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Date
Editeur
Auteur
Titre
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Emois 2005 : Tarification à l'activité et innovations en imagerie hospitalière
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 17-03-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CARRIèRE Bruno
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Maternité régionale de Nancy. Objectifs : - utiliser les nouvelles nomenclatures pour la facturation des actes et des séjours en imagerie - installer un processus de gains de productivité ou de diminution des coûts en imagerie
Origine
Journées émois 2005. XVIIIè Congrès national, Nancy
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : classification, économie hospitalière, emois, imagerie
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11. Economie des ressources et de la biodiversité marines
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 18-11-2014
/ Canal-u.fr
Chaboud Christian
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Christian Chaboud présente quelques modèles et enjeux liés à l'approche économique des pêches et des ressources marines. Il revient notamment sur le modèle de Gordon Schaefer ainsi que sur l'évaluation économique des services écosystémiques. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, pêche, economie, services écosystémiques, Ressources marines, Gordon-Schaefer
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La mondialisation - Serge Champeau
/ UTLS au lycée
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Champeau Serge
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa mondialisation par Serge ChampeauLycée Montdory (63 Thiers) Mot(s) clés libre(s) : commerce, économie
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Kenya, conflits et territoires
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 04-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CHARLERY DE LA MASSELIÈRE Bernard, VIDAL Franck
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En janvier 2008, après la réélection contestée du président Kibaki de violents affrontements secouent Nairobi, la capitale du Kenya. Si les médias ont bien souvent résumé ces violences à des oppositions interethniques, le point de vue du géographe, spécialiste de l’Afrique de l’Est replace le conflit dans un contexte beaucoup plus large : c’est à travers la géographie du Kenya - terre de contraste et de diversité, mais aussi à travers tous les processus de définition des territoires mis en place par la colonisation anglaise et enfin, à travers les phénomènes de mondialisation économique qu’il est nécessaire d’analyser les événements actuels au Kenya. Mot(s) clés libre(s) : affrontements ethniques, géographie économique, géopolitique, guerre, histoire, kenya, mondialisation, politique et gouvernement, postcolonialisme
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"Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?", semi-plénière avec la participation de Louis Chauvel, Eric Fassin, Dominique Fougeyrollas et Frédéric Lebaron
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
CHAUVEL Louis, FASSIN Eric, FOUGEYROLLAS Dominique, LEBARON Frédéric
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Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?
Présentée par les réseaux thématiques : RT 5 Classes, inégalités, fragmentations ; RT 12 Sociologie économique ; RT 42 Sociologie des élites
Table ronde avec :
- Louis Chauvel, professeur de sociologie, Université du Luxembourg
- Eric Fassin, professeur de science politique, Université Paris 8
- Dominique Fougeyrollas, chargée de recherche, CNRS
- Frédéric Lebaron, professeur de sociologie, Université de Versailles Saint-Quentin-en- Yvelines
« L’homme heureux se contente rarement du fait d’être heureux ; il éprouve de surcroît le besoin d’y avoir droit. Il veut être également convaincu qu’il “mérite” son bonheur, et surtout qu’il le mérite par comparaison avec d’autres. Et il veut donc également pouvoir croire qu’en ne possédant pas le même bonheur, le moins fortuné n’a que ce qu’il mérite. Le bonheur veut être “légitime”. » (Weber 1992 : 144)
Selon les contextes historiques et sociaux, des systèmes normatifs et idéologiques divers ont été utilisés pour justifier les différences de fortune : la religion, la biologie, la méritocratie, les « lois » économiques... Quelles sont aujourd’hui les modes de légitimation des inégalités économiques ? Reposent-elles sur des formes de naturalisation de l’ordre économique qui en ferait un phénomène allant de soi ?
