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La neige et ses métamorphoses (1973)
/ Louis Philippe, Gisèle PHILIPPE, C.E.R.I.M.E.S.
/ 01-01-1973
/ Canal-U - OAI Archive
PHILIPPE Gisèle
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Formation des cristaux de neige - noyaux glacogènes. Métamorphose destructive - métamorphose constructive - différents cristaux et différents types de neigeGénériqueDirection scientifique : M. Vallon, T. Montmory, Gisèle Philippe Réalisation : Louis Philippe Production : Gisèle Philippe S.F.R.S Mot(s) clés libre(s) : eau, neige
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Basta de gusanos !
/ 18-10-2005
/ Canal-u.fr
PAYS Jean-François
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Basta de Gusanos ! est un film de 20 minutes, conçu, écrit et réalisé par Jean-François Pays, à la demande du Pr C.E. Borda, directeur du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes, Argentine, pour sensibiliser les enfants des écoles rurales de cette province et de l’ensemble du pays aux infections par les géohelminthes dont la prévalence reste encore élevée dans de nombreuses régions. Le sujet est abordé sous l’angle d’une « tragi-comédie entérique » mettant en scène, sous forme de marionnettes, un ascaris, un ankylostome, une anguillule et un trichocéphale vivant dans le ventre d’un jeune garçon et présentés comme une joyeuse bande de petits malfrats cyniques, fiers d’être des parasites, jaloux de leurs prérogatives et de leur savoir faire, rivaux prêts à s’entretuer pour leur territoire ou une goutte de sang, mais prêts aussi à s’unir pour s’empiffrer et faire les 400 coups. Basta de gusanos ! sera distribué gratuitement sous forme de CD ou de DVD dans les écoles rurales argentines, accompagné d’un petit livret permettant aux enseignants d’expliquer plus complètement aux enfants le mécanisme des infections par les géohelminthes, les moyens de les éviter et la nécessité de se traiter régulièrement. Mise à part la taille des marionnettes, le film s’est efforcé de ne prendre aucune liberté vis à vis des données parasitologiques.Basta de gusanos ! a été réalisé dans le cadre d’une convention inter-universitaire entre l’Université Paris-V René Descartes et l’Université del Nordeste, avec l’appui financier de la faculté de médecine de Corrientes,le concours d’ Alexandro Maurino dit Chaque (dessin des marionnettes) de Carlos Ramos (fabrication des marionnettes), de la Compagnie El Asunto (animation des marionnettes), des membres du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes (CENPETROP) (Pr CE Borda (régie générale), Pr Maria Josefa F. Rea, Cristina Mercedes Gené (dessins), Miguel Angel Sandoval, Luis Armando Mosqueda, Osvaldo David Benitez, Sara Maria Quatrocchio (commentaire), des élèves et professeurs des écoles Général Manuel Belgrano de Corrientes et Para Costa Grande de San Luis de Palma.Scénario, dialogues, images, montage et réalisation de Jean-François Pays Mot(s) clés libre(s) : chaleur, nourriture, rural, pédagogie, matières fécales, excrements, vers, ascaris, eau, geohelmynthes, toilettes, bouillir, marionettes, chaussure, pathologie exotique, mesures sanitaires, campagne de prévention, lavage de mains, médecine tropicale, épidémie, bactérie, virus, hygiène, maladie, médicament, Amérique, école, insectes, enfant, vidéo, Parasites, éducation sanitaire, assainissement, contamination, larve, oeufs, Argentine
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La photo : toilette à 7 mois de Vishal Ganesh
/ 21-04-2010
/ Canal-u.fr
PASSEPORT Fanny
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Film sous titré en français
Une mère effectue la toilette et le massage de son bébé de 7 mois, prénommé Vishal Ganesh dans le village du bas (Ghinghran) de cette société semi-nomade.
