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Territoires de l'innovation et de la compétitivité en région PACA : le
projet ITER, de l'international au local
/ Sylviane Tabarly, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 26-01-2009
/ Unisciel
Languillon-Aussel Raphëlle
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Un lien vers un article du site Géoconfluences consacré à l'impact du
projet ITER (International tokamak experimental reactor) sur la région de Manosque et de
façon plus large sur la région PACA. Le point de vue de géographes sur un projet qui n'est
pas seulement une aventure scientifique et technique. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, Manosque, Cadarache
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement des entreprises françaises
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 25-05-2000
/ Canal-u.fr
COHEN Elie
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Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable "révolution financière " qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. Mot(s) clés libre(s) : finance, bourse, privatisation, économie de marché, inflation, actionnaire, épargne, fusion entreprise
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Structures de financement, exigences des actionnaires et nouveaux modes de gouvernement
/ Mission 2000 en France
/ 25-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Elie
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"Les changements intervenus dans le système financier se traduisent par une transformation de la structure de financement des entreprises et par une modification profonde des comportements d'épargne des ménages et des autres acteurs. Ces changements conduisent à l'expression beaucoup plus ouverte des exigences de rendement requis par les actionnaires. Ils entraînent également la mise en place de nouveaux modes de gouvernement. La véritable ""révolution financière "" qui s'est diffusée dans la plupart des pays développés a bouleversé la structure de la demande et la structure de l'offre de capitaux en France, au cours des deux dernières décennies. S'agissant de la demande de capitaux, les changements observés affectent la structure de financement des entreprises françaises. Ils se traduisent par le recours accru à l'émission de titres sur le marché des capitaux. On assiste ainsi à l'affirmation croissante du rôle du marché financier au détriment des circuits d'intermédiation financière dominés par les crédits bancaires. S'agissant de l'offre de fonds, le changement affecte les instruments utilisés par les épargnants pour allouer leurs excédents ainsi que les circuits de collecte et d'allocation de l'épargne. Outre un engouement nouveau pour les placements en titres, les épargnants manifestent un intérêt pour des formes multiples de gestion collective qui mobilisent la compétence de gérants professionnels et leur permettent de prétendre à des performances accrues aussi bien en termes de rendement de leurs actifs qu'en termes de contrôle des risques qui leur sont associés. La concurrence qui s'établit entre les émissions de titres domestiques ou internationaux mais aussi entre l'investissement en titres et les autres formes de gestion patrimoniale débouche sur des comportements plus vigilants de la part des épargnants. On assiste notamment à l'affirmation d'exigences de rendement élevées de la part des détenteurs d'actions. Le lien entre l'évolution des comportements d'épargne et celle des modes de financement explique ainsi l'apparition de nouvelles formes de contrôle exercées sur les dirigeants d'entreprises et l'affirmation de nouveaux modes et de nouvelles normes de gouvernance des entreprises. " Mot(s) clés libre(s) : actionnaire, bourse, économie de marché, épargne, finance, fusion entreprise, inflation, privatisation
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Quelles sources d'énergie d'ici à 2050 ?
