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Les mondes de la prison
/ Canal-u.fr
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Didier Fassin, anthropologue et sociologue, Institute for Advanced Study (Princeton) et École des hautes études en sciences sociales
La prison est volontiers représentée comme un monde à part, hors de la société. Elle est de plus en plus souvent éloignée des lieux de résidence, à la marge des villes. Au terme d’une enquête réalisée au long de quatre années dans une maison d’arrêt, elle apparaît pourtant tout autre : un espace perméable aux objets et aux ressources du monde extérieur, un univers intimement lié au système pénal et à l’activité judiciaire, un miroir tendu à notre société pour y penser la manière dont on punit. Le travail des sciences sociales permet précisément de relier le dedans et le dehors, le quotidien de la détention et les débats autour de la peine, l’activité des personnels et les critiques des associations, l’expérience des détenus et les épreuves des familles. Il éclaire autrement les mondes de la prison à travers la vie de ceux qui y sont enfermés et de ceux qui y travaillent. Il interroge au bout du compte le citoyen sur la société à laquelle il aspire. Mot(s) clés libre(s) : détenus, prison, débat, maison d'arrêt, système pénal
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3ème journée sur la santé des femmes 2011 - Discours d’ouverture
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Barankitse Marguerite, Maggy
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Discours d’ouverture de la 3ème journée humanitaire sur la santé des femmes.Intervenant : Barankitse Marguerite.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Gynécologie Sans Frontières, maison Shalom, maternité adolescente
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Mutilations génitales : vers un Pôle Lorrain de Gynécologie Sans Frontière
/ Canal-U Médecine
/ 04-05-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BEDDOCK Richard
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Titre : Mutilations génitales : vers un Pôle Lorrain de Gynécologie Sans Frontière. Résumé : GSF est un groupe de 100 personnes réunies pour la santé des femmes et comprend des médecins, des sages-femmes, soit 85 % de soignants ; il existe depuis 1995. Ses missions sont l'urgence, la formation, l'évaluation et le développement. L'auteur présente quelques missions , comme celle du Burkina Faso, en collaboration avec une association pour créer une maison d'accouchement. Les missions chirurgicales au Kosovo concernent essentiellement les victimes de guerre (viols). Quelques missions se développent en France et à Nancy notamment.Intervenant : Dr Beddock, secretaire général de GSFSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : chirurgie, fistule, GSF, Gynécologie Sans Frontière, maison d'accouchement, maternité, mutilation génitale, pôle lorrain, violences sexuelles
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/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHAZOT I.
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Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, mourir à la maison, SFAP 2011, soins palliatifs
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
DUFFULER-VIALLE Hélène
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.A partir notamment des archives départementales du Nord et du
Pas-de-Calais, des archives municipales de Lille, Douai, Boulogne, Dunkerque,
Roubaix et des thèses juridiques d’époque, Hélène Duffuler-Vialle étudie
l'évolution des maisons de tolérance durant l'Entre-deux-guerres entre abolitionnisme
et réglementarisme, un régime juridique spécial qui encadre la prostitution et
dont la mise en œuvre et l'application ont été déléguées -du Consulat jusqu’en
1946- à l’autorité municipale. Au cours du XIXe siècle la plupart des maires
adoptent des logiques réglementaristes communes sur l’ensemble du territoire,
il s’agit de l’ « âge d’or » des maisons de tolérance. A la fin du XIXe siècle, le nombre de maisons décline en raison, notamment, de l’extension de la
prostitution clandestine qui s’exerce dans les bars à femmes, de nouvelles
conduites prostitutionnelles et de la critique abolitionniste contre la
prostitution réglementée. Après la Première Guerre mondiale, les maisons de
tolérance semblent trouver un nouveau souffle sur l’ensemble du territoire, du fait de l'afflux d’hommes dans les zones à
reconstruire ou dans les zones militarisées. Le Nord-Pas-de-Calais fait figure
