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Destitution de Dilma Rousseff ? La démocratie brésilienne en crise
/ 19-04-2016
/ Canal-u.fr
GARCIA Afrânio
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Dimanche 17 avril 2016, les députés brésiliens valident la procédure de destitution de la Présidente Dilma Rousseff. Afrânio Garcia analyse cet événement en regard de l'histoire de la démocratie brésilienne.
Afrânio Garcia est maître de conférences à l'EHESS, au Centre européen de sociologie et de science politique . Ses travaux portent sur la mondialisation des marchés agricoles, les mobilisations paysannes et la transformation des modes de domination au Brésil.
En savoir plus
Publications d'Afrânio Garcia
Estratégias educativas de elites brasileiras na era da globalização, São Paulo, HUCITEC/FAPESP, em colaboração com Leticia Canêdo e Kimi Tomizaki, 2013, 385 p.
Relações de gênero, raça, classe e identidade social no Brasil e na França, in Antonia dos Santos Garcia e Afrânio Raul Garcia Jr. (orgs), Salvador de Bahia, NEIM-UFBA/Letra Capital, 2013, 281 p. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, opinion publique, corruption politique, Brésil, inégalités sociales
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Mesurer l'inégalité, définir l'équité
/ UTLS - la suite
/ 04-04-2002
/ Canal-U - OAI Archive
FLEURBAEY Marc
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La mesure des inégalités est un sujet spécial qui mêle à la fois la rigueur des mathématiques et un certain parfum de révolution. Les mathématiques, car les instruments de mesure dans ce domaine font appels à des techniques sophistiquées, mais aussi parfum de révolution, car l'objet de cette mesure, les inégalités, nous plonge au coeur des problèmes fondamentaux de notre société. La vue de certains chiffres, laissant espérer une nouvelle nuit du 4 août pour abolir à nouveau les privilèges. Mais en attendant le 4 août, il faut s'interroger sur la question de cette mesure. Comment peut-on, comment doit-on mesurer les inégalités ? On peut découper cette question générale en deux sous parties. La première sous partie est la suivante : de quoi voulons nous mesurer les inégalités ? On peut mesurer les inégalités de tout ce qui est chiffrable, comme le revenu par exemple mais alors il est indispensable de faire le trie entre ce qui est important et ce qu'il l'est moins. La deuxième sous question concerne l'expression des résultats. Comment s'y prendre pour construire un chiffre qui va représenter les inégalités, un indice ? Cette distinction est utile, cependant un des enseignements essentiel des recherches passées dans ce domaine est qu'il est impossible de séparer les mesures des inégalités de la définition de l'équité et de la justice sociale. C'est dans le cadre d'une conception d'ensemble du bien social que l'on peut déterminer à la fois la formule mathématique de l'indice d'inégalité et la grandeur mesurée. Mot(s) clés libre(s) : inégalité, mondialisation, richesse
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Mesurer l'inégalité, définir l'équité
/ UTLS - la suite
/ 04-04-2002
/ Canal-u.fr
FLEURBAEY Marc
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La mesure des inégalités est un sujet spécial qui mêle à la fois la rigueur des mathématiques et un certain parfum de révolution. Les mathématiques, car les instruments de mesure dans ce domaine font appels à des techniques sophistiquées, mais aussi parfum de révolution, car l'objet de cette mesure, les inégalités, nous plonge au coeur des problèmes fondamentaux de notre société. La vue de certains chiffres, laissant espérer une nouvelle nuit du 4 août pour abolir à nouveau les privilèges. Mais en attendant le 4 août, il faut s'interroger sur la question de cette mesure. Comment peut-on, comment doit-on mesurer les inégalités ? On peut découper cette question générale en deux sous parties. La première sous partie est la suivante : de quoi voulons nous mesurer les inégalités ? On peut mesurer les inégalités de tout ce qui est chiffrable, comme le revenu par exemple mais alors il est indispensable de faire le trie entre ce qui est important et ce qu'il l'est moins. La deuxième sous question concerne l'expression des résultats. Comment s'y prendre pour construire un chiffre qui va représenter les inégalités, un indice ? Cette distinction est utile, cependant un des enseignements essentiel des recherches passées dans ce domaine est qu'il est impossible de séparer les mesures des inégalités de la définition de l'équité et de la justice sociale. C'est dans le cadre d'une conception d'ensemble du bien social que l'on peut déterminer à la fois la formule mathématique de l'indice d'inégalité et la grandeur mesurée. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, inégalité, richesse
