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CULTURE G Num
/ Canal-u.fr
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Les ingénieurs-savants et la science en France Mot(s) clés libre(s) : savants, ingénieurs, histoire, sciences
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3 - La société de l’harmonie universelle (1)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
ARMANDO David
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Bilan d’étape du programme
de recherche sur l’histoire du mesmérisme et de la Société de l’harmonie
universelle Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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5 - La société de l’harmonie universelle (3)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
BAILLEUL Tatiana
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Tutorial de la base en
ligne Harmonia Universalis – prosopographie des membres de la Société. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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EINSTEIN ET LA RELATIVITÉ GÉNÉRALE
/ Jean MOUETTE
/ 08-09-2015
/ Canal-u.fr
BALIBAR Françoise
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Après avoir parcouru les diverses étapes de l'épineux chemin suivi par
Einstein pour l'établissement de la théorie de la relativité générale,
de 1907 à la fin de l'année 1915 (en pleine guerre, donc), je me propose
de passer en revue l'histoire des trois "tests" observationnels
(courbure des rayons de lumière au voisinage du Soleil, avance du
périhélie de Mercure, décalage vers le rouge des raies spectrales),
suggérés par Einstein lui-même comme étant susceptibles de mettre sa
théorie à l'épreuve. Ce qui me conduira à réfléchir sur le rôle
apparemment "second" (de simple vérification), rôle important mais non
nécessaire, accordé par Einstein aux données "expérimentales", tout en
soulignant le rôle, absolument nécessaire mais finalement assez peu
important, accordé par lui aux développements mathématiques au sens
technique du terme. Je terminerai en essayant de caractériser ce qui,
pour Einstein en tout cas, fait que l'activité scientifique produit de
la pensée. Mot(s) clés libre(s) : relativité générale, histoire des sciences, épistémologie, théorie de la Relativité, Albert Einstein
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Dialoguer avec l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 12-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BERTRAND Michel, ALBERT Jean-Pierre, MARIN Richard, MACARY-GARIPUY Pascale
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Journée d'études "Dialoguer avec de l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss", organisée par les Études Doctorales (TESC, CLESCO et ALLPH@) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Partie 1 : Levi-Strauss en contexte : échanges et influences. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 5 mars 2010. [note : les interventions de l'après-midi n'ont pas été enregistrées].Interventions1. Présentation de la journée d'études / Michel BERTRAND2. Ouverture de la journée d'études : Variations sur un centenaire / Jean-Pierre ALBERT3. Roman Jackobson et Claude Lévi-Strauss : linguistique et anthropologie structurales / Jean-Pierre ALBERT (co-écrit par Jacques DURAND)La rencontre entre Roman Jakobson et Claude Lévi-Strauss à New York pendant la deuxième guerre mondiale et la collaboration entre les deux hommes est connue. Elle a été un de moments fondateurs de ce qu'on a appelé le structuralisme. Quels étaient les concepts de base du structuralisme en linguistique, une science présentée par Claude Lévi-Strauss comme la discipline pilote pour les sciences humaines et sociales ? Comment ces concepts ont-ils pu contribuer à une véritable refondation de domaines de l’anthropologie aussi centraux que les études sur la parenté et le symbolisme des mythes et des rituels ? On cherchera à évaluer les acquis de l’approche structuraliste dans les deux disciplines et aussi ses limites, à la lumière