de bastion du réglementarisme. Dans le département du Nord, en 1921, Dunkerque
est, après Paris, la deuxième ville par le nombre de maisons closes. Dans le
Pas-de-Calais, le recours à de la main d'œuvre étrangère dans les usines et les
mines explique la réorganisation et la multiplication des maisons de tolérance. Au niveau national, face
aux critiques abolitionnistes et aux positions du Comité de la traite des
femmes et des enfants de la Société des Nations, une remise en question du
réglementarisme se dégage et une tendance prohibitionniste semble poindre. Les
projets et propositions de loi, soit abolitionnistes, soit réglementaristes, tentent
d'instaurer le délit de contamination, le délit de racolage et des mesures
sanitaires coercitives, sans prévoir toutefois le délit de prostitution des
femmes majeures consentantes. Ne parvenant pas à se positionner entre
abolitionnisme et réglementarisme, le législateur reste silencieux. Les
circulaires ministérielles sont également ambivalentes car certaines créent des
standards afin que les règlements municipaux puissent parer les critiques
abolitionnistes et d’autres interdisent l’ouverture de nouvelles maisons. Mot(s) clés libre(s) : France (1919-1939), prostitution (droit), maison de tolérance
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SFAP 2011 – A la rencontre de deux cultures : soins intensifs – soins palliatifs
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GUAY D.
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Titre : SFAP 2011 – A la rencontre de deux cultures : soins intensifs – soins palliatifsAuteur(s) : D. GUAY (infirmière – Québec – Canada).Etablissement : Université de Sherbrooke, Longueuil, CanadaRésumé : Accompagner les patients en fin de vie fait partie du quotidien des infirmières œuvrant à l’unité de soins intensifs (USI). Pour plusieurs, la transition du soin curatif vers le soin palliatif est vécue comme une période ambiguë et angoissante. Elles se disent insuffisamment préparées et peu impliquées dans le processus décisionnel formel et cette situation affecte considérablement la qualité des soins aux patients et à leur famille. La plupart des études portant sur l’expérience des infirmières sont rétrospectives et les comportements pouvant correspondre aux «bons soins» ainsi que les conditions les facilitant sont souvent peu décrits, présentés sous forme de suggestions ou intégrés aux résultats.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités.Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier en soins palliatifs.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
KAECH F.
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Titre : SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier ressource en soins palliatifs (IRPS) dans les maisons de retraites médicalisées et au domicile (ARCOS).Auteur(s) : F. KAECH (assistant de recherche à Lausanne – Suisse).Etablissement : Institut des Sciences Sociales, Université de Lausanne, Suisse,Résumé : Dans le cadre du Programme Cantonal Vaudois de développement des soins palliatifs, le réseau de soins lausannois (ARCOS) avec le soutien de la santé publique a créé le statut et l’institutionnalisation du rôle d’Infirmier-ère Ressource en Soins Palliatifs (IRSP). Le but de ce dispositif est de renforcer la prise en charge des patients en situation palliative en maison de retraite médicalisée (EPHAD) et au domicile. La mise en œuvre d’une telle démarche repose sur la formation d’une partie du personnel de santé de première ligne de ces institutions, qui opère en tant que ressource pour le reste du personnel. Cette recherche analyse, à partir des points de vue croisés des IRSP et des responsables institutionnels, le rapport des infirmiers(ères) à leur rôle d’IRSP, ainsi que les freins et les facteurs favorisant l’application de ce rôle au sein de leurs contextes institutionnels respectifs..L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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Chronique des Pygmées baka : construction de huttes mongulu
/ 18-06-2012
/ Canal-u.fr
MAGET Laurent
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Est du Cameroun, 35 km à l'est de la ville de Lomié, département du Haut-Nyong.
Construits en forme de dôme, de surfaces très variables selon le nombre d'occupants, les huttes mongulu sont formées d'une charpente de jeunes tiges tressées (baliveaux) enfoncées dans le sol, recouvertes de feuilles de Marantacées (Maranta leuconeura), disposées comme des tuiles. L'ouverture de la hutte (parfois en forme de tunnel) est orientée dans le sens de la pente.
