soleil, soleil couchant, rouge, atmosphère, particule diffusante, bleu du ciel, diffusion de Mie, couleur
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Pourquoi il fait nuit ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 20-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
REEVES Hubert
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Les questions les plus simples sont quelque fois les plus potentiellement riches d'informations. L'obscurité de la nuit est demeurée une énigme sans réponse jusqu'au début de ce siècle. Aujourd'hui nous savons qu'il y a deux éléments complémentaires qui interviennent dans la réponse que donne à cette question l'astronomie contemporaine. 1) La nuit est noire parce que l'univers n'existe pas depuis toujours. 2) La nuit devient de plus en plus noire parce que l'univers est en expansion et en refroidissement. Je décrirai les observations et les développements théoriques qui rendent cette réponse hautement crédible. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, expansion de l'univers, fond diffus cosmologique, galaxie, lumière, nuit, onde lumineuse, origines de l'univers, particule élémentaire, rayonnement fossile, univers, univers primordial
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Observation et cosmologie
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 19-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
PUGET Jean Loup
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La cosmologie occupe dans les sciences observationnelles une place particulière. Elle se trouve en effet à la frontière entre physique fondamentale et astrophysique aussi bien par les questions auxquelles elle essaie de répondre que par son mode de relation entre théorie et observations. Les grandes questions sur la géométrie de l'univers, son histoire, son contenu ou sa dynamique ont été posées dés le début du vingtième siècle juste après la mise au point de la relativité générale comme théorie de la gravitation. L'histoire de la cosmologie est pavée depuis près d'un siècle par des prédictions très précises et souvent basées sur des considérations de physique fondamentale ou la philosophie n'était pas absente (si on pense en particulier à l'origine de l'inertie et au principe de Mach). Certaines de ses prédictions allaient même à l'encontre des premières observations comme le principe cosmologique supposant que l'univers est homogène a grande échelle. Il est frappant que beaucoup de ces prédictions, qui étaient pour certaines très difficile à tester, soient en passe d'être vérifiées. L'astrophysique, comme les sciences de la Terre, se heurte à une difficulté essentielle : la physico-chimie des objets étudiés est en général complexe et les prédictions liées à un modèle particulier ne peuvent être testées qu'avec une précision médiocre liée aux limitations évidentes de ces modèles eux même. Par contre en cosmologie, certaines prédictions peuvent être mesurées avec une précision qui les rapproche plus des expériences de physique fondamentale. L'exemple le plus spectaculaire est certainement le caractère Planckien du rayonnement cosmologique découvert par Penzias et Wilson et vérifié par le satellite COBE. L'histoire de cette prédiction née dans les années 40 de déductions hardies basées sur la physique nucléaire et finalement vérifiée dans les années 90 est un des meilleurs exemples. Il n'est pas le seul ; l'histoire de la constante cosmologique, celle de la matière noire ou surtout de la géométrie de l'Univers sont tout aussi passionnantes. Le caractère Euclidien ou non de la géométrie de notre univers est une de ces questions qu'il est difficile d'attacher à une seule discipline. Elle vient dans les dernières années d'entrer de plein pied dans la science expérimentale. Les moyens observationnels spatiaux liés à des progrès technologiques très pointus sur les détecteurs ont permis une part importante de ces vérifications spectaculaires. On retracera leur histoire durant le vingtième siècle. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, cosmologie, courbure, étoile, expansion de l'univers, fond diffus cosmologique, galaxie, géométrie de l'univers, matière noire, modèle cosmologique, observation de l'espace, principe cosmologique, rayonnement électromagnétique, relativité g
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Diffusion, migration, transition : dynamique des changements comportementaux dans la préhistoire africaine
/ 09-04-2015
/ Canal-u.fr
Pleurdeau David
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Quels facteurs influent la
diffusion, la migration mais aussi la transition culturelle et le changement
comportemental d’Homo sapiens durant
la préhistoire récente en Afrique ? Quel est l’impact du climat
particulier du continent africain sur l’évolution des cultures préhistoriques ?
