Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Egalité, demande de justice et répartition
/ UTLS - la suite
/ Canal-U - OAI Archive
Voir le résumé
Voir le résumé
Les démocraties actuelles reposent non seulement sur la liberté mais plus encore sur l'égalité - égalité des droits, égalité par rapport à la protection de l'Etat, égalité économique par redistribution. Qu'est-ce qui dans cette égalité est réel et qu'est-ce qui est fictif ou tend à le devenir dans des sociétés en développement (et retournements) économique rapide, où perdurent des castes et des élites, notamment à travers la reproduction du système éducatif ou les inégalités de revenus créateurs de rente ? Adresse plénière :
Marc Fleurbaey, Université de Pau Modérateur :
Gérard Dupuy, journaliste Libération
Catherine Audard, London School of Economics
Genevieve Koubi, Université Cergy-Pontoise
Thomas Piketty, Ecole Normale Supérieure Mot(s) clés libre(s) : 2002, collège, démocratie, france
|
Accéder à la ressource
|
|
Clôture du premier forum de la démocratie et du savoir
/ UTLS - la suite
/ Canal-U - OAI Archive
Voir le résumé
Voir le résumé
Conclusion par
Gabriel Leroux, coordinateur du forum Allocution plénière :
Michelle Perrot, Université Paris 7 Mot(s) clés libre(s) : 2002, collège, démocratie, france
|
Accéder à la ressource
|
|
Choix scientifiques et techniques et démocratie
/ UTLS - la suite
/ Canal-U - OAI Archive
Voir le résumé
Voir le résumé
Les sciences et les techniques pèsent de plus en plus sur les conditions d'existence aussi bien collectives qu'individuelles. Les démocraties doivent réguler les conséquences des développements scientifiques et techniques, faire face aux conséquences de ces développements et souvent aussi faire des choix et des arbitrages. Comment est-il possible de respecter à la fois les conditions de la recherche scientifique et du libre-examen et les choix des citoyens en le faisant dans des conditions d'information satisfaisantes pour tous les acteurs ? Où peuvent être les lieux de débat et d'information d'une " démocratie cognitive " . Adresse plénière :
Marie-Angèle Hermitte, CNRS Modérateur :
Patrice Lanoy, journaliste scientifique, Planète Future
Didier Houssin, Directeur de l'Etablissement Français des Greffes
Gérard Mégie, Président du CNRS
Claude Weisbuch, Ecole Polytechnique Mot(s) clés libre(s) : 2002, collège, démocratie, france
|
Accéder à la ressource
|
|
2. Comment s'organise le MAB au niveau international ? Question à Mireille Jardin, juriste, Comité MAB France
/ Anne TEYSSEDRE, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, Muséum national d'Histoire naturelle, MAB
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref rappel des origines et grands concepts du MAB, Mireille Jardin présente son organisation et le fonctionnement de ses instances à différents niveaux d’intégration, depuis la réunion du Conseil intergouvernemental tous les deux ans jusqu’à la mise en œuvre et l’adaptation du programme par les gestionnaires et acteurs dans les réserves de biosphère. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
1. Qu'est-ce que le MAB ? Question à Robert Barbault, Président du Comité MAB France
/ Anne TEYSSEDRE, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, Muséum national d'Histoire naturelle, MAB
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La réponse de Robert Barbault à cette question comporte deux parties. Dans la première, l’écologue retrace l’origine et les fondements du MAB, expose les grands concepts, objectifs et outils de ce programme international de l’UNESCO dédié à l’expérimentation de projets d’écodéveloppement à l’échelle régionale. Dans la seconde, il présente les réserves de biosphère et leur zonage territorial. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
L'erreur chez Montaigne : introduction / Olivier Guerrier, Anne-Marie Cocula, Véronique Ferrer
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
L'erreur chez Montaigne : introduction / Olivier Guerrier, Anne-Marie Cocula, Véronique Ferrer. in colloque organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014.Les Essais de Montaigne apparaissent
à bien des égards comme un inventaire des erreurs en tout genre : erreurs
des sens ou « de fantasie », « erreurs médicinales »,
juridiques, philosophiques, religieuses, politiques, voire naturelles, le tout
encore fondé sur une pensée de la Chute qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive, spectatrice, se double d’une perspective
critique, qui s’emploie, avant le cartésianisme, à réfléchir sur le statut de
l’erreur, mais également son usage : erreur volontaire ou involontaire,
« particulière » ou « populaires », rapport à la
représentation, au simulacre, au mensonge, mais également gestion de l’erreur
par l’institution ou le sujet, avec éventuellement à la clé la reconnaissance,
la réparation, la correction. Quel rôle joue l’erreur dans le fonctionnement
même du texte des Essais,
et dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit
naturellement pluridisciplinaire, ce colloque entend mieux cerner, à partir de
l’enquête sur l’erreur, l’œuvre complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : vérité et mensonge, Michel de Montaigne (1533-1592), vérité (épistémologie), scepticisme (philosophie), errata, jugement (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives. Ouverture du colloque
