Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Stéréotype de genre et l’industrie du jeu vidéo
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 20-11-2015
/ Canal-u.fr
KRUPA Frederique
Voir le résumé
Voir le résumé
La
recherche de Frédérique Krupa porte sur la production et la réception des jeux
vidéo pour explorer les liens entre le genre et la technologie. Sa recherche
s’aligne avec les théories de causes sociales, donc féministes, et en
particulier les effets néfastes des stéréotypes négatifs, comme causes motivant
les femmes a éviter les carrières en informatique. Elle présente ici le début
de sa recherche doctorale sur les femmes qui travaillent et s’épanouissent dans
la production de jeux vidéo et de logiciels, et qui ont donc montrées une
résilience aux menaces des stéréotypes. D’ou vient cette résilience ? Elle
utilise le MBTI et BSRI comme outils d’analyse psychologique et présente ici
les résultats de sa recherche sur les femmes travaillant dans un domaine de
production technique et masculin. Mot(s) clés libre(s) : apprentissage, genre, jeu vidéo, stéréotype
|
Accéder à la ressource
|
|
Ottoman Legal Flexibility and Women’s Property Rights
/ 07-01-2012
/ Canal-u.fr
HOSAİNY M. Hadi
Voir le résumé
Voir le résumé
Journée
d'études: La justice dans la société
ottomane Institutions acteurs et pratiques : 6-7/01/2012 Session III. Quand différents corps de
droit (chéria, kanun et coutume) et systèmes juridiques se croisentM. Hadi Hosainy (Doctorant, The University of Texas at Austin, Etats-Unis),“Ottoman Legal Flexibility and Women’s Property Rights” Mot(s) clés libre(s) : justice, administration, Empire ottoman, genres
|
Accéder à la ressource
|
|
"Corps, Travail et Genre" 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
GUICHARD-CLAUDIC Yvonne, PAÏVA Michèle, BERCOT Régine
Voir le résumé
Voir le résumé
Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Session 1: Séance présidée par Anne Jacquelin, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Régine Bercot, Professeure à Université Paris 8, UFR Philosophie-SHS, et chercheure du CRESPPA UMR 7217 - Genre, Travail, Mobilités
Ce que l’anatomie-politique des corps cancéreux donne à voir du travail des femmes.
Michelle Paiva, doctorante en sociologie (CRESPPA-GTM)
Le cancer est une maladie chronique et la première cause de mortalité en France. Le poumon est en tête de
liste des tumeurs les plus meurtrières : 21 326 décès chez les hommes et 8 623 décès chez les femmes
(INCa, 2015). Par ailleurs, les études sur les inégalités sociales de santé constatent le désavantage des ouvriers
par rapport aux cadres face au cancer, conséquence de l’inégale sollicitation de leur corps au travail.
Or, que se passe-t-il si, au-delà de la position sociale, on s’intéressait à la relation entre genre et cancer ?
Alors que le cancer ronge indistinctement des corps d’hommes et de femmes, le statut qu’on lui accorde
semble cependant respecter des logiques genrées. Dans cette communication, nous allons tenter de montrer
que si la relation entre le travail réalisé par les hommes et leur cancer est difficile à établir, pour les
femmes, elle demeure souvent impensée. À partir de l’exemple du cancer du poumon et du cancer du sein,
nous allons tenter d’illustrer le fait que la distinction des organes atteints par le cancer, suit une anatomie aussi
biologique que politique, dans laquelle l’(in)visibilité du travail des femmes représente un enjeu majeur.
