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"L’école entre domination et justice sociale", semi-plénière avec la participation d'Olivier Cousin, Fabrice Dhume, Ugo Palheta et Elise Tenret
/ Canal-u.fr
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L’école entre domination et justice sociale
Organisée conjointement par : RT4 Sociologie de l'éducation et de la formation et le GT 44 Justice sociale et sentiments d’injustice
Modérateurs : Régis Cortesero et Yves Dutercq
- Olivier Cousin (Centre Emile Durkheim, Bordeaux 2)
- Fabrice Dhume (Responsable de l'Institut social et coopératif de recherche appliquée (région Est) - Membre du comité d'orientation de la revue Diversité-Ville-Ecole-Intégration.
- Ugo Palheta (Lille 3)
- Elise Tenret (IRISSO-CNRS, Paris-Dauphine)
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : sociologie de l'éducation, école, justice sociale, domination
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"Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires", semi-plénière avec la participation de Romuald Bodin et Stanislas Morel
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
BODIN Romuald, MOREL Stanislas
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Vers une renaturalisation des inégalités sociales à l’école ? Les jeunes face aux pathologies scolaires
Coordination : RT4 « Éducation et Formation », RT15 « Jeunesse, âges de la vie, générations »
Intervenants :
- Romuald Bodin, enseignant-chercheur à l’EPSE / Université de Poitiers (Laboratoire GRESCO) : « Épidémie de handicap ou montée des inégalités ? La naturalisation des différences et des difficultés »
- Stanislas Morel, enseignant-chercheur à l’Université de Saint-Etienne (Laboratoire ECP) : « La "galaxie des dys" : une renaturalisation du problème de l'échec scolaire ? »
Depuis quelques années, les difficultés scolaires sont soumises à une forme de « re-naturalisation », à travers l’apparition et le développement de pathologies scolaires, telles que la dyslexie, la dyspraxie, ou encore la précocité intellectuelle. Ces phénomènes ont inspiré un certain nombre de travaux sociologiques récents (Garcia, 2013 ; Lignier, 2012 ; Morel, 2014), qui contribuent à montrer que ces pathologies demeurent socialement déterminées et que leur nombre croissant correspond moins à leur nouveauté qu’à un étiquetage médical ou psychologique plus fréquent. Ainsi, la dyslexie, les « surdoués », la dyspraxie etc., seraient de nouvelles manières de transformer en troubles médicaux des difficultés auparavant considérés comme produites par les caractéristiques sociales. Cet étiquetage médical n’est pas sans poser des questions, à la fois sur les enjeux politiques et sociaux de cette renaturalisation - l’échec scolaire devenant un problème individuel, en tout cas extérieur à l’institution scolaire - et sur la transformation de l’expérience scolaire et sociale des jeunes – le stigmate lié à la pathologie a-t-il des incidences sur la socialisation scolaire et familiale des jeunes ?
Au-delà de l’école, des conceptions proches se retrouvent dans la perception des populations ciblées par le travail social. Sous l’emprise grandissante des conceptions médico-sociales, se sont en effet développées des perceptions de la difficulté contribuant à naturaliser les « handicaps », y compris pour les populations victimes du chômage et de la précarité, et tout particulièrement les jeunes (Bodin, 2012).
Croisant les analyses issues de la sociologie de l’éducation et de la sociologie de la jeunesse, la semi-plénière visera à faire parler et discuter les intervenants sur les raisons de la montée en puissance du diagnostic médical et psychologique à l’école contre le diagnostic sociologique, sur les acteurs de la médicalisation de l’échec et de la réussite scolaire, et sur les conséquences politiques et sociales de ces évolutions. Cette semi-plénière vise à éclairer les processus de dénaturalisation opérés par la sociologie dans les champs de l’éducation et de la jeunesse. Mot(s) clés libre(s) : sociologie de l'éducation, école, jeunes, inégalités sociales, renaturalisation, pathologies scolaires
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023 - Avec et contre la théorie critique au nom de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque MaI 68 en quarantaine Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo,Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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024 - Débat Avec et contre la théorie critique au nom de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
RENAULT Emmanuel
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaineRésumé Si Marcuse est l’une des figures philosophiques de 1968, il n’était pas à l’époque considéré tant comme un représentant la Théorie critique francfortoise que comme un philosophe en phase avec l’ « événement ». Il fallu attendre le milieu des années 1970, avec la traduction de différents textes d’Horkheimer, Adorno et Habermas, pour que l’« École de Francfort » puisse apparaître comme une tradition de pensée autonome. Dans le contexte de la recherche d’un marxisme critique non althusserien, les modalités de la réception française furent surdéterminées par la conjoncture politique : les uns faisant de l’incapacité des Francfortois à accompagner 68 en Allemagne le signe de l’insuffisance politique de cette révision du marxisme (J.-M. Vincent), les autres faisant de ce « marxisme critique » une « critique du marxisme » dont la défense de la « social-démocratie » serait bientôt la contrepartie positive (A. Renaut, J.-M. Ferry). L’effondrement du marxisme devait peu après se solder par un coup d’arrêt à cette première étape de réception de la Théorie critique francfortoise. Ce n’est pas avant le milieu des années 1990 (et un nouveau cycle politique contestataire) qu’une seconde étape fut l’occasion de renouer sur des bases originales avec certains thèmes de la pensée critique des années 1968.Bibliographie A. Tosel, « Le développement du marxisme en Europe occidentale depuis 1917 », in Histoire de la philosophie, Gallimard, vol. III, 1975, p. 902-1045. J.-M. Vincent, Le marxisme critique de l’École de Francfort, Galilée, 1976. Paul-Laurent Assoun et de Gérard Raulet, Marxisme et théorie critique, Payot, 1978. M. Horkheimer, Théorie critique. Essais, Payot, 1978 (avec une introduction de J.-M. Ferry et A. Renaut). E. Renault, « Foucault et l’École de Francfort », in Y. Cusset, S. Haber, Habermas et Foucault. Parcours croisés, confrontations critiques, CNRS Éditions, 2006.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, Axel Honneth, critique, domination, école de francfort, Herbert Marcuse, Jürgen Habermas, marxisme critique, Max Horkheimer, philosophie et politique, Theodor Wiesengrund Adorno, théorie critique
