Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
046 - La Guerre de libération nationale algérienne et les pays de l’Est : le cas de la Hongrie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
Voir le résumé
Voir le résumé
par Laszlo Nagy (Université de Szeged (Hongrie)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1) France, guerre d'algérie et enjeux internationaux : session thématique (prés. Raphaëlle Branche)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne C’est pendant les années de la Guerre de libération nationale algérienne que la doctrine de Moscou en politique étrangère subit un changement fondamental : initialement axée sur le continent européen, elle acquiert une vocation globalisante, reconnaissant les mouvements nationaux comme force politique autonome, indépendante. L’intervenant va présenter - à travers le cas de la Hongrie - la position des pays de l’Est vis-à-vis de la guerre de libération nationale algérienne.1. Les deux premières années : 1954-1956La guerre suscite peu d’intérêt dans les pays de l’Est : Moscou regarde surtout vers le Proche-Orient - pacte de Bagdad, présence britannique. La France reste toujours pour lui considérée comme un partenaire potentiel contre les États-Unis (voir les entretiens de Guy Mollet à Moscou en mai 1956 et le communiqué insistant sur « une solution d’esprit libéral du problème algérien »). La presse donne des informations sur les évènements (« situation tendue », « accrochages armés », « arrestations », mais pas un mot sur le FLN). Affaire de l’émission en langue arabe de la Radio-Budapest 1954-1955 (sa rédaction est composée de communistes nord-africains). Son fonctionnement, sa suppression, problème diplomatique entre la France et la Hongrie.2. Les « crises parallèles », Suez-Budapest : 1956Lors de la visite à Moscou du président syrien, l’URSS s’exprime pour la première fois sur l’Algérie. La guerre d’Algérie et l’affaire de Hongrie à l’ONU. Pour la Hongrie, la guerre de libération algérienne a une importance particulière : elle permet au gouvernement Kadar, imposé par Moscou après l’écrasement de l’insurrection de Budapest, d’obtenir le vote favorable des pays arabes lors des débats sur l’affaire de Hongrie.3. À partir de 1957La Hongrie mène une propagande intense en faveur de la lutte du FLN pour l’indépendance de l’Algérie. Mais en même temps elle est prudente concernant l’aide matérielle et la reconnaissance du GPRA.4. À partir de 1960Les pays de l’Est s’engagent de plus en plus. Position de l’URSS, visite de Ferhat Abbas à Moscou et en Hongrie (octobre 1960). Aides matérielles concrètes de la Hongrie au FLN (chiffres). Reconnaissance de jure du GPRA en avril 1962.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), enjeux politiques, opinion publique (europe de l'est), opinion publique étrangère, relations extérieures (hongrie)
|
Accéder à la ressource
|
|
2014 - La finance : un danger pour l'Europe ?
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ 09-04-2014
/ Canal-u.fr
GRANDIN Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
Présentation par Pr Michel Levasseur
Université Lille2
Pascal Grandin est Professeur à la Faculté de Finance, Banque, Comptabilité de l’Université Lille 2 et Directeur de la Recherche à SKEMA. Ses travaux portent sur la gestion de portefeuille. Il s’intéresse à deux courants nouveaux de l’économie financière, la finance comportementale et la finance durable.
L’activité financière, qu’il s’agisse des banques ou des marchés financiers, est souvent mal comprise. C’est probablement la raison pour laquelle elle est si vivement critiquée. La finance apparaît aujourd’hui comme une menace pour l’Europe, crise oblige. Qu’en est-il ? Il est vrai que les marchés financiers peuvent être affectés par nombre de biais comportementaux et être source d’instabilité à court terme.
Cependant, une analyse en profondeur nous oblige à suggérer que ce n’est pas la finance qui met en danger la construction européenne mais les déficiences de la construction européenne qui viennent perturber les marchés financiers. Mot(s) clés libre(s) : finance, monnaie, communauté européenne, Banque Centrale Européenne, pays d'europe, construction européenne
|
Accéder à la ressource
|
|
2014 - quelle défense pour quelle Europe ?