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives. Ouverture du colloque organisé par le laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.L’éducation inclusive est fondée sur le droit à une éducation de qualité pour tous qui réponde aux besoins d’apprentissage fondamentaux
et enrichisse l’existence des apprenants. Elle s’inscrit dans un mouvement international qui met en avant les principes de non-discrimination ou de reconnaissance des droits de la personne handicapée, dans le prolongement des principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Afin de valoriser l’égalité des chances, les législateurs de
différents pays proposent de prendre en compte les besoins des apprenants en situation de handicap en créant des parcours de scolarisation personnalisés et des dispositifs de formation et d’évaluation adaptés. Ces directives impliquent en général d’importants infléchissements et changements tant au niveau des systèmes éducatifs, des dispositifs pédagogiques que des pratiques professionnelles des acteurs. Au cours de ce colloque, 3 axes de réflexion sont privilégiés : 1. La question de l’égalité et de l’équité est interrogée en prenant appui sur les propositions de l’Agence européenne pour le développement de l’éducation des personnes présentant des besoins particuliers : « La mise en œuvre, au sein de l’enseignement ordinaire, d’une méthode d’évaluation qui vise à accompagner le mieux et le plus loin possible les élèves dans leurs apprentissages. L’objectif général de l’évaluation est de promouvoir l’inclusion de tous les élèves présentant un risque d’exclusion, y compris les élèves présentant des besoins éducatifs particuliers ». 2. Les pratiques évaluatives sont étudiées et une attention particulière est portée à l’agir évaluatif de l’enseignant et du formateur, à travers l’incidence des gestes évaluatifs des enseignants pour les élèves à besoins particuliers. Les représentations
professionnelles des acteurs, leurs implications et engagements sont au cœur de la réflexion.3. Une réflexion sur l’évaluation par compétences est conduite. La
prise en compte du statut de l’élève, des ses besoins, de ses difficultés ou handicaps mais aussi de ses capacités, réinterroge la conception de la compétence et en particulier celle de son évaluation dont les dispositifs ne peuvent plus laisser pour compte les
potentialités des apprenants. Intervenants : - Christine Mias, professeur en Sciences de l'éducation (Université Toulouse Jean Jaurès),- Daniel Lacroix, vice-président de la Commission Recherche (Université Toulouse Jean Jaurès), - Frédéric Detchard, inspecteur Éducation Nationale, Adaptation scolaire et la Scolarisation des élèves Handicapés (Rectorat de l'Académie de Toulouse), - Catherine Cousergue, présidente du Groupement Interassociatif Scolarisation & Handicap (GISH). Mot(s) clés libre(s) : enseignement (innovations), intégration scolaire, handicapés (formation), éducation compensatoire, troubles de l'apprentissage, évaluation en éducation, enfants handicapés (éducation)
|
Accéder à la ressource
|
|
Diversités : individualiser pour mieux inclure. Table ronde
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Diversités : individualiser pour mieux inclure. Table ronde, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Table ronde animée par Mireille Golaszewski, Inspectrice générale honoraire
de l’Éducation nationale, Secrétaire générale du Consortium L@CCES. Intervenants
- Pascale
Gilbert, médecin coordonnateur de la Maison Départementale des Personnes Handicapées de Seine et Marne (MDPH 77).– Philippe van den Herreweghe, Délégué ministériel aux personnes
handicapées (Ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et
de la Recherche), cellule "Aide Handicap Ecole".– Gérard Poux, Inspecteur d’académie, inspecteur pédagogique régional (Académie
de Clermont-Ferrand), conseiller du recteur pour les publics à besoins
particuliers, membre du jury de la
Conférence nationale sur l’évaluation des élèves.– Nathalie Flipo, Inspectrice
pédagogique en Sciences et techniques économiques et sociales.– Eva Louvet, professeur en psychologie sociale, directrice du Laboratoire de Psychologie des Cognitions (Université de
Strasbourg).– Bénédicte Dubois [qui intervient via un diaporama commenté], Responsable de formation BEP-ASH à l’IFP Nord
Pas de Calais (Institut de formation pédagogique pour les enseignants des 1er
et 2d degrés en formation initiale et formation continue, Université catholique de Lille). Mot(s) clés libre(s) : intégration scolaire, orientation scolaire, évaluation des élèves, handicapés (formation), handicapés (éducation), évaluation différenciée
|
Accéder à la ressource
|
|
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture par Anne Maumont, Catherine Gadon, Philippe Solal, in "Journées Giordano Bruno" organisées par l'Université de Toulouse, le Muséum de Toulouse, de Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille, Muséum de Toulouse, 9-11 octobre 2014.Giordano Bruno naît en
janvier 1548, à San Giovanni del Cesco, près de Naples. Le 15 Juin 1565, il entre chez les Frères prêcheurs de San Domenico Maggiore, et il est ordonné prêtre en 1573.Trois ans plus tard, il est accusé d’hérésie et doit quitter l’environnement menaçant de Naples pour entamer une
