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Le dialogue moléculaire des symbioses
/ UTLS LA SUITE, Mission 2000 en France
/ 08-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DENARIE Jean
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L'azote est l'un des constituants des molécules organiques. Il constitue, sous la forme d'azote moléculaire N2, environ 80% de l'atmosphère terrestre. Cependant, il représente un facteur limitant majeur de la croissance des végétaux cultivés car ceux-ci ne peuvent l'utiliser que sous des formes non gazeuses, ammoniac ou nitrates. Seules les bactéries dites fixatrices d'azote peuvent utiliser l'azote gazeux N2 et le transformer en ammoniac. Comme cette réaction est très coûteuse en énergie, certaines se sont associées en symbiose avec des organismes photosynthétiques capables de transformer l'énergie lumineuse en énergie chimique. L'homme utilise ces associations ou symbioses en agriculture : - la symbiose entre des cyanobactéries et des fougères aquatiques est utilisée comme ""engrais vert"" dans les rizières asiatiques - la symbiose entre les bactéries du sol rhizobium avec les légumineuses (pois, trèfle, soja) permet de diminuer l'apport d'engrais azotés de type nitrates dans les pays occidentaux. Les mécanismes intimes des interactions entre les deux partenaires de la symbiose rhizobium-légumineuses sont étudiés par les scientifiques. Ils espèrent pouvoir créer une symbiose entre les rhizobium et les céréales. L'apport d'engrais azotés et la pollution conséquente s'en trouveraient d'autant diminués. Mot(s) clés libre(s) : agronomie, bactérie, biologie moléculaire, interaction biologique, interaction durable, micro-organisme, nodosité, organisme hôte, photosynthèse, plante, symbiose, symbiote
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DMP - Dossier Médical Personnel et société de l'information
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 04-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DE ROSNAY Joël
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L'apport des nouvelles technologies va entraîner de profonds changements dans l'exercice de la médecine praticienne et hospitalière dans les années 2010, 2020. Le dossier médical personnel ( DMP) est au centre des échanges entre le patient et les acteurs de santé. L'élaboration d'un dossier de santé englobant la prévention, le diagnostic, le traitement et le suivi du patient constitue l'enjeu de la décennie à venir. La saisie des données par les capteurs, les réseaux, les bases de données et les environnements intelligents sont les avancées technologiques utilisables qui vont modifier profondément la relation médecin-malade. Mais certains dangers sont à identifier : comme la cybermédecine, les dangers de l'automédication, les atteintes à la vie privée, la traçabilité des usagers, les risques de perte de la relation médecin malade
Origine
SPI-EAO CERIMES Canal-U Médecine et Santé
Générique
Auteur : Joël de Rosnay Colloque : dossier medical personnel et nouvelles technologies SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : capteurs, dossier médical interactif de santé, dossier médical personnel, nouvelles technologies, réseaux
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Claude Cohen-Tannoudji (1996)
/ Jean-François Dars (CNRS Images), Anne Papillault (CNRS Images), CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 03-01-1996
/ Canal-U - OAI Archive
Dars (CNRS Images) Jean-François, Papillault (CNRS Images) Anne
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Claude Cohen-Tannoudji, chercheur en physique atomique, présente ses travaux de recherche sur les interactions entre la matière et le rayonnement. Le rayonnement (rayon-laser) est utilisé pour contrôler le mouvement des atomes. Les chercheurs réduisent la vitesse d'agitation des atomes, ce qui entraîne leur refroidissement, et les confinent dans une petite zone : c'est le piégeage. Du fait des faibles vitesses, il est alors possible d'observer les atomes plus longtemps et d'augmenter la précision des mesures. Une des applications possible de ces techniques est la construction d'une horloge spatiale destinée à être mise en orbite autour de la terre.