Plus précisément, l’accroissement actuel des inégalités économiques et sociales s’appuie-t-il sur de nouvelles formes de naturalisation, sur le renforcement de visions du monde déjà anciennes ou encore sur l’affaiblissement des discours contestataires ? Si naturalisation il y a, par quels processus s’opère-t-elle ? Autour de quels espaces sociaux et par l’intermédiaire de quels acteurs ? L’Etat, notamment par le biais de différents dispositifs d’action publique, contribue-t-il à instituer ces inégalités, voire à les dissimuler ? Les ressorts sur lesquels s’appuient ces phénomènes de naturalisation de l’ordre économique varient-ils selon les groupes sociaux ? Dans quelle mesure les constructions sociales de différences biologiques (sexe, âge, couleur de peau, etc.) continuent-elles de justifier des différences économiques et sociales ? Dans quelle mesure également, la naturalisation des inégalités économiques concourt-elle à naturaliser l’ordre social ? Enfin, les sciences sociales participent-elles ou, tout à l’inverse, dévoilent-elles ces formes de naturalisation ? Mot(s) clés libre(s) : différence, inégalités, naturalisation, inégalités économiques
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Démographie et croissance économique
/ Mission 2000 en France
/ 27-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHESNAIS Jean-Claude
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Conférence du 27 février 2000 par Jean-Louis Chesnais. Le propos de cette conférence est de situer la répartition des hommes et celle des richesses et de voir dans quelle mesure celles-ci peuvent interagir dans un contexte de concurrence accrue. Voici les grandes articulations : - La carte du peuplement. Les hommes et l'eau. - La carte des revenus monétaires. La triade et le reste du monde. - Les facteurs de la croissance (décroissance) de la population, selon les étapes de la transition démographique. - Les facteurs de la croissance, selon les phases de la croissance séculaire et du progrès technique (productivité). - Etude de cas : Le duel Etats-Unis et Japon ; Chine et Inde ; Les nouveaux pauvres (Afrique sub-saharienne, Russie et autres) Conclusion : l'idée de rattrapage a-t-elle encore un sens ? Mot(s) clés libre(s) : démographie, économie, fécondité, Japon
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Démographie et croissance économique
/ Mission 2000 en France
/ 27-02-2000
/ Canal-u.fr
CHESNAIS Jean-Claude
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Conférence du 27 février 2000 par Jean-Louis Chesnais. Le propos de cette conférence est de situer la répartition des hommes et celle des richesses et de voir dans quelle mesure celles-ci peuvent interagir dans un contexte de concurrence accrue. Voici les grandes articulations : - La carte du peuplement. Les hommes et l'eau. - La carte des revenus monétaires. La triade et le reste du monde. - Les facteurs de la croissance (décroissance) de la population, selon les étapes de la transition démographique. - Les facteurs de la croissance, selon les phases de la croissance séculaire et du progrès technique (productivité). - Etude de cas : Le duel Etats-Unis et Japon ; Chine et Inde ; Les nouveaux pauvres (Afrique sub-saharienne, Russie et autres) Conclusion : l'idée de rattrapage a-t-elle encore un sens ? Mot(s) clés libre(s) : économie, démographie, fécondité, Japon
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La concentration économique et ses limites
/ Mission 2000 en France
/ 24-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVALIER Jean-Marie
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La concentration économique recouvre un processus dynamique de regroupement des entreprises, qui tend à conférer aux firmes concernées un certain pouvoir d'influence sur les marchés dont l'aboutissement extrême serait un pouvoir de monopole. Selon la théorie économique, la meilleure forme d'organisation des marchés est celle de la concurrence pure et parfaite. Pour préserver l'intérêt général, il faut donc surveiller la concentration et les conséquences qu'elle peut avoir sur la vigueur de la concurrence. C'est aux États-Unis que cette fonction de surveillance a été établie, dès 1890 à la suite de la première loi antitrust, le Sherman Act. La concentration économique a une longue histoire qui se déroule dans une problématique qui demeure invariante. En revanche les changements qui interviennent dans l'environnement de l'entreprise nous obligent à revoir notre approche opérationnelle de la concentration. Mot(s) clés libre(s) : antitrust, croissance, économie, entreprise, internet, marché, monopole, pouvoir, production
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La concentration économique et ses limites
/ Mission 2000 en France
/ 24-05-2000
/ Canal-u.fr
CHEVALIER Jean-Marie
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La concentration économique recouvre un processus dynamique de regroupement des entreprises, qui tend à conférer aux firmes concernées un certain pouvoir d'influence sur les marchés dont l'aboutissement extrême serait un pouvoir de monopole. Selon la théorie économique, la meilleure forme d'organisation des marchés est celle de la concurrence pure et parfaite. Pour préserver l'intérêt général, il faut donc surveiller la concentration et les conséquences qu'elle peut avoir sur la vigueur de la concurrence. C'est aux États-Unis que cette fonction de surveillance a été établie, dès 1890 à la suite de la première loi antitrust, le Sherman Act. La concentration économique a une longue histoire qui se déroule dans une problématique qui demeure invariante. En revanche les changements qui interviennent dans l'environnement de l'entreprise nous obligent à revoir notre approche opérationnelle de la concentration. Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, économie, marché, monopole, croissance, production, pouvoir, antitrust
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement
/ Mission 2000 en France
/ 25-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Elie
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"Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable ""révolution financière "" qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. " Mot(s) clés libre(s) : actionnaire, bourse, économie de marché, épargne, finance, fusion entreprise, inflation, privatisation
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