longue période d’errance qui l’amena à parcourir l’Europe quinze ans durant. Il fréquenta les villes universitaires, et dut souvent changer de lieu pour éviter une arrestation. Il se rend ainsi à Genève, Paris, Toulouse, Londres, Prague, en Allemagne. Au carrefour de la religion, de la
philosophie et de la science, son œuvre, mais aussi sa vie, illustrent le caractère subversif de toute recherche libre, exempte des préjugés qui peuvent brider la construction du savoir. Il paya pourtant de sa vie cette liberté, puisqu’il fut brûlé vif sur le « Campo dei Fiori » de Rome, le 17 février 1600. À travers l’hommage rendu à la vie et à l’œuvre de Giordano Bruno, ces Journées ont pour objectif de présenter la façon dont se
construisent aujourd’hui les connaissances, par comparaison avec celle
de l’humanisme de la Renaissance. Cet humanisme, qui s’est développé dès
le XVe siècle, a placé en son centre le souci de la dignité de l’homme
et de la communication entre les savoirs. Des chercheurs d’horizons
différents, cosmologistes, biologistes, artistes, philosophes,
historiens, psychologues, spécialistes en littérature, tenteront eux
aussi de renouer les liens qui étaient ceux de la science humaniste pour
mieux interroger notre présent. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie des sciences, humanisme de la Renaissance, philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, Bruno Giordano (1548-1600), infini (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
La réception de Thucydide de l'Antiquité au XIXe siècle : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen Colloque organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME : (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008.
Le colloque de Toulouse, du 23 au 25 octobre 2008, clôt un programme de recherche international consacré à la réception de l'historien athénien Thucydide (Ve siècle avant J.-C.), de l'Antiquité jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. Les deux premiers colloques, qui se sont tenus à Bordeaux, en 2007 et 2008, ont eu pour objectif d'analyser comment Thucydide s'est imposé dans l'Antiquité, dès les décennies qui suivent sa mort, comme l'initiateur d'une forme d'histoire caractérisée à la fois par sa matière, qualifiée de "pragmatique" (c'est-à-dire essentiellement politique et militaire), par sa démarche, centrée sur la notion de cause historique, et par son style "élevé" (c'est-à-dire difficile, admirable et digne d'imitation). Les aléas qui accompagnent la fortune de Thucydide sont ensuite difficiles à reconstituer. Nous constatons qu'il est appréhendé, au XIXe siècle, comme une source documentaire de premier plan et comme le paradigme de l'histoire "véritable". Mais qu'en est-il lorsque les Grecs réapparaissent en Occident au début du XVe siècle et au cours des périodes qui suivent, dominées par l'historiographie latine (Salluste avant tout, César, Tite-Live) ?C'est pourquoi le troisième colloque tentera de répondre au problème principal suivant : pourquoi et comment Thucydide a-t-il été considéré, en Europe, depuis la Renaissance, semble-t-il, et plus encore au cours du XIXe siècle qui érige l'histoire en discipline reine, comme le modèle de l'historien épris d'objectivité, de rigueur, d'exactitude, de fidélité aux sources ? Le problème de la réception de Thucydide, à partir du XVe siècle (la traduction de Lorenzo Valla date de 1483 et est réimprimée dans toute l'Europe au cours du XVIe), peut être ramené à deux questions principales. - Quelle a été, d'une part, son influence sur la construction des connaissances et de l'image que nous possédons d'Athènes, à côté de l'autre grande source privilégiée jusqu'à la veille de la Révolution : les Vies parallèles de Plutarque ? Quelles lectures, à ce sujet, firent de Thucydide non seulement Machiavel, Bodin, Hobbes, son traducteur (1629), mais encore Benjamin Constant, George Grote, Victor Duruy et les tenants d'une "Athènes bourgeoise" ? Comment s'élabora, dans le même temps la figure d'un nouveau Périclès ? - D'autre part, comment, par un ensemble d'emprunts, mais surtout d'écarts, de ruptures, parfois de méprises, l'épistémologie et l'écriture de l'histoire des Modernes, telles qu'elles s'élaborent au XIXe, se sont-elles façonnées à partir des pratiques et des catégories de Thucydide : la "recherche de la vérité", l'akribeia, le concept de "grandeur", la préoccupation de "trouver" ou d'"établir" ( heurein) les faits ? -Le problème ainsi tracé concerne à la fois : - les modalités de l'intérêt porté au passé et, conjointement, de son étude ; - la nature même de la discipline historique, de sa formation, de sa propre histoire - la mise en perspective du présent et du passé, dans un double mouvement : étudier le projet et l'œuvre de Thucydide à partir des questions de la discipline historique moderne ; puis revenir de Thucydide au présent, lesté de ce que l'on aura compris de l'historien athénien. Mot(s) clés libre(s) : méthode scientifique, Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), réception des oeuvres, appréciation (Thucydide), histoire (science), Thucydide (historiographie)
|
Accéder à la ressource
|
|