Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
CNIPsy 2010 Marseille - La pratique quotidienne du psychiatre éclairé par la phénoménologie.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PACHOUD Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – La pratique quotidienne du psychiatre éclairé par la phénoménologie.Résumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans" La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzanne URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHIAuteur : Bernard PACHOUD, est Psychiatre, Philosophe, Chercheur au Centre de Recherche d’Epistémologie Appliquée (Ecole Polytechnique).Il a publié de nombreux articles d’épistémologie des neurosciences et a dirigé avec Francisco Varela, un livre majeur sur la neuro phénoménologie : Naturaliser la phénoménologie : Essais sur la phénoménologie contemporaine et les sciences cognitives, édité en 2002 au CNRS.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, phénoménologie, reconstruction, schizophrénie, sciences cognitives
|
Accéder à la ressource
|
|
Habitude, coutume et accoutumance dans les théories de la fin du Moyen Age / Didier Ottaviani
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
OTTAVIANI Olivier
Voir le résumé
Voir le résumé
Les théories de la connaissance médiévales et renaissantes insistent sur l'importance de l'habitus à la fois dans le champ spéculatif et le champ pratique. En étudiant la manière dont se constituent les habitudes des individus, il s'agit de s'interroger sur le rapport de celles-ci avec le cadre général de la vie en commun et le système législatif, afin de comprendre le jeu complexe de l'universel et du particulier dans les coutumes et les lois.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : coutumes, droit coutumier, épistémologie, France (Moyen age), France (Renaissance), littérature française
|
Accéder à la ressource
|
|
Vivre dans l'infini : biographie et savoirs chez Giordano Bruno / Nuccio Ordine
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
ORDINE Nuccio
Voir le résumé
Voir le résumé
Vivre dans l'infini : biographie et savoirs chez Giordano Bruno / Nuccio Ordine. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Giordano Bruno ne fut pas toujours « l’hérétique » que l’histoire nous a décrit. Il commença par être un dominicain modèle, et il fut même ordonné prêtre en 1573. Deux ans plus tard, il devint lecteur en théologie, et en apparence, il continua à vivre en dominicain modèle, soutenant des thèses sur la pensée de Thomas d’Aquin et de Pierre Lombard. C’est lorsqu’il commença à étudier avec assiduité les œuvres d’Érasme, humaniste considéré par la Sainte Église comme hérétique depuis 1559, et dont les livres étaient interdits, qu’il finit lui-même par entrer silencieusement en rébellion avec le dogme religieux. Par la suite, Giordano Bruno secoua le joug de la théologie, ce qui lui valut ses années d’errance et de clandestinité. Dans une
époque où l’on considérait encore que la philosophie devait être « la servante de la théologie », il opéra une véritable subversion dans les rapports de subordination qui étaient alors établis entre foi et raison. Ce sont les moments clefs de cette subversion que cette
communication tente de retracer. La nouvelle cosmologie héliocentrique de Giordano Bruno révolutionne toute connaissance : sa vision de l'infini libère des dogmes la littérature et la philosophie, la nature et l'univers. L'unité de la connaissance, la recherche (et non la possession) de la vérité, l'exaltation de la pluralité, la tolérance, la condamnation des génocides dans les Amériques, l'homogènéité de la matiére, l'importance de la "curiositas" : voilà quelques-uns des sujets fondamentaux discutés
dans ses œuvres. Bruno nous enseigne que le vrai philosophe ne peut pas séparer biographie et pensée : pour lui, en effet, vivre la connaissance
signifie aussi écrire sa propre vie. Mot(s) clés libre(s) : philosophie de la Renaissance, vérité (épistémologie), philosophie et littérature, rapport au savoir, Bruno Giordano (1548-1600), comique (dans la littérature)
|
Accéder à la ressource
|
|
CNIPsy 2010 Marseille - Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
Voir le résumé
Voir le résumé
CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : questionsRésumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzan URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHIAuteur : Jean NAUDIN,SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, neuro-phénoménologie, phénoménologie, reconstruction, schizophrénie, sciences cognitives
|
Accéder à la ressource
|
|
CNIPsy 2010 Marseille - Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : introduction
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
Voir le résumé
Voir le résumé
CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieRésumé : Introduction : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie".La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzanne URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHISCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, diagnostic, épistémologie, éthique, phénoménologie, reconstruction, sciences cognitives, typologie
|
Accéder à la ressource
|
|
CNIPsy 2010 Marseille - La pratique quotidienne du psychiatre : introduction
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
Voir le résumé
Voir le résumé
CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – La pratique quotidienne du psychiatre éclairé par la phénoménologie.Résumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzanne URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHISCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, phénoménologie, reconstruction, sciences cognitives
|
Accéder à la ressource
|
|
La sociologie peut-elle prévoir ? / Edgar Morin
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MORIN Edgar
Voir le résumé
