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Théodore Marie et Joseph Ducuing: approches de la lutte contre le cancer à Toulouse / Olivier Munoz
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MUNOZ Olivier
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Théodore Marie et Joseph Ducuing : deux approches de la lutte contre le cancer à Toulouse dans l’entre-deux-guerres / Olivier Munoz. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011.Dans un contexte où les recherches historiques sur les grands programmes nationaux de lutte contre le cancer mis en place durant le XXe siècle foisonnent, il convient de s’intéresser à des exemples plus resserrés, selon des échelles régionale et locale. Le cas de Toulouse permet d’appréhender comment une ville de province s’aligne sur le plan de lutte établi par le consortium entre le ministère de l’Hygiène et de la Prévoyance sociale et la Ligue contre le cancer. Cette communication expose les distorsions qui se dessinent entre le projet national et son application au sein de la médecine et de la société toulousaines à travers l’initiative de deux figures locales : les professeurs Théodore Marie et Joseph Ducuing. Ces deux directeurs emblématiques du Centre régional anticancéreux de Toulouse, construit dans les années vingt, s’opposent en tous points, de leur spécialité médicale jusqu’à leur conception même de la lutte sur le plan social. Ce sont ces différences qui nous permettent d’appréhender la spécificité du cas de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : centres de lutte contre le cancer (Toulouse), histoire de la médecine (20e siècle), Joseph Ducuing (1885-1963), Théodore Marie, Toulouse (entre-deux-guerres)
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Sécurité et insécurité urbaines
/ Mission 2000 en France
/ 15-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BAUER Alain
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"Les évènements recensés au quotidien dans les villes, les réseaux de transports, les immeubles de logements à vocation sociale, les banlieues qui marquent les limites sans cesse dépassées de la rurbanisation de notre pays, alarment à juste titre citoyens, élus, journalistes. Elles ne représentent pourtant qu'une part relativement faible des agressions verbales ou physiques supportées par les représentants des administrations, des services publics ou privés avec leurs usagers, clients ou certains habitants. Leur développement, leur violence, la jeunesse de leurs auteurs, interpellent le système social et politique qui a longtemps feint d'ignorer les réalités quand il ne s'est pas réfugié dans la contemplation de la confrontation illusoire entre les tenants d'une prévention sociale limitée à son seul objet, et les laudateurs d'une répression sans âme ni objectifs autres que l'affirmation de la force. Sans compter les tenants de la logique du "" bouc émissaire "", responsable par nature ou par couleur de peau, de tous les maux. Rien ne serait pire que de jeter l'anathème ou de s'isoler dans une stricte observance niant la complexité des problèmes posés. Il faut savoir sortir de l'affrontement entre deux intégrismes essayant chacun de démontrer la justesse d'affirmations relatives sans jamais fournir de mode d'emploi permettant de répondre à la demande sociale, ni même d'admettre que l'écoute des populations concernées pouvait précéder l'affirmation d'un dogme scientifique. Au delà du principe occidental qui renvoie la violence vers les pulsions purement animales, il faut rappeler qu'elle est d'abord une affirmation de soi. Elle a même pu, parfois, accoucher du progrès dès lors qu'elle répondait à une violence plus grande encore." Mot(s) clés libre(s) : criminalité urbaine, lutte contre la violence urbaine, mesures de sécurité, protection civile, sécurité urbaine, villes
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Mai 68, au-delà du mythe avec Ludivine Bantigny
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
Bantigny Ludivine
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Que de clichés sur 1968 ! Une révolte qui serait celle de la seule jeunesse… Un oubli, souvent, des grèves ouvrières… Un regard trop centré sur Paris et même sur le Quartier Latin. Comprendre ce qui s’est joué en Mai 68 nécessite de sortir l’événement de la seule scène parisienne et française. D’observer son déploiement à l’échelle locale en prenant en compte les pulsations propres à chaque situation, leurs concordances et discordances avec les rythmes nationaux et internationaux.
