Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : table ronde
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GARCIA-DEBANC Claudine
Voir le résumé
Voir le résumé
Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : table ronde, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Patrick Gache et Gaëlle Eichelberger et par Katia Abbou pour la traduction de la langue des signes française au français].
En quoi la maîtrise d'un double système linguistique de deux langues très différentes que sont la langue des signes française et le français écrit devient un atout pour l'élève et l'adulte sourd ? à quelles conditions et comment ?
Animation
Claudine Garcia Debanc, Professeur en didactique du français (ESPE Toulouse),
Participants
Brigitte Garcia, professeur en didactique du français (ESPE Midi-Pyrénées),
Marie Perini, enseignante-chercheure en linguistique de la LSF (Université Paris 8),
Nathalie Faucher, interprète en LSF et chargée des ressources humaines (Interpretis, Toulouse)
Marie-Thérèse L'Huillier, ingénieure d’études au sein du laboratoire Structures Formelles du Langage (SFL /CNRS),
Vivien Fontvieille, interprète et traducteur en LSF, membre de l'Association Française des Interprètes en Langue des Signes (AFILS, Paris). Mot(s) clés libre(s) : psycholinguistique, étude et enseignement (france), didactique des langues, langue des signes française
|
Accéder à la ressource
|
|
Spécificités structurelles et typologiques des LS, langues de l'oralité, et accès des sourds à la littératie / Brigitte Garcia
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GARCIA Brigitte
Voir le résumé
Voir le résumé
Spécificités structurelles et typologiques des LS, langues de l'oralité, et accès des sourds à la littératie / Brigitte Garcia, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
Conférence en français, traduite en langue des signes française par Patrick Gache. Mot(s) clés libre(s) : bilinguisme, langue des signes, didactique des langues, littératie, écriture (étude et enseignement)
|
Accéder à la ressource
|
|
B2 - Le cadre européen des langues et le japonais par Geneviève Gaillard
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GAILLARD Geneviève
Voir le résumé
Voir le résumé
« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL), étude et enseignement (france), japonais (langue), programmes de langues vivantes
|
Accéder à la ressource
|
|
Français <=> LS vidéo : enseigner la traduction / Nathalie Faucher, Vivien Fontvieille
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
FAUCHER Nathalie, FONTVIEILLE Vivien
Voir le résumé
Voir le résumé
Français LS vidéo : enseigner la traduction / Nathalie Faucher, Vivien Fontvieille, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduit en langue des signes française par Katia Abbou et Gaëlle Eichelberger]. Mot(s) clés libre(s) : étude et enseignement (aides audiovisuelles et informatiques), traduction (étude et enseignement), langue des signes française (étude et enseignement)
|
Accéder à la ressource
|
|
2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initiale
/ 05-12-2013
/ Canal-u.fr
ETIENNE Jérôme
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initialeIntervenant : Pr Jérôme ETIENNE, Faculté de Médecine de Lyon EstSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S. Mot(s) clés libre(s) : EGFRM 2013, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFRM, 2013, Bobigny
|
Accéder à la ressource
|
|
080 - Enseigner la guerre d'Algérie à l'école : dépasser les enjeux de mémoires
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)par Gilles Boyer (Institut universitaire de formation des maîtres, Lyon), Véronique Stachetti (Lycée Brossolette, Villeurbanne)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Si l’étude de la guerre d’Algérie est présente dans les programmes d’histoire de l’enseignement secondaire depuis une vingtaine d’années, il convient dans un premier temps de présenter la place qu’elle y occupe aussi bien au collège qu’au lycée. Dans quelle partie des programmes de troisième et de terminale est-elle située et combien de temps peut lui être consacré dans une progression sur l’année scolaire. Nous évoquerons aussi son introduction à l’école primaire avec la mise en place de nouveaux programmes d’histoire en 2000.Dans un deuxième temps, nous présenterons le travail d’enquête effectué pour l’Institut national de recherche pédagogique dans l’Académie de Lyon en 2000, 2001 et 2002. Quinze enseignants de collège et de lycée situés en banlieue, en centre-ville et en milieu rural ont répondu au cours d’entretiens à un questionnaire sur leur pratique d’enseignement et les difficultés auxquelles ils pouvaient être confrontés. Nous prendrons aussi appui sur les bilans de deux stages de formation continue organisés en 2004 et 2005 sur le thème « Enseigner la guerre d’Algérie entre Histoire et mémoire ». Ils ont regroupé à chaque fois une quarantaine d’enseignants pendant quatre