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Migrations et citoyenneté - Françoise Lestage
/ UTLS au lycée
/ 07-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Lestage Françoise
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Une conférence de l'UTLS au LycéeMigrations et citoyenneté par Françoise Lestage (Sociologue)Lycée Jean-Jacques Rousseau (95 Montmorency) Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de l'ethnicité, anthropologie des migrations, citoyen, citoyenneté, émigré, identité, migration, nation
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Colloque "Santé et mobilités au Nord et au Sud" : discours de bienvenue / Marie-Christine Jaillet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine
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Discours de bienvenue, Marie-Christine JAILLET (Directrice de recherche et VP du Conseil Scientifique, UTM). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités-Sociétés-Territoires, l'Association d'Anthropologie Medicale Appliquée au Développement Et à la Santé (AMADES), l'IFERISS, l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar et l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD). Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Toulouse, 16-18 septembre 2009.Voir le site dédié au colloque "Santé et mobilités au Nord et au Sud" Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins médicaux, anthropologie de la santé, émigration et immigration, ethnomédecine, géographie de la santé, personnel soignant, politique sanitaire, tourisme médical, transnationalisme
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Migrations et citoyenneté - François Héran
/ UTLS au lycée
/ 13-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Héran François
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Une conférence de l'UTLS au lycéeLycée Molière (75016) Avec François Héran (démographe) Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté, émigration et immigration, intégration, nationalisme, population
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Familles et immigrations
/ UTLS - la suite
/ 08-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
GUéNIF-SOUILAMAS Nacira
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Dans le même temps où le projet colonial français reposait sur le peuplement de l'empire par des Européens, la France hexagonale est devenue au cours du XXème siècle un pays d'immigration de peuplement. Le renversement et la persistance des flux migratoires n'a cessé d'affecter durablement et profondément le paysage français dans sa définition identitaire, culturelle et nationale. L'illustration de cette inflexion simultanée du récit migratoire et du récit nationale est à chercher dans le rapport croissant, dans les parcours comme dans leur analyse, entre famille et immigration. Le siècle passé fut le théâtre du glissement de la présence massive d'une main d'oeuvre sans visage et sans postérité puisqu'elle était vouée à repartir, vers des individualités liées entre elles dont l'épaisseur devenait palpable à mesure qu'elle s'inscrivait dans des histoires familiales et la succession des générations. Si les premières familles immigrantes se sont, en apparence, coulées dans un moule normatif les vouant à rejoindre la société française en devenant invisibles, celles qui sont arrivées à partir des années soixante-dix comme celles qui arrivent aujourd'hui ne répondent pas toujours aux injonctions normatives à l'intégration qui leur sont adressées. Loin d'y voir l'expression d'un refus ou d'une inadaptation, le tracé de la ligne de partage entre famille traditionnelle et famille moderne, il serait plus fécond pour une réflexion partagée d'y déceler les signes qui procèdent de la diversité des dynamiques migratoires comme de la diversité des formes familiales dans une modernité incertaine. Considérer la coïncidence historique du regroupement familial et des lois réformant la parenté et la famille, constitue la trame d'une réflexion sur les rapports entre processus migratoires et vies familiales. Comme tous les autres individus, les individus migrants sont engagés dans des liens familiaux et les modifient en raison même des transformations qu'impose la migration. C'est cette dialectique entre expériences familiales et expériences migratoires qui sera au coeur de notre propos. Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, famille, familles immigrées, intégration, regroupement familial
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069 - Migrations croisées : débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensMigrations croisées : session thématique (prés. Jean Charles Jauffret)par Jean-Charles JauffretColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), émigration et immigration, relations france-algérie
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068 - Immigration italienne, immigration algérienne (20ème -19ème siècle) : étude comparée
