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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GALOP Didier
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Mot(s) clés libre(s) : archéologie du paysage, archéologie médiévale, archéologie préhistorique, économie préhistorique, géographie historique, géographie humaine, paléobotanique, paleoenvironnement, pastoralisme préhistorique
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La France de 2012 a-t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
FRÉMONT Armand
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Texte de présentation de la conférenceL’identité de la France est un objet obscur. Le territoire national avait trouvé son aboutissement à la frontière physique. Aujourd’hui la solidarité, la socialité et l’être ensemble ne se définissent plus uniquement par référence à une étendue spatiale continue sur laquelle s’exerce la souveraineté de l’État-national. Les frontières qui se dessinent à travers les réseaux sociaux ou la conscience partagée d’enjeux devenus planétaires sont à géométrie variable.De façon assez paradoxale, Paul Vidal de la Blache, le fondateur de l’École française de Géographie, voyait dans la carte de la répartition, sur le territoire français, des masses minérales qui constituaient la diversité des identités régionales, « une grande figure d’harmonie, une individualité maîtresse, mais dans laquelle s’inscrivent des individualités secondaires, des régions étendues de physionomies diverses […] une heureuse combinaison qui a facilité chez nous la fusion des races, qui a présidé à l’unité de notre histoire ». Le ou les territoires de cette « heureuse combinaison » sont aujourd’hui à réinventer.Certes, l’identité géographique de la France est solidement fixée au moins depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, en fait depuis la Troisième République : le territoire de l’hexagone national est reconstitué (cas de l’Alsace et de la Lorraine réglé), la centralisation en tous domaines intégrée, la parcellisation communale intangible, les paysages constitutifs d’une image géographique unifiée assimilés, par l’école notamment.Ces figures expriment une certaine permanence des champs de référence du débat sur la république nationale. De façon très incertaine, la République s’est imaginée et imposée, dans un esprit à la fois moderniste et nationaliste, à partir en particulier de trois lobbies : agricole, colonial et laïc. L’identité nationale a été travaillée en profondeur par ce qui, dans la violence souvent, a pris le statut de mythes, au sens anthropologique du terme. Il n’est donc pas étonnant de les retrouver -tels quels ou leurs avatars- réactivés dans le débat actuel sur l’identité de la France, au moment où la nation doutant à nouveau d’elle-même a du mal à se projeter dans une vision cohérente de son devenir.On peut s’interroger sur la pérennité des formes de cette identité : l’Europe, la mondialisation, la mobilité de la population, internet…mais aussi les mouvements régionaux, la régionalisation, l’outre-mer, l’émigration et le passé colonial, l’école elle-même, modifient la donne initiale. Vers une autre France, plus ouverte sur le monde, ou bien vers un repli identitaire ? Le grand débat en cours comprend incontestablement une forte composante géographique.La France de 2012 a-t-elle encore une identité géographique ? / Armand Frémont. Conférence-débat organisée dans le cadre des Mercredis de la connaissance et les Cafés géographiques à Toulouse, présentée par Bernard Charlery de la Masselière et animée par Robert Marconis, Université Toulouse- II-Le Mirail, 27 avril 2012. Mot(s) clés libre(s) : écologie humaine, géographie humaine, géographie politique (France), identité collective (France), questions territoriales (France), territorialité humaine (France)
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Les transformations récentes de Moscou
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 01-08-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ECKERT Denis, LE CORRE Sébastien
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Moscou est aujourd'hui la première agglomération Européenne avec près de douze millions d'habitants. Comment Moscou a-t-elle atteint ce rang ? Quels sont ses visages, son organisation spatiale et ses fonctions au sein de la Russie. Après l'effondrement du bloc soviétique, cette ville est aujourd'hui en mesure de rayonner sur le plan international et se retrouve en compétition avec d'autres capitales. Quels sont ses atouts et ses faiblesses pour y parvenir ? (entretien enregistré le 7 juin 2006)GénériqueInterview : Sébastien Le Corre - Réalisation et montage : Bruno Bastard - Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin - production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, commerce (Russie), croissance urbaine, économie urbaine, Moscou (conditions économiques), Moscou (géographie économique), Moscou (Russie), politique publique, politique urbaine
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Claude Simon : le temps dans l'espace / Alastair B. Duncan
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DUNCAN Alastair B.
