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Titre
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Ekaterina Sokirianskaia
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
SOKIRIANSKAIA Ekaterina
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Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Géraldine Casutt
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
CASUTT Géraldine
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Géraldine Casutt revient sur l'engagement féminin en Occident et sur les femmes formées au djihad et partant pour la Syrie. Le phénomène est "contre-intuitif" car il renvoie au double défi de penser le rapport actif des femmes à la violence et le devoir individuel d'être aussi épouse et mère pour être djihadiste à part entière. Mot(s) clés libre(s) : jihad, épouse, départ en Syrie, engagement féminin, salafisme, Daech, déradicalisation, Djihad, radicalisation, mère
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Haider Saeed
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
SAEED Haider
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Traduction à venir Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Harith Hasan Al-Qarawee
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
Al-Qarawee Harith Hasan
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traduction à venir Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Hisham Al-Hashimi
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
AL-HASHIMI Hisham
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Traduction à venir Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Le jihad - Makrâm Abbes
/ UTLS - la suite
/ 07-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ABBES Makram
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Depuis l’avènement du 11 septembre, d'abord en tant que donnée historique fondamentale qui a bouleversé les relations internationales, ensuite, et surtout, en tant que concept qui a permis d’isoler certains éléments du réel et de fournir une grille de lecture pour tout ce qui touche à la guerre, à l’ennemi, aux problèmes du droit et de la sécurité, l’islam s’est trouvé au centre des débats induits par ce grand tournant du début du XXIème siècle. Le concept du 11 septembre a initié une nouvelle figure de l’ennemi (le jihadiste) qui n’a rien à voir avec celles de l'ennemi classique représenté par un Etat, et respectueux, peu ou prou, de ce que les doctrines classiques de la guerre appelaient "la guerre régulière" ou "la guerre en forme", celle qui obéit à des codes, à certaines lois faisant une large place au droit ou à la morale. Visiblement, cet ennemi ne respecte aucun code, aucune loi puisqu'il situe le combat non pas entre des entités politiques et juridiques bien déterminées, mais plutôt entre, d'un côté, des groupes agissant au nom de l’islam, et, de l'autre, des cibles potentielles non identifiables pouvant varier d’un pays à l’autre. En raison de la naissance de cette figure d’un ennemi insaisissable, se réclamant d’une doctrine terrifiante et monstrueuse, fondée sur la barbarisation de l’Autre, qu’il soit arabo-musulman ou occidental, les discours portant sur la conception de la guerre en islam ont eu tendance, récemment, à accréditer l'idée d'un islam foncièrement belliciste et guerrier, dans lequel l'ennemi est forcément ontologisé et prédéfini. Certaines lectures qui se veulent savantes et académiques font même de l’islam une exception sur le plan militaire, puisqu’il serait le seul à prôner la doctrine de la guerre fondée sur la violence aveugle et la conversion forcée, une guerre totale et pérenne qui doit continuer, au nom d'un horizon théologique macabre, jusqu'à la fin des temps. Ainsi, pour l'un des auteurs représentatifs de ce type de lectures, l'islam serait passé par deux phases : celle, dans un premier temps, du
jihâd en tant que combat meurtrier où il a cherché à soumettre les autres peuples par la violence, et celle, dans un deuxième temps, après l’épuisement de ses forces militaires, d'un
jihâd plus méritoire, le combat contre soi-même. «Malheureusement, dit l'auteur, il s’avère que [l'islam] est toujours miné par la violence extrême (terrorisme, assassinat et suicides), et l’on s’interroge légitimement pour savoir si elle n’a pas quelque base dans sa culture. » La naissance de cette figure du
jihâdiste, associée à celle du musulman conquérant du VIIème siècle serait ainsi le socle de cette représentation d’un islam qui a toujours mobilisé les mêmes raisons (la croyance) pour faire la guerre et dans lequel la théologie est à la fois le moteur et le
télos du politique. Le seul changement, d'après ces lectures, c'est que du combattant tellurique qui a sillonné les terres au nom de Dieu au VIIème siècle, on est passé au combattant aérien qui fend les airs à l'aube du XXIème siècle. Mais la nature du combat, ainsi que la conception et la représentation de la l'activité guerrière sont et seront toujours les mêmes. Mot(s) clés libre(s) : islam, jihad, religion
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Lorenzo Vidino
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
VIDINO Lorenzo
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Lorenzo Vidino compare le djihadisme aux États-Unis et en Europe. Le problème qui est mineur aux États-Unis : le facteur démographique et la meilleure intégration des musulmans dans la société les rend certes plus hermétiques à la radicalisation, mais il faut nuancer le propos puisque plusieurs individus "radicalisés" en Europe ou aux États-Unis sont bien intégrés. De plus, aux États-Unis, il n'existe pas de filières comme en Europe, les salafistes non-djihadistes ne se développant pas autant qu'en Europe, et les recruteurs n'ayant pas la même facilité à rassembler et à s'établir en intermédiaires via Internet. La diversité culturelle nord-américaine interroge éégalement la place des musulmans afro-américains dans la radicalisation djihadiste : ceux-ci sont très minoritaires, ils n'ont pas de discours politisé ou violent sur l'islam, anti-américain ou pro-syrien. De même, on observe très peu de radicalisations en prison des afro-américains et malgré les conversions fréquentes en prison, beaucoup délaissent l'islam en en sortant. Enfin, l'absence d'un passé colonial est un facteur non-négligeable pour expliquer cette situation, même s'il faut noter aussi qu'un "sentiment anti-islam" plus général se développe et est relayé par certains intellectuels et hommes politiques néo-conservateurs en cette période électorale. Mot(s) clés libre(s) : Internet, filière, Etat-Unis, salafisme, Daech, déradicalisation, Afro-américains, Djihad, recrutement, radicalisation, jihad, sentiment anti-islam
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Mohamed Ali Adraoui
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
ADRAOUI Mohamed Ali
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Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Olivier Roy
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
ROY Olivier
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Mot(s) clés libre(s) : jihad, radicalisation, Djihad, déradicalisation, Daech, salafisme
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Peter Neumann
/ FMSH Production
/ 31-05-2016
/ Canal-u.fr
NEUMANN Peter
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Peter Neumann compare les scènes djihadistes en Allemagne et en Grande-Bretagne, en pointant les spécificités de chaque pays et en les comparant à leur tour au cas français. Les conditions socio-économiques (chômage, antécédents criminels, migrations, niveau d'études, etc.) des musulmans recrutés pour le djihad, les politiques extérieures et internes (laïcité française par exemple) ainsi que le legs colonial de chaque pays, mais aussi le développement de l'islam des pays d'origines des musulmans (Turquie, Pakistan par exemple) ayant migré dans ces pays, sont autant de facteurs qui expliquent certaines des différences dans leur rapport au djihadisme. Mot(s) clés libre(s) : migration, Daech, déradicalisation, Djihad, recrutement, banlieue, Allemagne, radicalisation, Grande-Bretagne, charia, jihad, salafisme
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