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensMigrations croisées : session thématique (prés. Jean Charles Jauffret)par Gérard Noiriel (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Cette communication reviendra sur l’hypothèse défendue par Abdelmalek Sayad, à propos du caractère « exemplaire » de l’immigration algérienne. Ce sera pour moi une manière de rendre hommage au travail pionnier de celui qui fut l’un des plus grands sociologues de l’immigration en France. Mais ce sera aussi l’occasion d’ouvrir une discussion sur la notion d’« exemplarité » et de clarifier un certain nombre de termes qui restent imprécis, aujourd’hui encore, dans le vocabulaire des historiens.La comparaison historique de la migration italienne et de la migration algérienne permettra d’abord de distinguer immigration étrangère et immigration coloniale. On pourra ensuite mettre en évidence les principales caractéristiques sociales des immigrants venus d’Italie et venus d’Algérie, et leur évolution au cours du temps. Cette approche comparative se conclura par une interrogation sur l’expression « immigration postcoloniale » pour savoir si elle a du sens, scientifiquement parlant.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), algériens (france), émigration et immigration (france), exemplarité, immigration postcoloniale, italiens (france)
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067 - Qui furent les Européens d’Algérie ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensMigrations croisées : session thématique (prés. Jean Charles Jauffret)par Valérie Esclangnon-Morin (Université Paris 7)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’objectif n’est pas ici de présenter une étude démographique précise de ce que fut la population européenne d’Algérie. Il est nécessaire, certes, d’en rappeler les caractéristiques principales et les origines ; mais ce qui nous intéresse, c’est d’analyser leur intégration au système colonial qui a été particulier en Algérie.L’importance numérique de cette population, dès la fin du XIXe siècle, a laissé penser que l’Algérie pourrait devenir une réelle colonie de peuplement occidental. La chute de la population indigène à la même période a renforcé ce sentiment. Cette particularité dans le monde colonial français et même européen - à l’exception des colonisations sud-africaines - a entraîné une conception différente de la colonisation. L’impression d’être majoritaire, notamment dans certaines villes, le sentiment de la toute-puissance européenne sur le monde indigène a, encore plus qu’ailleurs, conduit à un immobilisme total et bloqué toute possibilité d’évolution. Les contacts avec les indigènes algériens étaient pourtant nombreux, il n’y a jamais eu d’apartheid au sens strict en Algérie. Le mélange des populations était une réalité mais seulement de manière superficielle : les mariages mixtes sont quelques dizaines, les Européens à parler l’arabe à peine 20 %.La propension des Européens à se regrouper dans les deux principales villes du pays, la création de quartiers « européens » dans les autres, conduit à créer un imaginaire collectif. Le sentiment d’appartenir à un « peuple nouveau » (Albert Camus), à une « nouvelle race » (Louis Bertrand) commence à faire son apparition parmi les intellectuels d’Algérie. Même si ces conceptions ne sont pas toutes portées par la même idéologie - le métissage méditerranéen pour le premier, les racines romaines, pour le second -, elles montrent bien le besoin pour cette population de se définir par rapport aux indigènes et par rapport aux Français de France. La sensation de pouvoir être un pays autonome face à la métropole avec ses règles propres est largement antérieure à 1954.La guerre qui débute à cette date va justement tout remettre en cause et obliger les Européens d’Algérie à se redéfinir. Qui sont-ils vraiment ? Des Français d’Algérie et en ce cas l’idée même de l’indépendance algérienne n’est pas pensable puisqu’elle équivaudrait à la perte de leur statut national. Même ceux qui ont soutenu la lutte d’indépendance n’ont pas tous été prêts à faire le sacrifice de leur nationalité au profit de leur terre !De retour en France, il leur faut de nouveau accepter de devenir des « rapatriés », terme juridique qui les définit pour l’État français. Cette nouvelle exception de leur condition n’est pas toujours bien acceptée, même s’ils savent l’utiliser pour revendiquer auprès des pouvoirs publics. Leur identité spécifique se prolonge alors lorsqu’ils se dotent du nom de « pieds-noirs », terme au départ jugé injurieux mais finalement repris par la plupart des Français d’Algérie, faute de mieux. Dans une France qui connaît un retour vers les racines régionales, les pieds-noirs tentent de montrer, eux aussi, un visage cohérent à la communauté nationale, revendiquant une place et une histoire à part. Du moins ces revendications sont-elles portées par certaines associations qui, d’ailleurs, ne présentent pas toutes un seul et même aspect de ce groupe. Preuve, s’il fallait encore la faire, de l’extrême diversité de cette population malgré toutes ses tentatives pour se vouloir uniforme.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonisation, émigration et immigration (algérie), européens (algérie), minorités
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La migration est-elle une pathologie ? Enjeux politiques et anthropologiques / Fred Eboko
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
EBOKO Fred