Ghinghran, village du bas des Rongpa, District de Chamoli, Uttarakhand, Inde, Avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : vidéo, huile de moutarde, soin, Uttarakhand, Chamoli, Rongpa, défécation, bassine, petite enfance, toilette, film ethnographique, Inde, massage, eau
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Analyse et synthèse de l'eau (2004)
/ Palais de la Découverte
/ 01-01-2004
/ Canal-U - OAI Archive
Palais de la Découverte
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Deux électrolyses de l'eau sont proposées dans ce film : l'électrolyse d'une solution de sulfate de sodium en présence d'un indicateur coloré, le bleu de bromothymol, et l'électrolyse d'une solution d'hydroxyde de sodium. Ainsi, d'une part, on met en évidence les ions formés, H3O+ et OH-, grâce au BBT. D'autre part, les gaz formés, dioxygène et dihydrogène, sont mis en évidence à l'aide d'une baguette enflammée. Le film se termine sur la synthèse de l'eau à partir de dihydrogène et de dioxygène.
Générique
Réalisation : service multimedia - Palais de la découverte Prises de vues : Jacques Raynaud - Phong Ho Montages images/son/musique : Phong Ho Palais de la Découverte / 2004 Mot(s) clés libre(s) : eau
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L'oiseau buveur
/ Didier OZIL, Cité des Sciences et de l'Industrie
/ 03-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
OZIL Didier
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L'oiseau buveur est un moteur thermique qui fonctionne entre une source chaude (l'atmosphère environnante) et une source froide (la zone humide autour de son bec). Le mouvement de bascule est provoqué par la circulation d'un fluide entre deux compartiments d'un tube scellé, la position d'équilibre n'étant pas la même suivant que le fluide est dans le compartiment haut ou le compartiment bas.GénériqueRéalisation : Didier Ozil Production : Cité des sciences et de l'industrie Copyright Cité des sciences et de l'industrie 1998 Mot(s) clés libre(s) : équilibre liquide-vapeur, évaporation d'eau, moteur à eau, oiseau buveur, thermodynamique
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L'activité nautique à l'IMES de Proisy
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
NORMAND
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Nous présentons l'activité Piscine, activité développée pour les enfants polyhandicapés accueillis à l'IMES de Proisy. L'objectif est l'apprentissage de la nage à travers des jeux d'eau, des parcours moteurs et de l'initiation à la nage. La prise en charge est personnalisée (tient compte des capacités de chaque enfant), mais la séance est collective.
Origine
FILMED 2002 - 102 4905 073
Générique
Auteur: Normand Co-auteurs: Carlier H. Référence Filmed: 102 4905 073 SCD M2DECINE Mot(s) clés libre(s) : eau, équilibre, FILMED, handicapés, jeux, nage, natation, rééducation, sport
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Contrôle qualité des eaux embouteillées
/ Philippe ISIDORI, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-06-1998
/ Canal-U - OAI Archive
NGUYEN-BA Cang, PUJOL Josette, ISIDORI Philippe
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CollectionScience Infuse / Recherche et Environnement RésuméLes médias vantent la consommation des eaux embouteillées. Quelles sont les différences entre chaque type ? A quels contrôles sont-elles soumises ?-----------------[Programme mis en ligne dans le cadre du partenariat UMVF / Médiathèque centrale de la CIDMEF]Origine[n° catalogue DCAM : V235][n° catalogue CIDMEF : V419] Mot(s) clés libre(s) : bactéries, boissons, contrôle qualité, Eau, eaux embouteillées, hydrologie
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Les égouts et l'évacuation des déchets
/ UTLS - la suite
/ 01-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Jean-Marie
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Après de nombreux siècles où l'alimentation en eau de Paris, et par voie de conséquence, son réseau d'égout sont restés fort limités, un essor considérable a été donné au réseau au milieu du 19e siècle, et il s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui. Parmi les projets initiaux, certains prévoyaient la création d'une ville souterraine, où seraient réalisées nombreuses des basses besognes nécessaires au fonctionnement et au prestige de la partie visible (et "hygiénisée") de la ville. Les réseaux souterrains devaient ainsi assurer le transport de l'eau mais aussi de nombreuses marchandises ou déchets. Dans le même temps, l'alimentation en eau potable généralisée, et l'élimination des eaux souillées hors de la ville, devenait un objectif