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Atelier 1. Matière - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
/ Canal-u.fr
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1. Matière
– Salle Benjamin –
Responsables : Soercha Dyon et Ludovic Jouvet (INHA)
Florian Metral (université
Paris I Panthéon Sorbonne / HiCSA)
Michel-Ange ou
l’esclave de la chapelle Sixtine
« Je me trouve ici en un lieu qui ne me convient pas, et
je ne suis pas peintre ». Esclave du pape, esclave du Créateur, esclave de la
peinture... On tentera de cerner les fondements et les ressorts d’une poétique de
l’esclavage chez Michel-Ange.
Marguerite
Pettinotti-Parot (université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
Un rapport complexe
à la matière : Michel-Ange et la peinture sur pierre
Sebastiano del Piombo inventa en 1535 le procédé
permettant de créer des oeuvres éternelles et peignit sur pierre d’après des
dessins de Michel-Ange. Pourquoi celui-ci refusa-il cette expérimentation et
rompit définitivement avec lui ?
Chiara Utro (université
Paris-Sorbonne)
Terribilità et
virtuosité anatomique. Des géants michélangelesques aux sculptures de petite
taille par Gaëtano Giulio Zumbo : deux modèles en comparaison.
Deux artistes, deux époques en comparaison. Comment la terribilità
michélangelesque évolue-t-elle jusqu’à l’âge baroque ? La confrontation
raisonnée entre les œuvres des deux artistes contribue à tracer ce parcours. Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, esclavage, Michel-Ange
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Interpréter les mémoires officielles locales de l’esclavage : les politiques de mémoire comme politiques symboliques
/ Canal-u.fr
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Renaud Hourcade (IEP de Rennes) Mot(s) clés libre(s) : discrimination, justice sociale, esclavage (mémoire collective)
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“Perfectionism from Civil War to Civil Rights: For an Interdisciplinary Reframing of Contemporary African American History (1870s-1970s)”
/ Jean-François THOMELIN, Fondation Singer-Polignac
/ Canal-u.fr
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Nicolas Martin-Breteau, EHESS, CENA/Mondes Américains Mot(s) clés libre(s) : droits de l'homme, esclavage, guerre civile américaine, Afro-américains
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Sites of Disembarkation and the Public Memory of the Atlantic Slave Trade
/ Guillaume BRAUNSTEIN, Angelo MONTONI, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 22-10-2015
/ Canal-u.fr
ARAUJO Ana Lucia
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Ana Lucia Araujo (Department of History, Howard University) Mot(s) clés libre(s) : esclavage, traite des esclaves
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
BARCIA ZEQUEIRA María del Carmen
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.La memoria colectiva vinculada a la esclavitud es asunto vigente en la sociedad cubana actual, y se manifesta en la presencia de los cultos religiosos afrocubanos, de esta manera se revela la relación entre memoria e historia socio-cultural. Las devergencias históricas entre capas, sectores y grupos integrados por negros y mulatos, algunos apegados a formas de la cultura occidental, no han podido impedirlo.Buena parte de los estudios vinculados a la esclavitud moderna se inscriben en campos vinculados a la memoria, individual o colectiva, presente en los descendientes y depositada en los documentos. Estas historias recogen sus espacios sociales, sus experiencias, su conciencia que también es histórica y que en gran medida ha conformado una mentalidad de resistencia ante avatares de diversa índole e incluso la formación de identidades. De poco sirven los avances metodológicos, la comprensión de procesos, el uso de conceptos, si estos no tienen aplicación en esa realidad pasada, que aún forma parte del presente y que difícilmente será excluida del futuro.La continuidad de una memoria vinculada a los espacios simbólicos de la trata negrera y de la esclavitud se asienta en un encadenamiento parental que se inició en el barco negrero. Rotas las memorias de las familias de origen, se fueron estableciendo otras que se basaron en la presencia de carabelas, cabildos africanos, compadres de bautismo católico o africano, matrimonios legales o consensuales, es decir en parientes de diverso tipo que integraron otra familia, la afrocubana. En esta relación se construyó una nueva memoria que conservó, enraizó y trasmitió hasta la actualidad algunas tradiciones ancestrales. Mot(s) clés libre(s) : esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective), Cuba (20e-21e siècles)
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Les Amériques noires : identités et représentations. Conférence inaugurale / Jean-Luc Bonniol
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
BONNIOL Jean-Luc
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Les Amériques noires : identités et représentations. Conférence inaugurale / Jean-Luc Bonniol, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Aux Amériques, les puissances coloniales européennes, puis les premières républiques, ont fait de la traite et de l'esclavage des Noirs un des principaux moteurs de leur prospérité économique, qu'il s'agisse de l'exploitation minière ou des grandes plantations. Déportées par millions au cours des siècles, niées dans leur humanité et leurs cultures, les populations d'origine africaine ont dû survivre à la tragédie individuelle et collective de la traite et de la condition servile.