Voir le résumé
La sociologie peut-elle prévoir ? Edgar MORIN. Conférence donnée dans le cadre de l'Institut d'Études Doctorales. Université Toulouse II-Le Mirail, mars 2000. Présentation de la conférence par René Souriac (vice-président de l'UTM), Michel Bressolette (directeur de l'IED) et Daniel Filâtre (directeur de l'UFR de sociologie).Dans cette conférence, Edgar Morin propose une réponse à la question de savoir si la sociologie, l'histoire et la philosophie aussi, peuvent permettre de prévoir l'avenir. La connaissance d'un présent complexe, ou du moins la conscience que l'on en a, permet-elle de " savoir ce qui est promis à la décadence rapide et ce qui va germer dans le futur" ?Convoquant tour à tour Euripide, Hegel, Pascal, Bartholomeo De Las Casas, Ortega y Grasset ou Lévi-Strauss, la philosophie des Lumières et les Droits de l'homme, les "technosciences", la biologie, la physique ou la cybernétique et même la science-fiction, Edgar Morin rend compte de la difficulté, voire de l'impossibilité, de toute prévision : "On n'est jamais sûr d'avoir une connaissance de ce qui va contribuer à l'imprévisibilité de notre futur". Les événements imprévus, perturbateurs et inassimilables tels que l'on en a connus dans l'histoire ancienne ou récente, l'évolution des courants majoritaires dominants face aux contre-courants ainsi que les interactions continues entre les événements au niveau local et au niveau mondial ne permettent pas de prédire le futur. Surtout à l'heure de la globalisation et des changements induits par les avancées de la recherche scientifique sur le vivant, sur le génome. Ce moment où " l'Humanité peut remporter une première victoire de façon non mythologique sur la mort", et où, paradoxalement, "pèse sur l'Humanité la menace d'une mort collective et totale dûe aux risques nucléaires et écologiques" ne permet aucune prévision. "Nul ne possède un observatoire d'où il puisse déclarer que l'on n'inventera pas des formes sociales nouvelles, la créativité humaine ne peut pas être déclarée comme close". Néanmoins, malgré ces facteurs d'incertitude, Edgar Morin pense que la sociologie peut proposer une "problématisation du futur" qui serait assortie de vigilance, fondée sur un pari pour certaines valeurs et qui, plutôt qu'un plan programmé, mettrait en œuvre une stratégie modifiable selon le hasard des événements... "et puis, il faut s'attendre à de l'inattendu". Mot(s) clés libre(s) : épistémologie, prévision sociale, socio-histoire, sociologie de la connaissance, sociologie historique
|
Accéder à la ressource
|
|
La logique dans l'histoire : Entretien avec Charles Morazé
/ Pierre GAUGE
/ 20-01-1994
/ Canal-u.fr
MORAZE Charles, MOSCOVICI Serge, FLAMENT Dominique, BASSALER Nathalie, FERRO Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
De la "France bourgeoise" aux "Origines sacrées des sciences modernes", les entretiens s'efforcent de retracer le parcours intellectuel de Charles Morazé et de saisir les différents modes de raisonnement qui le conduisirent à élaborer un code universel capable de décrypter l'histoire des sciences, des croyances et des événements. C'est tout le travail syncrétique de Charles Morazé qui se trouve ici embrassé au travers des regards portés, tour à tour par un historien, un psycho-sociologue, un mathématicien et un linguiste. Mot(s) clés libre(s) : épistémologie, mythe, mathématiques
|
Accéder à la ressource
|
|
What does a ‘global history’ of biology bring to us ?
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 07-06-2016
/ Canal-u.fr
MORANGE Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
To write a global history
of life sciences from Antiquity to extant research, from molecular biology to
ecology and ethology is an impossible task, the promise to be inaccurate and
wrong in many issues.
Nevertheless, the result is not without interest. It casts a new light on
continuities and discontinuities in biological thought, and on the relations
between biology and other scientific disciplines. It reveals the circulation of
concepts and methods between biological subdisciplines, and between Society and
biology. It shows the complex dynamics of biological transformations that gives
biology its specific nature. Mot(s) clés libre(s) : epistémologie, philosophy, Philosophie
|
Accéder à la ressource
|
|
La recherche scientifique : confiance et vérité (par Bernard Michaux)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-11-2014
/ Canal-u.fr
MICHAUX Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
Recherche scientifique : confiance et vérité.Posons que les sciences pensent, autrement dit qu’elles assument entièrement les questions philosophiques de la recherche de la vérité. Et ceci par la double construction de dispositifs expérimentaux et de cadres théoriques pour interpréter les faits ainsi produits.Or la recherche scientifique est une activité sociale mondialisée avec ses unités de laboratoires, ses réseaux d’information, ses institutions de publication, ses personnels spécialisés et hiérarchisés. La crédibilité, la fiabilité en sont le ciment. Cela passe par des techniques de communication qui tendent à obtenir la confiance.Comment peuvent être ainsi liées dans une même activité recherche de la vérité et rhétorique de la confiance ?Entre les formes du jugement on distingue le juger vrai et le tenir pour vrai. Il faut pourtant remettre en question cette distinction et analyser par quelles procédures, par quelles normes, quelles règles de savoir-faire et de faire-savoir, la confiance prend effectivement part à la recherche collective de la connaissance vraie.Bernard MICHAUX Mot(s) clés libre(s) : recherche fondamentale, culture scientifique, publications scientifiques, vérité (épistémologie), diffusion des résultats de la recherche, connaissance vraie, crédibilité, laboratoires de recherche, collectifs de recherche
|
Accéder à la ressource
|
|