L’émergence et la diffusion d’Homo
sapiens sont-elles les conséquences d’un changement climatique ? C’est
à partir du Pléistocène récent, vers 130 000 ans qu’une image plus
complète du paléoclimat africain se dessine bien qu’une modélisation à grande
échelle reste difficile. On peut alors essayer de corréler, ou non, ces
variations climatiques avec les différents processus de migration et de changements
comportementaux d’Homo sapiens.
Dernier volet du cyle de conférence "Histoire de l'Homme : une préhistoire africaine", pour voir les volets précédents :
1. Premiers Hommes, premiers outils ?
2. Le Middle Stone Age, une époque moderne de la pierre en Afrique Mot(s) clés libre(s) : afrique, Archéologie, archéologie préhistorique, ostéo-archéologie, migration, domestication, comportement, préhistoire, changement climatique, démographie, climat, génétique, Afrique australe, diffusion, climat (changements)
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Manifestations respiratoires du lupus systémique.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-11-2006
/ Canal-U - OAI Archive
PIETTE Jean-Charles
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C'est une maladie de la femme jeune. L'auteur décrit les manifestations respiratoires les plus fréquentes du lupus systémique : pleurésie lupique avec 15 à 20 % de prévalence, ambolie pulmonaire, pneumopathie lupique aiguë. Cette affection peut être associée à diverses pathologies : hémorragies alvéolaires, pneumopathie interstitielle diffuse, embolie pulmonaire, arthrite rhumatoïde, HTAP, hypoxémie/hypocapnie réversibles, syndrome des poumons rétractés, bronchiolite isolée, paralysie phrénique. Un tableau résume les principales molécules et médicaments inductrices de LES. Le lupus peut être associé à diverses maladies (syndrome de Gougerot-Sjögren, dysthyroïdie, myasthénie, polychondrite) ou syndromes (syndrome des antiphospholipides, APS). Il faut dédramatiser le lupus et bien informer le patient.OrigineJournées Pierre BOURGEOIS Paris 2006.GénériqueProfesseur Jean-Charles Piette (CHU Pitié-Salpêtrière Paris) CERIMES Canal-U Sciences de la Santé et du Sport. Indexation SCD médecinePublicationsTitre : Traité de médecineAnnée : 1789Présentation : Flammarion Mot(s) clés libre(s) : connectivites, hémorragies intra-alvéolaires, Journées Pierre BOURGEOIS, lupus systémique, pleurésie lupique, pneumopathie interstitielle diffuse, syndrome des antiphospholipides
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La recherche scientifique : confiance et vérité (par Bernard Michaux)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-11-2014
/ Canal-u.fr
MICHAUX Bernard
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Recherche scientifique : confiance et vérité.Posons que les sciences pensent, autrement dit qu’elles assument entièrement les questions philosophiques de la recherche de la vérité. Et ceci par la double construction de dispositifs expérimentaux et de cadres théoriques pour interpréter les faits ainsi produits.Or la recherche scientifique est une activité sociale mondialisée avec ses unités de laboratoires, ses réseaux d’information, ses institutions de publication, ses personnels spécialisés et hiérarchisés. La crédibilité, la fiabilité en sont le ciment. Cela passe par des techniques de communication qui tendent à obtenir la confiance.Comment peuvent être ainsi liées dans une même activité recherche de la vérité et rhétorique de la confiance ?Entre les formes du jugement on distingue le juger vrai et le tenir pour vrai. Il faut pourtant remettre en question cette distinction et analyser par quelles procédures, par quelles normes, quelles règles de savoir-faire et de faire-savoir, la confiance prend effectivement part à la recherche collective de la connaissance vraie.Bernard MICHAUX Mot(s) clés libre(s) : recherche fondamentale, culture scientifique, publications scientifiques, vérité (épistémologie), diffusion des résultats de la recherche, connaissance vraie, crédibilité, laboratoires de recherche, collectifs de recherche
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