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« La migration est-elle une pathologie ? Enjeux politiques et anthropologiques », Fred EBOKO (chargé de recherches à l'IRD Marseille, UMR 912, IRD-INSERM-U2). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009.[Séance plénière du 16 septembre 2009 présidée par Stéphanie Mulot (LISST, Univ. Toulouse-Le Mirail) et suivie d'un échange avec l'auditoire].Notre intervention vise à questionner les faits de santé par le prisme des migrations et des mobilités. Le monde globalisé connaît une exceptionnelle avancée des échanges et des informations qui masque aussi des différentiels en matière d’accès aux soins. A partir d’un regard africaniste, il s’agit modestement de mettre en lumière les représentations et les pratiques que génèrent les migrations africaines (internes et externes) face aux grandes questions contemporaines de santé. Au-delà de ces migrations africaines, il est aussi question d’insister sur les logiques et les apories politiques qui accompagnent les questions de mobilités face à l’accès aux soins, au bout des trajectoires migratoires. L’interprétation politique de la prise en charge des personnes en situation de mobilité varie d’un pays à l’autre, d’une histoire politique à l’autre. Quels rapports entretiennent ces différentiels de prise en charge, de traitement et d’accès aux soins avec l’idéal éthique médical ?Du Nord au Sud de la planète, d’un pays africain à l’autre, c’est toujours par une combinatoire de variables (économiques, politiques, « culturelles », historiques, sanitaires, etc.) que s’explique la manière avec laquelle la santé est un miroir de l’altérité et un prisme du rapport à soi. Vu sous l’angle des mesures internationales et politiques, les migrations sont souvent conçues comme un péril, quand l’histoire nuance ou révoque cette hypothèse. La lecture bijective entre pathologies et immigrations quelques fois admise comme une évidence aux sommets des Etats, au Nord comme au Sud, en Afrique comme ailleurs, permet de poser la question titre que nous déconstruirons : « la migration est-elle une pathologie ? ». Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins médicaux, Afrique, anthropologie de la santé, économie de la santé, émigration et immigration, politique sanitaire
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Les nouvelles logiques migratoires
/ UTLS - la suite
/ 09-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
DUMONT Gérard-François
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Les migrations internationales concourent depuis toujours à façonner les territoires, les sociétés et les civilisations. Au fil de l'histoire, leurs motivations résultent de facteurs politico-religieux, économiques et démographiques, ou de la combinaison de ces différents facteurs. Mais le monde contemporain connaît de nouvelles logiques migratoires en raison de la « mondialisation ». Cette dernière influe les migrations selon les trois types de processus qui l'accompagnent. Le premier, la globalisation, c'est-à-dire l'ensemble des décisions politiques ayant pour effet d'estomper les barrières étatiques, rend licites des migrations qui ne l'étaient pas auparavant. Le deuxième, l'internationalisation, permise par les révolutions dans les transports matériels et les nouvelles possibilités de communication, facilite la diffusion d'un imaginaire migratoire, le maintien des liens après les migrations et permet de nouvelles formes de mobilité. Enfin la mondialisation proprement dite, c'est-à-dire les nouvelles stratégies des entreprises, entraîne d'autres migrations internationales car la circulation planétaire des marchandises et des services, loin d'être une alternative aux migrations, en impose sous d'autres formes. Ces nouvelles logiques migratoires appellent pour le 21e siècle de nouveaux impératifs politiques et des exigences éthiques. Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, histoire, migration des peuples, mondialisation
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Les nouvelles logiques migratoires
/ UTLS - la suite
/ 09-07-2003
/ Canal-u.fr
DUMONT Gérard-François
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Les migrations internationales concourent depuis toujours à façonner les territoires, les sociétés et les civilisations. Au fil de l'histoire, leurs motivations résultent de facteurs politico-religieux, économiques et démographiques, ou de la combinaison de ces différents facteurs. Mais le monde contemporain connaît de nouvelles logiques migratoires en raison de la « mondialisation ». Cette dernière influe les migrations selon les trois types de processus qui l'accompagnent.
Le premier, la globalisation, c'est-à-dire l'ensemble des décisions politiques ayant pour effet d'estomper les barrières étatiques, rend licites des migrations qui ne l'étaient pas auparavant. Le deuxième, l'internationalisation, permise par les révolutions dans les transports matériels et les nouvelles possibilités de communication, facilite la diffusion d'un imaginaire migratoire, le maintien des liens après les migrations et permet de nouvelles formes de mobilité. Enfin la mondialisation proprement dite, c'est-à-dire les nouvelles stratégies des entreprises, entraîne d'autres migrations internationales car la circulation planétaire des marchandises et des services, loin d'être une alternative aux migrations, en impose sous d'autres formes. Ces nouvelles logiques migratoires appellent pour le 21e siècle de nouveaux impératifs politiques et des exigences éthiques. Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, histoire, mondialisation, migration des peuples
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