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Quartiers et mémoires de migrations : présentation de la journée d'étude / Laure Teulières
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 13-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
TEULIERES Laure
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"Quartiers et mémoires de migrations : présentation de la journée d'étude". Laure TEULIERES (Univ. Toulouse II-Le Mirail). Journée d'Étude organisée par le laboratoire France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du Moyen Age à l'époque contemporaine (FRAMESPA, CNRS) en collaboration avec la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration et avec le soutien de la MSHS de Toulouse, dans le cadre de "La Novela" le festival des savoirs de la ville de Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 13-14 octobre 2009.Intervention de Salah Amokrane (Association Tactikollectif) présentant le programme des activités culturelles connexes à la journée d'études : exposition "Travail d'arabes", journée musicale (hip-hop, rap, slam, chansons populaires de l'immigration et des quartiers)... Mot(s) clés libre(s) : identité collective, immigration, mémoire collective, quartiers ethniques
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Ethnies et « nation » en Chine
/ UTLS - la suite
/ 07-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
THORAVAL Joël
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L'affirmation au 20ème siècle d'une nation chinoise moderne, sous le gouvernement du Guomindang puis sous celui des Communistes, a nécessité la prise en compte simultanée de deux types de différences : celle qui oppose la Chine aux autres nations (c'est la question du nationalisme moderne) et celle qui met en rapport les diverses populations occupant le territoire de l'ancien Empire des Mandchous (c'est le problème des nationalités ou ethnies minoritaires). La définition de ce que signifie être Chinois dans le cadre d'un Etat-nation moderne est contemporaine de la volonté de préciser la relation existants entre « Han » et « non-Han ». L'intelligence de cette question et l'appréciation des problèmes de la situation actuelle demandent que soit clarifiés le sens et les différents usages d'un concept commun, minzu, ayant servi au cours du dernier siècle à désigner des réalités aussi diverses que la race, l'ethnie, la « nationalité » ou la nation moderne. A partir de l'exemple des « minorités nationales » officiellement instituées en Chine continentale, on essaiera de donner une idée de la complexité de ce problème en évoquant le rôle joué dans cette évolution par les différents modèles étrangers (européen, japonais, soviétique) mais en présentant aussi des interrogations plus récentes relatives à la notion d' « ethnicité ». Mot(s) clés libre(s) : chine, ethnicité, identité collective, minorités, minzu, nationalisme
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
VERONI-PACCHER Lisa
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Le poète, activiste et leader afro-américain Amiri Baraka fut, avec Richard Hatcher et Charles Diggs, un des organisateurs de la Convention politique nationale noire de Gary, dans l'Indiana, en mars 1972. Cet événement est souvent dépeint par les historiens et les chercheurs en sciences politiques comme marquant la fin des Mouvements des Droits civiques et du Black Power ou représentant une voie sans issue dans un contexte politique américain de plus en plus conservateur. Cette communication analyse le rôle d'Amiri Baraka et sa tentative de réunir sous le même toit intégrationnistes, nationalistes et radicaux noirs, dans l'espoir que la convention aiderait à promouvoir un sentiment d'unité et de solidarité parmi les Afro-américains transcendant les clivages idéologiques. Au grand désespoir de Baraka cependant, les délégués de la convention de Gary ne purent se mettre d'accord sur ce qui permettrait de garantir l'indépendance politique noire et l'unité raciale : fallait-il œuvrer en dehors ou au sein des institutions politiques en place ? Malgré ses faiblesses et ses paradoxes apparents, la Convention de Gary, par son envergure et son entreprise de création d'un programme politique spécifiquement noir, fut une expérience stimulante qui permit un instant aux partisans des stratégies de contestation et à ceux qui préféraient les stratégies électorales, de réfléchir ensemble aux alternatives offertes aux Afro-américains pour augmenter leur pouvoir politique. L'héritage d'Amiri Baraka se retrace donc dans les tentatives d'articulation et d'affirmation d'un pouvoir politique indépendant noir dans l'Amérique des années 70 et au-delà. Mot(s) clés libre(s) : Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Amiri Baraka (1934-2014), noirs américains (identité collective)
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