prioritaire pour des raisons sanitaires. Les épidémies de choléra du milieu du siècle furent un des facteurs déclenchant le développement des projets de Belgrand à l'époque ou Haussmann rénovait la partie visible de Paris. Une particularité des égouts de Paris est la taille des canalisations, qui les rend en tout point visitables, ce qui leur confère un cachet tout particulier. Ils ont d'ailleurs toujours été visités, par les égoutiers chargés de leur entretien en premier lieu, mais aussi par de nombreux visiteurs qui accèdent aujourd'hui au musée des égouts situé dans le réseau. Dans la dernière partie du 19e siècle fut instauré le principe du tout-à-l'égout, mais sa mise en oeuvre complète, visant à l'élimination de toutes les fosses chez les particuliers, dura plusieurs décennies et se poursuivit au début du 20ième siècle. Le réseau devint unitaire, évacuant à la fois les eaux usées et les eaux de chaussées (eaux du lavage de rues, eaux de ruissellement pluvial etc.). Pour des raisons techniques, et pour éviter des déversements en Seine à l'intérieur de Paris, Belgrand a basé l'architecture du réseau sur un collecteur central qui rejoignait directement la Seine à Clichy. Le développement de la ville, et la mise en oeuvre du tout-à-l'égout ont considérablement augmenté la quantité de pollution déversée. A la fin du 19ième siècle, une solution basée sur l'épuration par le sol fut développée pour traiter les eaux avant leur arrivée en Seine. Des champs d'épandage furent installés dans la presqu'île de Gennevilliers puis plus à l'aval (Achères, Triel
), la ville de Paris devint propriétaire fermier et favorisait une intense activité de maraîchage. Au moment de l'exposition universelle à la toute fin du siècle, presque toutes les eaux collectées étaient envoyées vers les champs d'épandage. Cependant, la course en avant devait continuer, de plus en plus d'eau étant utilisée et devant être évacuée puis traitée dans une ville en constante expansion, alors que la pression foncière réduisait la superficie des champs d'épandage. Dès le début du 20ième, les rejets d'eaux usées en Seine reprirent de plus belle. Après de nombreux essais menés sur les pilotes par la ville de Paris, la première station d'épuration moderne à boues activées fut construite à Achères en 1938 (aujourd'hui "Seine-Aval"), et ne fut réellement alimentée que plusieurs années après la guerre. Dans les filières de traitement d'une telle station, comme dans le sol, des micro-organismes se développent en digérant les matières organiques et les transforment en gaz carbonique et en sels. Les matières solides transportées dans l'eau des égouts et les micro-organismes produits au cours du traitement sont rassemblés pour constituer les boues d'épuration. D'autres filières sont chargées du traitement des boues qui sont épaissies, pressées, éventuellement digérées avant d'être épandues sur des terres agricoles, mises en décharge ou encore incinérées. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le processus de construction de nouveaux réseaux et de nouvelles stations de traitement des eaux n'a cessé de se développer. A partir des années 70, on cessa de créer des réseaux unitaires pour passer au système séparatif. Dans un réseau séparatif, les eaux pluviales sont collectées dans un réseau séparé des eaux usées domestiques ou industrielles. Les eaux pluviales sont évacuées directement vers le milieu récepteur, alors que les eaux usées sont envoyées vers les stations d'épuration. Un avantage très significatif de ce type de collecte est que les flots reçus par les stations de traitement sont beaucoup plus réguliers, et qu'il n'y a pas de risques de surcharge du système en temps de pluie. Par contre, ce système nécessite une surveillance accrue des "mauvais branchements" d'eaux usées sur le réseau pluvial, et ne permet pas de traiter les eaux de ruissellement qui peuvent être fortement contaminées. Les stations de traitement sont devenues plus efficaces et plus flexibles dans leur gestion, ce qui permet notamment de traiter une fraction toujours croissante des eaux de temps de pluie dans les réseaux anciens unitaires, et de résoudre en grande partie graves problèmes dues aux déversements de temps de pluie dans le réseau unitaire. De nouvelles stations ont été construites en différents points de l'agglomération parisienne pour des raisons techniques, parce qu'il devenait techniquement difficile d'acheminer les eaux sur de très longues distances vers un point de traitement unique à l'aval, mais aussi pour des raisons éthiques et politiques pour que soit mieux partagées les nuisances dues au traitement. Le devenir des boues