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Le cerveau de cristal: apport du magnétisme à l'imagerie cérébrale - Denis Le Bihan
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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Une conférence du cycle "le magnétisme aujourd’hui : du pigeon voyageur à la spintronique" Le cerveau de cristal: apport du magnétisme à l'imagerie cérébraleDenis Le BihanDirecteur de Neurospin, Membre de l’Académie des sciences, CEA Saclay Mot(s) clés libre(s) : cerveau, imagerie médicale, Magnétisme
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Voir le cerveau penser
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 26-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées... Mot(s) clés libre(s) : anatomie cérébrale, Broca, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, language, matière blanche, matière grise, motricité, neuroimagerie, neurone, neuroscience, pensée, région cérébrale, She
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Voir et étudier les poumons avec l'hélium polarisé
/ UTLS - la suite
/ 25-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LEDUC Michèle
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Depuis quelques années se développe aux Etats Unis et en Europe une nouvelle méthode non invasive pour étudier certaines pathologies des poumons. Elle est fondée sur l'imagerie par résonance magnétique (IRM) utilisant du gaz d'hélium 3 inhalé par le patient et préalablement polarisé par pompage optique. La polarisation nucléaire dans un gaz d'hélium 3 peut atteindre 80% avec les techniques existantes et les sources laser actuelles. Ceci correspond à une « hyperpolarisation » considérable, 105 fois plus grande que les polarisations thermiques obtenues dans les champs magnétiques élevés de l'IRM standard. Ce gaz hyperpolarisé peut être utilisé comme source de signaux de résonance magnétique nucléaire (RMN) avec un excellent rapport signal sur bruit. Parmi toutes les applications que ceci suggère dans des disciplines diverses, la possibilité de faire l'image des voies aériennes des poumons a immédiatement suscité un intérêt considérable. En effet l'IRM conventionnelle, fondée sur les protons des tissus, ne peut pas fournir d'image des espaces creux, ni même des tissus du parenchyme pulmonaire. L'hélium « hyperpolarisé » apparaît ainsi comme un outil clinique très prometteur. Il fournit des images de très bonne résolution et renseigne sur la ventilation des voies respiratoires : il donne accès à des images statiques pendant que le patient retient son souffle, à la dynamique de la ventilation pendant l'inspiration et l'expiration et aussi à l'imagerie fonctionnelle. Il permet des études sur l'asthme, l'emphysème, l'obstruction chronique des voies respiratoires, en particulier chez les grands fumeurs, et donne des informations précieuses en cas de chirurgie ou de greffe du poumon. Actuellement se déroulent simultanément des études cliniques sur des malades, des travaux sur des modèles animaux et des développements technologiques visant à adapter les méthodes optiques de polarisation du gaz à un environnement médical. Ces études très pluridisciplinaires associent étroitement physiciens, ingénieurs de la résonance magnétique, radiologues et médecins. Dans cette conférence on rappellera les principes de l'IRM conventionnelle, on expliquera la méthode du pompage optique pour l'hyperpolarisation nucléaire de l'hélium, on décrira les particularités de l'IRM avec hélium, on montrera des images pulmonaires statiques et dynamiques de volontaires sains et de patients atteints de diverses pathologies. Les potentialités cliniques futures seront enfin discutées. Mot(s) clés libre(s) : hyperpolarisation de l'hélium, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, pathologie des poumons, physique atomique, polarisation nucléaire, pompage optique
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La robotique médicale et la télémédecine
/ UTLS - la suite
/ 16-01-2004
/ Canal-U - OAI Archive
MARESCAUX Jacques
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La chirurgie telle qu'on la connaît maintenant est amenée à disparaître, notamment grâce au développement phénoménal des moyens de l'information dans le domaine chirurgical. Il sera désormais possible, avant d'opérer un malade, de créer son « clone digital » à partir de ses images médicales (scanner, l'IRM
). On pourra pratiquer l'opération de façon simulée sur ce clone pour ensuite opérer le patient grâce à la chirurgie assistée par ordinateur, c'est à dire la robotique. La robotique est une interface entre le chirurgien et son malade, il y a donc déjà une notion de distanciation. Pourquoi alors ne pas envisager la chirurgie à distance, abolir les barrières géographiques. Dans cette optique, on a créé un institut totalement dédié à la recherche dans les nouvelles technologies et à la formation à ses nouvelles technologies. Un parcours de 10 ans qui va de la collecte de fonds à la première opération à distance
Mot(s) clés libre(s) : chirurgie assistée, chirurgie mini invasive, imagerie médicale, réalité virtuelle, robotique, téléchirurgie, télémédecine
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Le cerveau de la connaissance: physiologie de la cognition et images du cerveau
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAZOYER Bernard
