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Mots-clefs > E > épistémologie
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Le temps et sa flèche

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 06-07-2000 / Canal-U - OAI Archive
KLEIN Etienne
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Conférence du 6 juillet 2000 par Etienne Klein. Chacun comprend de quoi nous voulons parler lorsque nous prononçons le mot temps, mais personne ne sait vraiment quelle réalité se cache derrière lui. Si le mot est clair, la chose ne l'est pas, qui se perd dans les brumes dès qu'on tente de la saisir. Pourtant les sciences, en particulier la physique, interrogent sans relâche la nature et les propriétés du temps. Quel statut faut-il lui donner ? S'écoule-t-il de façon régulière ? Est-il réversible ? Comment est-il relié à l'espace ? Peut-on concilier temps physique et temps psychologique ? Nous verrons comment chacune des révolutions qui ont agité la physique a remis en cause notre représentation du temps et des liens qu'entretient ce dernier avec l'espace et la matière.
Mot(s) clés libre(s) : charge, épistémologie, espace, flèche du temps, interaction faible, matière, parité, philosophie des sciences, physique des particules, physique quantique, symétrie CPT, temps, théorie de la relativité
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Débat de clôture: « Sciences sociales en débat »

/ Fondation Maison des sciences de l’homme - Paris, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad) / 20-06-2013 / Canal-u.fr
LEMIEUX Cyril, PROCHASSON Christophe, WIEVIORKA Michel, BERREBI-HOFFMANN Isabelle, MUNIER Jacques
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Pendant trois jours, du 18 au 20 juin 2013, l'EHESS et la FMSH ont fêté dans leurs murs les publications en sciences sociales : lectures de textes par des comédiennes, débats d’idées, ateliers professionnels, et ventes d’ouvrages par le LCDPU dans l’atrium de 10 heures à 20 heures. Débat de clôture « Sciences sociales en débat » Jeudi 20 juin, 17h-19h, salle du Conseil Avec Michel Wieviorka et Isabelle Berrebi-Hoffmann (revue Socio, Éditions de la FMSH) et Christophe Prochasson et Cyril Lemieux (Faire des sciences sociales. Critiquer Comparer Généraliser, Éditions de l’EHESS). Christophe Prochasson parle de la situation actuelle des sciences sociales françaises : « Nulle déploration chez les participants à ce débat [Cyril Lemieux, Isabelle Berrebi-Hoffmann, Christophe Prochasson et Michel Wiewiorka]. L’idée est pourtant souvent répandue du déclin [des sciences humaines] face à une mondialisation scientifique où ces dernières ne cesseraient de perdre le rang prestigieux où quelques grands noms de jadis les avaient placées. Il ne fait cependant aucun doute qu’aujourd’hui de nouvelles coordonnées géo-politiques ont permis l’émergence de nouveaux acteurs dans la production du savoir. Pourquoi d’ailleurs s’en désoler ? Il est heureux même de voir les savants français devoir se confronter au monde, davantage encore qu’ils ne le faisaient par le passé. »
Mot(s) clés libre(s) : méthodologie, épistémologie, édition scientifique en sciences humaines, approche scientifique
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Les limites de la connaissance physique

