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Titre
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KEZAKO : De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?
/ Mickael Mensier
/ 01-01-2013
/ Canal-u.fr
BEAUGEOIS Maxime, Hennequin Daniel, Deltombe Damien
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Kezako est la série qui répond à vos questions de science. Cet épisode traite de deux questions : "De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?". Il aborde les notions d'atomes, molécules et les forces de liaisons. Mot(s) clés libre(s) : atome, matière, molécule, liaison, agitation thermique
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Un ballon increvable
/ SEMM Lille1, UNISCIEL
/ 01-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BLONDEAU Jean-Marie, BONNEL Bernard, DESTRUN Gérard, MIKOLAJCZYK Bernard
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Un ballon de baudruche piqué d’un trou d’épingle n’explose pas si l’on a pris la peine de le « préparer » avec un morceau de ruban adhésif. Mot(s) clés libre(s) : énergie de liaison, forces de van der Waals, physique à main levée, tpe, vulcanisation
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Biochimie structurale et fonctionnelle
/ Université de Montpellier-II, Unisciel
/ 2011
/ Unisciel
Bobillo Pascale
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Les expériences de cinétique et de liaison à l’équilibre sont incontournables pour étudier les
réactions biologiques. Ce cours aborde le formalisme de la cinétique formelle et enzymatique
ainsi que les liaisons (sites indépendants et allostérie), donc toutes les notions de bases
nécessaires à l’interprétation des réactions biologiques. Mot(s) clés libre(s) : formalisme, cinétique, enzyme, enzymologie, Michaëlis, état quasi-stationnaire, pré équilibre rapide, effecteur, activateur, inhibiteur, liaison, coopérativité, allostérie
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Les liaisons à l'équilibre
/ Université de Montpellier-II, Unisciel
/ 2011
/ Unisciel
Bobillo Pascale
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De nombreuses molécules actives, telles que les hormones, par exemple, doivent se fixer sur un récepteur spécifique pour déclencher un effet biologique. Nous étudierons ces liaisons à l’équilibre en envisageant les diverses possibilités : classes de sites équivalents et indépendants et coopérativité des sites. Mot(s) clés libre(s) : liaison à l’équilibre, sites indépendants, allostérie, coopérativité, Scatchard, Hill
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Structures et dynamique moléculaire en biologie les molécules et l'eau
/ Dominique BOUVIER
/ 23-03-2004
/ Unisciel
Bouvier Dominique, Leseney Anne-marie
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-Prise en main du logiciel - Modèles moléculaires- Géométrie d'une molécule- Modèles de densité électronique- Electronégativité et polarités moléculaires- La liaison hydrogène- Modèles de potentiels électrostatiques - Profils de lipophilicité- Effet et interactions hydrophobes - Des lipides aux membranes - Structure de l'ADN Mot(s) clés libre(s) : Modèle moléculaire, interaction, liaisons chimiques, membrane, ADN, Biochimie, chimie organique
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : cohésion, constante diélectrique, dissolution, eau, écoulement, fluidité, liaison hydrogène, permittivité, physique des liquides, solvant
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L'eau : un liquide ordinaire ou extraordinaire
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2005
/ Canal-u.fr
CABANE Bernard
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L'eau est un liquide dont les propriétés sont tout à fait surprenantes, à la fois comme liquide pur et comme solvant. C'est un liquide très cohésif : ses températures de cristallisation et d'ébullition sont très élevées pour un liquide qui n'est ni ionique, ni métallique, et dont la masse molaire est faible. Cette cohésion est assurée par les liaisons hydrogène entre molécules d'eau ; l'eau fait ainsi partie d'un petit groupe de liquides qu'on appelle liquides associés. Cependant, parmi ces liquides, la cohésion de l'eau est remarquable, et elle se traduit par une chaleur spécifique énorme. Cette résistance aux variations de température a des conséquences climatiques importantes, puisque la capacité calorifique des océans leur fait jouer le rôle de régulateurs thermiques du climat. L'eau est aussi un liquide très cohésif d'un point de vue diélectrique : sa constante diélectrique est bien plus élevée que celle qu'on attendrait sur la base de la valeur du moment dipolaire de la molécule isolée. C'est aussi, dans les conditions usuelles de température et de pression, un liquide peu dense : les atomes y occupent moins de la moitié du volume total ; une grande partie du volume de l'eau liquide est donc formée de cavités. Le volume occupé par ces cavités varie de manière tout à fait anormale à basse température. D'abord, l'eau se dilate quand on la refroidit en dessous d'une température appelée température du maximum de densité. Ensuite, l'eau se dilate encore de 9 % en cristallisant, contrairement à la plupart des liquides, qui se contractent d'environ 10 % en cristallisant. Cette augmentation de volume, qui fait flotter la glace sur l'eau, a des conséquences environnementales considérables : si la glace était plus dense que l'eau liquide, toute la glace formée dans les régions arctiques coulerait au fond des océans au lieu de former une banquise qui les isole thermiquement des températures extérieures, et la production de glace continuerait jusqu'à congélation complète de ces océans Pour presque tous les liquides, l'application d'une pression réduit la fluidité et favorise le