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Claude Simon : le temps dans l'espace / Alastair B. Duncan. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Alastair B. Duncan analyse la manière dont Histoire et Géographie se conjuguent dans la roman de Claude Simon, "Les corps conducteurs" (1971) dans lequel l'auteur privilégie la description à la narration, entrecroisant lecture du paysage, observations du temps et regard historique. Un roman dont l'action se déroule dans un espace particulier, les États-Unis d'Amérique. Si l'influence de la littérature américaine des années 50 (Hémingway, Faulkner...) est sensible dans l'œuvre de Claude Simon, "les Corps conducteurs" procède de son contact direct avec l'Amérique qu'il visite en 1968 et 1969, dans un périple qui va de New-York en Californie en passant par Chicago,notamment et aussi son voyage en Amérique du Sud, au Chili. Alastair D. Duncan analyse le style de Simon, sous l'angle de l'émerveillement du romancier qui s'efforce de dépeindre la géographie humaine et la géographie urbaine américaines ainsi que les paysages et la faune d'Amérique latine, en procédant par comparaisons et métaphores, en correspondance aussi avec un collage de Robert Rauschenberg, "Charlène" (1954)*, qui inspira à Simon la structure formelle de son roman, collage « d'images, et textes empruntés à des sources diverses (livres, revues, magazines, tableaux connus...».* à voir, par exemple, sur le blog de Katie Runnels, "The Constant Gatherer". Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), espace (dans la littérature), géographie (dans la littérature), histoire (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
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Pourquoi la Méditerranée
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUGOT Philippe, LE CORRE Sébastien
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La Méditerranée peut être considérée de différents points de vues. Les arguments pour une unicité de cet espace sont nombreux mais ils font bien souvent l’objet de contestations.Malgré cela, la volonté de créer un espace et des projets autour de cette mer illustre bien les enjeux économiques et géopolitiques dont elle fait l’objet. Mot(s) clés libre(s) : aménagement du littoral, attractivité (géographie), géopolitique, Méditerranée (région), polarisation (économie politique), projets d’urbanisme
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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Patrick Chamoiseau, quelle écopoétique ? / Hannes de Vriese
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
DE VRIESE Hannes
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Patrick Chamoiseau, quelle écopoétique ? / Hannes de Vriese. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 4 : Gaïa et la mer des récits 1. L’écrivain antillais, par sa position au point de rencontre entre littératures
américaines, européennes et africaines, apparaît comme un passeur privilégié de genres et d’esthétiques littéraires. L’œuvre de Patrick Chamoiseau le démontre, en brassant le canon littéraire européen, l’esthétique baroque sud-américaine et l’écopoétique, très présente en Amérique du Nord. En s’interrogeant en priorité sur ce dernier aspect, on se demandera non seulement quelle place l’écriture de la nature occupe dans l’œuvre chamoisienne, mais également
comment l’écopoétique détermine l’univers fictionnel, sur le plan de l’écriture et surtout sur celui de la géographie littéraire. Le texte, on le verra, se saisit de l’écopoétique sans se laisser écraser par une présence trop univoque ou monolithique d’une telle influence, qu’il s’agit d’intégrer à un univers créolisé. En relevant les effets d’écho et/ou de dissonance entre une dimension postcoloniale d’une part et une portée écopoétique d’autre part, on visera en
outre à démontrer comment l’écriture de la nature offre à Patrick Chamoiseau un solide ancrage dans les enjeux littéraires et sociétaux d’ajourd’hui. À ce titre, les transformations de la nature dans le microcosme martiniquais se réfère chez Patrick Chamoiseau inévitablement à une échelle mondiale sinon universelle.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature et géographie, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française, nature (dans la littérature)
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L'espace touristique et imagnaire dans "Archipel" et "Nord" / Hannes De Vriese
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DE VRIESE Hannes
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Dans les pas du voyageur : le Grand Nord comme espace touristique et imagnaire dans "Archipel" et "Nord" / Hannes De Vriese. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
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Les savoirs géographiques vernaculaires ont-ils une valeur ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 08-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COLLIGNON Béatrice
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Négligés jusqu'au milieu des années 1980 par la géographie savante, les savoirs géographiques vernaculaires ont pourtant une efficacité au quotidien qui témoigne de leur validité. Développés par toutes les sociétés, des Inuits aux parisiens, ils sont adaptés à des situations particulières, ne sont pas transposables et se construisent sur une expérience directe associée à une transmission qui échappe pour l'essentiel aux canaux institutionnels. C'est entre autres par l'élaboration de ces savoirs fins que les sociétés territorialisent leur espace de vie, c'est à dire qu'elles se l'approprient en produisant pour son usage une interprétation efficace, en adéquation avec leurs valeurs. Les savoirs géographiques vernaculaires sont ainsi l'une des médiations par lesquelles se construit la relation entre les hommes et leur milieu. Comprendre comment s'élaborent, évoluent et se transmettent ces savoirs permet aux chercheurs non seulement de comprendre les actions des hommes dans l'espace, mais aussi d'appréhender les modalités ordinaires de production d'informations géographiques sur les territoires. Mot(s) clés libre(s) : échange de savoirs, géographie, savoirs vernaculaires
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Kenya, conflits et territoires
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 04-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CHARLERY DE LA MASSELIÈRE Bernard, VIDAL Franck
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En janvier 2008, après la réélection contestée du président Kibaki de violents affrontements secouent Nairobi, la capitale du Kenya. Si les médias ont bien souvent résumé ces violences à des oppositions interethniques, le point de vue du géographe, spécialiste de l’Afrique de l’Est replace le conflit dans un contexte beaucoup plus large : c’est à travers la géographie du Kenya - terre de contraste et de diversité, mais aussi à travers tous les processus de définition des territoires mis en place par la colonisation anglaise et enfin, à travers les phénomènes de mondialisation économique qu’il est nécessaire d’analyser les événements actuels au Kenya. Mot(s) clés libre(s) : affrontements ethniques, géographie économique, géopolitique, guerre, histoire, kenya, mondialisation, politique et gouvernement, postcolonialisme
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