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Europe hors et dans l'union européenne
/ Mission 2000 en France
/ 12-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RUPNIK Jacques
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Depuis la chute du Mur de Berlin en 1989, une nouvelle géographie politique de l'Europe est en gestation. Le centre de gravité géopolitique du continent s'est déplacé vers l'Est (vers l'Europe Centrale) tandis que le centre de gravité institutionnel s'est déplacé vers l'Ouest (vers l'Union Européenne et l'OTAN). C'est en Europe Centrale que cette tension (cette contradiction ?) devra être surmontée. Tandis que l'Union Européenne hésite entre " l'Europe espace " et " l'Europe Puissance ", trois situations différentes apparaissent à l'Est du Continent renvoyant chacune à un type de relation différent avec l'Union Européenne : 1. La Russie : qu'est-ce que la Russie sans Empire ? Jusqu'où va " l'étranger proche " ? Quel partenariat avec l'Union Européenne ? 2. L'Europe Centrale : consolidation démocratique et intégration européenne (élargissement). 3. Les Balkans : construction d'Etats-nations et dérives autoritaires. Logique d'intervention : entre marginalisation (Serbie) et " protectorats " (Bosnie, Kosovo, Macédoine, Albanie). Mot(s) clés libre(s) : économie, Europe, frontière, identité, intégration
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Europe hors et dans l'union européenne
/ Mission 2000 en France
/ 12-11-2000
/ Canal-u.fr
RUPNIK Jacques
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Depuis la chute du Mur de Berlin en 1989, une nouvelle géographie politique de l'Europe est en gestation. Le centre de gravité géopolitique du continent s'est déplacé vers l'Est (vers l'Europe Centrale) tandis que le centre de gravité institutionnel s'est déplacé vers l'Ouest (vers l'Union Européenne et l'OTAN). C'est en Europe Centrale que cette tension (cette contradiction ?) devra être surmontée. Tandis que l'Union Européenne hésite entre " l'Europe espace " et " l'Europe Puissance ", trois situations différentes apparaissent à l'Est du Continent renvoyant chacune à un type de relation différent avec l'Union Européenne : 1. La Russie : qu'est-ce que la Russie sans Empire ? Jusqu'où va " l'étranger proche " ? Quel partenariat avec l'Union Européenne ? 2. L'Europe Centrale : consolidation démocratique et intégration européenne (élargissement). 3. Les Balkans : construction d'Etats-nations et dérives autoritaires. Logique d'intervention : entre marginalisation (Serbie) et " protectorats " (Bosnie, Kosovo, Macédoine, Albanie). Mot(s) clés libre(s) : Europe, intégration, économie, identité, frontière
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De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
ROUHAUD Aline
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De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication traite des origines de la différence entre l'identité noire des noirs vivant à Cuba et celle des afro-cubains émigrés aux Etats-Unis dans la ville de Miami, essentiellement après l'exode de Mériel en 1980. Aux USA, les noirs cubains ont pu prendre conscience de la différence raciale clairement revendiquée par les leaders des mouvements pour les droits civiques dès les années 60, tandis qu'à Cuba les revendications d'une spécificité noire, incluse dans la lutte de classe, s'est diluée dans la volonté politique d'une union nationale métissée, constante depuis les guerres d'indépendance de la fin du XIXe et par delà la révolution castriste. Mot(s) clés libre(s) : lutte contre le racisme, identité nationale, Cuba (20e siècle), Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Révolution cubaine (1956-1959), Exode de Mariel (Cuba)
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Les Europes orientales, la force des différences
/ Mission 2000 en France
/ 11-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
REY Violette
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L'Europe de l'Est disparue laisse-t-elle la place à un retour de l'Europe centrale et de l'Europe balkanique ? Une telle approche, qui relève de la théorie du 'frigidaire' en vogue au début des années 1990, perd de sa pertinence face à une recomposition plus complexe des Europes orientales. Celle-ci révèle l'importance prise par la production continue de différences. Des différences fortes cloisonnent l'espace et contrecarrent les formes d'intégration, par un mélange singulier de structures culturelles et religieuses de très longue durée et de structures politiques de trop brève durée. Un première lecture suggère le jeu d'un déterminisme récurrent qui ferait que, dans une logique d'exclusivité, le nombre de peuples excède ici l'espace à partager. Il n'y a cependant pas de malédiction de la différence dans les Europes orientales. D'autres forces de différenciation transgressent les cloisonnements. Fondées sur la circulation et les flux, et aussi sur de nouvelles disparités régionales, elles ébauchent une architecture territoriale autrement articulée à l'ensemble du continent européen. Mot(s) clés libre(s) : europe, frontière, identité, nationalité, politique, territoire