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L'existence de relations entre cerveau et pensée a alimenté de nombreuses querelles philosophiques, et ce en raison de l'absence de techniques d'observation du fonctionnement normal de cet organe. A la fin du 19e siècle, physiologistes et neurochirurgiens ont établi que les fonctions cognitives généraient des modifications localisées de la circulation sanguine cérébrale, et que des stimulations ou des lésions du cortex pouvaient provoquer une interruption ou un trouble de leur exécution. Jusqu'aux années 1980, cette dernière approche - la neuropsychologie - a constitué la méthode expérimentale prédominante pour l'étude des relations entres structures et fonctions cérébrales. Elle est cependant limitée parce qu'elle tente d'inférer le fonctionnement du cerveau normal à partir de l'observation de dysfonctionnements de cerveaux lésés. Dans ce contexte, la mise au point au cours des années 1990 de techniques d'imagerie numérique tridimensionnelle permettant d'observer de façon externe chez l'homme vivant l'organisation fonctionnelle de son cerveau, constitue une véritable révolution. La tomographie par émission de positons, l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle et la magnétoencéphalographie sont désormais à même de fournir des cartes spatio-temporelles des événements électriques et métaboliques qui sous-tendent les activités mentales. Ces nouvelles approches des fonctions cognitives ont déjà fourni de nombreux résultats en démontrant que les activités cognitives avaient pour base une modulation d'activité neuronale. Elles devraient également permettre dans l'avenir une nouvelle approche des dysfonctionnements cognitifs apparaissant au détours des maladies neurologiques et psychiatriques. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, magnétoencéphalographie, neurone, neuropsychologie, neuroscience, pensée, sciences cognitives, système nerveux, tomographie
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La momification en Égypte pharaonique : étude et signification / Philippe Pomar
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-11-2014
/ Canal-u.fr
POMAR Philippe
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La momification en Égypte pharaonique : étude et signification / Philippe Pomar, in "Antiquité et
nouvelles technologies", première partie du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1 : Conservation, transmission" animée par Corinne Bonnet et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 12 novembre.
Le mariage entre Antiquité et
nouvelles technologies permet aujourd’hui de questionner les documents
et d’en tirer des résultats inédits, qui apportent au passé un surcroît
d’intelligibilité. Il pose aussi, en raison de l’état fragmentaire de la
documentation antique, des questions spécifiques sur le plan
méthodologique. Philippe Pomar, anthropologue et professeur d’odontologie au CHU de Toulouse, les aborde dans cette communication en s’intéressant à un cas
de nouvelles technologies non invasives (dissection virtuelle par scanographie et modélisation 3D) appliquées à l’étude d’une momie égyptienne de la Basse époque, datée d'environ 800 av. J.-C., appartenant aux collections du Musée Georges Labit de Toulouse (France). Il présente sa participation scientifique et comment l'imagerie scientifique a été mise au service de l'archéologie pour contribuer à l'étude contemporaine des momies et évoque aussi le contexte mythologique et les pratiques religieuses de l'Égypte ancienne liées à la momification. Mot(s) clés libre(s) : imagerie médicale, imagerie scientifique (interprétation), restauration et conservation du patrimoine, restes humains (archéologie), recherches scientifiques et innovations technologiques, antiquités égyptiennes, momies
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/ VSP - Vidéo Sud Production, Région PACA, INRIA, Université de Nice Sophia Antipolis, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 09-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
QUARTERONI Alfio
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Mot(s) clés libre(s) : dynamique des fluides, grille informatique, imagerie médicale, modèle mathématique, simulation numérique, système cardiovasculaire
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Voir et comprendre les dysfonctionnements du cerveau
/ William ROSTENE, BioTV
/ 03-09-2002
/ Canal-U - OAI Archive
ROSTENE William
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Discussion sur les avancées récentes dans le domaine de l'imagerie cérébrale et de la transplantation de cellules neuronales chez le singe.GénériqueAnne Hervé Minvielle, Philippe Hantraye, William Rostène Mot(s) clés libre(s) : cerveau, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, neuroscience, positon, sciences cognitives, système nerveux, TEP, tomographie
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Emois Nancy 2009 - Optimisation des délais d'obtention des IRM et des scanners
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 06-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SEGOUIN C
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Emois Nancy 2009 - Session Utilisation de l’information médicale pour la prévision d’activité (SROS, EPRD, CPOM) ; analyse de l’activité.Amélioration de l'efficience et optimisation des délais d'obtention des IRM et des scanners pour les patients hospitalisés. F. Martinez, C. Segouin.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DIM, Emois Nancy 2009, hôpital, imagerie médicale, IRM, PMSI, scanner
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L'imagerie médicale
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 08-06-2009
/ Unisciel
Simand Catherine
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Une série de ressources proposées par les sites ENS/DGESCO au sujet de l'imagerie médicale (radiologie, échographie, IRM...). Mot(s) clés libre(s) : imagerie médicale, image médicale, radiographie, radiologie, rayons X, RMN, IRM, résonance magnétique nucléaire, imagerie par résonance magnétique, imagerie ultrasonore, ultra-son, échographie
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