est toujours un problème aujourd'hui car elles peuvent contenir des contaminants persistants en quantité excessive. Alors que les matières organiques contenues dans les boues constituent des amendements utiles aux cultures, les contaminations doivent être évitées. Des efforts très importants ont été faits dans l'agglomération parisienne pour limiter le rejets de contaminants dans le réseau. Cette politique de réduction à la source a porté ses fruits puisque les teneurs en certains métaux dans les boues de la station "Seine-Aval" ont diminué de plus qu'un facteur 10 en 20 ans. L'évolution actuelle va vers des réseaux et des méthodes de traitement plus diversifiées. Le développement de stations de traitement va se poursuivre en différents points de l'agglomération parisienne, alors que l'interconnexion du réseau unitaire devient une réalité, qui permet une meilleure gestion des eaux en temps de pluie. Dans le même temps les eaux pluviales sont de plus en plus souvent retenues ou traitées à l'amont des bassins versants pour limiter le ruissellement excessif. Il aura donc fallu plus d'un siècle pour que la grande ligne directrice "tout vers l'aval" qui avait été instaurée par Belgrand soit remise en cause. Il aura fallu un siècle également pour que l'objectif "zéro rejets par temps", atteint au début du siècle lors de l'exposition universelle, soit de nouveau atteint. Le réseau d'assainissement fait donc bien partie de ces patrimoines techniques urbains fondamentaux qu'il faut gérer aujourd'hui en pensant aux générations futures.Références utilisées dans cette conférence : "Atlas du Paris Souterrain", par Gilles Thomas et Alain Clément, Ed. Parigramme, 2001. "Paris Sewers and Sewermen, realities and representations", par D. Reid, Harvard University Press, 1991. "Les égouts de Paris, une ville sous la ville", plaquette de présentation des égouts, Mairie de Paris "Rendre l'eau à la vie, 1970/1995, 25ième anniversaire du SIAAP", par M.F. Pointeau, Ed. CEP Euro Editions. "La Seine en son Bassin", M. Maybeck, G. de Marsily et E. Fustec (editeurs), publié par Elsevier en 1998. Mot(s) clés libre(s) : boues d'épuration, collecteur, déchet, eaux usées, égoutiers, égouts de Paris, génie urbain, réseau d'assainissement, station d'épuration, système séparatif, tout-à-l'égout, traitement des eaux
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Coagulants et floculants
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MOTTOT Yves
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Coagulants et floculants sont des réactifs chimiques utilisés dans de multiples procédés industriels, mais leur principale application est le traitement des eaux. Les domaines spécifiques d'usage de ces produits - traitement de l'eau destinées à la consommation humaine, assainissement des eaux usées domestiques, conditionnement des boues - demandent des niveaux de performance, des degrés de toxicité ou écotoxicité, et des coûts de traitement différents. Divers produits sont utilisés, mais deux familles principales dominent le marché : les coagulants minéraux - sels de fer et d'aluminium - et les polymères synthétiques hydrosolubles. Après quelques rappels théoriques sur les mécanismes physico-chimiques qui expliquent les performances de ces produits, l' exposé présente les principales familles de coagulants et floculants ainsi que les procédés industriels de mise en oeuvre. Les axes actuels de recherche et développement de nouveaux coagulants et floculants sont également indiqués. Mot(s) clés libre(s) : chimie industrielle, coagulation, floculation, polymère, produit chimique, réactif chimique, traitement des eaux
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L'eau et sa gestion
/ BioMedia-UPMC
/ 03-03-2011
/ Unisciel
Mokrani Arnaud
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L'eau se renouvelle plus ou moins vite : 1 000 ans pour une nappe souterraine, 4 000 ans pour un océan, 15 000 ans pour un glacier. On entend par renouvellement, le temps moyen qui doit s’écouler pour que le volume stocké dans un réservoir à un moment donné soit remplacé entièrement par les apports postérieurs. Seulement 0,65% de cette eau n'est ni salé ni glacé et 97,2% de l'eau présente sur la planète se trouve sous forme salée dans les mers et les océans. Or seule l’eau douce (dont une partie seulement est facilement mobilisable) est utilisée pour les besoins vitaux de l’homme (alimentation, agriculture…). On estime que plus de 80 pays dans le monde (soit, plus de 40% de la population du globe) connaissent de sérieuses pénuries d'eau. Mot(s) clés libre(s) : Eau, Gestion
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