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"Pastores de Belén" de Lope de Vega : un roman des origines / Florence Raynié Eustache
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
RAYNIÉ-EUSTACHE Florence
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Pastores de Belén de Lope de Vega : un roman des origines. Florence RAYNIÉ-EUSTACHE. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).Pastores de Belén est un roman pastoral a lo divino de Lope de Vega, publié en 1612. Dans cette œuvre, centrée sur la naissance du Christ et l’Adoration des bergers, l’auteur traite le sujet de l’origine sous plusieurs aspects que je m’attacherai à analyser dans ce travail : origine de l’œuvre elle-même, naissance du Christ, création du monde, onomastique, généalogies...Pastores de Belén es una novela pastoril a lo divino de Lope de Vega, publicada en 1612. En esta obra, centrada en el nacimiento de Cristo y en la Adoración de los pastores, el autor trata el tema del origen bajo varios aspectos que voy a intentar analizar en este trabajo : origen de la misma obra, nacimiento de Cristo, creación del mundo, onomástica, genealogías... Mot(s) clés libre(s) : Félix Lope de Vega (1562-1635), littérature espagnole (17e siècle)
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Aux origines de l'illustration imprimée: l'exemple de "Visión deleytable" de 1489 / J. M. Mendiboure
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MENDIBOURE Jean-Michel
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Aux origines de l'illustration imprimée : l'exemple de Visión deleytable, incunable de 1489. Jean-Michel MENDIBOURE. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 2 : Les mythes et les fondations (23 mars 2010).La communication a pour objet un exemplaire conservé à la Bibliothèque du Périgord de Toulouse de Visión deleytable (1489) d’Alfonso de la Torre, manuel philosophique qui cherche à exposer les connaissances de son temps sous forme didactique. L’objectif sera de proposer une description raisonnée des xylographies de l’incunable, en mettant en perspective la problématique de l’illustration et de ses rapports avec le texte, et en envisageant quelques-unes des principales modalités plastiques qui s’y trouvent mises en œuvre. Le travail devrait également amener à poser plusieurs questions relatives à la constitution du livre comme objet imprimé tel qu’il se présente à ses origines.Voir des illustrations de Visión deleytable. Mot(s) clés libre(s) : Alfonso de la Torre (....-1460), enluminure (15e siècle), littérature espagnole (15e siècle), ouvrage illustré, Visión deleytable (illustrations)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CAZAL Françoise
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Mot(s) clés libre(s) : dictons (lexicologie), Gonzalo Correas (1571-1631), littérature espagnole (17e siècle), parémiologie, proverbes espagnols
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 24-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GARGANO Antonio
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Mot(s) clés libre(s) : Garcilaso de la Vega (1501-1536), littérature espagnole (16e siècle), littérature pastorale (16e siècle)
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Généalogies légendaires, parentés fictives: Prosapia de Cristo de Matute de Peñafiel / Hélène Tropé
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
TROPÉ Hélène
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Généalogies légendaires et parentés fictives : Prosapia de Cristo (1616). Hélène TROPÉ. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 1 : Origine des mots, origine des noms (22 mars 2010).« Généalogies et parentés fabuleuses. L'exaltation du sang divin de Lerma et de sa parenté avec Philippe III dans Prosapia de Christo (1614) de Diego Matute de Peñafiel Contreras ».En lien avec la problématique du colloque "Dire / taire / masquer les origines" et en particulier avec le second point: "généalogies", énoncé dans le deuxième axe du colloque, Hélène Tropé analyse la stratégie de promotion d'une image "royale" du duc de Lerma, favori de Philippe III, mise en œuvre dans l'ouvrage de Diego Matute de Peñafiel Contreras, Prosapia de Christo, publié à Baza en 1614. Les favoris de la Maison des Habsbourg, en particulier à partir de Philippe III, aimaient à faire un large étalage de leur noblesse. Parmi les stratégies mises en place par ces derniers pour se maintenir au pouvoir et tenter d'y rester le plus longtemps possible, se trouve cette revendication d'un haut lignage, celui-ci dût-il être inventé, sinon de toutes pièces, du moins en partie. Le texte qui fait l'objet de notre proposition de communication représente une étape importante dans cette stratégie puisque, dédié à don Francisco Gómez de Sandoval, duc de Lerma, il présente le lignage humain du Christ depuis Adam en montrant que certains ancêtres communs de Philippe III et