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 26-07-2000 / Canal-U - OAI Archive
LEVY-LEBLOND Jean-Marc
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Il n'est pas indifférent que dans ce cycle de conférences sur "tous les savoirs", la question des limites de la connaissance n'ait été posée qu'à la physique. C'est sans doute son statut implicite de science modèle qui lui vaut cet honneur. C'est aussi que, depuis le début du vingtième siècle, la physique s'est à elle-même posé la question. " L'homme devrait garder son humilité devant la nature puisque la précision avec laquelle il peut l'observer rencontre des limitations intrinsèques. " Ainsi l'Encyclopædia Britannica conclut-elle son article sur le "principe d'incertitude" de Heisenberg. De fait, la révolution quantique a donné lieu à d'abondantes exégèses sur ce thème : l'impossibilité de mesurer à la fois la position et la vitesse des corpuscules signalerait une limite absolue de nos connaissances. La Nature elle-même refuserait de se laisser dévoiler, et notre science la plus avancée buterait ainsi sur des frontières infranchissables. L'impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière, mise en évidence par Einstein, a été interprétée dans la même veine : nous ne pouvons savoir ce qui s'est passé sur le Soleil durant les huit dernières minutes, faute qu'aucun signal ne puisse nous en prévenir. Mais avec un recul de quelques décennies, cette conception résignée, traduite par des vocables qui paraissent aujourd'hui pour le moins inadaptés (relativité, incertitudes), a perdu sa pertinence. Loin d'imposer des bornes à notre savoir, ces découvertes ont au contraire permis à notre compréhension de considérables progrès, en réorientant nos conceptualisations et nos interrogations. Elles ont montré l'inadéquation au réel de nos formulations antérieures. Si certaines questions (" Que se passait-il sur le Soleil il y a deux minutes ? ", " Où est l'électron et à quelle vitesse va-t-il ? ") n'admettent pas de réponses, c'est qu'elles sont dépourvues de pertinence. De même, la question " Qu'y a-t-il sur la Terre à 30.000 kilomètres au Sud de Paris ? " est-elle rendue caduque par la rotondité de la Terre et la connaissance de sa circonférence (40.000 kilomètres) ; dira-t-on pour autant que cette découverte impose une limitation à la géographie ?Les mutations théoriques de la physique du vingtième siècle n'ont nullement découvert des limites intrinsèques à notre connaissance scientifique, mais, bien au contraire, lui ont ouvert de nouveaux espaces. En témoigne l'approfondissement considérable de notre maîtrise, intellectuelle mais aussi matérielle, du monde quantique.
Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, épistémologie, philosophie des sciences, physique, théorie quantique
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L'erreur philosophique : quête de la connaissance et métaphysique du moi / Joan Lluis Llinas

/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail / 04-12-2014 / Canal-u.fr
LLINÀS BEGON Joan Lluís
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L'erreur philosophique : quête de la connaissance et métaphysique du moi / Joan Lluis Llinas, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 5 : Fécondité de l'erreur.Les Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie », « erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses, politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive, spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou « populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet, avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette « chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire, ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre complexe de l’écrivain bordelais.
Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592), connaissance (philosophie), vérité (épistémologie)
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13 - Filmer les moines (5)

/ Laure De Scitivaux / 16-10-2014 / Canal-u.fr
LUCA Nathalie, BUOB Baptiste, Wanono Nadine
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Huit chercheuses appartenant à plusieurs équipes du LabEx ont posé leur caméra dans l’Abbaye de la Trappe en septembre 2013, pour réaliser quatre portraits de moines. Elles présenteront les résultats de leur travail, dans le champ et hors-champ.
Mot(s) clés libre(s) : sociologie, ethnologie, Epistémologie, Philosophie des sciences et des techniques, christianisme, sciences des religions, Sociologie des cultures, sciences de la société, Sciences de l’homme, anthropologie, coutumes religieuse
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9 - Filmer les moines (1)

/ Laure De Scitivaux / 16-10-2014 / Canal-u.fr
LUCA Nathalie, BUOB Baptiste
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Huit chercheuses appartenant à plusieurs équipes du LabEx ont posé leur caméra dans l’Abbaye de la Trappe en septembre 2013, pour réaliser quatre portraits de moines. Elles présenteront les résultats de leur travail, dans le champ et hors-champ.
Mot(s) clés libre(s) : sociologie, ethnologie, Epistémologie, Philosophie des sciences et des techniques, christianisme, sciences des religions, Sociologie des cultures, sciences de la société, Sciences de l’homme, anthropologie, coutumes religieuse
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La recherche scientifique : confiance et vérité (par Bernard Michaux)

/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris / 25-11-2014 / Canal-u.fr
MICHAUX Bernard
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Recherche scientifique : confiance et vérité.Posons que les sciences pensent, autrement dit qu’elles assument entièrement les questions philosophiques de la recherche de la vérité. Et ceci par la double construction de dispositifs expérimentaux et de cadres théoriques pour interpréter les faits ainsi produits.Or la recherche scientifique est une activité sociale mondialisée avec ses unités de laboratoires, ses réseaux d’information, ses institutions de publication, ses personnels spécialisés et hiérarchisés. La crédibilité, la fiabilité en sont le ciment. Cela passe par des techniques de communication qui tendent à obtenir la confiance.Comment peuvent être ainsi liées dans une même activité recherche de la vérité et rhétorique de la confiance ?Entre les formes du jugement on distingue le juger vrai et le tenir pour vrai. Il faut pourtant remettre en question cette distinction et analyser par quelles procédures, par quelles normes, quelles règles de savoir-faire et de faire-savoir, la confiance prend effectivement part à la recherche collective de la connaissance vraie.Bernard MICHAUX
Mot(s) clés libre(s) : recherche fondamentale, culture scientifique, publications scientifiques, vérité (épistémologie), diffusion des résultats de la recherche, connaissance vraie, crédibilité, laboratoires de recherche, collectifs de recherche
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What does a ‘global history’ of biology bring to us ?

