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001 - Présentation du colloque Mai 68 en quarantaine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WINKIN Yves
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Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Ouverture du colloque La classe politique prise de panique en mai 1968 : Comment la guerre civile fut évitée ?Entre l’ancien et le nouveau : les grèves ouvrières de mai-juin 68 Recompositions de l’extrême-gauche dans l’après-68 Quand des paysans deviennent « soixante-huitards ». Conversions politiques et subversion des normes professionnelles Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques Discussion Maspero et l’édition politique en 1968La question pédagogiqueDiscussion La question de l’autorité et la restauration Discussion De toutes les couleurs, peinture d’histoire Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Ouverture session Les transformations de la philosophie française et le legs de 68 : les enjeux politiques du tournant des années 1970-1980 Discussion Révolte, insurrection, soulèvement : analyse de quelques modèles de lutte DiscussionMarxisme hétérodoxe et pensée libertaireDiscussion Avec et contre la théorie critique au nom de 68 Discussion Éros récidive Le lacano-marxisme de Deleuze et de Guattari Discussion Faire lever les devenirs : la question du devenir-révolutionnaire chez Gilles DeleuzeDiscussionFoucault et les " années 68 "Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de créationDu cinéma direct au documentaire : les évolutions du cinéma militant Un ciel enfermé dans l’eau/juin 1968 Du temps des ’’avant-gardes’’"Nous n’écrirons pas les Mémoires d’un âne" Modèles critiques et pratiques sonores Kiaï ! (écritures / impacts / action) Clôture du colloque Clôture Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, félix guattari (19030-1992), féminisme, france (1968), gilles Deleuze (1925-1995), histoire, histoire universelle (1945-1970), lutte des classes, mai 68, mouvements sociaux (1945-1970), pensée libertaire
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002 - Ouverture du colloque Mai 68 en quarantaine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GOBILLE Boris
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par Boris GobilleColloque Mai 68 en quarantaineEquipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, félix guattari (19030-1992), féminisme, france (1968), Gilles Deleuze (1925-1995), histoire universelle (1945-1970), lutte des classes, mai 68, mouvements sociaux (1945-1970), pensée libertaire
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008 - Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ACHIN Catherine, NAUDIER Delphine
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Colloque Mai 68 en quarantaine L’histoire des « idées » féministes est intimement liée à celle des pratiques et des mobilisations : dans les années 1970, des groupes de femmes à Paris comme en Province élaborent une politique d’autonomisation, indissolublement pratique (expérimentation de conduites subversives quotidiennes, groupes non mixtes, etc.), théorique (productions de concepts et d’analyse de l’oppression des femmes) et subjective (« conscientisation » et politisation, qui passent par la circulation de la parole, autorisant la mise en partage d’expériences, la possibilité de l’indignation et sa traduction sous formes de revendications collectives). Nous chercherons donc à appréhender le processus de production des idées féministes dans le sillage de Mai 68, en ayant soin de croiser les textes théoriques principaux du Mouvement des femmes publiés dans diverses revues au cours de la décennie, et les expériences pratiques de femmes actives dans des groupes, notamment en Province. Nous chercherons à comprendre, pourquoi et comment, à ce moment précis, les normes de genre ont été déplacées et les femmes ont subverti les assignations qui pesaient sur elles dans les différents cadres sociaux où elles s’inséraient. C’est en effet en recueillant nombre de micro-événements qui, jalonnant des histoires de vie reformulées à travers la reconstitution des manières d’être, de penser et d’agir, ont organisé et donné sens à ces « révoltes individuelles » que l’on peut accéder aux modifications pratiques, et pas seulement rhétoriques, des normes de genre. Les indignations quotidiennes et les accidents de trajectoire ordinaires déterminent la révolte des femmes, mais il est certain que la mise à disposition de cadres théoriques et de modèles impensables avant 1968 par l’espace public médiatique et par des membres locaux