Cette conférence analyse Mai 68 dans la convergence de ses luttes, ses projets élaborés, ses futurs imaginés, son rapport au temps et à la conscience historique, le poids des émotions dans l’engagement. Elle propose une lecture décentrée de cet événement aux dimensions mondiales, pour mieux saisir ce qu’il a représenté à moyen et long terme. Mot(s) clés libre(s) : grève générale (france ; 1968), grèves ouvrières, révolte, lutte, 1968
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L’universalité des droits et l’altérité
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 10-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
AOUNIT Mouloud
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En 1983, la France connaît sa première manifestation nationale contre le racisme: la marche des beurs. En 2007, 24 ans après, malgré les intentions, rien n’a changé. La réalité est restée celle d’un véritable « génocide » social : on nie à l’Autre le droit d’exister.L’incapacité des acteurs de la société à anticiper les réalités de la diversité française a renforcé la peur de l’Autre et intensifié la violence des attitudes discriminatoires : le combat pour l’altérité se poursuit. Il s’agit encore de bousculer les mentalités et de tenter de banaliser une réalité : noir ou arabe, musulman ou chrétien nous sommes tous français. La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : altérité, discrimination raciale, intolérance, lutte contre le racisme, marche pour l’égalité et contre le racisme, mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, racisme, relations interethniques
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (6) Convergences des luttes
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Jounin Nicolas, Cherif Mimoun, Vernier Martine, Beuzelin Jérôme, Rollinde Marguerite, Diabate Souleymane
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeTable ronde animée par Nicolas Jounin, avec laparticipation de Martine vernier (blog Mediapart/Fini de rire), de Mimoun Cherif et Souleymane Diabate (coordination SP93) et Jérôme Beuzelin (inspecteurdu travail, membre de SUD-Travail) Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (5) Portraits de sans papiers
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Cámara Sergi, Diamcoumba Hadji
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeAnimé par Dorothée Serges GarciaSergi Camara (reporter photographe, Barcelone) :«Migrants subsahariens à l’assaut du mur de Melilla»Hadji Diamcoumba (coordination 93 de lutte pour lessans papiers) : «Sortir de l’ombre pour vivre libres»Jenny Beltran Suavita : «Prostitué-e-s, sans papiers» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (4) Frontières et politiques migratoires, à l'étranger
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Coubes Marie Laure, Vezyri Zacharo, Tcholakova Albena
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoiresAnimé par Albena TcholakovaMarie Laure Coubes (El Colegio de la Frontera Norte,Tijuana, Basse Californie, Mexique ;associée au GTM) : «Le passage des frontières aux tempsdes expulsions : migrants mexicains et centroaméricainssans papiers déportés des Etats-Unis».Zacharo Vezyri (Initiative contre le racisme.Thessalonique): «Des Centres de rétention auxfrontières intérieures :le cas de la Grèce» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (3) Frontières et politiques migratoires, en France
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Tcholakova Albena, Rodier Claire, Davoudian Christine, Morice Alain
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoires, en FranceAnimé par Albena TcholakovaAlain Morice (chercheur au CNRS (URMIS, UniversitéParis-Diderot) «Sans-papiers face à l’Etat, entremenaces et laisser-faire»Claire Rodier (Gisti) «Xenophobie business»Christine Davoudian (clinicienne en PMI, auteure deMères et bébés sans papiers) «Femmes enceintes sanspapiers ; une clinique de la suspicion» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (2) Frontières et politiques migratoires, en France
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Tcholakova Albena, Morice Alain, Davoudian Christine, Rodier Claire
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoires, en FranceAnimé par Albena TcholakovaAlain Morice (chercheur au CNRS (URMIS, UniversitéParis-Diderot) «Sans-papiers face à l’Etat, entremenaces et laisser-faire»Claire Rodier (Gisti) «Xenophobie business»Christine Davoudian (clinicienne en PMI, auteure deMères et bébés sans papiers) «Femmes enceintes sanspapiers ; une clinique de la suspicion» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (1) Introduction générale
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Rollinde Marguerite, Brun François
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite Rollinde Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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