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Dans l'oeil du microscope
/ Samia SERRI
/ 01-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Borensztajn Stephan
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La microscopie électronique à balayage (MEB ou SEM pour Scanning Electron Microscopy en anglais) est une technique de microscopie basée sur le principe des des intéractions électrons-matière. Un faisceau d'éléctrons balaie la surface de l'échantillon à analyser qui, en réponse, réémet certainesparticules. Différents détecteurs permettent d'analyser ces particules et de reconstruire une image de la surface. Aujourd'hui, un grand nombre de constructeurs proposent des microscopes à balayage de série équipés de détecteurs d'électrons secondaires et dont la résolution se situe entre 1nm à 20 nm. Stephan Borensztajn, présente le fonctionnement de ce microscope, analyse des images en électrons secondaires, en éléctrons rétrodiffusés ainsi qu'une analyse en selection d'energie ou EDS.GénériqueRéalisation : Samia Serri Présentation : Stephan Borensztajn (Laboratoire Interfaces et Systèmes Electrochimiques) Image et son : Jean-Paul Flourat Montage et animation : Thierry Maillot Photos : Stephan Borensztajn Musique originale Jérémy Hank Gravier Responsables science en cours : Michèle Brédimas, Jean-Marie Blondeau Moyens Techniques : Studio Vidéo : Université Paris Diderot Remerciements : Luc Beaunier (Laboratoire Interfaces et Systèmes Electrochimiques) Copyright : Université Paris Diderot / Université Pierre et Marie Curie / Juillet 2007 Mot(s) clés libre(s) : canon à électrons, éléctron rétrodiffusé, électron secondaire, intéraction électron-matière, microscope électronique à balayage, résolution d'image, sonde électronique
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INDRA, regards sur le coeur de l'atome
/ Jean DRUON, Eusébio SERRANO, GANIL (CEA CNRS)
/ 03-01-1993
/ Canal-U - OAI Archive
BIMBOT René
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En vue d'étudier les états limites du noyau atomique, le GANIL à Caen a entrepris en 1989 la construction d'un nouveau détecteur de particules baptisé Indra. Ce détecteur, un des plus puissants du monde, possède 336 modules de détection qui couvrent tout l'espace autour de la cible. L'expérience de base consiste à envoyer des noyaux projectiles sur une cible. Les fragments générés par la collision sont analysés par le détecteur. Les températures obtenues sont très élevées et on reconstitue ainsi des conditions qui existaient aux origines de l'univers. Il y a transition de phases pour la matière nucléaire, les noyaux se désintégrant en une "vapeur" de protons et de neutrons. Parallèlement à ces données théoriques, la conception et le fonctionnement des principaux composants du détecteur Indra sont décrits : - le trigger qui permet de sélectionner les événements (collisions) intéressants ; - les photomultiplicateurs, couplés à des cristaux d'iodure de césium qui émettent de la lumière quand ils sont traversés par une particule ; - les chambres d'ionisation, chambres à gaz placées entre deux électrodes. Inauguré en février 1993, Indra permettra aux chercheurs du GANIL d'étudier la matière nucléaire telle qu'elle existait une seconde après la naissance de l'univers.GénériqueConseiller scientifique : BIMBOT René Réalisateurs : DRUON Jean et SERRANO Eusébio Production : Culture Production, GANIL (CEA-CNRS) Diffuseur : CNRS Images, http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : chambres d'ionisation, collision, détecteur de particules, matière nucléaire, noyau de l'atome, photomultiplicateur, physique nucléaire, trigger
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Colloïdes et biotechnologies
/ UTLS - la suite
/ 29-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
BIBETTE Jérôme
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L'exposé introduit lutilisation des colloïdes dans le domaine du diagnostic biologique. Nous introduirons les bases de la physico chimie des colloïdes ainsi que les approches classiques du diagnostic biologique: test d'agglutination à partir de particules de Latex ou dor, test ELISA avec des particules magnétiques. Ensuite nous présenterons une nouvelle approche de diagnostic basée sur la formation de nano structures colloïdales magnétiques. Le principe repose sur l'aptitude de certains colloïdes magnétiques, à la fois suffisamment petits et susceptibles, à former rapidement des lignes réversibles sous champ. Nous montrerons que cette solution colloïdale change de couleur sous l'action d'un champ magnétique, conséquence de la diffraction des chaînes auto assemblées, et comment ce phénomène peut conduire à la détermination du profil de force entre colloïdes. Si les particules sont greffées par un anticorps, alors en présence de l'antigène spécifique capable de ponter deux anticorps, les lignes peuvent devenir permanentes et quasi irréversibles. Nous discuterons comment la persistance des lignes peut révéler de manière très sensible la quantité d'antigène introduite, et pourquoi la force magnétique imposée à chaque colloïde peut accélérer la complexation antigène anticorps. Nous finirons par une introduction à l'utilisation des colloïdes en micro fluidique. Nous montrerons comment les auto assemblages magnétiques peuvent devenir des matrices de séparation très efficaces pour des entités biologiques comme des ADN génomiques ou des cellules. Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, colloïde, diagnostic biologique, matériau, matière divisée, matière molle, microfluidique, nanomatériau, phase, physico-chimie, physique de la matière condensée, science des matériaux
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KEZAKO : De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?