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007 - La minorité européenne d'Algérie (1830-1962)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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La minorité européenne d'Algérie (1830-1962) : inégalités entre "nationalités", résistances à la francisation et conséquences sur les relations avec la " majorité musulmane ". par Fanny Colonna (Ecole des Hautes études en Sciences sociales), Christelle Taraud (Ecole des Hautes études en Sciences sociales)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Cette contribution a pour objet la nature hétéroclite du peuplement européen en Algérie, laquelle fut longtemps objet d’inquiétude et de mesures palliatives de la part du pouvoir politique français (loi de « francisation automatique » de 1889). On interrogera les résistances à cette uniformisation, y compris de la part des Français, leurs formes et leurs effets, souvent paradoxaux et contrastés d’une région à l’autre du pays, sur les rapports avec la majorité démographique musulmane.On plaidera ce faisant pour une approche micro-historique, à partir de ce que Carlo Ginzburg appelle « traces » ou ce que Jacques Rancière nomme « [...] les effractions aléatoires à ce silence fondamental qui rend toute histoire collective problématique ». Un tel choix épistémologique permet seul en effet de rapprocher et de donner sens aux nombreuses et pourtant improductives tentatives, tant au XIXe qu’au XXe siècle, de sorties du modèle holiste colonial pour créer une société égalitaire qui aurait inclus ceux qu’Urbain appelait du terme désormais désuet de « régnicoles ». Il s’agit donc d’une tentative pour penser à nouveaux frais, en même temps, l’histoire du peuplement européen dans son rapport avec l’hégémonie française et le statut des Algériens musulmans. Histoire de ce qui n’a pas eu lieu, certes, mais qui n’en est pas moins violemment présente dans le présent d’aujourd’hui.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1871 - conquête française), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), colonisation, européens (algérie), histoire, inégalité sociale, minorités, musulmans, résistances à la francisation
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Deuxième principe : bilans d'entropie
/ SILLAGES
/ 02-03-2010
/ Unisciel
Decout Damien
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Ce cours traite de l'irréversibilité en thermodynamique, du deuxième principe de la thermodynamique, de l'entropie de quelques fluides modèles. Mot(s) clés libre(s) : deuxième principe de la thermodynamique, identités thermodynamiques, sources de chaleur, thermostat, inégalité de Carnot Clausius, entropie
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6ième rencontres nationales de l'information médicale en psychiatrie. Coût activité, coût population. L'expérience Aquitaine de réduction des inégalités en psychiatrie
/ 11-05-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DE RICCARDIS
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Avant la VAP, certaines région comme l'Aquitaine ont utilisées les données du PMSI expérimental en psychiatrie pour réduire les inégalités entre établissements. Mr De Riccardis présente les indicateurs utilisés et les résultats obtenus.
Origine
Canal U/Médecine
Générique
Réalisation Canal U/Médecine Mot(s) clés libre(s) : inégalité, Mirecourt, PMSI, psychiatrie, retraitement comptable, VAP
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"Environnement et inégalités sociales : les sciences sociales face aux différents programmes de modernisation écologique", semi-plénière avec la participation de Jean-Baptiste Comby, Jean-Louis Fabiani et Florence Rudolf
/ 03-09-2013
/ Canal-u.fr
COMBY Jean-Baptiste, FABIANI Jean-Louis, RUDOLF Florence
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Environnement et inégalités sociales : les sciences sociales face aux différents programmes de modernisation écologique
Organisée par le Comité Exécutif et le RT 38
Introduction et animation Marie Jacqué (Université d'Aix-Marseille - LPED)
- Jean-Baptiste Comby (Université Paris 2, CARISM) : "Comment l'"écocitoyenneté" conforte un ordre social inégalitaire et peu écologique"
- Jean-Louis Fabiani (EHESS) : "Réforme de soi et injonctions environnementales"
- Florence Rudolf (INSA de Strasbourg, AMUP) : "Modernisation écologique"
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : environnement, inégalités sociales, modernisation écologique
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : capitalisme, inégalité sociale, mondialisation, pauvreté, protectionnisme
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L'évolution des inégalités
/ Mission 2000 en France
/ 04-06-2000
/ Canal-u.fr
COHEN Daniel