Le corps féminin à l’épreuve du travail en mer
Yvonne Guichard-Claudic, Maîtresse de conférence en sociologie à l’Université de Brest
La profession de marin est traditionnellement considérée comme masculine et le groupe professionnel s’est
historiquement construit comme sexué. Les différences physiologiques entre hommes et femmes et surtout les
représentations qui leur sont associées ont longtemps conduit à considérer la féminisation de cette profession
comme impensable. Désormais, cette féminisation varie selon les métiers mais l’hégémonie masculine reste très
marquée. Comment dès lors, les femmes « font-elles avec » un corps souvent considéré comme un frein ou un
obstacle à leur intégration professionnelle ? On abordera ici la question de la force physique, et de l’adoption
ou non des manières de faire masculines. On évoquera la neutralisation du corps sexué dans un espace restreint
où femmes et hommes se côtoient jour et nuit. On s’intéressera aussi au traitement juridique et institutionnel
de la grossesse et de la maternité. Au final, à travers le prisme du corps au travail, en mettant en perspective ce
qui change et ce qui résiste, on se demandera dans quelle mesure cette féminisation affecte l’ordre de genre. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
|
Accéder à la ressource
|
|
Peut-on aimer un genre ?
/ Mission 2000 en France
/ 26-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GENETTE Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
Selon une opinion largement partagée, la relation esthétique ne peut investir qu'un objet singulier, tel qu'une oeuvre d'art, à l'écart de toute considération conceptuelle. Il est pourtant non moins commun de dire (et de penser) : j'aime (ou non) Mozart, l'art baroque, le western, c'est-à-dire autant d'objets collectifs constitués par l'ensemble des oeuvres d'un même artiste, d'une même époque ou relevant d'une même catégorie générique. On tentera d'explorer et de définir le type d'appréciation esthétique qui porte sur des entités aussi abstraites, et qui incité à questionner davantage la distinction reçue entre les oeuvres singulières, les groupes empiriques d'oeuvres, et - quel qu'en soit le principe fédérateur - ces classes d'oeuvres qu'on appelle des genres. Mot(s) clés libre(s) : appréciation, esthétique, genre, jugement
|
Accéder à la ressource
|
|
Les excès du genre : concept, image, nudité / Geneviève Fraisse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
FRAISSE Geneviève
Voir le résumé
Voir le résumé
Geneviève Fraisse, philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, a publié de nombreux ouvrages relatifs à la généalogie de la pensée
féministe ainsi qu'à la controverse sexe/genre d'un point de vue
épistémologique et politique.
Avec "Les Excès du genre" (éd. Lignes, 2014), Geneviève Fraisse offre une perspective sur la
polémique sexe/genre, la critique des stéréotypes et l'usage de la
nudité en politique. Avec l'oeil critique d'une chercheuse, elle privilégie résolument la généalogie de l'émancipation et l'examen de la
tradition philosophique, plutôt que la discussion sur les catégories et
les identités. Le concept de "genre", ni simple outil, ni théorie
radicale, est un pari philosophique. Philosophie pour distinguer
clairement ce qui relève d'un objet de pensée, d'un concept ou d'une
théorie. Et pour toutes disciplines, car l'enjeu est alors de comprendre
ses usages : comme un neutre, le genre, comme un pluriel, les genres
et, avec ou sans le mot "sexe" ? Aussi, ne l'oublions pas, ce mot est en
excès, car ce qu'il traite déborde l'ordre établi.
Conférence présentée à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, le 4 novembre 2015. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), études sur le genre, recherches en sciences humaines et féminisme, sexualité et genre, études féministes (en philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Egalité et pouvoir entre les sexes
/ Mission 2000 en France
/ 12-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FRAISSE Geneviève
Voir le résumé
Voir le résumé
"Je m'interroge sur les moyens de faire de la théorie sur cette affaire de la différence des sexes qui a aujourd'hui pour problématique la question de l'égalité des sexes, c'est-à-dire sur la possibilité de faire de la théorie politique. Ce n'est pas si simple. Il suffit de penser à la façon dont chacun d'entre nous discute du débat qui a lieu sur la parité depuis presque dix ans pour réaliser à quel point les opinions s'affrontent, et règnent sans que les connaissances nécessaires ne soient présentes pour établir une discussion. Disons que pour faire de la théorie politique à propos de la question des sexes, on se trouve d'abord et avant tout pris dans ces débats de "" café du commerce "" qui parfois sortent des cafés. Tout le problème est là. Au fond, est-ce qu'on peut faire entrer du savoir dans la sphère de l'opinion dans cette théorie politique ? et faire entrer du savoir dans la sphère de l'opinion c'est peut-être rééquilibrer quelque chose entre l'opinion et la vérité. Ce rapport entre opinion et vérité sera le fil conducteur des réflexions que je voudrais mener. " Mot(s) clés libre(s) : dignité, égalité, féminisme, genre, parité, pouvoir, sexe, souveraineté
|
Accéder à la ressource
|
|
Del sexo binario a la performance de la diversidad sexual / María Luisa Femenías
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 28-03-2014
/ Canal-u.fr
FEMENÍAS María Luisa
Voir le résumé
Voir le résumé
Del sexo binario a la performance de la diversidad sexual / María Luisa Femenías. In "Lectures du désir et technologies du sexe", journée d'études organisée dans le cadre de "Cinéma, genre et politique" par l'Institut de Recherche et d'Études Culturelles (IRIEC) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et le Festival Cinélatino 2014, 28 mars 2014.