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Sylvain
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La production d'énergie mondiale atteint 10 milliards de tonnes équivalent pétrole (tep) chaque année. Elle est assurée essentiellement par du pétrole, du gaz et du charbon, de façon très inégalitaire au niveau de la planète. Si les pays riches gaspillent, de nombreux pays en voie de développement et très peuplés tendent légitimement à augmenter massivement leur consommation dans les décennies à venir. Les scénarios énergétiques prévoient une augmentation de 50 à 300% de la production mondiale d'énergie d'ici 2050. Il est d'ores et déjà évident qu'une telle augmentation ne pourra se faire sur le modèle actuel, basé sur les énergies fossiles, dont les réserves sont limitées, et dont l'utilisation conduit à des émissions massives de CO2 responsable d'un changement climatique de grande ampleur. Le développement de nouvelles sources d'énergie est aujourd'hui incontournable, quelques soient les efforts que nous pourrons faire dans la maîtrise de la demande. Ces sources alternatives sont bien connues et relativement bien quantifiées. Le nucléaire apparaît comme la seule source disponible rapidement à grande échelle, mais nécessite une mobilisation importante de capitaux et une acceptation publique. L'énergie solaire est un gisement important, mais sa mise en oeuvre reste extrêmement chère et complexe. Elle est cependant déjà compétitive dans des zones dépourvues de réseaux électriques. L'énergie éolienne représente un gisement limité et ne pourra sans doute dépasser 10% de la production électrique, et toujours de façon intermittente et aléatoire. La biomasse est une voie intéressante, mais difficile de développer à grande échelle. Les autres sources (géothermie, vagues, marées,
) semblent incapables de répondre à une demande forte. Le stockage de l'énergie (hydrogène notamment) est loin d'être maîtrisé. Il représente un défi technologique important, et pourrait rendre les énergies intermittentes plus intéressantes dans l'avenir. Enfin, la fusion thermonucléaire représente une source massive, mais risque de ne pas être disponible avant la fin du siècle. Si le développement de l'électro-nucléaire au niveau mondial est sans doute la façon la plus rapide pour lutter contre l'effet de serre, cela ne sera en aucun cas suffisant. Le défi énergétique et climatique auquel nous sommes confrontés, nécessite la mise en place de la capture du CO2 émis par les centrales utilisant des combustibles fossiles et un développement soutenu des énergies renouvelables. Les alternatives aux énergies fossiles présentent leurs propres inconvénients, mais il n'est pas certain que nous ayons encore le choix. Mot(s) clés libre(s) : biomasse, combustible fossile, consommation énergétique, effet de serre, éolien, fission nucléaire, fusion thermonucléaire, géothermie, hydraulique, hydrogène, radioactivité, solaire, source d'énergie
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Quelle politique énergétique pour respecter la planète ?
/ Sylvain Hermelin, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 28-11-2007
/ Unisciel
Bigot Bernard
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Une conférence de Bernard Bigot, Haut-commissaire à l'énergie atomique. Quelque soient les
économies que l'on envisage, les standards de niveau de vie actuels
conduisent à des consommations à la fin du siècle qui se comptent en au moins une vingtaine de milliards de
tonnes d'équivalent pétrole d'énergie primaire par an, soit au moins le double de ce que nous
consommons maintenant. À quelles ressources, à quelles technologies de transformation, pouvons-vous
faire appel sans risquer de bouleverser profondément l'environnement et le fonctionnement
global de notre planète ? Des propositions faisant appel à une combinaison des énergies
renouvelables et des énergies nucléaires sont présentées pour tenter de répondre à ces questions. Mot(s) clés libre(s) : haut-commissaire à l'énergie atomique, énergie, politique énergétique, énergie renouvelable, biomasse, éolien, nucléaire, énergie nucléaire, consommation énergétique, ressource énergétique, économie d'énergie, éolienne, développement durable, gaz à effet de serre, réchauffement climatique, environnement, fusion, fission, iter, tokamak, fusion magnétique, tritium, deutérium, réacteur nucléaire, EPR, combustible, déchet nucléaire, uranium, stockage géologique, stockage des déchets, réacteur à neutrons rapides, RNR
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 25-05-2012
/ Canal-u.fr
MUSSELIN Christine
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin. In Séminaire 2011-2012 du Centre d’Étude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 25 mai 2012.
