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031 - Du cinéma direct au documentaire : les évolutions du cinéma militant
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LECLER Romain
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Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine Le cinéma militant, formalisé comme genre à part entière aux Etats Généraux du cinéma en Mai 68, naît véritablement un an avant, avec des films comme Loin du Vietnam ou A bientôt j’espère. Diffusé dans un circuit non commercial, et en particulier auprès d’un public déjà politisé, le genre entre en crise au début des années 1980 avec la disparition de ce public. Notre travail a porté sur le collectif Slon-Iskra, le principal collectif de diffusion militante de la période. Au cours des années 1970, le genre du cinéma militant y a été marqué par des évolutions formelles et thématiques, qui renvoient aux évolutions militantes de la décennie : d’abord focalisé sur les ouvriers, il s’ouvre progressivement aux paysans, à la police, à la psychiatrie, puis aux nouvelles revendications féministes, écologistes, éducatives, et enfin à des thématiques moins revendicatives et plus documentaires. Au niveau international, l’intérêt exclusif pour les luttes révolutionnaires laisse place à des thèmes plus éclectiques. En outre, issu du cinéma direct, le cinéma militant trouve une filiation dans le documentaire. L’analyse des trajectoires des cinéastes militants permet d’expliquer une telle évolution.Bibliographie Darley, Catherine, (1983), « De Slon à Iskra. Quinze ans de cinéma militant, 1967-1982. », maîtrise, Paris 1, (sous la direction de A. Prost). Fleckinger, Hélène (2007) « Caméra au poing : Cinéma et vidéo au service des luttes féministes (France, années 1970) », Colloque international sur le patriarcat comparé et les institutions américaines. Université de Savoie. Foltz, Colin, (2001), « L’expérience des Groupes MEDVEDKINE – SLON, 1967-1974 », maîtrise, Paris 1, (sous la direction de N. Brenez). Hatzfeld, Nicolas, Gwenaelle Rot, et Alain Michel (2004), « Le travail en représentation dans les films militants. Caméras et micros dans les usines automobiles, 1968-1974 » in Revue européenne d’histoire sociale, n°9 (Histoire et sociétés). Hennebelle, Guy (1975). Quinze ans de cinéma mondial 1960-1975. Paris, les éditions du Cerf. Layerle, Sébastien, (2005), « Le cinéma à l’épreuve de l’événement. Mémoires croisées de quelques pratiques militantes en Mai 68 », doctorat, Paris III, (sous la direction de J.-P. Bertin-Maghit). Lecler Romain (2007) « Cinéma militant et cinéastes militants en France après Mai 68. De l’adhésion militante à l’autonomie artistique : la réhabilitation de l’auteur », master 2, Paris 1, (sous la direction de F. Matonti).Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : chris marker (1921-....), cinéma engagé, cinéma et politique, cinéma militant, films documentaires, france (1968), mai 68, slon-iskra
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L'humanitaire et les ONG
/ Mission 2000 en France
/ 05-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SIMMONOT Claude
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Quand il est question d'humanitaire de quoi est-il en fait question ? L'histoire de la construction actuelle du mouvement humanitaire s'appuie sur quelques dates-clés que nous évoquerons mais c'est peut être dans un contexte plus contemporain, celui de notre dernière moitié de vingtième siècle qu'il faut identifier ce qui sous-tend le travail des organismes de solidarité internationale. Aujourd'hui, et après un travail de près de vingt ans, nous sommes confrontés à un certain nombre de défis, mais également confrontés à d'importants paradoxes. Les défis actuels touchent entre autres à l'exigence de professionnalisation, aux risques de normalisation de nos actions, à la dégradation des conditions de sécurité, à l'inaccessibilité de vastes zones géographiques dans le monde. Les paradoxes sont de gérer un travail complexe trop souvent présenté de façon simpliste. C'est également l'utilisation abusive du terme humanitaire au point que son sens devient flou. C'est, dans la confrontation à la double étrangeté liée à l'expatriation et la rencontre avec les personnes handicapées, la capacité de reconnaître en soi pour mieux les gérer ces perceptions complexes de la nature humaine. Mot(s) clés libre(s) : aide, crise, éthique, guerre, humanitaire, militance, politique
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-U - OAI Archive
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, guerre mondiale (1939-1945), militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-u.fr
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.
Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.
Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.
* Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : guerre mondiale (1939-1945), Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 1, 1ère partie
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 1 : Travail politique, travailde socialisation politiqueDiscussion : Camille Hamidi (Triangle/Lyon 2) et Mathilde Pette (CLERSE/CERAPS)Julien Talpin (CERAPS/Université Lille 2), Mobiliser les classes populaires. Travail politique et socialisation au sein de deux organisations communautaires américaines.Yoletty Bracho (Centre Michel del’Hôpital/Université d’Auvergne), « Habiter l’État » depuis le militantisme : travail militant et politisation des classes populaires à La Vega (Caracas). Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 1, 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 1 Travail politique, travailde socialisation politiqueDiscussion : Camille Hamidi (Triangle/Lyon 2)et Mathilde Pette (CLERSE/CERAPS)Étienne Pingaud (ISP/Université de Nanterre), Le travail politique des militants associatifs deterrain. Encadrement des quartiers et socialisation à la politiqueBenjamin Moallic (EHESS/CESPRA),"L'ongéisation des mouvements sociaux" ou la reconversion des rapports entre militants révolutionnaires et bases populaires en Amérique centrale. Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 2
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 2 Usages populaires etrapport aux institutions politiquesDiscussion : Tania Navarro (CURAPP-ESS)Marion Carrel (CeRIES/Université Lille 3), Jérémy Louis (LAVUE/Université Paris OuestNanterre) et Aurélien Pidoux (Membre de la coordination
"Pas sans nous"), La coordination "Pas Sans Nous". Une nouvelle forme de lobbying politique des quartiers populaires ?Vianney Schlegel (CLERSE/ UniversitéLille 1), L’engagement militant d’un collectif de sans-abris lillois : la maitrise du droit comme moyen d’action.Cyrille Rougier (GRESCO/Université deLimoges), Défiance et conformisme. La mise à distance du politique dans une association de loisirs en milieu populaire. Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 3, 1ère partie
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 3 Rapports culturels,rapports de classeDiscussion : Nathalie Ethuin (CERAPS/Université Lille 2) et Maricel Rodríguez Blanco (CESPRA/ EHESS-CNRS)Lionel Arnaud (SOI/PRISSMH/ UniversitéToulouse 3), Une politisation "pratique". Les mobilisations culturelles des habitants d'un quartier populaire de Fort-de-France. Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 3, 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 3 Rapports culturels,rapports de classeDiscussion : Nathalie Ethuin (CERAPS/Université Lille 2) et Maricel Rodríguez Blanco(CESPRA/ EHESS-CNRS)Sophie Béroud (Triangle/Lyon 2), Les usages des activités sociales et culturelles par les élus syndicaux au sein des Comités d'entreprise : une relation aux classes populaires entre solidarité financière et promotion d’activités autonomes.Francesca Quercia (Centre MaxWeber/Lyon 2), Les relations de classe dans les projets d'action culturelle mis en place dans les quartiers populaires. Une comparaison franco-italienne. Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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Classes populaires et organisations militantes.
Session 4
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Journées d'étudesClasses populaires et organisations militantes : transformations sociopolitiques et recompositions des liens avec le monde associatif et politique.Session 4 Injonction à la participationet normativitéDiscussion : Sylvain Bordiec (LACES)Catherine Neveu (IIAC – TRAM/EHESS), Politiser en contexte "peu politisé" ? Quelques paradoxes de la mise en oeuvre du développement du pouvoir d'agir dans des centres sociaux.Thomas Chevallier (CERAPS/ UniversitéLille 2), Conséquences ou effets de la participation associative à la politique de la ville sur les classes populaires. Ethnographie d'un groupe associatif populaire du quartier de Lille-Moulins.Samir Hadj Belgacem (CMH/ENS/ EHESS), Des rencontres malheureuses. Les militants communistes et l’échec de la politisation de la jeunesse des quartiers populaires. Mot(s) clés libre(s) : inégalités, usages poulaires, socialisation politique, lise, curapp, clersé, sociologie du monde associatif, fragmentations, monde politique, monde associatif, transformations sociopolitiques, oraganisations militantes, Association française de sociologie, CNRS, classes populaires, rapport aux institutions politiques
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