La diversité des expériences et des lectures du désir, prônée depuis les premiers mouvements militants jusqu’au cyberféminisme post-pornographique actuel, a évolué en même temps que les sociétés qui la façonnent au moyen de technologies renouvelées, accessibles et multiples. La troisième vague féministe, au-delà des courants spécifiques et parfois très distincts, se caractérise par l’appropriation et le détournement des études postcoloniales, culturelles, et subalternes : Blackfeminism, Queer studies, Teorías trashumantes (Femenías, 2011). Le féminisme a étendu ses champs d’action et de réflexion aux différences entre les femmes, en tenant compte des coordonnées sociales, « raciales », religieuses, ethniques, et aussi des pratiques sexuelles qui fondent les politiques identitaires, les luttes et les engagements. Les passerelles et les déplacements qu’impliquent de tels positionnements ouvrent de nouveaux espaces car les autorités, les normes, les catégories et les limites -celles du langage, des représentations et des disciplines- s’en trouvent profondément bouleversées.
La question des sexualités traverse les œuvres et les théories car le sexe est politique. Il s’agira par conséquent d’aborder ce mouvement incessant qui fonde nos subjectivités: « un sujet construit dans le genre bien sûr, pas seulement par la différence sexuelle, mais plutôt à travers les langages et les représentations culturelles ; un sujet en-genré dans l’expérience de la race, de la classe et des relations sexuelles ; un sujet, par conséquent, qui n’est pas unifié mais plutôt multiple, et non tant divisé que contradictoire » (Lauretis, 2007, 40). Les productions cinématographiques et audiovisuelles contemporaines sont autant de manifestations complexes des engagements et négociations qui dessinent les politiques du sexe, mettant en scène et en partage notre capacité à dépasser, déjouer, détourner les assignations liées à une différenciation sexuelle toujours en vigueur.
Alors que cette dernière maintient un ordre biopolitique oppressif dont l’emprise contamine tous les circuits de nos sociétés, la discussion épistémologique et politique des savoirs (un des acquis majeurs des études féministes) est prise en charge, en grande partie, par les interventions culturelles qu’il importe d’explorer. Mot(s) clés libre(s) : identités sexuelles, sexualité et genre
|
Accéder à la ressource
|
|
"Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?", semi-plénière avec la participation de Louise Dejeans, Éric Fassin et Irène Théry
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
FASSIN Eric, THERY Irène
Voir le résumé
Voir le résumé
Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?
Coordination : Salima Amari (RT24, université Paris 8, CRESPPA-GTM) et Gilda Charrier (RT33, Université de Bretagne Occidentale, LABERS)
Intervenant.e.s :
- Louise Dejeans, Université Paris Descartes, CERLIS.