ACTRICES: Andenda Claire, Mimbo Marie, Ndjeno Brigitte, Sawala Catherine, Wessambo Chantal.
CAMÉRA SON MONTAGE : Steeve Calvo
RÉALISATION : Laurent Maget
Production : L. Maget, Laboratoire dynamique de l'évolution humaine UPR2147 CNRS Mot(s) clés libre(s) : pygmées, Maranta leuconeura, marantacées, habitat nomade, huttes, baka, video, Cameroun, architecture, maison
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SFAP 2011 – L’alliance soignants en soins palliatifs et l’accompagnement au deuil.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MAURO C.
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Titre : SFAP 2011 – L’alliance entre soignants en soins palliatifs et chambre mortuaire dans l’accompagnement au deuil. Auteur(s) : C. MAURO (psychologue – Lomme - France).Etablissement : Unité de Soins Palliatifs, Centre Hospitalier Saint Philibert, Lomme, France.Résumé : La mort survient aujourd’hui le plus souvent en dehors de l’espace privé où l’on avait vécu, accompagnée de soignants investis pleinement auprès du patient et de sa famille. Les questions formulées et recueillies dans l’instant du mourir sont nombreuses et complexes. Certaines, au-delà des tabous, de la culpabilité, de la gêne, concernent l’après, le devenir du corps mort, les démarches à entreprendre, et dans cette continuité les modalités d’organisation des obsèques à venir.L’objectif de notre propos est de mettre en évidence les modalités d’accompagnement de ces demandes intimes et douloureuses au travers le travail de liaison nécessairement mis en place entre les soignants de l’unité de soins palliatifs et les soignants en chambre mortuaire. Nous fonderons notre développement à partir des résultats obtenus à l’issue d’une thèse de doctorat en psychologie et sur la base de rencontres cliniques.Nous tenterons de faire valoir les différentes missions de ces soignants singuliers (information auprès des équipes pour la préparation du corps, accueil et recueil des premiers souhaits de la famille, respect des croyances et des rites funéraires, réalisation de la toilette mortuaire, présentation du défunt, réalisation des démarches administratives, travail de liaison avec les pompes funèbres,préservation et respect du corps,…) afin de mettre en évidence le sens profond que recouvre cette complémentarité avec l’équipe de l’unité de soins palliatifs et les enjeux psychiques tant du point du vue du patient (réassurance, information…), que de sa famille (présence sécurisante, réappropriation du défunt, possibilité d’un recueillement, apaisement des stigmates de souffrance du patient décédé, accompagnement au deuil… ) et des soignants de cette équipe (alliance thérapeutique…).Les perspectives de ce travail sont multiples : renforcer les valeurs d’humanitude, donner une place et réinscrire le mort dans la communauté, être au plus près des besoins dans l’accompagnement du deuil, préparer l’indispensable travail de mémoire.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 Mourir à la maison : un rendez-vous trop souvent manqué
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU S.
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1-8Titre : SFAP 2011 Mourir à la maison : un rendez-vous trop souvent manqué.Auteur(s) : S. MOREAU (Médecin – Limoges - France).Etablissement : Service Hématologie clinique et thérapie cellulaire, CHU Dupuytren, Limoges, France.Résumé : « C’est à la façon dont on meurt dans une société que l’on sait comment on y vit ». Selon le rapport 2009, de l’Inspection Générale des Affaires Sociales, 3/4 des patients décèdent en institution alors que 80% souhaiteraient mourir à la maison. Parallèlement, les autorités de santé tentent d’instaurer des politiques incitatives de retour à domicile. Pourtant, les retours, parfois in extremis, à l’hôpital deviennent fréquents, offrant le triste spectacle d’une fin de vie dans le couloir des urgences, avec un sentiment amer pour les soignants. Comment expliquer un tel hiatus entre une volonté exprimée de mourir à la maison et la réalité bien concrète d’une fin de vie institutionnalisée ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier A4 – Agonie et moment de la mort.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, mourir à la maison, SFAP 2011, soins palliatifs
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