de leurs évolutions ultérieures.4. Lévi-Strauss a-t-il influencé Braudel et la Nouvelle histoire ? / Richard MARINClaude Lévi-Strauss et Fernand Braudel se sont en définitive assez peu côtoyés, exception faite de leur séjour à São Paulo, au milieu des années 1930, mais ils ont pas mal débattu, par textes interposés. Ainsi, en 1958, "Histoire et sciences sociales : la longue durée", le célèbre article rédigé par Braudel pour les Annales, se voulait-il une réponse à l’Anthropologie structurale de Lévi-Strauss, paru la même année et qui contenait de vives critiques à l’égard de l’histoire. En 1983, dans la revue fondée par Marc Bloch et Lucien Febvre, « Histoire et ethnologie », de Lévi-Strauss, revenait sur le rapport entre les deux disciplines. Après avoir présenté à grands traits la teneur de tels échanges, la communication s’efforcera de jauger l’influence de l’anthropologie structurale sur l’auteur de la Méditerranée mais aussi sur le courant de la Nouvelle histoire dominant dans les années 1970.5. La structure et le réel : Lévi-Strauss et Lacan / Pascale MACARY-GARIPUYLa psychanalyse fut une des maîtresses du jeune Lévi-Strauss et si la découverte freudienne fut une référence du début de l’œuvre, il faut bien avouer qu’il s’en éloigna de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée de la théorie. Lévi-Strauss dit ne pas entendre le travail de Lacan, son contemporain et son aîné dans l’effervescence de la pensée française des années 60 ; ce dernier en revanche admira profondément l’anthropologue et lui fit de nombreux emprunts. Ainsi la notion de "structure" -toujours langagière- est-elle devenue un concept majeur pour rendre compte des trois façons de soutenir l’existence humaine selon les modes névrotique, psychotique ou pervers, déjà dégagés par Freud ; sans le travail de Lévi-Strauss, Lacan aurait sans doute eu plus de difficulté à produire son fameux « l’inconscient est structuré comme un langage ». Mais la psychanalyse, en gardant toujours vif le concept de structure, a troué cette dernière par le réel, que Lévi-Strauss laissait à l’extérieur, l’abandonnant à son incommensurable ou à son impossible saisie. La communication de Pascale Macary-Garipuy explique en quoi la psychanalyse a dépassé la notion de structure langagière comme prééminente dans l’expérience humaine au profit d’un nouage reliant imaginaire (corps), symbolique (langage), réel (jouissance) et tente de dégager en quoi cela fait anthropologie. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie structurale, Claude Lévi-Strauss (1908-2009), épistémologie des sciences sociales, Fernand Braudel (1902-1985), histoire (science), Jacques Lacan (1901-1981), linguistique structurale, psychanalyse, Roman Jakobson (1896-1982)
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Blamont
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 03-05-1999
/ Canal-U - OAI Archive
BLAMONT Jacques Émile
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999. Mot(s) clés libre(s) : bibliothèque d'Alexandrie, centres publics de recherche, compétitivité (économie politique), histoire des sciences et techniques (20e siècle), politique scientifique (Etats-Unis), politique scientifique (France), politique scientifique (URSS), progrès sci
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LE CALENDRIER MAYA ET LE MYTHE DE LA FIN DU MONDE
/ Jean MOUETTE
/ 01-06-2015
/ Canal-u.fr
BRAVO-ALFARO Hector
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Cette conférence est proposée comme un voyage dans le monde ancien des
Mayas, en visitant principalement leur façon - très intéressante -
d'approcher le concept du temps. Le temps et les différents calendriers
chez les Mayas étaient au centre de leur idée philosophique de la vie
qui se renouvelait en permanence. Dans la période dite Classique, les
Mayas avaient réussi à développer un calendrier plus précis que ceux qui
étaient utilisés en Europe à la même époque, une réussite due aux
observations astronomiques effectuées de manière très systématique.