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029 - Histoire du système d’enseignement colonial en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Aïssa Kadri (Université François Rabelais (Tours)Enseignement et enseignants dans l'Algérie coloniale : session thématique (prés. Frédéric Abécassis)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Dans l’histoire de l’imposition de l’école française en Algérie, 1883 marque pour de nombreux analystes, historiens et sociologues, une césure entre deux grandes phases qui sont généralement identifiées pour celle antérieure à cette date comme celle du refus scolaire de la part de la population locale et pour la période qui la suit comme celle de la progressive montée d’une demande scolaire qui ne devient véritablement franche qu’à partir de l’entre-deux-guerres.Cependant, s’il est indéniable que l’intervention des lois Ferry a modifié sensiblement le paysage scolaire qui prévalait jusqu’alors en Algérie, en définissant une politique cohérente qui tranche avec celle de la période précédente faite d’hésitations et de tâtonnements, la périodisation qui en découle et qui distingue un avant et un après les lois laïques demeure à notre sens réductrice à maints égards des ambiguïtés qui ont accompagné l’implantation du système scolaire français.L’impact de l’école française repéré surtout à partir du constat unilatéral des seules autorités coloniales est ainsi principalement validé par la mesure statistique : la stagnation ou la progression des effectifs scolaires algériens dans le primaire deviennent à cet égard les principaux indices de la résistance ou de l’adhésion au système scolaire exogène ; or, à considérer le nombre d’étudiants qui sont passés par le système de l’enseignement secondaire et supérieur ou le taux d’analphabétisme relevé pour les années 1960 ou même la part des élèves scolarisés dans le primaire - et ceci au moins jusqu’en 1958- sur celle des enfants en âge d’être scolarisés, le bilan scolaire colonial apparaît dérisoire n’eut été l’infléchissement tardif provoqué par la pression de la lutte de libération nationale.L’histoire de la politique scolaire coloniale n’a jamais été ce lent mouvement de civilisation des populations locales présentes seulement par leur refus : elle apparaît plutôt comme un processus profondément contradictoire dont les déterminants sont à rechercher aussi bien chez les émetteurs de cette politique qu’au niveau de ses récepteurs. Elle se laisse donc apprécier moins en terme d’effectifs algériens qui ont transité par le système de l’enseignement colonial qu’en terme de rapport de communication où ce qu’il importe de saisir, au-delà du contenu de l’émission et dans la perspective de ce qu’est l’école aujourd’hui en Algérie et de ce qu’elle représente, c’est la manière dont le message, ici l’école, est capté, interprété et assimilé à partir des caractéristiques propres de la société réceptrice.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : administration scolaire, algérie (1830-1962), analphabétisme, écoles françaises (algérie), éducation, enseignement (algérie)
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1- Juifs, chrétiens, musulmans, conférence de John Tolan. Introduction
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles
La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des
sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et
musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines
minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les
sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants
en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours
pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire
européenne.
Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation,
structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de
l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de
recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et
discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS
Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes. Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement
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1- Le recteur et ses inspections académiques : étude comparée Toulouse-Montpellier / Emmanuel Dubus
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUBUS Emmanuel
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Le Recteur et ses inspections Académiques : études comparée des académies de Toulouse et Montpellier sous la 3e République, Emmanuel Dubus (Université de Montpellier 3). Intervention filmée lors du colloque "Les recteurs et le rectorat d'Académie de Toulouse (1808-2008)", organisé par l'université Toulouse II-Le Mirail, le rectorat de Toulouse et l'équipe de recherche FRAMESPA à l'IUT de Blagnac, les 20-21 novembre 2008.Consulter le programme. Mot(s) clés libre(s) : circonscriptions scolaires (académie de Montpellier), circonscriptions scolaires (académie de Toulouse), inspection des écoles (1870-1940), recteurs d'académie
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2- Juifs, chrétiens, musulmans, conférence de John Tolan. 1ere partie
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles
La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des
sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et
musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines
minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les
sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants
en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours
pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire
européenne.
Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation,
structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de
l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de
recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et
discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS
Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes. Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement
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3- Juifs, chrétiens, musulmans, conférence de John Tolan. 2eme partie
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles
La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des
sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et
musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines
minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les
sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants
en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours
pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire
européenne.
Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation,
structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de
l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de
recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et
discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS
Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes. Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement
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3ème journée sur la santé des femmes 2011 - Une parenté vulnérable
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MICHEL Jacques
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Résumé : De nombreuses représentations :– irresponsabilité – déterminisme social – confusion entre grossesse et maternité– conduite à risque – échec de contraception – sexualité « libérée » Des postulats partagés par tous :– l’individu est libre– la femme a le droit à disposer de son corps– le postulat de l’individu rationnelIntervenant : MICHEL Jacques.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescente, Centre Educatif Anjorrant, école, éducation, enfance, Gynécologie Sans Frontières, maternité, parentalité, sexualité
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