de Lerma les apparentent. Il s'agira tout d'abord de replacer ce texte dans la double perspective historique qui permet d'en éclairer la genèse: d'abord, nous le situerons dans ce moment historique très particulier qu'est la monarchie de Philippe III, laquelle voit émerger une représentation du valido comme double ou alter ego du monarque, chose impensable sous le règne de son père, le Roi Prudent. Notamment, il s'agira de montrer que ce n'est pas un hasard si ce texte, qui, de façon saugrenue, fait entrer le favori dans la lignée royale, est publié en 1614, c'est-à-dire au moment où les critiques se multiplient contre "le plus grand voleur du monde" - el mayor ladrón del mundo selon le poète gongorin Villamediana-, et où il faut dès lors coûte que coûte renforcer cette image "royale" du favori, attaquée de toutes parts. De façon plus large, j'essaierai de montrer que ce texte s'inscrit aussi dans un mouvement idéologique plus ample, que l'on peut dater de la fin du XVIe siècle et du début du suivant, où les discours sur l'origine, la genèse, la naissance, le début, les généalogies, des mots, des choses et des personnes se multiplient, en relation directe avec une interrogation identitaire sur l'essence de l'Espagne et de "l'être espagnol", et ce depuis au moins les débuts du règne de Charles Quint. De ce point de vue, nous évoquerons aussi d'autres œuvres ayant exalté la grandeur de la généalogie du duc de Lerme et assuré que ses ancêtres avaient du sang royal. Puis, entrant dans ce texte très étrange qu'est La Prosapia de Cristo, et d'abord dans le paratexte, nous nous demanderons quelle part Lerma a pu prendre dans l'initiative de la rédaction de ce livre qui lui est dédié et quels liens pouvaient exister entre son auteur et le célèbre valido. Puis nous analyserons de près les ressorts de cette généalogie fabuleuse et de ces parentés fictives qui, à l'issue des quelques 334 pages que compte le texte, aboutissent à faire de Lerma non seulement le descendant d'Adam et Ève, Mathusalem, Noé, Hercule, sans oublier Enée, lesquels auraient été aussi les ascendants du roi, mais encore à l'insérer avec le monarque, dans le lignage du Christ.Enfin, envisageant ce livre comme le fer de lance d'une stratégie de communication habile, qui loin de désacraliser l'image du monarque au profit de son favori, renforçait au contraire l'image d'un roi de droit divin et faisait un parent de son privado, il s'agira de s'interroger sur la réception de ce texte, tant dans les milieux officiels que de façon plus large. Notamment, il fit l'objet d'une légère censure inquisitoriale, et il nous faudra analyser les modifications apportées. Autre question d'importance touchant à sa réception, nous nous demanderons dans quelle mesure une telle entreprise, certes adroite idéologiquement, mais ô combien tortueuse dans sa démonstration (et pour cause), pouvait être comprise et intégrée par les récepteurs du texte et quel crédit ces derniers pouvaient ajouter à de telles allégations pseudo-historiques sur un même sang divin coulant tant dans les veines du monarque régnant sur l'Empire espagnol que dans celles de son favori, Lerma. Mot(s) clés libre(s) : biographie imaginaire, Diego Matute de Peñafiel, généalogie imaginaire, littérature espagnole (17e siècle), parenté fictive, Philippe III d'Espagne (1578-1621)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 24-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CACHO CASAL Rodrigo
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Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), Luis de Gongora y Argote (1561-1627), poésie espagnole (17e siècle)
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytidolo
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GOYTISOLO Juan
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytidolo. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion.Juan Goytisolo explore trois sujets exclus de l'analyse officielle de la littérature espagnole -analyse forgée à l'aune des canons culturels du national-catholicisme- et qui font pourtant l'originalité d'une culture espagnole enrichie dès le XIVe siècle par des influences réciproques entre maures, juifs et chrétiens. Premièrement, il affirme le caractère mudejar de la littérature espagnole au travers, notamment, du "Cantar de Mio Cid" et de "El Conde Lucanor" de Ramon Lull, des récits de "Calila et Dimna" et des "Mille et une nuits". Deuxièmement, le tabou de la "pureté du sang", de la conversion des juifs, des nouveaux et des anciens chrétiens, qui est une question fondamentale pour la compréhension des œuvres de Juan Luis Vivès (ami d'Erasme de Rotterdam), de Fray Luis de León, de Mateo Alemán, d'Antón Montaro de Ropero, du "Lazarillo de Tormes", de la "Celestina" de Fernando de Rojas, etc. Le troisième tabou est l'exclusion de l'érotisme pourtant très présent dans la littérature espagnole médiévale, par exemple dans le "Cancionero de Burgos". Pour Goytisolo, l'Espagne, dont la langue castillane est marquée par plus de quatre mille mots d'origine arabe et qui peut s'enorgueillir d'être dans la trajectoire d'un courant rationaliste qui part des traductions juives des écrits d'Averroes jusqu'à Spinoza en passant par Uriel da Costa, est certes un pays occidental, mais d'une "occidentalité nuancée".