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ 02-04-2014
/ Canal-u.fr
THOMANN Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Présentation par Pr Pierre-André Lecocq
Université Lille2
Le concept de « défense européenne » est-il illusoire ? Près de 50 ans après les premières tentatives d’une construction propre à l’Europe, les progrès espérés dans cette démarche d’unité restent modestes, malgré quelques avancées souvent méconnues. L’Europe de la défense apparaît de plus en plus comme un objectif à très long terme. Quel chemin prendre pour atteindre l’objectif, quelles en sont les limites et contraintes, aujourd’hui et pour demain ? Mot(s) clés libre(s) : communauté européenne, politique européenne de sécurité et de défense, pays d'europe, construction européenne
|
Accéder à la ressource
|
|
3e table ronde : Les « cas éminents » de l’Europe contemporaine
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 06-06-2016
/ Canal-u.fr
THIBAUD Paul, LE GOFF Jean-Pierre, SCHNAPPER Dominique
Voir le résumé
Voir le résumé
Discutant : Paul Thibaud (ancien directeur d’Esprit)
Jean-Pierre Le Goff (CNRS-Université Paris 1 Panthéon Sorbonne)
« Peut-on encore comprendre mai 68 ? »
Dominique Schnapper (EHESS-CESPRA)
« La chute du mur de Berlin : succès et effets pervers » Mot(s) clés libre(s) : mai 68, contestation, interprétation, Union soviétique, Chute du mur de Berlin, Europe
|
Accéder à la ressource
|
|
A2 - Le japonais en Europe et dans le monde par Kakazu Katsumi
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
KATSUMI Kakazu
Voir le résumé
Voir le résumé
« Le japonais, c’est possible. Etats généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008 Mot(s) clés libre(s) : japonais (langue), langues vivantes (étude et enseignement), pédagogie (Europe)
|
Accéder à la ressource
|
|
Agnès Paillard / Quelle compétitivité pour l'Europe ?
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 27-11-2014
/ Canal-u.fr
PAILLARD Agnès
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le cadre de l’édition 2014 des journées sur l’Union
Européenne Eurotémis, organisée par Science Po Bordeaux, plusieurs personnalités,
du monde politique ou industriel, se sont prêtées aux questions des étudiants de l’association EUROFEEL sur
le thème « Quelle compétitivité pour l’Europe ? »
Mot(s) clés libre(s) : Compétitivité, Eurotémis, Europe
|
Accéder à la ressource
|
|
Alain Rousset / Quelle compétitivité pour l'Europe ?
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 27-11-2014
/ Canal-u.fr
ROUSSET Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le cadre de l’édition 2014 des journées sur l’Union
Européenne Eurotémis, organisée par Science Po Bordeaux, plusieurs personnalités,
du monde politique ou industriel, se sont prêtées aux questions des étudiants de l’association EUROFEEL sur
le thème « Quelle compétitivité pour l’Europe ? »
Mot(s) clés libre(s) : Compétitivité, Europe, Eurotémis
|
Accéder à la ressource
|
|
Approche philosophique de l'administration européenne
/ UTLS - la suite
/ 31-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
DEWANDRE Nicole
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette conférence devrait être une invitation à penser autrement l'action politique et administrative. Elle proposera un déplacement par rapport à l'idéalisation et à son corollaire, l'indignation. Alors qu'on prétend souvent que la production d'idéal est nécessaire comme cap pour l'action, je soutiens qu'au contraire elle agit comme écran et occulte les nécessités et les contraintes de l'action politique et administrative. Ces nécessités sont notamment les jeux de pouvoir dans l'administration, les apories dans la chaîne de responsabilité, le caractère souvent irrésolu de la transcription d'une priorité politique en actes administratifs, la double dimension de l'action publique (sociale/efficace et politique/symbolique). Toutes ces nécessités requièrent d'être articulées et non amalgamées ou, pire, déniées. La figure ironiste est le vaisseau de mon « idéal » -si j'ose dire- pour la construction européenne, la Commission, et la fonctionnaire. C'est une posture philosophique qui assume la contingence du langage, qui intègre que le cours des choses n'attend pas, pour se dérouler, qu'une réponse soit donnée à certaines questions comme celles qui portent sur la nature du Vrai, du Bien, du Juste ou du Beau. Elle conduit à penser l'espace public par ses conditions aux limites, plutôt que par la recherche d'une origine. C'est une autre « physique » qui est proposée : celle du rebond, et pas celle du déploiement. Ne plus chercher à faire l'ange pour faire un peu moins la bête. Dans la réforme administrative, cela