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"L' histoire du siècle est celle d'une formidable réduction des inégalités au sein des nations industrielles, et d'un élargissement tout aussi considérable des inégalités entre les nations elles-mêmes. Pourtant, à partir du milieu des années 1980, une autre tendance est apparue. Les nations les plus riches ont vu resurgir le spectre d'une augmentation des inégalités, tandis que les pays pauvres les plus peuplés, en Asie, se sont engagés dans un processus de croissance rapide. L'idée a été immédiatement avancée qu'une relation de cause à effet était à l'oeuvre, qu'un phénomène de vases communicants entre le monde riche et le monde pauvre reportait la pauvreté du monde pauvre sur celle du monde riche. L'encre de ces débats n'avait pas encore séché qu'un nouveau changement de direction est apparu dans la deuxième moitié des années 1990. La crise asiatique, tout d'abord, a interrompu brutalement la croissance de ces pays, et fait resurgir nombre d'appréhensions à l'égard de la "globalisation ". Aux États-Unis, par ailleurs, le "miracle" d'une croissance soutenue a fait taire les critiques contre la montée des inégalités dans ce pays, et posé, parfois, en modèle la "nouvelle économie" américaine. Il y aurait beaucoup de naïveté à extrapoler les évolutions des dernières années en une nouvelle tendance qui validerait le phénomène de vases communicants entre les pays riches et les pays pauvres. Mieux vaut reconnaître que deux processus distincts sont à l'oeuvre : le rattrapage des pays en voie de développement, et une nouvelle dynamique des inégalités au sein des pays riches. Le premier terme est-il interrompu par la crise asiatique ? Le second terme est-il inéluctable ? Faut-il se résigner à ce que certains pays (à l'échelle du monde) ou certains groupes (à l'échelle des nations) soient exclus de la prospérité des autres ? Telles sont les questions préalables auxquelles il faut répondre avant de dessiner une perspective d'ensemble sur le destin des inégalités mondiales. " Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, capitalisme, inégalité sociale, pauvreté, protectionnisme
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"Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?", semi-plénière avec la participation de Louis Chauvel, Eric Fassin, Dominique Fougeyrollas et Frédéric Lebaron
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
CHAUVEL Louis, FASSIN Eric, FOUGEYROLLAS Dominique, LEBARON Frédéric
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Peut-on parler de naturalisation des inégalités économiques ?
Présentée par les réseaux thématiques : RT 5 Classes, inégalités, fragmentations ; RT 12 Sociologie économique ; RT 42 Sociologie des élites
Table ronde avec :
- Louis Chauvel, professeur de sociologie, Université du Luxembourg
- Eric Fassin, professeur de science politique, Université Paris 8
- Dominique Fougeyrollas, chargée de recherche, CNRS
- Frédéric Lebaron, professeur de sociologie, Université de Versailles Saint-Quentin-en- Yvelines
« L’homme heureux se contente rarement du fait d’être heureux ; il éprouve de surcroît le besoin d’y avoir droit. Il veut être également convaincu qu’il “mérite” son bonheur, et surtout qu’il le mérite par comparaison avec d’autres. Et il veut donc également pouvoir croire qu’en ne possédant pas le même bonheur, le moins fortuné n’a que ce qu’il mérite. Le bonheur veut être “légitime”. » (Weber 1992 : 144)
Selon les contextes historiques et sociaux, des systèmes normatifs et idéologiques divers ont été utilisés pour justifier les différences de fortune : la religion, la biologie, la méritocratie, les « lois » économiques... Quelles sont aujourd’hui les modes de légitimation des inégalités économiques ? Reposent-elles sur des formes de naturalisation de l’ordre économique qui en ferait un phénomène allant de soi ?
Plus précisément, l’accroissement actuel des inégalités économiques et sociales s’appuie-t-il sur de nouvelles formes de naturalisation, sur le renforcement de visions du monde déjà anciennes ou encore sur l’affaiblissement des discours contestataires ? Si naturalisation il y a, par quels processus s’opère-t-elle ? Autour de quels espaces sociaux et par l’intermédiaire de quels acteurs ? L’Etat, notamment par le biais de différents dispositifs d’action publique, contribue-t-il à instituer ces inégalités, voire à les dissimuler ? Les ressorts sur lesquels s’appuient ces phénomènes de naturalisation de l’ordre économique varient-ils selon les groupes sociaux ? Dans quelle mesure les constructions sociales de différences biologiques (sexe, âge, couleur de peau, etc.) continuent-elles de justifier des différences économiques et sociales ? Dans quelle mesure également, la naturalisation des inégalités économiques concourt-elle à naturaliser l’ordre social ? Enfin, les sciences sociales participent-elles ou, tout à l’inverse, dévoilent-elles ces formes de naturalisation ? Mot(s) clés libre(s) : différence, inégalités, naturalisation, inégalités économiques
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