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L'identité numérique d'une entreprise
/ AUNEGE, Université Paris Ouest Nanterre La Défense
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
QUINIO Bernard
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L’identité
numérique est la trace laissée volontairement ou non par un individu sur les
réseaux sociaux vituels. Partant de là, ce clip propose une définition des
réseaux sociaux virtuels puis présente l’identité numérique des individus et
enfin celle de l’entreprise. Les principaux enjeux de la gestion de
l'identité numérique d'une entreprise sont exposés. Mot(s) clés libre(s) : réseaux sociaux, identité numérique, présence numérique, réseaux sociaux virtuels
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Esprit et identité
/ UTLS - la suite
/ 08-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
PROUST Joëlle
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Qui, "je" ? Si l'injonction socratique connais-toi toi-même ! implique une forme de recherche de sa propre spécificité qui n'a rien d'immédiat ou de facile, en revanche nul ne songe à s'inquiéter de ce à quoi renvoie le "toi-même". Le toi-même renvoie à moi, l'interlocuteur de Socrate; pour savoir cela, il suffit apparemment d'être conscient de jouir d'un corps et d'un esprit de manière exclusive; de savoir que chaque histoire est unique; que tout le monde appelle chacun par son nom; que ce que l'on fait retentit sur soi au premier chef. Cette conviction que le moi s'offre sans difficulté dans l'expérience courante est renforcée par la manière non problématique dont on utilise couramment le mot "je", pronom personnel qui renvoie à l'auteur de l'énoncé, c'est-à-dire un interlocuteur identifiable dans le contexte de la communication. Mais la référence du mot "je" perd de sa clarté quand on remarque que, lorsqu'on l'utilise le mot pour exprimer sa pensée ou son expérience intime (comme dans "j'ai mal aux dents"), il paraît impossible de se tromper sur la personne que l'on est. Wittgenstein conclut de cette immunité contre l'erreur d'identification que les auto-attributions subjectives sont de fausses affirmations sur soi (une affirmation doit pouvoir être fausse). On se proposera de montrer que l'immunité contre l'erreur d'identification n'a rien d'universel, comme en attestent certaines formes de délires. Dès lors la question de la référence à soi devient cruciale, tout comme celle de l'identité de la personne. A quelles conditions une personne peut-elle se constituer et se reconnaître comme la même ? Telles seront les questions dont on débattra en axant la réflexion sur les formes variées de l 'agir. Mot(s) clés libre(s) : conscience de soi, esprit et corps, identité, Ludwig Wittgenstein, mémoire, moi, Socrate
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L’Europe, chance ou menace pour la laïcité française ? - Philippe Portier 4/4
/ 07-06-2011
/ Canal-u.fr
PORTIER Philippe
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Politiste, directeur d'études, EPHE, directeur du Groupe Sociétés, Religions et Laïcités (EPHE-CNRS)Les travaux de Philippe Portier interrogent le rapport du religieux et du politique dans les démocraties occidentales. La France est entrée dans la modernité démocratique en construisant un modèle spécifique d’articulation de la relation Églises–État : ce modèle repose initialement sur un régime de droit dont le propre est de vouloir instaurer une séparation stricte entre la sphère privée et sociale, où s’expriment librement les croyances, et la sphère étatique, envisagée comme un espace de neutralité et d’universalité. Cette configuration a fait de la France une exception dans un univers européen où les modèles nationaux se montraient, avec leurs propres singularités, globalement plus favorables à la coopération de l’institution religieuse et de l’institution politique. Or, cette spécificité est, depuis une quarantaine d’années, très fortement questionnée. Elle s’est trouvée confrontée, d’une part, à un mouvement d’affirmation identitaire qui débouche sur des demandes de reconnaissance juridique, et, d’autre part, à la concurrence d’un modèle européen qui la soumet à des contraintes inédites. On montrera que cette nouvelle donne n’a pas laissé indemne le régime français de la laïcité, ni du reste, mais avec d’autres effets, les modèles étrangers de régulation publique de la croyance. Un horizon nouveau semble se dessiner, marqué, non sans résistances il est vrai, par le dépassement des idiosyncrasies nationales.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : démocratie, communautarisme, identité collective, laïcité (Europe), laïcité (France), France, religieux
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L’Europe, chance ou menace pour la laïcité française ? - Philippe Portier 3/4
/ 07-06-2011
/ Canal-u.fr
PORTIER Philippe