solide par rapport au liquide. Au contraire, pour l'eau à basse température, l'application d'une pression accroît la fluidité et favorise le liquide par rapport à la glace. Cet effet anormal de la pression permet à l'eau de rester fluide lorqu'elle est confinée dans des pores ou des films nanométriques, contrairement aux autres liquides qui se solidifient sous l'effet des pressions de confinement. Cette persistance de l'état fluide est capitale pour le fonctionnement des cellules biologiques : en effet, de nombreux processus requièrent le déplacement de couches d'hydratation avant le contact entre macromolécules, ou avant le passage d'un ligand vers son récepteur. De même le passage des ions à travers les canaux qui traversent les membranes des cellules n'est possible que grâce à l'état fluide de l'eau confinée dans ces canaux. Les théories anciennes attribuaient toutes ces anomalies au fait que les molécules d'eau sont liées par des liaisons H. En ce sens, l'eau devrait avoir des propriétés « en ligne » avec celles d'autres liquides associés (éthanol, glycols, amides). Pour les propriétés de cohésion, c'est une bonne hypothèse de départ bien que les propriétés de l'eau (densité d'énergie cohésive, constante diélectrique) soient supérieures à celles des liquides comparables. Pour les autres propriétés, cette hypothèse n'est pas suffisante : les autres liquides associés ne partagent pas les propriétés volumiques anormales de l'eau, ni son polymorphisme, ni son comportement comme solvant. Certains liquides ont un comportement qui ressemble à celui de l'eau pour une de ses propriétés : par exemple, on connaît quelques liquides qui se dilatent à basse température, ou en cristallisant. Nous découvrirons peut-être un jour que chacune des propriétés anormales de l'eau existe aussi dans un autre liquide. Cependant il est remarquable qu'un seul liquide rassemble autant d'anomalies. Il y a donc un besoin d'explication, auquel ne répondent pas les théories développées pour les liquides simples. Mot(s) clés libre(s) : écoulement, physique des liquides, permittivité, liaison hydrogène, fluidité, dissolution, constante diélectrique, cohésion, eau, solvant
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Le mécanisme de repliement des molécules
/ UTLS - la suite
/ 17-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHATENAY Didier
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Ce terme désigne le mécanisme par lequel une macromolécule linéaire (par macromolécule on entend un enchaînement linéaire de motifs moléculaires) acquiert une structure tridimensionnelle. Un tel mécanisme est particulièrement important dans le domaine du vivant car une fois synthétisées c'est par ce processus que les protéines acquièrent la structure qui va leur permettre de remplir une fonction précise au sein de la cellule. Ce mécanisme a attiré l'attention de nombreux chercheurs du fait de son importance cruciale en biologie mais aussi du fait du formidable problème computationnelle que représente la prédiction de la structure tridimensionnelle de ces objets à partir de leur structure chimique linéaire. Nous rappellerons les notions essentielles nécessaires à la compréhension de ce mécanisme (atomes, liaisons chimiques, molécules, macromolécules) ainsi que les principaux mécanismes biologiques mis en jeu lors de la synthèse d'une protéine. Nous passerons ensuite en revue les principales forces mises en jeu lors du repliement (essentiellement les forces électrostatiques, l'effet hydrophobe, la liaison hydrogène) puis nous décrirons les principaux outils expérimentaux permettant d'aborder l'étude de ce phénomène. Quelques expériences seront présentées ainsi que la situation actuelle du problème. Mot(s) clés libre(s) : dénaturation, interactions intra-moléculaires, liaison chimique, liaison covalente, macromolécule biologique, paradoxe de Levinthal, physique statistique, protéine, repliement, structure de la matière
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Internet par satellite, protocoles et performances
/ Mission 2000 en France
/ 06-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DABBOUS Walid
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Cet exposé traitera des protocoles Internet en général et de l'impact de l'insertion de liens satellites dans l'Internet sur les performances de ces protocoles. Dans un premier temps, je présenterai un bref aperçu sur l'architecture de l'Internet : - comment le réseau est constitué ; quelques détails sur les protocoles essentiels. Je présenterai ensuite les spécificités des liaisons satellites qui font en sorte que les protocoles définis pour l'Internet ne fonctionnent pas très bien dans un environnement comprenant des liens satellites. J'expliquerai ensuite comment ces protocoles ont été modifiés ou adaptés pour effectuer un transfert de données point à point - d'une source vers une destination - optimal dans le réseau Internet avec liens satellites. J'exposerai ensuite les protocoles utilisés et les difficultés recontrées lors de la diffusion par satellite. Je terminerai par l'exposé de sujets de recherche actuels. Mot(s) clés libre(s) : diffusion multipoint, liaison satellite, optimisation de TCP/IP, protocole de l'Internet, routage, transfert de données
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Liaison peptidique et agencement spatial de la chaîne polypeptidique
/ BioMedia-UPMC
/ 12-11-2008
/ Unisciel
Denoulet Philippe, Benlot Caroline, Blanchouin Nicole, Boucher Dominique, Maurel Marie christine, Sobczak Thepot joelle
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Documents de biologie cellulaire planche 7 Mot(s) clés libre(s) : liaison peptidique, acides aminés, Biologie cellulaire
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