« En repensant la force critique et créatrice des grandes œuvres du passé, Goytisolo remet en cause les schémas de pensée préétablis ; il éclaire les zones d’ombre et les non-dits présents dans les discours idéologiques qui fixent des rapports déterminés à l’identité collective, à la mémoire historique et autres cultures » (source : Yannick Llored sur Babelmed).** Illustration du générique : peinture-collage de Cyril Torres. Mot(s) clés libre(s) : christianisme et civilisation andalouse (Espagne), culture hispano-mauresque, culture mudejar, identité nationale (Espagne), islam et civilisation (Espagne), judaïsme et civilisation (Espagne), littérature espagnole (14e-16e siècle), multiculturalisme (Es
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytisolo
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-04-2010
/ Canal-u.fr
GOYTISOLO Juan
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytisolo. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire, avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion.Juan Goytisolo explore trois sujets exclus de l'analyse officielle de la littérature espagnole -analyse forgée à l'aune des canons culturels du national-catholicisme- et qui font pourtant l'originalité d'une culture espagnole enrichie dès le XIVe siècle par des influences réciproques entre maures, juifs et chrétiens. Premièrement, il affirme le caractère mudejar de la littérature espagnole au travers, notamment, du "Cantar de Mio Cid" et de "El Conde Lucanor" de Ramon Lull, des récits de "Calila et Dimna" et des "Mille et une nuits". Deuxièmement, le tabou de la "pureté du sang", de la conversion des juifs, des nouveaux et des anciens chrétiens, qui est une question fondamentale pour la compréhension des œuvres de Juan Luis Vivès (ami d'Erasme de Rotterdam), de Fray Luis de León, de Mateo Alemán, d'Antón Montaro de Ropero, du "Lazarillo de Tormes", de la "Celestina" de Fernando de Rojas, etc. Le troisième tabou est l'exclusion de l'érotisme pourtant très présent dans la littérature espagnole médiévale, par exemple dans le "Cancionero de Burgos". Pour Goytisolo, l'Espagne, dont la langue castillane est marquée par plus de quatre mille mots d'origine arabe et qui peut s'enorgueillir d'être dans la trajectoire d'un courant rationaliste qui part des traductions juives des écrits d'Averroes jusqu'à Spinoza en passant par Uriel da Costa, est certes un pays occidental, mais d'une "occidentalité nuancée".« En repensant la force critique et créatrice des grandes œuvres du passé, Goytisolo remet en cause les schémas de pensée préétablis ; il éclaire les zones d’ombre et les non-dits présents dans les discours idéologiques qui fixent des rapports déterminés à l’identité collective, à la mémoire historique et autres cultures » (source : Yannick Llored sur Babelmed).* Illustration du générique : peinture-collage de Cyril Torres. Mot(s) clés libre(s) : Islam et civilisation (Espagne), judaïsme et civilisation (Espagne), multiculturalisme (Espagne), christianisme et civilisation andalouse (Espagne), culture hispano-mauresque, culture mudejar, identité nationale (Espagne), littérature espagnole (14e-16e siècle)
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 5 / Débat
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-04-2010
/ Canal-u.fr
GOYTISOLO Juan, BENNASSAR Bartolomé
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 5 / Débat. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire, avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion. Débat avec Joan Goytisolo, Bartolomé Bennassar, Isabelle Touton, Eva Touboul-Tardieu.* Illustration du générique : peinture-collage de Cyril Torres. Mot(s) clés libre(s) : christianisme et civilisation (Espagne), Islam et civilisation (Espagne), judaïsme et civilisation (Espagne), multiculturalisme (Espagne), Séfarades (Espagne), identité nationale (Espagne), littérature arabo-andalouse (Espagne), littérature espagnole (14e-15e siècles)
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 5 : débat
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GOYTISOLO Juan, BENNASSAR Bartolomé
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 5 : débat. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion. Mot(s) clés libre(s) : christianisme et civilisation (Espagne), identité nationale (Espagne), islam et civilisation (Espagne), judaïsme et civilisation (Espagne), littérature arabo-andalouse (Espagne), littérature espagnole (14e-15e siècles), multiculturalisme (Espagne), Séfara
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