- Éric Fassin, Professeur, Université de Paris 8, LEGS : « Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Du PaCS au "mariage pour tous" »
- Irène Théry, directrice d’Études à l’EHESS, Centre Norbert Elias : « Les métamorphoses de l’institution de la parenté face aux deux formes de naturalisation de la famille »
Cette table ronde se propose d’interroger les conceptions de la famille aujourd’hui en France en termes de rapports sociaux de sexe et de genre à l’aune des débats publics lors du vote de la loi relative à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Dans quelle mesure le débat autour du mariage pour tous remet-il en cause la place constitutive de la différence des sexes dans le fondement de la famille ? Comment une telle conception redessine-t-elle le lien entre mariage et droits reproductifs ? Il paraît pertinent de porter une attention particulière à la diversité des modèles familiaux qu’auraient révélés et ramenés sur le devant de la scène publique les débats qui ont eu lieu. Il s’agira en outre de rendre compte des types de résistance, de dérogation à la norme dominante, dont relèvent ces modèles familiaux, ainsi que de la redéfinition de la famille qu’ils impliquent. Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, sexualité, famille, genre, rapports sociaux de sexe (genre), dénaturalisation
|
Accéder à la ressource
|
|
"Genre et domination", semi-plénière avec la participation de Jules Falquet, Natacha Chetcuti, Patricia Paperman et Yves Raibaud
/ 04-09-2013
/ Canal-u.fr
FALQUET Jules, CHETCUTI Natacha
Voir le résumé
Voir le résumé
Genre et domination
Organisée par le Comité Exécutif.
Modération : Dan Ferrand-Bechmann (Université Paris 8 et CESOL) et Artemisa Flores Espinola (CRESPPA-CSU Université Complutense de Madrid)
- Jules Falquet (CSPRP -CEDREF Université Paris Diderot Paris 7) « Penser l'imbrication des rapports sociaux grâce aux théories féministes matérialistes»
- Natacha Chetcuti (Equipe Genre, travail, mobilité – CRESPPA, Paris) « De la critique de la catégorisation de sexe à la déconstruction des genres : une approche "matérialiste postmoderne" est-elle possible ? »
- Patricia Paperman (Département de science politique, Université Paris 8, Labtop) « Dominations imbriquées, dominations rapprochées: du care comme révélateur des rapports de pouvoir »
- Yves Raibaud (Adess CNRS, Université Bordeaux 3 Michel de Montaigne ) : "L'usage de la ville par le genre. Une approche empirique de la domination"
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : genre, domination
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique aka 1993, Motonga : Gbédéle, femme, fille et mère
/ 20-06-1994
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique pygmée, juin, décembre 1994, Mongoumba, Lobaye, RCA
Filmé dans un campement de pygmées aka, sous-préfecture de Mongoumba,
Gbédélé : femme, fille et mère Lobaye, R.C.A.
Image et son
Alain Epelboin
Dans le campement pygmée aka de Woto, en République centrafricaine, suivi au cours de deux journées ordinaires des interactions entre un bébé (âgé de 3-4 mois puis 9-10 mois), de sa mère adolescente, Gbédélé , de Mowo, sa grand-mère et des membres du campement, sans compter les tantes et les cousins, cousines.
Gbédélé donne à téter à sa fille, la berce en chantant, rieuse. A ses côtés, sa mère la regarde, la conseille, l’éduque. Elle prend aussi soin du bébé, qu'elle berce pendant que Gbédélé vaque à ses activités ménagères.
Six mois plus tard : un petit groupe s'est formé pour faire de la musique avec des arcs musicaux, des percussions, la frappe des mains, des chants... Gbédélé joue de l'arc à deux cordes. Le bébé est présent parmi eux.
Les stimulations sonores et corporelles imprimées sur le corps de l’enfant lors de ses pleurs sont systématiquement en rapport avec les rythmes fondamentaux de la musique traditionnelle aka. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, Afrique, ethnomusicologie, bercement, pygmée, aka, Lobaye, chanvre, grand-mère, grand-père, sango, pilage, Mongoumba, relation mère /enfant, péparation repas, arc musical, marche, petite enfance, toilette, lait, danse, musique, Vie quotidienne, apprentissage, psychologie, alimentation, genre, santé publique, femme, vidéo, maternage, allaitement, chant, jeu, film ethnographique, République Centrafricaine, eau
|
Accéder à la ressource
|
|