des organisations militantes, permet d’élargir l’espace des possibles et la conscientisation qui précède l’action.Bibliographie Christine Bard et Janine Mossuz-Lavau (dir.), Le Planning familial, histoire et mémoire, 1956-2006, Rennes, PUR, 2006 Christine Delphy, L’ennemi principal 1 et 2, Paris, Syllepse, 2001 Centre Lyonnais d’Etudes Féministes, Chronique d’une passion. Le Mouvement de Libération des Femmes à Lyon, Paris, L’Harmattan, 1989 Yasmine Ergas, « Le sujet femme. Le féminisme des années 1960-1980 », in Histoire des femmes en Occident, Paris, Perrin, 2002 Françoise Flamant, A tire d’elles. Itinéraires de féministes radicales des années 1970, Rennes, PUR, collection "Archives du féminisme", 2007. Antoinette Fouque, Gravidanza. Feminologie II, Paris, Des femmes, 2007. Françoise Picq, Libération des femmes : les années mouvements, Paris, Seuil, 1993 Annie de Pisan et Anne Tristan, Histoires du MLF, Paris, Calmann-Lévy, 1977. Michèle Riot-Sarcey, Histoire du féminisme, Paris, La Découverte, 2002. Michelle Zancarini-Fournel, « Genre et politique : les années 1968 », Vingtième siècle. Revue d’histoire, 75, jlet-sept 2002.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : féminisme, france, mai 1968, mouvement de libération des femmes, mouvement féministe
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009 - Discussion
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SOMMIER Isabelle, GOBILLE Boris, ACHIN Catherine, NAUDIER Delphine
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Colloque Mai 68 en quarantaine Recompositions de l’extrême-gauche dans l’après-68 Quand des paysans deviennent « soixante-huitards ». Conversions politiques et subversion des normes professionnelles Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : élections, émeutes, extrême gauche (1970-….), félix guattari (1930-1992), féminisme (1970-....), France (1968), guerre civile, lutte des classes, mai 68, maoïsme, mouvement de libération des femmes (France), mouvement féministe, mouvement ouvrier, mouveme
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013 - Discussion autour des thèmes
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI-FOURNEL Michelle, HAGE Julien, PUDAL Bernard
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Maspero et l’édition politique en 1968 La question pédagogique Colloque Mai 68 en quarantaine Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, félix guattari (19030-1992), féminisme, France (1968), gilles deleuze (1925-1995), histoire universelle (1945-1970), lutte des classes, mai 68, mouvements sociaux (1945-1970), pensée libertaire
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038 - Cloture du colloque Mai 68 en quarantaine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 24-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GOBILLE Boris
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Colloque Mai 68 en quarantaine Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, félix guattari (19030-1992), féminisme, france (1968), gilles deleuze (1925-1995), histoire universelle (1945-1970), lutte des classes, mai 68 (influence), mouvements sociaux, pensée libertaire
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Crystal Cordell: Repenser le choix à partir d'Aristote. Pour une philosophie pratique féministe
/ Canal-u.fr
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Docteur de l’EHESS (Mention Etudes politiques, 2009) et de
l’Université de Toronto (Science politique, 2009), Crystal Cordell Paris
est spécialiste de la philosophie politique. Sa thèse, consacrée à Lascience politique d’Aristote
(Prix de thèse de la Chancellerie des Universités de Paris - Prix
Richelieu, 2010), montre la pertinence de la réflexion aristotélicienne
sur l’art de gouverner pour la science politique contemporaine. Elle
prépare actuellement un ouvrage issu de ses recherches doctorales
Enseignante
à Sciences Po et en classes préparatoires aux grandes écoles, elle a
été ATER et chercheur associé à l’Université de Nice-Sophia Antipolis.
Mot(s) clés libre(s) : désir, féminisme, Aristote, choix, volonté
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (1)
Présentation par Azadeh Kian
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (2)
Orazio Irrera : « L'alèthurgie orientaliste: discours et subjectivation
dans L'Orientalisme de Said »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (3)
Pauline Vermeren : « Interroger la critique postcoloniale face au silence
sur la race en France »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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