/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia / 07-06-2016 / Canal-u.fr
MORANGE Michel
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To write a global history of life sciences from Antiquity to extant research, from molecular biology to ecology and ethology is an impossible task, the promise to be inaccurate and wrong in many issues. Nevertheless, the result is not without interest. It casts a new light on continuities and discontinuities in biological thought, and on the relations between biology and other scientific disciplines. It reveals the circulation of concepts and methods between biological subdisciplines, and between Society and biology. It shows the complex dynamics of biological transformations that gives biology its specific nature.
Mot(s) clés libre(s) : epistémologie, philosophy, Philosophie
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La logique dans l'histoire : Entretien avec Charles Morazé

/ Pierre GAUGE / 20-01-1994 / Canal-u.fr
MORAZE Charles, MOSCOVICI Serge, FLAMENT Dominique, BASSALER Nathalie, FERRO Marc
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De la "France bourgeoise" aux "Origines sacrées des sciences modernes", les entretiens s'efforcent de retracer le parcours intellectuel de Charles Morazé et de saisir les différents modes de raisonnement qui le conduisirent à élaborer un code universel capable de décrypter l'histoire des sciences, des croyances et des événements. C'est tout le travail syncrétique de Charles Morazé qui se trouve ici embrassé au travers des regards portés, tour à tour par un historien, un psycho-sociologue, un mathématicien et un linguiste.
Mot(s) clés libre(s) : épistémologie, mythe, mathématiques
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La sociologie peut-elle prévoir ? / Edgar Morin

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 01-03-2000 / Canal-U - OAI Archive
MORIN Edgar
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La sociologie peut-elle prévoir ? Edgar MORIN. Conférence donnée dans le cadre de l'Institut d'Études Doctorales. Université Toulouse II-Le Mirail, mars 2000. Présentation de la conférence par René Souriac (vice-président de l'UTM), Michel Bressolette (directeur de l'IED) et Daniel Filâtre (directeur de l'UFR de sociologie).Dans cette conférence, Edgar Morin propose une réponse à la question de savoir si la sociologie, l'histoire et la philosophie aussi, peuvent permettre de prévoir l'avenir. La connaissance d'un présent complexe, ou du moins la conscience que l'on en a, permet-elle de " savoir ce qui est promis à la décadence rapide et ce qui va germer dans le futur" ?Convoquant tour à tour Euripide, Hegel, Pascal, Bartholomeo De Las Casas, Ortega y Grasset ou Lévi-Strauss, la philosophie des Lumières et les Droits de l'homme, les "technosciences", la biologie, la physique ou la cybernétique et même la science-fiction, Edgar Morin rend compte de la difficulté, voire de l'impossibilité, de toute prévision : "On n'est jamais sûr d'avoir une connaissance de ce qui va contribuer à l'imprévisibilité de notre futur". Les événements imprévus, perturbateurs et inassimilables tels que l'on en a connus dans l'histoire ancienne ou récente, l'évolution des courants majoritaires dominants face aux contre-courants ainsi que les interactions continues entre les événements au niveau local et au niveau mondial ne permettent pas de prédire le futur. Surtout à l'heure de la globalisation et des changements induits par les avancées de la recherche scientifique sur le vivant, sur le génome. Ce moment où " l'Humanité peut remporter une première victoire de façon non mythologique sur la mort", et où, paradoxalement, "pèse sur l'Humanité la menace d'une mort collective et totale dûe aux risques nucléaires et écologiques" ne permet aucune prévision. "Nul ne possède un observatoire d'où il puisse déclarer que l'on n'inventera pas des formes sociales nouvelles, la créativité humaine ne peut pas être déclarée comme close". Néanmoins, malgré ces facteurs d'incertitude, Edgar Morin pense que la sociologie peut proposer une "problématisation du futur" qui serait assortie de vigilance, fondée sur un pari pour certaines valeurs et qui, plutôt qu'un plan programmé, mettrait en œuvre une stratégie modifiable selon le hasard des événements... "et puis, il faut s'attendre à de l'inattendu".
Mot(s) clés libre(s) : épistémologie, prévision sociale, socio-histoire, sociologie de la connaissance, sociologie historique
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