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Table ronde : Enseigner les Humanités. Enseignement secondaire, les filières.
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 29-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FOURTANIER Marie-Josée, BIZOT Catherine, GUICHARD Françoise, MENAUT Marie-Hélène, VIGNEST Romain, BARRIÈRE Nadine
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Table ronde "Enseignement secondaire : les filières". Dans "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème IV : Enseigner les humanités : contenus, méthodes, filières, perspectives. Repenser enseignements et filières, 29 mai 2010. Interventions :- Présentation de la table ronde / Marie-Josée Fourtanier (professeur, université Toulouse II-Le Mirail).- Catherine Bizot (Inspectrice Générale de Lettres).- Françoise Guichard (professeur lycée Paul Cézanne d'Aix-en-Provence, collectif "Sauver les Lettres") : Pour une série littéraire véritablement littéraire.- Marie-Hélène Menaut (professeur au lycée Camille Jullian de Bordeaux et vice-présidente de la CNARELA).- Romain Vignest (Association des Professeurs de Lettres) : Créer une filière d'excellence littéraire.- Nadine Barrière (IUFM Midi-Pyrénées, Toulouse). Mot(s) clés libre(s) : enseignement classique, enseignement secondaire (France), langues anciennes (latin et grec), programme d'études (réforme), programmes scolaires (latin et grec)
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Renouveau et perspectives sur la langue française
/ Mission 2000 en France
/ 15-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CERQUIGLINI Bernard
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Une action en faveur de la langue française semble naturelle dans notre pays ; elle est plus que jamais nécessaire à l'heure de la mondialisation des échanges. On doit la fonder, cependant, non pas sur un attachement sentimental, mais sur une analyse scientifique de son histoire et des conditions de son progrès. Forte d'une tradition pluriséculaire, d'une vitalité mesurable, de nombreuses institutions d'encadrement, la langue française peut relever le défi de la modernité. Il faut pour cela : - relativiser la norme stricte qui la constitue, comprendre les dangers du purisme, percevoir les faiblesses du monolinguisme ; - moderniser les formes et structures qui requièrent un progrès. Par exemple, corriger régulièrement la graphie, inscrire dans le lexique la parité entre hommes et femmes ; - profiter des technologies nouvelles de la communication : bases de données textuelles et lexicales, dictionnaires en lignes, outils grammaticaux de toutes sortes sur Internet. Un rayonnement maintenu, voire accru de la langue française ne devra rien à une ""défense"" frileuse, mais tout au savoir et au mouvement.Conférence du 15 février 2000 par Bernard Cerquiglini. Mot(s) clés libre(s) : français (langue), france, langage et langues (france), langues et mondialisation, normalisation, politique linguistique, préservation des langues, purisme (linguistique)
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Pouvoir, langue et coutume au XVIe siècle / Jean-Pierre Cavaillé
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAVAILLE Jean-Pierre
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Jean-Pierre Cavaillé se propose d'examiner la relation entre langue et coutume au XVIe siècle, qui donne lieu au XVIe siècle à une réflexion particulièrement riche et diversifiée, en prenant en compte les couples notionnels mobilisés à l'époque pour théoriser à la fois la nature des langues, faire leur histoire, assurer leur promotion et penser la juste relation du pouvoir politique aux langues écrites et parlées par les sujets : « langues naturelles » et langues artificielles (ou plutôt langues « d'art »), langues « vulgaires » et langues « nobles », langage « maternel » et celui qui ne l'est pas, enfin « langue du pays » et « langue du roi » ou « langue de la cour ».L'importance assumée dans ces discussion par la notion, à la fois juridique, anthropologique et linguistique de « coutume », permet, entre autres choses de revenir sur le mythe de Villers-Cotterêts (ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539), aujourd'hui plus que jamais opératoire dans les discours publics. Cette déconstruction du mythe nous servira de terrain pour esquisser une première analyse des relations complexes entre langue, coutume, droit et pouvoir politique au moment où le français, comme d'autres langues vulgaires en Europe, à la faveur d'une dynamique indissociablement politique et culturelle, entreprend de rivaliser avec le latin et le grec.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : droit (langage), droit coutumier, français (langue), langage et langues (XVIe siècle), politique linguistique (XVIe siècle), sociolinguistique
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Lecture littéraire pour les niveaux débutants en classe de FLE ? / Rita Jover Faleiros
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
JOVER-FALEIROS Rita
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La lecture littéraire pour les niveaux débutants en classe de FLE ? / Rita Jover Faleiros.La communication de Rita Jover Faleiros porte sur le rôle de la lecture littéraire dans l’enseignement du FLE pour les niveaux débutants. Dans la première étape de la recherche, elle a travaillé sur la réception d’un texte littéraire dans un cours de FLE destiné à l’enseignement de la lecture (Instrumental). Parmi les réactions observées chez les étudiants, il convient d'en retenir une en particulier : la manifestation d’une difficulté attribuée à l’aspect littéraire du texte lu, cette réaction a attiré l'attention d’autant plus que le groupe a pu lire le texte. Elle a donc ouvert une voie de réflexion : en quoi consisterait cette difficulté ? Serait-elle associée à un écart entre le texte lu et texte produit par la lecture ? Faut-il éviter les textes “difficiles” dans l’enseignement d’une langue étrangère ? L’une des objections faites à l’activité de lecture littéraire en classe de FLE étant le niveau de langue des débutants et la difficulté due à la densité du texte, ce qui a fini, surtout avec l’avènement de l’approche globale dès les années 80, par définir un corpus de lecture (représenté dans les manuels par des notices, des affiches ou des dépliants par exemple) assez simplifié, rassurant pour l’apprenant. Or, les expériences dans le sens inverse montrent que des lectures plus complexes stimulent la formation des lecteurs qui doivent sortir du terrain sûr des lectures correctes pour se trouver dans le champ déstabilisant des lectures possibles où la pluralité des voix peut avoir droit de cité.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : français langue étrangère, lecture (aspect cognitif), lecture (pédagogie), littérature (étude et enseignement), livres et lecture