Dans le cadre d'une enquête pour le projet ANR Mutorg, Christine Musselin a étudié le processus de mise en oeuvre de la première fusion d'universités en France, en 2009, celle des trois universités de Strasbourg, Université Strasbourg 1-Louis Pasteur, Strasbourg 3- Robert Schumann, et Strasbourg 3-Marc Bloch. A la lumière des théories des sociologues néo-institutionnels (Meyer, Ramirez, Roanne, Kitchener...), elle présente les étapes de la fusion, les discours qui ont été produits pour la légitimer, la stratégie des acteurs qui l'ont portée, dans un environnement qui n'y était ni enclin ni profondément réfractaire.Strasbourg est pôle européen d'excellence depuis 1991, quand Jean-Yves Mérindol, alors président de Strasbourg 1-Louis Pasteur, lance, en 2001, l'idée d'une fusion qui sera progressivement mise en œuvre à partir de 2003, à la faveur de la mise en place du processus de Bologne au niveau européen. Après une période de projets inter-universitaires, les trois conseils choisiront, en 2008, directement la fusion plutôt que la constitution en PRES (Pôle de recherche et d'enseignement supérieur).En se basant sur les discours, les entretiens et les documents recueillis lors de l'enquête, Christine Musselin dégage une sorte de mythologie ayant servi à justifier la fusion : le mythe d'une université universelle, "complète", toutes disciplines confondues ; l'idée d'un modèle historique d'avant 1968 et la tradition humboldtienne de l'université de Strasbourg ; enfin, le mythe de la visibilité d'une université de taille internationale ainsi qu'une labellisation par un ancrage régional. Dans le cas strasbourgeois, les préoccupations d'efficience et de performance ainsi que les questions de l'organisation de la nouvelle université (mythe managérial) n'ont été des critères énoncés que postérieurement au vote pour la fusion en 2008.Dans un troisième temps, est exposé le rôle des acteurs qui ont construit ces mythes tout en véhiculant des "scripts transnationaux" au niveau national, surtout le rôle primordial des présidents d'universités qui, en véritables "entrepreneurs institutionnels", ont initié le projet de fusion de manière très coordonnée, relayés par des successeurs convaincus à l'université Louis Pasteur et, pour des raisons un peu différentes, par les deux autres universités.Le quatrième chapitre expose les conditions qui ont rendu la fusion possible : un environnement local (municipalité et région) qui, bien qu'adhérant peu au projet, ne s'y est cependant pas montré totalement hostile, un ministère circonspect mais pas opposé, une fusion qui n'a pas été imposée par le haut comme cela a été le cas dans certains pays européens (en Norvège, au Danemark ou en Allemagne), des institutions de recherche déjà préparées aux méta-structures et
assez désireuses d'accéder aux classements internationaux (celui de
Shanghai, notamment), etc.Au travers de l'exemple atypique de la fusion des universités de Strasbourg, la communication de Christine Musselin propose une observation des modes opératoires des changements institutionnels de l'enseignement supérieur français les plus importants de ces dernières années. Mot(s) clés libre(s) : réforme de l'université (France), administration universitaire (21e siècle), France (21e siècle), université de Strasbourg, fusion d'universités, sociologie des institutions, politique universitaire
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Les énergies du XXIème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BONIN Bernard
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Une conférence de L'UTLS au Lycéeavec Bernard Bonin Mot(s) clés libre(s) : centrale nucléaire, énergie, fission, fusion, noyau atomique, radioactivité, réaction nucléaire, uranium
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Le Soleil et ses neutrinos
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 28-04-2004
/ Unisciel
De Bellefon Alain
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Le Soleil et les neutrinos solaires : origine de l'énergie
rayonnée, mécanisme de production des neutrinos solaires, détection. Mot(s) clés libre(s) : neutrinos solaires, neutrino solaire, neutrino, électron, oscillation des neutrinos, Soleil, fusion nucléaire, détection des neutrinos
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La « force » de l'eau
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 07-10-2004
/ Unisciel
Bonnet Gabrielle
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Comment se situe l'énergie de l'eau par rapport aux autres sources
d'énergie ? Comment est-elle utilisée en France ? Quel avenir pour l'eau en tant que
source d'énergie ? Mot(s) clés libre(s) : eau, électricité, centrale hydroélectrique, énergie hydraulique, énergie nucléaire, énergie fossile, centrale thermique, ITER, surgénérateur, fusion nucléaire, deutérium, tritium, usine marémotrice, centrale marémotrice
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La fusion thermonucléaire et le projet ITER
/ Académie de Lyon - Journée "Milieux extrêmes", ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 05-02-2009
/ Unisciel
Monier-Garbet Pascale
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Une conférence de Pascale Monier-Garbet, chercheuse à l'Institut
de recherches sur la fusion magnétique au CEA de Cadarache, présentée dans le cadre
de la journée académique enseignement-recherche sur les "Milieux extrêmes", à Lyon. La fusion nucléaire, avantages et difficultés.
Le projet ITER, dimensionnement, avancées et défis. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, tore, Cadarache
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