Générique
Réalisation : Jean-François Dars et Anne Papillault Remerciements : le laboratoire primaire des temps et des fréquences, l'observatoire de Paris, le collége de France, le département de physique de l'Ecole Normale Supérieure Production : CNRS Images/media Diffusion : CNRS Diffusion-Videothéque-Photothéque Copyright CNRS Images/media - 1996 Mot(s) clés libre(s) : Interaction Rayonnement Matière Atome Photon Piégeage Refroidissement Cohen-Tannoudji
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La coévolution
/ Mission 2000 en France
/ 07-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COMBES Claude
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Les virus informatiques sont de plus en plus élaborés. Les anti-virus sont de plus en plus complexes. Telle est l'image moderne que l'on peut donner de la coévolution. La coévolution, c'est le processus sans fin dans lequel deux adversaires construisent sans cesse de nouvelles armes pour ne pas être distancé par "l'autre". Des exemples typiques de coévolution en biologie se trouvent dans les relations entre les agents pathogènes et leurs hôtes. La coévolution existe aussi dans les systèmes mutualistes, où chacun exploite l'autre. L'illustration la plus belle est celle des orchidées de Madagascar et de leurs papillons pollinisateurs. Les premières ont des tubes nectarifères de 30 cm de longueur et les seconds ont des trompes de 25 cm. L'allongement démesuré des nectaires et des trompes au cours de l'évolution s'explique seulement par un processus coévolutif qui avait été déjà entrevu par Charles Darwin. La question cruciale est celle du rôle de la coévolution dans le phénomène grandiose de l'évolution elle-même. N'est-elle qu'une anecdote, ou au contraire un mécanisme fondamental ? L'hypothèse dite de ""la Reine Rouge"" propose qu'elle est la base même de l'aventure de la vie. Avec l'homme apparaît une forme entièrement nouvelle de coévolution, non plus entre des objets vivants mais entre deux processus : le génome et la culture. Par leurs traditions culturelles, transmises de génération en génération, les hommes influencent de plus en plus fortement les processus de la sélection naturelle. Par exemple, les progrès de la médecine contrarient certainement la sélection des gènes de résistance aux maladies. Quant aux interventions directes sur le génome, elles relègueront les processus naturels au rang d'accessoires obsolètes. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, biologie animale, biologie des populations, coévolution, évolution, génétique, interaction durable, mutualisme, organisme hôte, parasite, parasitisme, symbiose
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La coévolution
/ Mission 2000 en France
/ 07-01-2000
/ Canal-u.fr
COMBES Claude
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Les virus informatiques sont de plus en plus élaborés. Les anti-virus sont de plus en plus complexes. Telle est l'image moderne que l'on peut donner de la coévolution. La coévolution, c'est le processus sans fin dans lequel deux adversaires construisent sans cesse de nouvelles armes pour ne pas être distancé par "l'autre". Des exemples typiques de coévolution en biologie se trouvent dans les relations entre les agents pathogènes et leurs hôtes. La coévolution existe aussi dans les systèmes mutualistes, où chacun exploite l'autre. L'illustration la plus belle est celle des orchidées de Madagascar et de leurs papillons pollinisateurs. Les premières ont des tubes nectarifères de 30 cm de longueur et les seconds ont des trompes de 25 cm. L'allongement démesuré des nectaires et des trompes au cours de l'évolution s'explique seulement par un processus coévolutif qui avait été déjà entrevu par Charles Darwin. La question cruciale est celle du rôle de la coévolution dans le phénomène grandiose de l'évolution elle-même. N'est-elle qu'une anecdote, ou au contraire un mécanisme fondamental ? L'hypothèse dite de ""la Reine Rouge"" propose qu'elle est la base même de l'aventure de la vie. Avec l'homme apparaît une forme entièrement nouvelle de coévolution, non plus entre des objets vivants mais entre deux processus : le génome et la culture. Par leurs traditions culturelles, transmises de génération en génération, les hommes influencent de plus en plus fortement les processus de la sélection naturelle. Par exemple, les progrès de la médecine contrarient certainement la sélection des gènes de résistance aux maladies. Quant aux interventions directes sur le génome, elles relègueront les processus naturels au rang d'accessoires obsolètes. Mot(s) clés libre(s) : évolution, parasitisme, parasite, organisme hôte, mutualisme, interaction durable, coévolution, biologie des populations, biologie animale, biodiversité, génétique, symbiose
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, C.E.R.I.M.E.S., COLLEGE DE FRANCE
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Colonomos Ariel
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Mot(s) clés libre(s) : comportement collectif, démocratie, interaction sociale, prise de décision, rationalité, sagesse