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Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre du projet LGIDF, ce projet a pour but d'archiver et rendre accessibles à un public large,
en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc. Mot(s) clés libre(s) : français langue seconde, turc
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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L'arabe : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs de l'arabe
/ Thomas GUIFFARD
/ 01-06-2016
/ Canal-u.fr
AL ZAHRE Nisrine
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Dans le cadre du projet LGIDF, ce projet a pour but d'archiver et rendre accessibles à un public large,
en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
L'arabe : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs de l'arabe Mot(s) clés libre(s) : langue arabe, français langue seconde
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Histoire sociolinguistique de Paris
/ UTLS - la suite
/ 04-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LODGE Anthony
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Le "Français de Paris" s'identifie traditionnellement avec le français 'officiel' ou 'standard'. Ce français aurait évolué, à partir du latin, suivant des lois émanant de sa structure interne, secondée de temps à autre par l'intervention de gens cultivés hantant la capitale. Les écarts de la norme perpétrés par la population parisienne s'expliqueraient en général par la paresse ou par l'ignorance. La sociolinguistique historique offre une vision assez différente des choses. Elle soutient d'abord que la langue des villes est caractérisée, à toutes les époques, par une grande variabilité et que les variétés linguistiques en présence évoluent de manière symbiotique. Elle soutient ensuite que c'est la communauté des locuteurs qui fait évoluer la structure des langues et non pas l'inverse. Une histoire sociolinguistique de Paris se doit donc d'être multidimensionnelle et d'enchâsser l'évolution linguistique de cette très grande ville dans une analyse crédible de son évolution démographique et sociale. Ce beau programme bute néanmoins contre un problème fondamental, que certains jugent insurmontable - celui des preuves. Paris possède une documentation linguistique vraisemblablement plus riche que les autres villes d'Europe, mais même là les sources historiques restent inadéquates. L'historien sociolinguistique se trouve ainsi en situation de paradoxe: construire des systèmes hypothétiques est toujours dangereux, mais faire de l'histoire sans faire d'hypothèses est impossible. Dans cette conférence je propose un rapide survol de l'histoire sociolinguistique de Paris depuis le XIIe s. jusqu'au milieu du XXe s. Je vais rapprocher deux ordres d'idées, le premier tiré de la théorie de l'urbanisation proposée par Hohenberg et Lees (1985), et le second inspiré des travaux sur le contact de dialectes menés par Peter Trudgill (1986). Les premiers offrent une périodisation du développement urbain en Europe en trois phases : la période pré-industrielle (XIe-XIVe s.), la période proto-industrielle (XVe-XVIIIe s.) et la période industrielle (XIX-XXe s.). Peter Trudgill, part du principe que si les communautés linguistiques vivant en autarcie ne sont pas inconnues, elles sont rares à l'époque moderne, et tout à fait inconnues dans les grandes villes, les villes étant les endroits privilégiés de contacts de dialectes, de mélanges dialectaux. Trudgill isole trois processus qui entrent en jeu lorsque les locuteurs de dialectes différents se trouvent en situation d'interaction fréquente: 'koinéisation', ''réallocation' et 'nivellement'. Nous chercherons à établir des corrélations entre les trois phases de l'urbanisation, identifiées par Hohenberg & Lees, et les principaux processus observés dans les cas de contact dialectal analysés par Trudgill. Mot(s) clés libre(s) : attitudes linguistiques, dialectes urbains, français, langues en contact, sociolinguistique, variation linguistique
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Français des sciences physiques - Présentation générale de la physique
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Dulac Yves
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Support de cours de français langue étrangère
pour l'étude de la physique, cet enseignement a été developpé à l'Ecole
centrale de Pékin. Ce cours propose une présentation générale de la
physique: définitions, histoire et vocabulaire. Mot(s) clés libre(s) : FLE, français langue étrangère, vocabulaire français de la physique, histoire de la physique
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Français des sciences physiques - Modelisation des efforts sur un point matériel - Forces et moments de forces
/ SILLAGES
/ 08-06-2008
/ Unisciel
Dulac Yves
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Support de cours de français langue étrangère pour l'étude de la physique, cet enseignement a été developpé à l'Ecole centrale de Pékin. Ce cours étudie les notions suivantes: efforts sur un point matériel, moments vectoriels et moments scalaires de forces, exemples de systèmes de forces. Mot(s) clés libre(s) : FLE, français langue étrangère, vocabulaire français de la physique, efforts, forces
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