revient à reconnaître que le discours sur la compétence et la transparence n'est pas en mesure de fonder un nouveau mode de fonctionnement. L'enjeu est de mettre en place un système qui optimise les performances de l'administration sachant qu'il y aura toujours un mix de niveaux de compétence, et que, de plus, la compétence pure n'est pas isolable en soi. Je fais trois propositions : (i) instiller une dose de hasard dans la sélection de la hiérarchie, (ii) limiter systématiquement l'exercice des fonctions hiérarchiques dans le temps, (iii) développer un système de contre-pouvoirs au sein même de l'administration. Par rapport à la construction européenne, le pire ennemi sont les fausses alternatives, qui monopolisent le débat, et produisent un effet d'éviction par rapport aux enjeux actifs (toujours l'occultation !), comme par exemple l'opposition entre souveraineté nationale et construction européenne, ou encore l'amalgame entre la libéralisation/globalisation et la construction européenne. Je fais également trois propositions : (i) bannir du langage politique des formules collectives abusives, (ii) décliner les politiques en objectifs directs, (iii) ne jamais cesser d'aimer l'Europe. En conclusion, je défendrai l'idée selon laquelle l'issue de la Convention sera un élément-clé pour la vigueur et l'efficacité de la dimension politique en Europe, à quelque niveau que ce soit (municipal, régional, national, européen et mondial). Mot(s) clés libre(s) : administration, europe, philosophie
|
Accéder à la ressource
|
|
Biljana la femme-guérisseuse, Budisava, Serbie
/ 19-02-2000
/ Canal-u.fr
VIVOD Maria
Voir le résumé
Voir le résumé
Biljana la femme-guérisseuse, Budisava, Serbieun film de Maria Vivodfilm et montage : Maria Vivodassistance technique : SCAVtraduction francaise Vladimir Fisera et Maria Vivod
musique choeur des moines de Chevetogne, Chants de la liturgie slavonne
son Maria Vivod Ambre Muller & Astrid Marchioli
SCAV, Université Marc Bloch de Strasbourg1ère partie tournage en 2000interview avec commentaire et traduction en français sur les activités de cette guérisseuse
thérapie sur une vieille femme - feu - oreillethérapie plomb
thérapie jeunes femmes par la mère de Biljana - courge calebasse massage graisse Le film a été enregistré en hiver 2000, en Serbie Monténégro actuelle, c’est à dire, ce qui reste de l’ancienne fédération yougoslave. Plus précisément, il s’agit de la province au nord de ce pays, dans la région de la Voïvodine, à 150 km au sud de la frontière hongroise.
Le village où j’ai filmé s’appelle Budisava, à 15km de la capitale de la Voïvodine, Novi Sad. Le tournage s’est fait en février, soit presque un an après le commencement des bombardements de l’OTAN. Uniquement sur la ville de Novi Sad une quantité extraordinaire de 60 000 tonnes du matériel explosif sont tombés. C’est juste pour dessiner un croquis rapide de l’état d’esprit des gens qui étaient filmés pendant ces deux semaines…
Le sujet de mon film est Biljana, une femme serbe qui a quitté son poste de secrétaire de l’école primaire de son village pour se consacrer, comme elle le dit, à son métier de « guérisseuse populaire ». Elle devient très connue dans la région : les gens en cherchant une aide à leurs problèmes et à leurs maladies viennent la voir de loin.
Biljana n’est pas l’unique guérisseuse : depuis le début des années 90, quand les guerres civiles ont éclatées l’une après l’autre, les guérisseurs, les herboristes, les rebouteux et les voyants ont ressurgi après 40 ans de joug communiste qui interdisait et réprimait toute pratique de médecine dite « alternative ». La publicité par la télévision ou la radio est un moyen que ces guérisseurs utilisent pour se faire connaître. Dans la société serbe contemporaine il est devenu acceptable, voir « normal » de s’adresser aux médecins populaires, plus souvent appelés « traditionnels ».
Biljana est rebouteuse et pratique des massages. Elle prêche également le retour à la foi orthodoxe serbe. Mais sa réputation vient surtout d’un procédé qu’on appelle en langue serbe « salivanje strave », « olomöntés » en hongrois, soit dans une traduction libre (littérale ?) « faire fondre la peur ».
Dans les Balkans, et une partie de l’Europe Centrale, la fonte du plomb, presque toujours pratiquée par des femmes, est célèbre.
Elle permet notamment de guérir certains désordres psychiques et particulièrement la « maladie de la peur » : le « fras » en serbe ou « fràsz » en hongrois, une entité nosographique populaire qui se manifeste – le plus souvent chez les enfants en bas âge, mais aussi chez les adultes –, par un état d’anxiété aiguë et de nervosité, accompagné de cauchemars .