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Politiste, directeur d'études, EPHE, directeur du Groupe Sociétés, Religions et Laïcités (EPHE-CNRS)Les travaux de Philippe Portier interrogent le rapport du religieux et du politique dans les démocraties occidentales. La France est entrée dans la modernité démocratique en construisant un modèle spécifique d’articulation de la relation Églises–État : ce modèle repose initialement sur un régime de droit dont le propre est de vouloir instaurer une séparation stricte entre la sphère privée et sociale, où s’expriment librement les croyances, et la sphère étatique, envisagée comme un espace de neutralité et d’universalité. Cette configuration a fait de la France une exception dans un univers européen où les modèles nationaux se montraient, avec leurs propres singularités, globalement plus favorables à la coopération de l’institution religieuse et de l’institution politique. Or, cette spécificité est, depuis une quarantaine d’années, très fortement questionnée. Elle s’est trouvée confrontée, d’une part, à un mouvement d’affirmation identitaire qui débouche sur des demandes de reconnaissance juridique, et, d’autre part, à la concurrence d’un modèle européen qui la soumet à des contraintes inédites. On montrera que cette nouvelle donne n’a pas laissé indemne le régime français de la laïcité, ni du reste, mais avec d’autres effets, les modèles étrangers de régulation publique de la croyance. Un horizon nouveau semble se dessiner, marqué, non sans résistances il est vrai, par le dépassement des idiosyncrasies nationales.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : démocratie, communautarisme, identité collective, laïcité (Europe), laïcité (France), France, religieux
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L’Europe, chance ou menace pour la laïcité française ? - Philippe Portier 2/4
/ 07-06-2011
/ Canal-u.fr
PORTIER Philippe
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Politiste, directeur d'études, EPHE, directeur du Groupe Sociétés, Religions et Laïcités (EPHE-CNRS)Les travaux de Philippe Portier interrogent le rapport du religieux et du politique dans les démocraties occidentales. La France est entrée dans la modernité démocratique en construisant un modèle spécifique d’articulation de la relation Églises–État : ce modèle repose initialement sur un régime de droit dont le propre est de vouloir instaurer une séparation stricte entre la sphère privée et sociale, où s’expriment librement les croyances, et la sphère étatique, envisagée comme un espace de neutralité et d’universalité. Cette configuration a fait de la France une exception dans un univers européen où les modèles nationaux se montraient, avec leurs propres singularités, globalement plus favorables à la coopération de l’institution religieuse et de l’institution politique. Or, cette spécificité est, depuis une quarantaine d’années, très fortement questionnée. Elle s’est trouvée confrontée, d’une part, à un mouvement d’affirmation identitaire qui débouche sur des demandes de reconnaissance juridique, et, d’autre part, à la concurrence d’un modèle européen qui la soumet à des contraintes inédites. On montrera que cette nouvelle donne n’a pas laissé indemne le régime français de la laïcité, ni du reste, mais avec d’autres effets, les modèles étrangers de régulation publique de la croyance. Un horizon nouveau semble se dessiner, marqué, non sans résistances il est vrai, par le dépassement des idiosyncrasies nationales.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : démocratie, communautarisme, identité collective, laïcité (Europe), laïcité (France), France, religieux
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L’Europe, chance ou menace pour la laïcité française ? - Philippe Portier 1/4
/ 07-06-2011
/ Canal-u.fr
PORTIER Philippe
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Politiste, directeur d'études, EPHE, directeur du Groupe Sociétés, Religions et Laïcités (EPHE-CNRS)Les travaux de Philippe Portier interrogent le rapport du religieux et du politique dans les démocraties occidentales. La France est entrée dans la modernité démocratique en construisant un modèle spécifique d’articulation de la relation Églises–État : ce modèle repose initialement sur un régime de droit dont le propre est de vouloir instaurer une séparation stricte entre la sphère privée et sociale, où s’expriment librement les croyances, et la sphère étatique, envisagée comme un espace de neutralité et d’universalité. Cette configuration a fait de la France une exception dans un univers européen où les modèles nationaux se montraient, avec leurs propres singularités, globalement plus favorables à la coopération de l’institution religieuse et de l’institution politique. Or, cette spécificité est, depuis une quarantaine d’années, très fortement questionnée. Elle s’est trouvée confrontée, d’une part, à un mouvement d’affirmation identitaire qui débouche sur des demandes de reconnaissance juridique, et, d’autre part, à la concurrence d’un modèle européen qui la soumet à des contraintes inédites. On montrera que cette nouvelle donne n’a pas laissé indemne le régime français de la laïcité, ni du reste, mais avec d’autres effets, les modèles étrangers de régulation publique de la croyance. Un horizon nouveau semble se dessiner, marqué, non sans résistances il est vrai, par le dépassement des idiosyncrasies nationales.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : démocratie, communautarisme, identité collective, laïcité (Europe), laïcité (France), France, religieux
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