demi-journées dont une consacrée à un échange de pratiques. La synthèse et l’analyse des résultats d’enquêtes et des bilans de stages permettent de mettre en évidence une série de thèmes : Quels choix d’enseignement ? Problématiques envisagées, références factuelles, acteurs cités et documents utilisés.La question correspond-elle à une demande sociale spécifique que traduiraient les élèves, les parents ou les diverses associations ? Quelles limites rencontrées ? Les enjeux sémantiques (comment nommer les différentes populations de l’Algérie coloniale). Les enjeux de mémoires (des réactions parfois vives d’élèves à l’énoncé de certains mots, l’émergence parfois vive de réactions mémorielles par mimétisme familial qui peuvent rester difficiles à stabiliser pour l’enseignant selon le niveau et le lieu auxquels il enseigne). Un thème d’enseignement qui, dans la problématique plus générale de la colonisation, suscite un large intérêt aussi bien de la part des élèves que des enseignants ou comment la perception aiguë des enjeux de mémoires conduit à une demande d’Histoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), manuels d'enseignement
|
Accéder à la ressource
|
|
079 - Les difficultés de la transmission scolaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Le lien Algérie-France dans les programmes d'histoire, les manuels et l'enseignement en France par Françoise Lantheaume (Institut national de recherche pédagogique) Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’enseignement de l’histoire en France a eu, depuis le XIXe siècle, un but de socialisation politique des nouvelles générations, orientée par une forme politique, la République, et un espace de référence, l’État-nation, agrandi à l’échelle de l’Empire tant que celui-ci a existé. C’est une socialisation politique prenant appui sur l’inculcation d’un certain nombre de valeurs politiques liées à celles de la démocratie parlementaire. Par le récit qu’il présentait, l’enseignement de l’histoire, présent tout au long de la scolarité, a aidé les générations successives à forger un sentiment d’appartenance à une collectivité définie par sa forme politique, par son espace, par un certain nombre de valeurs, il a été constitutif de ce qu’on peut appeler l’être français. Jusqu’aux années 1950-1960, le bien commun proposé aux jeunes Français allait de soi.La décolonisation a joué un rôle essentiel dans la remise en cause du montage faisant tenir ensemble un projet politique, un état de la science historique et l’enseignement de l’histoire. En témoignent, l’évolution des programmes d’histoire et des manuels scolaires. Dans les deux cas, entre la période coloniale et la période récente, on ne parle plus de la même façon ni de la même chose.L’analyse du passage d’un discours de légitimation de la colonisation ne mettant pas en doute la vertu civilisatrice de la colonisation, à une vision plus critique et plus complexe de cette période fait l’objet de la communication. Celle-ci présentera l’évolution des programmes et des manuels scolaires en relation avec l’évolution du contexte de leur production et s’interrogera sur la réalité, les limites, les modalités, et les effets de la « bascule » d’un enseignement collant au projet colonial lié à la construction de l’identité nationale française, à un enseignement capable de distance critique. L’étude de la façon dont l’enseignement de l’histoire en France a construit le traitement d’une question controversée renseigne à la fois sur la nature du lien entre la France et l’Algérie, sur la place de l’enseignement de l’histoire en France, et sur le processus de définition d’un curriculum et des objets qui le supportent. Les pratiques enseignantes sont quant à elles prises dans des contraintes contradictoires, ce qui conduit généralement les enseignants à une attitude de prudence, voire de relativisation, dont les effets seront envisagés.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), historiographie (aspect politique), identité, manuels d'enseignement, mémoire collective
|
Accéder à la ressource
|
|
078 - Quels savoirs transmettre ? débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (étude et enseignement), historiographie
|
Accéder à la ressource
|
|