Survivre a imposé de se reconstruire : la tragédie de l'esclavage est aussi l'histoire des luttes pour l'émancipation et la dignité, depuis les palenques et les quilombos d'Amérique latine jusqu'aux combats pour l'égalité des droits aux Etats-Unis, dans les années 1960. Du nord au sud du continent, les « Amériques noires » -pour reprendre l'heureuse expression de Roger Bastide- sont à la fois cohérentes et diverses. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle, négritude, anthropologie sociale et culturelle, esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective)
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Esclavage et mémoire dans la poésie de tradition orale du Nordeste du Brésil / Emanuele Carvalheira de Maupeou
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CARVALHEIRA DE MAUPEOU Emanuele
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Esclavage et mémoire dans la poésie de tradition orale du Nordeste du Brésil / Emanuele Carvalheira de Maupeou, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations", organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 1 : Esclavage et mémoire.Malgré son importance et sa durée dans le temps, l'expérience esclavagiste brésilienne n'a permis que de façon très marginale la production de textes sortant directement de la plume d'esclaves ou d'anciens esclaves. Ainsi, à la différence des USA, au Brésil les récits d'esclaves sont rares et fragmentés. L'organisation même de la société brésilienne, ainsi que les modalités d'une abolition tardive, sont considérées comme les principaux facteurs de cette pauvre production. Malgré ce constat, quelques témoignages ont pu être préservés, parfois même par des moyens autres que l'écriture. C'est le cas au Sertão, région pauvre et reculée du Nordeste du Brésil, où la littératire de tradition orale -le "cordel"- a permis la préservation de poèmes traitant du quotidien d'une société esclavagiste. Parmi les plus célèbres poètes du Sertão figurent deux esclaves, Ignácio da Catingueira et Fabião das Queimadas, qui ont vécu au XIXe siècle et qui ont laissé des rimes riches concernant aussi bien l'expérience même d'être esclave que le regard porté par la société sur celle-ci. Cette communication s'intéresse à ces deux poètes esclaves ainsi qu'à la production qu'ils ont laissé, et à la façon dont la littérature de "cordel" -tradition toujours vivante dans la culture du Nordeste- se tourne vers les question concernant l'histoire et la mémoire de l'esclavage dans la région. Mot(s) clés libre(s) : tradition orale, Brésil (Nordeste), poésie brésilienne, esclavage (mémoire collective), écrits d'esclaves, Brésil (19e siècle), littérature de colportage brésilienne (literatura de cordel)
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Le sucre
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN
/ 21-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHALMIN Philippe
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Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières Le sucre, par Philippe Chalmin Depuis ses débuts en 2006, l’Université populaire étudie l’histoire mondiale de la colonisation. Cette longue séquence d’au moins cinq siècles a déjà été traitée de manière chronologique à partir des premiers navigateurs portugais, puis en étudiant les dates cruciales de la colonisation depuis la Renaissance ; et enfin à travers l’histoire des métissages. Pour sa quatrième année,l’histoire de la colonisation sera traitée successivement sous deux angles: les matières premières,avec 11 conférences entre septembre 2009 et février 2010, puis les archétypes, clichés issus de la colonisation, dont la série commencera en avril 2010. Au programme de l’automne et de l’hiver, le cycle de l’histoire mondiale de la colonisation vous entraîne donc dans un voyage au long cours sur les chemins des matières premières. La découverte et le commerce de ces ressources ont en effet modelé les relations entre pays colonisateurs et colonisés, longtemps après la décolonisation et encore aujourd’hui. Historiens, économistes et ethnologues explorent les parcours du poivre (par Philippe Chalmin), de l’arachide au Sénégal (par Marc Michel), du cacao (par François Ruf), du coton (par Erik Orsenna), de la bauxite à l’aluminium (par Francis Gutmann), du nickel en Nouvelle-Calédonie (par Alban Bensa), du café (par Benoît Daviron), du sucre (par Philippe Chalmin), de l’opium (par Xavier Paulès), du riz (par Mamadou Fall), ou encore du pétrole (par Jean-Marie Chevalier). Mot(s) clés libre(s) : betterave, canne à sucre, colonialisme, colonisation, commerce triangulaire, esclavage, esclavagisme, histoire coloniale, histoire du sucre, matière première, plantation esclavagiste, saccharose
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHIVALLON Christine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 1 : Esclavage et mémoire.