/ Mickael Mensier
/ 01-01-2013
/ Canal-u.fr
BEAUGEOIS Maxime, Hennequin Daniel, Deltombe Damien
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Kezako est la série qui répond à vos questions de science. Cet épisode traite de deux questions : "De quoi est composée la matière ? Pourquoi est-ce solide, liquide ou gazeux ?". Il aborde les notions d'atomes, molécules et les forces de liaisons. Mot(s) clés libre(s) : atome, matière, molécule, liaison, agitation thermique
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Le métabolisme des territoires : enjeux et notions clés
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles introduit la notion de métabolisme territorial, en délimitant bien l'emploi de ces deux termes. Elle énonce les grands intérêts de ce type d'approches. Mot(s) clés libre(s) : territoire, métabolisme, flux de matières et d'énergie
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L'analyse des flux de matières à l'échelle des départements français
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles décrit le métabolisme de deux régions : Paris et la Loire-Atlantique. Elle analyse pour chacune d'entre elles les flux entrants, les flux sortants, ainsi que les additions au stock. Sur cette base, elle montre les différences qui existent entre les métabolismes de territoires "urbains" et "ruraux". Mot(s) clés libre(s) : métabolisme, flux de matières et d'énergie, Loire-Atlantique, Paris
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L'analyse des flux de matières à l'échelle de la France
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 03-03-2014
/ Canal-u.fr
BARLES Sabine
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Sabine Barles décrit le métabolisme de la France en 2010, et notamment les flux entrants, les flux sortants, ainsi que les additions au stock. Mot(s) clés libre(s) : métabolisme, flux de matières et d'énergie, France
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Pour une anthropologie des matériaux de l’architecture
/ Philippe KERGRAISSE
/ 31-05-2015
/ Canal-u.fr
Baridon Laurent, Nègre Valérie, Picon Antoine
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La table ronde se donne pour objectif de déterminer les contours d’une approche des valeurs attachées aux matériaux par les hommes qui pensent, font et utilisent les édifices. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, matière, architecture
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La superfluidité
/ Mission 2000 en France
/ 10-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BALIBAR Sébastien
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"Peut-on voir au moins une propriété quantique de la matière à l'oeil nu ? Oui, il suffit de regarder de l'hélium liquide à suffisamment basse température. Je montrerai un liquide qui cesse de bouillir, jaillit en fontaine lorsqu'on le chauffe, s'écoule sans viscosité hors des récipients où l'on tente de l'enfermer (d'où son nom de " superfluide ")... J'expliquerai ensuite comment ces propriétés surprenantes ont été associées au comportement collectif quantique des atomes, un phénomène connu sous le nom de " Condensation de Bose-Einstein ". Les différents états de la matière correspondent à différents degrés d'ordre ou de désordre. Lorsqu'un liquide cristallise, par exemple, c'est la position des atomes dans l'espace qui s'ordonne. Lorsqu'un fluide devient superfluide c'est leurs mouvements qui deviennent collectifs. De même qu'un superfluide coule sans viscosité, un supraconducteur conduit l'électricité sans résistance. La superfluidité est semblable à la supraconductivité des métaux. Connue depuis 1937 dans l'hélium, la superfluidité a été découverte en 1999 dans différentes vapeurs alcalines. Nous verrons que la rotation d'un superfluide est très particulière, parce que quantifiée. Dans l'hélium comme dans le rubidium, nous montrerons des images de tourbillons quantiques où la vitesse du fluide est reliée à la constante de Planck. Pour conclure, nous décrirons comment la superfluidité peut servir à mesurer la rotation de la terre, et pourquoi l'on pense que l'intérieur des étoiles à neutrons est superfluide." Mot(s) clés libre(s) : basse température, condensation de Bose-Einstein, conductivité thermique, écoulement d'un liquide, état de la matière, fluide, hélium, mécanique des fluides, mécanique quantique, supraconductivité, tourbillon, viscosité
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Aux prises avec la matière
/ Philippe KERGRAISSE
/ 30-05-2015
/ Canal-u.fr
Azambourg François, Boudin-Lestienne Stéphane, Fastrez Jean-Baptiste
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Qu’elle soit naturelle ou issue de l’industrie, éternelle ou ré-inventée, la matière est au centre des préoccupations du designer. Entre expérimentation et détournement, deux designers contemporains, François Azambourg (né en 1963) et Jean-Baptiste Fastrez (né en 1984), nous expliquent quelle place la matière tient dans leur démarche respective. Une invitation à dialoguer et à découvrir deux praticiens en prise avec leur époque. Mot(s) clés libre(s) : matière, designer, François Azambourg, Jean-Baptiste Fastrez
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