077 - Le passé franco-algérien dans les manuels algériens d'histoire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne par Lydia Aït Saadi (Institut national des langues et civilisations orientales)Quand on parle de mémoire « nationale », ce qui vient à l’esprit relève le plus souvent de la grandeur, de la beauté, de l’héroïsme, de la gloire et de l’élan de certaines aspirations ou mouvements collectifs. Cependant, c’est aussi la mémoire des crimes et des violations des Droits de l’Homme de la part de dirigeants ou de tels groupes qu’il conviendrait de ne pas camoufler par un discours béat ou enflammé. C’est pourquoi l’écriture de l’histoire d’une manière générale et sa transmission par la voie officielle que constitue l’école, avec pour principal outil le manuel scolaire d’histoire, représentent un enjeu important dans l’élaboration de la mémoire nationale ou institutionnelle. C’est ainsi que la sensibilisation des enfants aux questions de leur temps passe par l’apprentissage des bases de leur histoire nationale de manière simple, attrayante, mais rigoureuse. Car il est certain qu’un peuple à qui l’on refuse les connaissances nécessaires pour être un citoyen peut devenir un peuple esclave prêt à s’incliner devant une tyrannie. C’est un procédé bien connu que de vouloir régner sur les esprits par l’obscurantisme. L’absence de référence à un héritage patriotique mène à l’hégémonie totalitaire.En Algérie, l’étude de l’insurrection de 1954 qui constitue l’élément de référence essentiel du point de vue de l’identité nationale et qui occupe une place privilégiée dans le programme scolaire algérien, semble hésiter entre trois approches, plus ou moins menées à terme. La première présente la guerre de libération comme un fait singulier et fondateur, la deuxième préfère l’insérer aux côtés de l’étude de la période coloniale dans la longue durée - arabo-islamique notamment -, et la troisième, enfin, aborde la guerre de libération comme un fait contemporain qui porte en lui la marque globale de l’histoire du XXe siècle.Il est important de garder à l’esprit que le manuel est avant tout un instrument de socialisation ; il sert à faire accepter l’ordre en place, à le légitimer à l’occasion, à reproduire la société. Il prépare des citoyens conformes, alignés et intègres. Il développe le respect des institutions, le sentiment d’appartenance ; il moule les consciences et détermine les comportements sociaux, et cela par le biais du récit « vrai » des faits « vrais » qu’il faut savoir et que véhicule le manuel à l’école... Et tout cela au profit de l’idéologie dominante et du pouvoir dominant - au profit de « l’équipe gagnante » du moment. Le manuel d’histoire défend ainsi les intérêts du pouvoir, des gestionnaires du système et la pensée dominante.Aussi il apparaît qu’en Algérie comme ailleurs les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir depuis l’indépendance n’ont eu de cesse de puiser une légitimité dans la guerre de libération nationale en tant que fait fondateur de la nation algérienne moderne. S’il paraît évident que l’État algérien puise dans l’histoire nationale afin de se légitimer, la société algérienne en crise a elle aussi besoin de cette histoire car elle est en quête de normes et de modèles d’identification et cherche à puiser dans son passé sa propre identité. En effet, ce n’est qu’après 132 ans de colonisation et sept ans de guerre d’indépendance que naîtra l’Algérie actuelle. Mais qu’est ce que l’Algérie et d’où vient-elle ? Quels en sont les fondements historiques ? Comment se situe-t-elle dans l’ensemble international ? Et qu’en est-il de la conscience identitaire et du rapport à l’universel ?C’est à l’histoire comme discipline sociale qu’il appartient d’essayer de répondre à ces questions ; et c’est à l’école de prendre le relais en transmettant ces connaissances historiques qui constituent la mémoire « institutionnelle ». Or, que dit l’école à propos de l’Algérie et de ses rapports avec le monde ? Comment procède-t-elle à cette transmission de mémoire ? Arrive-t-elle à élucider le passé algérien ou alors ne fait-elle qu’imposer un semblant de savoir ou de fausses connaissances ? Finalement quelle histoire est réellement enseignée dans les écoles algériennes ?Ce travail a pour objet de tenter de répondre à ce type d’interrogations, et cela sur la base de l’outil de transmission de mémoire par excellence, à savoir le manuel scolaire d’histoire. C’est lui qui dispense « le savoir » officiel auquel se réfèrent élèves et enseignants. Les manuels d’histoire, comme en fait ceux de géographie, de littérature, voire ceux de philosophie, d’instruction civique et religieuse, pèsent lourdement - en droit tout au moins - sur la conscience des générations qui passent par le système scolaire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, histoire, histoire (aspect social), histoire (étude et enseignement), historiographie, identité nationale, manuels d'enseignement, mémoire collective
|
Accéder à la ressource
|
|
Réciter, dire, écouter, agir : tensions et écarts dans les enjeux scolaires de la performance poétique au secondaire en France et au Québec / Magali Brunel, Judith Émery-Bruneau
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
ÉMERY-BRUNEAU Judith, BRUNEL Magali
Voir le résumé
Voir le résumé
Réciter, dire, écouter, agir : tensions et écarts dans les enjeux scolaires de la performance poétique au secondaire en France et au Québec / Magali Brunel, Judith Émery-Bruneau, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique : Enseignement et didactique.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie (étude et enseignement)
|
Accéder à la ressource
|
|