Mais les femmes qui fondent le plomb utilisent aussi cette technique pour établir un diagnostic et prédire l’état de santé des personnes venues consulter.
Biljana par exemple fait fondre le plomb pour presque chaque patient dans un but diagnostique. La forme du plomb fondu lui permet ainsi de voir ce dont souffre le consultant, ses maladies chroniques ou encore celles du passé. Par exemple, des petites cavités régulières évoquent des kystes ovariens chez les femmes, une forme du cœur – des maladies cardiovasculaires- etc.
Mais en répétant ce procédé (trois) plusieurs fois, elle peut non seulement traiter la maladie diagnostiquée mais aussi prévoir l’état de santé futur de la personne . Le succès du traitement est attesté lorsqu’elle obtient l’éclatement du plomb brûlant plongé dans l’eau, qui s’exprime par un bruit caractéristique et par la forme explosée qu’acquiert le métal fondu lors de sa solidification brutale.
Mais c’est principalement de la fonction divinatoire de cette méthode qu’il sera question dans le film présenté aujourd’hui, bien que cette dimension ne soit pas essentielle dans la pratique courante de Biljana. Elle affirme en effet qu’elle évite de dire aux patients ce qu’elle voit dans le plomb concernant l’avenir. Néanmoins, quelquefois, elle fait des exceptions et la forme du plomb permet alors de dévoiler des évènements futurs, les points faibles de l’individu, le développement probable de maladies, le délai dans lequel ces manifestations sont susceptibles de survenir. Mais pour parfaire ses prévisions, Biljana cherche à connaître le comportement religieux du consultant, en particulier le respect des principes et des règles prescrits et valorisés par l’église orthodoxe : le jeûne, les dimanches ou encore la façon dont la personne célèbre sa « slava », la fête du saint protecteur.
L’énoncé divinatoire est alors toujours acompagnée de recommandations relatives à la foi et la pratique religieuse : un zèle de la foi à laquelle il appartient (uniquement pour les personnes chrétiennes !), le respect des tabous (ne pas laver ses cheveux et son linge les dimanches, fréquenter l’église, se confesser régulièrement). Sous réserve que ces prescriptions soient respectées, la probabilité de survenue des maladies prédites devient minime.
Biljana peut également pratiquer la technique du plomb fondu en l’absence de la personne concernée. Elle utilise dans ce cas , comme nous allons le voir dans le film, un substitut nommé « zamena » - « échange » dans la langue serbe : un morceau de vêtement ou la photo de la personne absente. (M.V.)2ème partie tournage en 2005Consultation d’une femme par une femme guérisseuse dans son cabinet de consultation. Thérapie par incantation - Conjuration.
L’attention est portée à l’acte de l’incantation que Biljana appelle ‘prière’
Le plomb fondu est à la fois un objet divinatoire et thérapeutique Mot(s) clés libre(s) : feu, incantation, graisse, pain, fille, thérapie, mère, interaction enfant, ventouse, bocal, bougie, mal, Vostrog, icône religieuse, Budisava, Voïvodine, saint, sel, christianisme, peur, maladie, guerre, religion, femme, vidéo, massage, Serbie, orthodoxie, film ethnographique, divination, guérisseur, guérissage, Balkans, Europe
|
Accéder à la ressource
|
|
C'est comme ça l'éducation, dressage d'un poulain de trait
/ 08-05-1990
/ Canal-u.fr
LIZET Bernadette
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1990, Jean-Claude Perraguin, éleveur, dresse une pouliche. De l’écurie à la cour de ferme et aux champs, la jeune jument apprend le travail, d’abord seule puis dans l’attelée. La parole se combine à la pratique, la démonstration d’un savoir-faire de dresseur s’enrichit d’un portrait de la race percheronne et de l’agriculture dans la grande plaine berrichonne d’avant la motorisation.acteur : Jean-Claude Perraguincaméra : Michel Burnierson : Saadi Kessousmontage : D. Cabreramixage : Bernard Oses & Erwan MoreauRéalisation Bernadette Lizet Mot(s) clés libre(s) : agriculture, Europe, France, maréchal ferrant, percheron, relation homme-animal, éleveur, poulain, cheval de trait, dressage, film ethnographique, vidéo, histoire, Berry
|
Accéder à la ressource
|
|