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Conférence de Claude Cohen Tannoudji - UdP 2000
/ Science en Cours
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN-TANNOUDJI Claude
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Durée : 1h16'34'' Mot(s) clés libre(s) : Thermodynamique Claude Cohen Tannoudji Conférence Lille Interaction Interactions Atome Atomes Photon Photons
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Les symétries en physique, de Galilée au modèle standard (cours)
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 01-06-2002
/ Unisciel
Cohen-Tannoudji Gilles
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La prise en compte des propriétés de symétrie (ou d'invariance)
est un fil conducteur qui parcourt toute l'histoire de la physique moderne, de
Galilée et Newton à l'unification des interactions fondamentales... Un lien vers un cours de Gilles Cohen-Tannoudji. Mot(s) clés libre(s) : modèle standard, symétries, symétrie, interactions fondamentales, supersymétrie, principe de moindre action, loi de conservation, mécanique classique, mécanique quantique, mécanique lagrangienne, mécanique statistique, mécanique relativiste, formulation lagrangienne, invariance de jauge
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Improvising in Sign Language and Gestures
/ 06-11-2015
/ Canal-u.fr
CITRON Ati
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The Sign Language Theatre Laboratory is a practicebasedartistic research group that began operating in2014 as part of the Grammar of the Body (GRAMBY) Interdisciplinary Research Project led by University ofHaifa linguist Wendy Sandler and funded by the European Research Council. Most of the nine Lab actorsare deaf and hardofhearing,and all of them use Israeli Sign Language (ISL) on a daily basis. We use ISLcombined with expressive gestures and physical theatre in order to develop a form of visual theatre that isaimed at both deaf and hearing spectators. Improvisation is our principal method of operation. We play withthe mimetic component of ISL, highlighting facial expressions and body language, and experimenting withgestures that are normally performed and understood by hearing and deaf people alike. We are inspired bydeaf culture as well as by the work of 20th Century theatre experimentalists such as Meyerhold, Artaud,Grotowski and the Living Theatre. We also draw from the language of two forms of traditional Indian dancetheatre, Kutiyattam and Kathakali, which employ combinations of codified hand movements (mudras) andfacial expressions (rasas) to present the dramaticaction. When our group was introduced to these genres in a workshop, we discovered a surprising affinitybetween the signs of traditional Indian theatre and those used in ISL. From this potpourri we devise ourtheatrical materials. We improvise within certain movement routines and exercises, realizing that free groupimprovisation can only stem from clear, at times even rigid structures and rules. Also necessary, of course,are “comprehensive listening”, which deaf actors practice visually, the ability to lead and be led, and finally,the skill of contributing to a collective creation. These will be demonstrated in my presentation through ananalysis of a few short videos of our work. Mot(s) clés libre(s) : interaction linguistique, improvisation
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Le mécanisme de repliement des molécules
/ UTLS - la suite
/ 17-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHATENAY Didier
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Ce terme désigne le mécanisme par lequel une macromolécule linéaire (par macromolécule on entend un enchaînement linéaire de motifs moléculaires) acquiert une structure tridimensionnelle. Un tel mécanisme est particulièrement important dans le domaine du vivant car une fois synthétisées c'est par ce processus que les protéines acquièrent la structure qui va leur permettre de remplir une fonction précise au sein de la cellule. Ce mécanisme a attiré l'attention de nombreux chercheurs du fait de son importance cruciale en biologie mais aussi du fait du formidable problème computationnelle que représente la prédiction de la structure tridimensionnelle de ces objets à partir de leur structure chimique linéaire. Nous rappellerons les notions essentielles nécessaires à la compréhension de ce mécanisme (atomes, liaisons chimiques, molécules, macromolécules) ainsi que les principaux mécanismes biologiques mis en jeu lors de la synthèse d'une protéine. Nous passerons ensuite en revue les principales forces mises en jeu lors du repliement (essentiellement les forces électrostatiques, l'effet hydrophobe, la liaison hydrogène) puis nous décrirons les principaux outils expérimentaux permettant d'aborder l'étude de ce phénomène. Quelques expériences seront présentées ainsi que la situation actuelle du problème. Mot(s) clés libre(s) : dénaturation, interactions intra-moléculaires, liaison chimique, liaison covalente, macromolécule biologique, paradoxe de Levinthal, physique statistique, protéine, repliement, structure de la matière
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