Cette communication s'intéresse aux nouvelles pratiques patrimoniales et muséographiques relatives à l'esclavage trasatlantique dans la France contemporaine et ses lointains "Départements d'outre-mer" de la Caraïbe. Elle envisage de manière critique les discours que proposent ces nouveaux dispositifs patrimoniaux au vu de l'ambition qu'ils visent de représenter l'esclavage. A partir d'expériences concrètes de scénographies de l'esclavage, plutôt muséographiques, il s'agit de faire émerger les questions que pose la mise en visibilité de l'esclavage par le langage patrimonial dans un contexte politico-mémoriel saturé de signes. La visée stratégique de la prise en compte du passé esclavagiste fait en effet massivement appel aux « machines du souvenir », outils de la modernité occidentale, pour tenter de convaincre de la prise en compte des histoires douloureuses des peuples noirs. A partir de quelques exemples, Christine Chivallon veut ainsi montrer que ce langage muséographique et monumental, fortement mobilisé dans le contexte de frénésie mémorielle, n'est pas adapté pour traduire les expériences sociales issues de la matrice esclavagiste. Celles-ci semblent comme leur échapper ou être de nouveau rendues silencieuses par des dispositifs qui oblitèrent des pans de réalités sociales encore vives ou qui viennent à produire des régimes de représentations encore étroitement liées aux spécificités de sociétés restées clivées par les héritages coloniaux. Cette commuication envisage successivement quatre stratégies discursives : celle de la périodisation historique, celle du récit national, celle du lieu-témoin, celle enfin de la monumentalité du Mémorial. Ces stratégies ne sont pas exclusives l'une de l'autre mais expriment plutôt des dominantes où les discours, par leurs procédures de sélection et d'exclusion, installent certaines visions de l'esclavage qui brouillent les manières d'atteindre le sens de l'expérience humaine formée dans le creuset esclavagiste. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, lieux de mémoire, politique culturelle (protection du patrimoine), esclavage (mémoire collective), scénographie d'exposition (muséologie)
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Mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions, avec Myriam Cottias
/ 08-12-2014
/ Canal-u.fr
COTTIAS Myriam
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La France est le premier Etat à avoir déclaré, en 2001, la traite négrière et l’esclavage "crimes contre l’humanité". Seul le Sénégal l’a rejointe dans cette voie, en 2010.Quelques années plus tard, en 2006, elle fait du 10 mai "la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions". Occasion pour la France métropolitaine d'honorer le souvenir des esclaves et de commémorer l'abolition de l'esclavage, cette journée marque aussi la volonté d’engager une réflexion générale sur une mémoire longtemps refoulée, mais qui fait partie de notre histoire.Elle entend contribuer à développer la connaissance scientifique de l’esclavage et de la traite des noirs.Près de dix ans après, cette conférence dresse un premier bilan de ce projet et de son évolution. Mot(s) clés libre(s) : esclavage, bilan, traite, abolition
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