Ce calendrier et ses différentes "Roues", qui comportent des périodes de
plus en plus longues, a été à la base d'un mythe apocalyptique très
répandu dans le monde, tout au long de l'année 2012. Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, Calendriers, Mayas, astronomie, mythes
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Physique et mathématiques
/ UTLS - la suite
/ 16-06-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BRéZIN Edouard
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La physique et les mathématiques sont étroitement mêlées depuis toujours. Tantôt c'est la première qui conduit à développer les mathématiques impliquées par les lois de la nature, tantôt des structures mathématiques élaborées sans référence au monde extérieur se trouvent être précisément adaptées à la description de phénomènes découverts pourtant postérieurement. C'est là l'efficacité déraisonnable des mathématiques dans les sciences de la nature dont parlait Eugène Wigner. Jamais les interactions entre physique et mathématiques n'ont été plus intenses qu'à notre époque, jamais la description des phénomènes naturels n'a requis des mathématiques aussi savantes qu'aujourd'hui. Pourtant il est important de comprendre la différence de nature entre ces deux disciplines. La physique n'établit pas de théorèmes ; jusqu'à présent elle se contente de modèles dont les capacités à prédire, et la comparaison avec l'expérience établissent la validité, avec une économie dans la description et une précision parfois confondantes. Néanmoins nous savons que tous les modèles dont nous disposons actuellement, toutes les lois, ne sont que des descriptions "effectives" comme l'on dit aujourd'hui, c'est-à-dire adaptées aux échelles de temps, de distance, d'énergie avec lesquelles nous observons, mais dont nous savons de manière interne, avant même que des phénomènes nouveaux les aient invalidées, qu'elles sont inaptes à aller beaucoup plus loin. Y aura t-il une description définitive qui, tel un théorème, s'appliquerait sans limitations? Ce rêve d'une théorie ultime, où la physique rejoindrait les mathématiques, caressé par certains, laisse beaucoup d'autres sceptiques ; quoiqu'il en soit la question ne sera certainement pas tranchée rapidement. Mot(s) clés libre(s) : chaos, électromagnétisme, force nucléaire, gravitation, histoire des sciences, mécanique quantique, modèle d'Ising, physique statistique, physique théorique, relativité générale, représentation du réel, système dynamique, théorie des cordes
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Mathématiques et réalité
/ UTLS au lycée, Mission 2000 en France
/ 14-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CARTIER Pierre
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Conférence du 14 janvier 2000 par Pierre Cartier. Nous voulons insister sur le cycle de rétroaction des mathématiques et de la réalité, prise dans son sens social et technologique. Les caractéristiques principales des mathématiques nous semblent les suivantes : a) Dégager et organiser un savoir-faire de nature combinatoire : numérations de plus en plus performantes pour traiter de nombres de plus en plus grands, description de formes géométriques et d'agencements. b) Créer des formes nouvelles qui serviront à modeler le monde (architecture, paysages, instruments techniques). c) Inventer et imposer un ordre : les nombres dans l'ordre économique (ou monétaire), les règles d'organisation. d) Garantir le fonctionnement et l'efficacité des procédures mathématiques : démonstrations, algorithmes, non-contradictoires. Le monde régulé par les mathématiques veut minimiser la part des aléas. De larges pans des mathématiques (calcul des probabilités, fractales, ondelettes) sont consacrés à la découverte d'un ordre sous-jacent au désordre apparent. Dans cette perspective, le développement historique des mathématiques, leur validité théorique ou publique, le degré de certitude qu'elles procurent, leurs fondements et leur unité (plus organique que logique), tous ces problèmes se présentent sous un jour nouveau. Mot(s) clés libre(s) : combinatoire, formalisation, forme géométrique, histoire des sciences, intersubjectivité, langage mathématique, nombre, philosophie des mathématiques, représentation du réel, théorie mathématique
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Mathématiques et réalité
/ UTLS au lycée, Mission 2000 en France
/ 14-01-2000
/ Canal-u.fr
CARTIER Pierre
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Conférence du 14 janvier 2000 par Pierre Cartier. Nous voulons insister sur le cycle de rétroaction des mathématiques et de la réalité, prise dans son sens social et technologique. Les caractéristiques principales des mathématiques nous semblent les suivantes : a) Dégager et organiser un savoir-faire de nature combinatoire : numérations de plus en plus performantes pour traiter de nombres de plus en plus grands, description de formes géométriques et d'agencements. b) Créer des formes nouvelles qui serviront à modeler le monde (architecture, paysages, instruments techniques). c) Inventer et imposer un ordre : les nombres dans l'ordre économique (ou monétaire), les règles d'organisation. d) Garantir le fonctionnement et l'efficacité des procédures mathématiques : démonstrations, algorithmes, non-contradictoires. Le monde régulé par les mathématiques veut minimiser la part des aléas. De larges pans des mathématiques (calcul des probabilités, fractales, ondelettes) sont consacrés à la découverte d'un ordre sous-jacent au désordre apparent. Dans cette perspective, le développement historique des mathématiques, leur validité théorique ou publique, le degré de certitude qu'elles procurent, leurs fondements et leur unité (plus organique que logique), tous ces problèmes se présentent sous un jour nouveau. Mot(s) clés libre(s) : combinatoire, représentation du réel, philosophie des mathématiques, nombre, langage mathématique, intersubjectivité, histoire des sciences, forme géométrique, formalisation, théorie mathématique
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